Une tentative terroriste de meurtre à l’encontre d’une touriste allemande âgé d’environ 50 ans. La ressortissante allemande avait été barbarement agressée à l’arme blanche dans la soirée du vendredi 14 juin 2019 dans la ville de Tanger par un jeune homme barbu vêtu d’un uniforme en afghan selon le témoignage des témoins sur les lieux du crime. Il s’agirait d’une tentative tranchée gorge à plein jour dans la voix publique qui rappelle les méthodes utilisées par les terroristes de « Daech ». Avant d’être évacuée en urgence vers l’hôpital Mohammed V, à Tanger, où une délégation de l’ambassade d’Allemagne à Rabat était venue s’enquérir de son état jugé « très grave ». Un crime odieux commis sur la touriste allemande leur seul péché qu’elle a aimée visité le Maroc et participé à l‘amélioration de son économie attiré par la propagande touristique mensongère. Le manque de sécurité au Maroc donne l’impression qu’on vit en Afghanistan sous le règne de taliban, le développement des crimes terroristes envers les non-musulmans nous rappelle tous la barbarie odieuse commis les derniers mois sur deux jeunes touristes qui ont aimées visité le Maroc et vivre l’expérience d’escalader les montagnes du mont Toubkal. Dans l’horreur sauvagerie sont assassinées, violées, massacrées. « La gorge tranchée et décapité» des corps de deux jeunes femmes, une Danoise et une Norvégienne, âgées de 24 et 28 ans, ont été retrouvés à 10 km d’Imlil, un petit village du Haut-Atlas, dans une zone montagneuse région du Marrakech. Que la paix soit avec leurs âmes. Les corps des femmes, victime d’un pensée fasciste islamique sous thème tué les mécréants. Louisa Vesterager Jespersen, a affirmé sa mère, sa famille lui avait déconseillé de se rendre au Maroc « à cause de la situation chaotique. Tout le sang qu’ont desservi ses barbares sur ces femmes s’étale au grand jour. C’était bien des monstres en plus d’être une arnaque religieuse. L’affaire met en lumière le charlatanisme de ces prédicateurs islamistes, de ces prosélytes de tout poil vilipendant la dépravation sexuelle et criminelle tout en étant d’innommables pervers. Les suppôts des prêcheurs de haine sont des lâches prêts à tout pour soutenir un serial violeur, tueur, menteur, dissimulateur appartenant à leur culture. En matière de propagande médiatique marocain envers ses actes terroristes, il recoure surtout au mensonge, au chantage et banalisé la réalité. Le mensonge comme moyen de gagner du temps et de mettre en confiance les démocraties occidentales. Et si nous analysons la situation logiquement, nous remarquerons que la plupart des opérations terroristes, entre parenthèses, n’avaient pas un objectif purement terroriste et elles n’ont pas coûté la vie des responsables de l’état ou bien les cadres sécuritaires et militaires plutôt elles étaient politisées pour régler des comptes politiques ou attirer de l’argent par le dossier islamique pour faire croire aux pays touchés qu’il existe un terrorisme radical transcontinental. Enfin vous êtes devant un bizness d’une culture de haine en train de préparer l’export des » terroristes « de demain. Devant une telle situation, qui laisse prévoir le pire pour l’ensemble des pays occidentaux. Alors, vous qui prêchent le meurtre, la haine, la violence aux croyants : de Christianisme, de Judaïsme de Hindouisme, de Bouddhisme, de Confucianisme, de Jaïnisme, de Sikhisme, de Taoïsme, les considérés des mécréants par votre «idéologie de sang» sans que la justice ne se saisisse de vos cas, parce que votre État, dans sa constitution, le royaume du Maroc est un État islamique et le roi est« commandeur spirituel des musulmans ». A l’âge de la révolte arabe, du « don de soi », de partage, de sacrifice, plusieurs jeunes sont attirés par la propagande «djihadiste » surtout ceux issus du lumpenprolétariat, pour lesquels le régime marocain n’aura pas besoin de créer des emplois, puisque Daech va s’en charger, en les rémunérant avec leur butin de guerre (pétrole, objets archéologiques, rançons) et la drogue. Le terrorisme qui se reproduit tant que les conditions de son financement existent, permet aux détenteurs du Capital et de pouvoir d’opérer une diversion sur les revendications sociales et démocratiques aussi bien dans les pays capitalistes développés que ceux de la périphérie et d’imposer une restriction des Libertés, au nom de l’union sacrée contre le terrorisme, pour empêcher ou juguler la contestation sociale. Les révoltes sociales du monde arabe ont été un puissant révélateur des ambivalences, voire des contradictions des partis islamistes quant à la nature de leurs rapports aux régimes autoritaires qui oscillent constamment entre acceptation de la contrainte et tentatives pour en limiter les coûts du point de vue pratique. Par conséquent, à partir de la situation du Maroc politique, nous formulons l’hypothèse suivante : c’est parce que le régime monarchique exerce auprès de la population un contrôle social étroit, souvent en se réclamant de valeurs transcendantes ou d’un ordre moral supérieur dont le roi, Commandeur des croyants, serait le garant et en lesquels se reconnaissent précisément les islamistes, que les acteurs du PJD notamment, acceptent une sorte de statu quo ; autrement dit, aussi bien une forme de répression à l’égard des opposants « laïques » que le refus d’une mise en cause radicale de la forme du régime de même que la suprématie politique du Palais. Et ce, dans la mesure où la monarchie et ces islamistes ont la même raison d’être : l’islam. Pour la première, il s’agit d’une ressource légitimant permettant au souverain de se proroger au sommet du pouvoir, pour les seconds, il s’agit d’exister dans l’espace social et plus encore, de marquer la singularité de leur identité sociale dans le champ politique. En l’espèce, ces deux types d’acteurs sont en quelque sorte otages les uns des autres. Les révoltes sociales, du point de vue plus général, ont par conséquent mis au jour les transactions collusoires entre régimes dictatoriales et islamistes. Cette sauvagerie contre le différent et les infidèles découvrant la réalité de fascisme religieux au Maroc, contrairement à la propagande médiatique concernant la lutte de terrorisme. Le Maroc est devenu un bastion très dangereux pour les touristes occidentaux, par ailleurs, j’ai soulignée que le courant idéologique qui produit ce DJIHAD est profondément anti sémite et ségrégationniste et est soutenu et enseigné dans les écoles. L’état marocain qui condamne ou banalise le terrorisme à chaque occasion tragique, tout en autorisant l’appel au Djihad quotidien dans leurs mosquées et ses médias officiels (radio-télévision), sous leurs autorités, jouent depuis longtemps à un double jeu hypocrite et dangereux !
par: Orilio Bahia