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La presse française dont les accointances avec la secte franc-maçonne ne sont plus à prouver, ne cesse de louer les relations « exemplaires » de la monarchie marocaine avec les juifs d’origine marocaine. Voici quelques exemple des titres de cette presse :
– La culture juive au programme scolaire marocain
– Le judaïsme au Maroc : Une histoire millénaire
– le Sultan Mohammed V a refusé de signer les décrets imposant le port de l’étoile juive
– Juifs et musulmans réunis autour d’un f’tour au Maroc
– Les juifs marocains renouent avec leur histoire
Au moment où cette même presse loue la décision de Rabat d’établir officiellement les relations diplomatiques avec Israël, elle se tait sur le refus de Mohammed VI à répondre à l’appel de sa sœur israélienne Hedva Selaa
Hedva avait 53 ans lorsqu’en 2005 elle a raconté son histoire au journal israélien Yedioth Aharonot.
Elle porte le nom de son mari, Selaa, puisque, selon sa confession, son père n’est autre que le défunt roi Hassan II.
L’ancienne soldate de Tsahal et plus tard réceptionniste dans un hôtel à Eilat a posé pour le journal avec une photo de celui dont elle revendique la paternalité pour prouver leur ressemblance.
Mohamed IV, roi du Maroc refuse de rencontrer sa demi-sœur Israélienne.
Selon sa version, sa mère Anita Benzaquen a eu, en 1952, une amourette avec Moulay Hassan, qui, à l’époque était le prince héritier. De cette relation, deux enfants sont nés dont le grand-père maternel n’est autre que Léon Benzaquen, figure de la communauté juive marocaine et futur ministre des PTT.
Jacky, l’aîné, refuse d’en parler à la presse et « a brûlé toutes les archives de notre mère après sa mort », indique Hedva qui « n’hésite pas à qualifier de femme frivole et multipliant les aventures », selon l’AFP.
Si Hedva a décidé de révéler leur histoire à la presse ce n’est pas pour demander quelque chose. rce que elle souhaite. Je veux juste “rencontrer mon demi-frère, le roi Mohammed VI”, dit-elle.
Yedioth Aharonot a décidé de donner une suite à la demande de Hedva en prenant contact avec les autorités marocaines. Plus précisément avec Badreddine Radi, un fonctionnaire du ministère de la Communication à Rabat. Après “24 heures de réflexion”, dit le quotidien israélien, M. Radi a répondu que le Maroc “ne donnera aucune réponse officielle à ce récit”.