Toutes les interventions auprès de l’ONU, de l’UE et du gouvernement français sont utiles, à la fois pour dénoncer cette répression ( au lendemain du Sommet UE-Maroc à Grenade qui s’est engagé pour le respect des droits de l’homme) et demander l’extension de la mission de la MINURSO à la protection de la population sahraouie contre la répression.
Les larmes versées, hier, par Ban Ki-moon en hommage aux fonctionnaires de l’ONU décédés en Haïti devraient être accompagnées d’autres larmes pour le martyr qui souffre le peuple du Sahara Occidental sous l’occupation marocaine. Il est temps qu’il insiste auprès du Conseil de Sécurité pour le respect des droits de l’homme et la fin de ce conflit qui date de plus de 34 ans.