Qui veut priver l’Algérie de son arme médiatique? s’est interrogé le sénateur Abdelouaheb Benzaim, tout en portant la responsabilité à des parties bureaucratiques qu’il n’a pas nommées.
Dans un post diffusé sur son compte Facebook, le sénateur Benzaim tirera à bout portant sur des parties qui veulent tuer en œuf le projet de l’émergence d’une presse électronique patriotique qui s’est illustrée récemment par la défense des intérêts de l’Algérie en la privant de la publicité publique.
Selon le sénateur Benzaim, la vision du président Tebboune était claire dès les premiers mois de son intronisation, en appelant au soutien et à l’accompagnement de la presse électronique, en procédant à la régularisation de la situation juridique, et à l’octroi de la publicité publique. Le sénateur ajoutera que des parties bureaucratiques ne veulent pas d’une presse électronique nationaliste et forte, en freinant les dossiers en vue de l’asphyxier, estimant que l’État a fortement besoin de cette presse électronique dans cette conjoncture sensible que vit le pays, sachant que 90% des lecteurs sont orientés vers la presse électronique au détriment de la presse en papier.
Benzaim souhaitera au passage que le ministère de la Communication rattrapera le temps perdu pour mettre les solutions adéquates pour accompagner l’évolution technologique.
Algérie54, 26/07/2021
Etiquettes : Algérie, presse, bureaucratie,