Algérie. Logique républicaine – gouvernement, Aïmene Benabderrahmane, Abdelmdjid Tebboune, gestion
Dans tous les Etats, il est une logique de tradition républicaine que le gouvernement est aux affaires de la nation non seulement pour exécuter, reformer et distribuer, mais aussi pour gérer et produire. C’est pourquoi cette logique qui revient à l’esprit quand il est question de certitudes et d’options de progrès et de prospérité. Le grand secret pour un gouvernement qui entre dans ces options est de saisir d’abord l’imagination du peuple.
Peut-être est-ce là, manifestement, la mission du gouvernement du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, en d’autres termes de produire pour rabattre les oreilles des détracteurs de son plan d’action. Il est de sa préoccupation que la société algérienne entende ce qu’il y a de plus précieux et important à satisfaire ses priorités, la certitude de voir un Exécutif gouvernemental et des responsables à tous les échelons plus compétents lorsqu’il s’agit de la prise en charge des affaires publiques et par conséquent préoccupations de la population.
Dans ce contexte, le programme politique du président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune à travers ses grands axes donne du pouvoir au gouvernement et une très grande manœuvre d’accéder au stade et aux marches d’un véritable développement socio-économique et à élucider le mystère des citoyens : qu’est la garantie de l’avenir et à accorder l’intérêt requis aux commodités de base et aux prestations fournies à la population au quotidien.
D’ailleurs, même dans les pays où la politique officielle peut être jugée au-dessus de tout reproche il est noté un excès d’enthousiasme pour le progrès, un sentiment d’insécurité en période de crise où la faiblesse administrative et économique qui résulte de la crise engendre fréquemment de grandes souffrances et de grands sacrifices
Devant ces exigences, c’est la variété d’étapes sur laquelle le gouvernement est interpellé à répondre à toutes les questions offensives de ceux que les conditions de développement du pays inquiètent, intriguent et indisposent l’opposition. Une opposition qui devrait faire preuve de retenue dans son comportement et ses prises de positions qui se démarquent des réalités de l’Algérie et ses ambitions pour un lendemain meilleur pour tous.
Aussi une étape décisive et nécessaire s’impose pour répondre aux besoins du peuple, de travailler ensemble à tous les niveaux pour faire avancer un dialogue large et inclusif qui répond aux besoins du peuple et jette les bases d’une stabilité et d’une prospérité à long terme.
Dans cette perspective, où chaque citoyen n’a absolument pas le droit de se croiser les bras, pourrait-on au moins faire au sein du paysage politique et de la société civile, à défaut d’un consensus national, à certaines tâches qui semblent plus faciles à saisir, à actionner et à remplir. Comprendre tous les segments qui sont à la base de ce volontarisme politique, synonyme de garantie de la stabilité et de la promotion économique, sociale, culturelle et démocratique.
Mais aussi que d’aucuns se détachent définitivement d’une situation de cauchemar caractérisée souvent par un égoïsme politicien, prévoir et éviter, tous les défauts qui sont, du reste, la cause de l’inefficacité de la pratique politique.
B. C.
Lemaghreb.dz, 02/12/2021
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