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La pute de Sarkozy à New York

Le roi de ce ramassis d’esclaves qui est le Maroc a daigné enfin bouger. Pourquoi? Parce qu’il se trouve dans la merde. Se prostituer chez Sarkozy pour obtenir son soutien à l’annexion du Sahara Occidental n’a pas donné les fruits espérés. Mais cela n’est pas nouveau. La délocalisation des prisons de la CIA n’a pas donné ses fruits non plus. 

Après s’être plié aux exigences américano-sionistes, la garce du Maghreb s’inquiète pour son sort au Sahara Occidental et décide de se rendre à New York pour un lobbying “royal”. Leur ami le roi veut que les négociations sur l’avenir de la dernière colonie espagnole en Afrique ne finissent jamais. Comme celles du Proche Orient qui durent depuis 20 ans (accord d’Oslo). C’est que Mohamed VI est un bon élève de ses maîtres sionistes.

Mais la communauté internationale en a marre de ce conflit qui dure depuis 36 ans et qui menace la crédibilité de l’ONU, comme manifesté par l’envoyé spécial Christopher Ross dans sa missive envoyée au soi-disant “club des amis” du Sahara Occidental. 

Le diplomate onusien a rappelé aussi que  c’est le Maroc qui ne montre aucune disponibilité à négocier dans des termes sérieux. Il a aussi signalé que le statu quo n’est pas acceptable. Ce sont des termes très durs pour le petit-fils de Leglaoui et ses conseillers sionistes qui voient dans cette lettre la perte de leur rêve de s’approprier des richesses sahraouies et ainsi devenir la première puissance du Maghreb et continuer leur croisade expansionniste direction le Fleuve du Sénégal.

Les voyous de Rabat sont en train de perdre la tête à cause de leur défaite. Cela se manifeste par leur façon de s’en prendre aux activistes espagnols qui visitent El Aaiun pour exprimer leur solidarité avec une population soumise à tous les horreurs d’un régime médiéval bâti sur le sang des marocains. Un régime qui, depuis la mal dénommée indépendance du Maroc, s’est mis en conflit avec ses voisins des quatre points cardinaux. 

En lisant le titre de cette entrée, certains lecteurs vont penser que je parle de Carla Bruni, mais non, je parle bien du roi Mohamed VI.
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