L’occident ne cesse de faire accroire au monde musulman qu’il n’y’a de justice sur terre que la leur car elle incarne l’équité du fait qu’elle est indépendante et ne répond à aucune force politique, lobbying ou autre ! Cette boutade est loin d’être digérée par le commun des mortels. Cette justice s’implique timidement quant il s’agit d’islam et de ses fondements, sinon comment comprendre un tel verdict aussi burlesques et provocateur que celui qui a été rendu par la cour d’appel de Colmar en France qui s’est prononcée mardi dernier pour la relaxe à l’encontre d’un jeune homme de 31 ans qui a été poursuivi pour avoir diffusé sur Internet en octobre 2010 une vidéo où il brûlait et urinait sur le Coran .
Le ministère public avait requis en septembre trois mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende, en première instance. Une peine aussi honnie et exécrable ne rendra jamais justice pour ce genre d’acte raciste et antisémitique d’ennemis de l’Islam et des musulmans. Oser brûler le livre Sacré de Dieu est un acte provocateur qui incite à la haine à l´égard des musulmans. Un tel acte de profanation incite aussi à la rancune des musulmans contre les non-musulmans », ce qui pourrait éventuellement bouillonner d’avantage ce monde qui devient de plus en plus hétéroclite et hostile. Cet acte blasphématoire n’est pas un cas isolé, car depuis l’immonde guerre prônée par Georges Bush fils contre les musulmans, cette rage déclarée aux valeurs de l’Islam s’est accentuée, et jamais leur justice qu’ils considèrent parfaite n’a rendu de verdict sévère et honorable conforme à la gravité du délit prétextant toujours la laïcité, et l’inexistence du blasphème comme grief. Un acte de profanation pareil contre le livre saint du Coran restera toujours un acte condamnable et réprobateur selon les déclarations du souverain pontife condamnant la destruction du Coran, livre sacré des musulmans afin de prévenir les conflits dans le monde.
Réflexion, 28 Octobre 2011