1. Découverte. La photo de Ramdane Ould Messaoud.
Le président de l’ASADEH (Association pour la défense des droits humains) qui est à l’origine de la plainte pour « génocide » contre Brahim Ghali (plainte déjà rejetée une 1ère fois en 2020), est un vieux connu.
Le monde est petit.
2. C’est lui, avec d’autres sahraouis à la solde de la #DST et de la #DGED, qui en 2005 avait organisé un sit-in violent à Rabat devant le siège de l’Association marocaine des droits humains, l’AMDH qui est une vraie association de défense des droits de l’homme.
3. L’un des membres de cette structure fantôme, employé à la wilaya de Laâyoune, Ahmed Lekhra (Ahmed La Merde) avait été à l’origine de la plainte diligentée par les services secrets contre moi pour m’interdire l’exercice de la profession de journaliste pendant 10 ans.
4. Coutumier de déclarations fracassantes, Ramdane avait accusé dans le passé le @Polisario_ de « financer Al Qaïda avec l’argent de la drogue ».
Ce qu’aucun service secret étranger n’a jamais relevé. Pas le moindre soupçon. Comme pour l’affaire du Hezbollah
5. Ce que peu de gens se rappellent ou ne veulent pas se rappeler c’est qu’après ses agitations patriotiques pro-marocaines, Ramdane Ould Messaoud décida un beau jour de fuir le Maroc et de s’installer en Espagne, dont il possède la nationalité.
6. Depuis l’Espagne, il m’avait appelé pour se solidariser avec moiVisage rigolardet me raconter comment les services secrets avaient monté toute l’opération contre l’AMDH et moi en 2005.
Il commença alors une très dure campagne de dénigrement contre le Maroc et ses institutions.
7. En Espagne, il tenta aussi de se rapprocher des positions indépendantistes du Front Polisario qui le rejeta par crainte d’une infiltration de la #DGED.
Je me rappelle parfaitement que la presse marocaine l’avait accusé d’être retombé dans le « séparatisme »
8. Puis, il se passa une chose étrange.
Quelque temps après, Ramdane Ould Messaoud fut agressé par des inconnus dans la rue en Espagne.
Il accusa dans un communiqué, non pas le Front Polisario mais plutôt les services secrets marocains.
Encore une fois tout est dans la presse.
9. Après, bizarrement, il rentra discrètement au bercail.
Il vit actuellement à Laâyoune.
Je connais très bien cet oiseau.
Je peux vous assurer d’ores et déjà que sa plainte, qui émane de la DGED, terminera dans la poubelle de l’Audience nationale.
Je prends les paris.
Source : Compte Twitter d’Ali Lmrabet
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