Algérie, FIS, Abbassi Madani, #Algérie,
Jusqu’ici ceux qui s’émeuvent à travers les réseaux sociaux, les exaltations de salons et de rue, ceux qui installés à l’étranger, sous l’œil bienveillant des services secrets des pays qui les accueillent, ceux qui meublent au quotidien les plateaux de la chaîne de télévision des fils d’Abassi Madani ont au moins le « mérite » égoïste d’annoncer en sourdine comment survivre dans une Algérie qui leur est hostile en raison de leur grande irresponsabilité envers la nation.
D’aucuns parmi ce groupe annoncent sans relâche des bouleversements de grande envergure, n’ayant de nids que dans leurs rêves, formulant des pistes sanieuses politiques, démocratiques et socio-économiques » nouvelles » mais susceptibles à leurs yeux d’arrêter à mi-chemin le renouveau national, en campagne depuis décembre 2019.
Ces attardés politiquement feignent d’oublier que le président de la République est l’unique personnage de l’Etat jouissant de l’aura, de l’onction du peuple. Abdelmadjid Tebboune, car il s’agit de lui, élu au suffrage universel direct, détient entre ses mains les pleins pouvoirs en sa qualité de chef de l’Etat, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale pour gouverner le pays et cela dans le cadre strict de la Constitution.
En s’interrogeant, en discernant tous ces écrits, toutes ces sirènes, toute cette exaltation de voix, à quelles fins se sont rassemblés ces fossoyeurs et passent tant de temps à continuer à amuser la galerie.
Ces individus comptent parmi eux des gens historiquement » responsables » des crises et de la tragédie nationale, des taupes au service du Makhzen et du Mossad et l’internationale islamiste radicale et que, du haut de leur mépris, ils osent s’attaquer sans aucune honte aux acquis de la nation, au programme politique du Président Abdelmadjid Tebboune.
Abderrazak Makri, Mohsen Belabbes, Abdallah Djaballah et consorts ne sont pas là pour dire la vérité au peuple mais des mots creux et hypocrites pour tenter de « vaincre » le régime et la démocratie, assortis de fausses promesses qui ne représentent que le préambule rhétorique de l’intensification de l’agenda de déstabilisation du pays. Voila pourquoi il n’est pas question pour l’Etat de répondre à ces « politiciens » et autres larbins car leur » impériale arrogance » est de freiner la démocratie et la stabilité en cours en l’Algérie.
A travers cette arrogance, ils ont interprété la sérénité du pouvoir face à leurs innombrables et constantes provocations comme un signe de faiblesse. La détérioration de la pratique politico-démocratique en Algérie est arrivée à un tel point qu’elle comporte plus de désirs de paralysie de la défense de l’intérêt national.
Voilà pourquoi le mot de la fin circule dans les milieux populaires avertis qui se méfient davantage de ces gens-là qui se disent représentatifs des Algériennes et des Algériens.
A l’heure actuelle, tout ce monde-là, s’est retrouvé dans une impasse, n’ayant aucun soutien populaire. Ils vont de défaite en défaite. Le meilleur témoin en est l’unanimité dégagé par le Parlement autour du Plan d’action du gouvernement.
A l’encontre des » démarcheurs politiques » souvent sans scrupules ni moralité qui s’agitent dans tous les sens sinon dans tous les états, le peuple n’est pas dupe ! Les expériences, les leçons du passé lui offrent toute la maturité et la compréhension de pouvoir distinguer les » bons grains de l’ivraie ». N’empêche qu’il y a encore des loups qui rodent autour de la société et qu’il faudra bien prendre gare.
Compte tenu de cette réalité indéniable, les citoyens, les jeunes surtout, ne doivent pas se laisser emporter par des ego malveillants ou des idées incongrues susceptibles de séparer et de diviser la Patrie. Que chacun ait la grande vertu de ne vouloir que ce qui rassemble la Nation.
Les valeureux Chouhada ont légué au peuple algérien de génération en génération un héritage commun culturel commun, principal gage de l’unité nationale et qu’il faudra à présent pour tout le monde s’investir à des efforts colossaux pour l’entretenir et la défendre.
B. C.
Lemaghreb.dz, 22/09/2021
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