Topics : Algérie, Niger, migration, traite des personnes, conflits ethniques, racisme,
L’Algerie doit veiller à ce que des communautés étrangères, ne s’installent, de manière illégale, en Algérie.
Ces communautés étrangères, qui arrivent, pour des raisons diverses, dans le pays d’accueil, transfèrent dans ce pays, les conflits politiques, ethnologiques et raciaux, existant dans leur pays d’origine.
Le transfert de ces conflits politiques, dans le pays d’accueil, est le meilleur moyen d’ouvrir la voie à l’instrumentalisation de ces minorités étrangères, qui subissent, souvent, des formes sournoises de manipulation, par des acteurs étatiques ou non, provoquant des troubles à l’ordre public, des atteintes à la sécurité de l’Etat, et des confrontations interethniques, affaiblissant et discréditant gravement, l’Etat d’accueil.
Un phénomène migratoire, d’un type nouveau, doit absolument être mis en évidence, pour dénoncer des activités criminelles de réseaux Nigériens de traite des personnes.
Nous enregistrons, depuis plusieurs années, une activité intense des réseaux criminels Nigériens de traite des personnes, qui arrivent, grâce à de fortes complicités, à transférer vers l’Algerie, des milliers d’enfants Nigériens, sans leurs parents.
Ces enfants Nigériens, mineurs, sont loués ou achetés au Niger, par ces réseaux criminels Nigériens, de traite des personnes, puis ils sont transférés, sous la contrainte et par la violence, vers l’Algerie.
Ces enfants Nigériens, réduits au statut d’esclaves, sont exploités dans la pratique de la mendicité et de la prostitution.
Pour éviter que ce phénomène illicite ne prenne de l’ampleur, de nature à exposer notre pays à des manipulations, sur le chapitre des droits de l’homme, les pouvoirs publics sont interpelés, pour intervenir avec célérité, en vue de mettre un terme à ce trafic, qui porte gravement préjudice, au prestige et à l’image de marque de l’Algerie.