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par Abdelkader Guerine*
Une avancée civilisatrice échafaudée sur la chair de millions de cadavres, alimentée par l’exploitation monstrueuse des ressources naturelles et acheminée à travers les lois machiavéliques d’un ordre comploteur et hypocrite, est une progression qui mène assurément vers le recul.
La preuve d’un tel revers se confirme dans ses conséquences abominables qui nuisent à l’humanité plus qu’elles ne la confortent. A ce titre, la dégradation de la qualité de l’espace vivable est une répercussion qui menace l’existence même des êtres humains sur terre. L’extinction effective de nombreuses espèces animales et végétales est un indice péjoratif qui signale que l’homme n’est pas à l’abri d’une pareille fin.
Si l’on compare les avantages de la civilisation occidentale avec ses méfaits, c’est-à-dire si on fait l’approche de la vie des êtres humains avant et après leur modernisation, on se rend compte que ce sursaut universel est un virage qui a brutalement détourné l’humanité de sa trajectoire raisonnable. Le constat que l’on puisse tirer d’une telle comparaison s’avoue amer, lorsqu’on s’aperçoit que la société occidentale moderne s’est réalisée avec une précipitation toujours de plus en plus intensifiée, toujours de plus en plus dévastatrice des conventions humaines, du patrimoine environnemental et des éléments qui font l’essence de la vie. Chaque pas en avant indique que la marche humaine va dans le mauvais chemin.
Avant, quelques empires régnaient séparément dans différents endroits du monde. La civilisation était concentrée dans des points urbains, lesquels constituaient les capitales de ces vastes royaumes dont les territoires étaient globalement un paysage rural. La chute d’une capitale signifiait la fin d’un empire et parfois même l’effondrement d’une civilisation entière. Aujourd’hui, les continents sont fragmentés en petits pays par l’ordre occidental. Cette division aspire à fractionner les grands Etas d’autrefois pour les affaiblir afin de mieux les dominer. De nouvelles frontières sont créées, des peuples sont séparés, des coutumes ancestrales sont froissées et plein de vertus identitaires sont dévalorisées. D’ailleurs, la notion de l’identité collective n’est plus une référence qui quadrille les origines des peuples, ils sont plutôt reconnus par leurs nouvelles nationalités.
La déchirure causée par l’infiltration de la culture moderne a provoqué des lésions encore plus dommageables dans les profondeurs de la société, quand les dogmes cultuels sont négligés, quand l’étique de la morale humaine est bafouée, quand le cercle familial est fragilisé, quand les individus deviennent des entités machinales programmées pour produire et lutter pour ne pas périr. Les valeurs des mœurs de la société sont piétinées au nom d’une liberté anarchique qui a excessivement banalisé les principes du sacré et officialisé la pratique d’accords contraires à la nature de l’espèce humaine. Les êtres humains modernes passent leur vie à travailler, à attendre la fin des semaines pour jouir du repos d’une grasse matinée et la fin des mois pour s’acquitter du cumul des dettes, avant de reprendre le cycle coutumier -boulot, métro, dodo- jusqu’à l’arrivée du prochain salaire. La civilisation moderne n’est pas un don gratuit, les citoyens sans emploi, sans salaire donc, sont systématiquement jetés en marge de cette société de consommation. En raison de leur précarité financière et de leur prise en charge partielle par leurs gouvernements, cette catégorie de population de chômeurs, d’invalides et d’autres, regroupe des personnes sans domicile, sans nourriture régulière, sans soins médicaux et même sans dignité personnelle. D’autres fléaux exécrables surgissent derrière cette grosse défaillance communautaire : mendicité, banditisme, drogues, corruption, marchés clandestins ou prostitution en sont des conséquences concrètes.
Toutefois, d’innombrables vagues d’immigration des populations pauvres vers le monde occidental sont effectuées à cause du mal-être qu’elles endurent dans leurs pays. Attirés par les multiples avantages de la société civilisée et influencés par le superflu de son ambiance urbaine, beaucoup de jeunes issus de pays pauvres se déplacent en Occident avec l’ambition d’améliorer leur situation sociale, parfois en traversant la mer clandestinement dans des embarcations rudimentaires, au risque et péril de leur propre vie. Mais, un grand nombre de ces migrants qui arrivent sur le sol occidental n’atteignent pas les objectifs de leur déplacement. Ils sont souvent déçus par l’inhospitalité de la civilisation moderne qui refuse l’accueil à leurs personnes et l’adoption de leurs cultures. D’autres phénomènes fâcheux apparaissent après ce mouvement humain, dès la rencontre des différentes cultures : xénophobie, discrimination, racisme, harcèlement psychologique et même violence physique.
Un autre cycle pervers, économique cette fois-ci, atteste de la fatalité des stratégies commerciales mondiales et de leurs effets funestes sur les humains et sur la nature qui les abrite. Il s’agit de l’économie linéaire suivie par toutes les manufactures du monde, laquelle résume le circuit des produits industriels, depuis leur fabrication jusqu’à leur mise à disposition des consommateurs : « extraire, produire, consommer et jeter ». L’extraction excessive des produits souterrains aboutira, à la longue, à l’épuisement du capital naturel. L’exploitation acharnée des matières premières, non renouvelables surtout, mènera certainement au tarissement des sources du combustible énergétique qui anime les industries. Les retombées d’une telle circonstance seront calamiteuses pour l’équilibre écologique et dramatique pour le monde du travail.
La terre perd peu à peu de sa capacité à satisfaire les besoins élémentaires de ses habitants, à cause de la détérioration du sol et de la contamination des cours d’eau. L’abus de l’usage des pesticides chimiques en agriculture et le déversement des déchets des usines et des engins de transport et de travail empoisonnent fortement l’écosystème. La pollution des éléments indispensables à la vie a atteint un stade critique à cause des activités industrielles engagées par les projets de la civilisation moderne. La concurrence rude entre les entreprises économiques et l’engrenage complexe des enjeux financiers condamnent les compagnies à augmenter le taux de leur productivité et à polluer le voisinage, toujours davantage. Certaines zones, terrestres et maritimes, sont inhabitables à cause de la haute radioactivité générée par les résidus des centrales nucléaires et des essais de l’énergie atomique.
Certes, les anciennes civilisations progressaient lentement, mais leur accroissement était sage et certain, sans risques de souiller le milieu de vie. Les anciens peuples étaient plus indépendants, ils menaient un mode de vie sobre, pure et vraie. Ils étaient plus proches de la réalité et de la nature, leurs activités dépendaient de leurs efforts physiques et de leur capacité à supporter les difficultés de l’atmosphère autour.
Ceux d’aujourd’hui sont conditionnés par l’apport des machines pour l’accomplissement de leurs affaires sociales et domestiques. Ils consomment abusivement toutes sortes de marchandises artificielles dont l’accumulation des rebuts touche un niveau insupportable. Les dommages de la destruction de l’environnement sont catastrophiques pour l’équilibre écologique. La déforestation massive des espaces boisés pour la nécessité industrielle et ménagère, la désertification de vastes régions du monde ou l’assèchement des ressources souterraines sont des faits qui ont conduit à des complications atmosphériques insolubles et à la multiplication des confusions sociales ( dérèglement climatique, décalage des saisons, réchauffement planétaire, augmentation de l’effet de serre, intensification des ouragans et autres calamités environnementales,
). On se demande, alors, si l’engouement de la civilisation moderne n’est pas un acte d’autodestruction inconscient, un phénomène suicidaire mal réfléchi qui peut, à long terme, ruiner l’humanité par l’efficacité de sa propre intelligence.
L’appariations de pathologies épidémiques inconnues, la propagation accentuée de maladies chroniques, appelées maladies de civilisation, et le stress collectif de la population moderne sont aussi des retombées tragiques directement liées à la pollution environnementale. Avec l’explosion démographique fulgurante, les mauvaises conditions de vie et la toxicité des modes culinaires artificiels modernes provoquent, à leurs tours, la manifestation de troubles sanitaires aigues, puis leur diffusion à grande échelle à travers de la densité des contactes humains. En plus du démembrement des grands empires en petits pays, la civilisation moderne a segmenté la population du monde en deux camps rivaux : celui des superpuissances occidentales dominantes et celui des nations pauvres soumises à leurs exigences. Le régime capitaliste, avec son caractère impérialiste, adopté par les occidentaux est un model de gouvernance individualiste fondé essentiellement sur le domaine de la finance. L’économie est contrôlée par des acteurs privés, patrons de grosses entreprises multinationales. Quelques personnes seulement détiennent les commandes du marché mondial. Ce sont eux qui pensent les stratégies politiques qui arrangent leurs intérêts personnels. Ils dictent les lois aux législateurs et aux politiciens et imposent les clauses diplomatiques qui conviennent à leurs investissements. Ils fixent les prix des produits de première nécessité et inventent les pénuries des aliments qu’ils veulent aux endroits qu’ils veulent.
Pour assurer leur homogénéité sur les affaires du monde, les puissances occidentales ont mis en place un filet d’organismes internationaux, législatifs et exécutifs, chacun spécialisé dans un secteur précis : ONU, OMC, OMS, FMI ou OTAN. Cette dernière organisation s’occupe initialement des activités militaires de l’ensemble des pays occidentaux, son rôle est d’accompagner le processus politico-économique afin de protéger les institutions de la civilisation moderne. Toute désobéissance à leur commandement et toute entrave aux objectifs de leurs projets seront sanctionnées par des opérations militaires, soit par l’exercice d’embargos économiques sur les pays dissidents, soit carrément par l’offensive armée.
Pis encore, les occidentaux s’ingèrent dans les affaires internes des autres pays pour des considérations stratégiques et typiquement économiques. Ils provoquent les crises alimentaires, excitent et arment les conflits entre les partis et les tribus adverses afin de créer l’instabilité dans ces pays et profiter ainsi de leur faiblesse pour régler divers intérêts. Ils forment et instiguent les mouvements extrémistes et les clans radicaux qui leur serviront d’armée supplétive officieuse, destinée au combat dans des régions sensibles du monde (frontières chaudes, routes maritimes, gisements minéraux, pays rebelles,
).
De ce fait, on constate que la civilisation moderne est soutenue par la force militaire et la puissance économique. La banque est le centre cervical qui réfléchit les plans d’action et organise les manœuvres à entreprendre. La machine civilisatrice moderne ne prête pas une bonne attention à l’entité humaine. Les gens ne sont que des esclaves, chacun à son niveau, du concept ordonné par le système occidental qui manie le monde. Ils ne sont que des acteurs fictifs, des personnages de littérature qui peuvent périr de faim dans la rue ou mourir au front d’une bataille sans cause. Les chances des réussites tolérées et les facilités confortables accordées ne sont que des habilités sociétales et des marges de permissions séquentielles qui visent à amortir la colère d’un chapitre triste ou à apaiser la pression d’un climat d’épouvante.
Nombreux partis politiques, mouvements humanitaires et syndicats ouvriers dénoncent le diktat des autorités occidentales et leurs méthodes oppressives déloyales, contraires aux principes démocratiques et libertaires dont ils sont si fiers. Des manifestations gigantesques sont régulièrement organisées dans toutes les villes du monde, réclamant plus de droits, plus de justice sociale, de liberté et de respect de la souveraineté des peuples.
De tout temps, la civilisation occidentale a toujours reçu les critiques sévères des penseurs et des philosophes. Les esprits éveillés ont compris très tôt que cet allant d’émancipation avait beaucoup plus de mauvais défauts que de qualités notables. Mais, l’avancée sauvage de la nouvelle société n’a jamais reculé après les alertes lancées par les intellectuels et les artistes. Les coups d’alarme signalés par les spécialistes en environnement et les sociologues ont toujours été accueillis par l’indifférence des responsables politiques.
Au contraire, les autorités des pays industrialisés répondent, à chaque fois, aux réclamations sages et aux avertissements prudents par leurs manières tyranniques coutumières, en multipliant l’enclenchement des guerres, un peu partout, et en propageant les maladies contagieuses parmi le grand public. L’histoire note l’extermination des tribus amérindiennes par la contagion de la variole, et l’effacement de leur ancienne civilisation par les explorateurs européens lors de la découverte du nouveau monde au 15ème siècle. Les temps récents sont marqués par l’invasion du virus de la Covid-19 qui a ravagé le monde. L’objectif d’un tel complot est de créer un climat d’insécurité sanitaire, d’isoler les populations chez eux afin de paralyser leurs activités et, éventuellement, pour éliminer le maximum de victimes, comme exigé par les précautions de la sauvegarde du règne sur les commandes du monde. Moins de population c’est moins de consommation et moins de pollution. Désormais, les détenteurs de l’ordre mondial veulent une planète saine, quitte à corriger leurs erreurs par des dépassements encore plus effroyables.
Plusieurs pays, victimes de l’oppression du régime moderne, manifestent également leur hargne et leur désapprobation quant aux exactions sans limites commises par le pouvoir occidental. Certains d’entre eux se regroupent et se coalisent en vue de former une force économique et militaire capable de faire face à la puissance des pays de l’Ouest. Le groupe des BRICS, par exemple, rassemble quelques pays à forte croissance économique et militaire. L’intention de leur initiative audacieuse est de défier le monstre occidental, d’équilibrer les pouvoirs et, pourquoi pas, de déloger les « patrons » de leur commandement sur les affaires du monde.
D’autres regroupements régionaux se renforcent pour se défaire de l’autorité étouffante des occidentaux, ou du moins d’alléger sa pression constante qui fait obstacle à leur autonomie. De leur côté, plusieurs pays africains ont décidé de se décharger de l’emprise de leurs anciens colonisateurs, les Français notamment, qui ont continué à dépouiller leurs richesses naturelles, même après leur présumée indépendance. Couper l’approvisionnement des occidentaux en matières premières constitue une attaque percutante, car ces produits naturels (pétrole, gaz, cobalt, phosphate, or
) font grièvement défaut aux industries occidentales, leur manque peut sévèrement nuire à leur économie et à leur finance, lesquelles sont les atouts qui font leur puissance et les piliers qui soutiennent leur large suprématie sur l’affairisme mondial.
L’affrontement économique commence par le désengagement des Africains des pactes diplomatiques et des accords de coopération erronés qui les lient aux puissances industrialisées. C’est aussi une manière de se libérer de l’autorité du bourreau européen, de jouir de la totale souveraineté de leur pays et de délivrer, par la même, leurs populations de la précarité chronique qui a tant anéanti leur société.
Ailleurs, la guerre aux armes a déjà étincelé ses feux aux frontières des pays de l’Est avec l’Europe. La Russie, qui aspire à recouvrir au prestige de sa grandeur soviétique, prétend mener une campagne dont les raisons sont territoriales, idéologiques à la rigueur. Mais, l’acharnement farouche des Russes et de leurs alliés dévoile une intention plus considérable qu’un malentendu de voisinage. Les attaques contre l’Ukraine, appuyée de son côté par les pays occidentaux, semblent marquer le début d’une guerre sérieuse contre l’hégémonie politico-économique de la civilisation occidentale.
L’accroissement économique occidental n’a pas donné le progrès escompté par les humains. L’ensemble de la population du monde ne croit plus en la véracité de l’évolution moderne fondée sur un ordre monopolaire, égoïste, mensonger et impitoyable. A force d’avoir détruit la nature et ébranlé les vertus de la personnalité humaine, les Etas Unis et les pays de l’Union Européenne ont fini par s’isoler du reste de la communauté internationale. Les opposants à leur politique dictatoriale et tyrannique profitent du déclin de l’autorité de ces pays puissants pour les concurrencer, avec la volonté de les renverser et de les aplatir.
Décidément, le clan des Russes, en force, cerne les occidentaux de plusieurs côtés, avec l’envahissement militaire en Europe et avec le soutien matériel et logistique apporté aux pays menacés par la guerre en Afrique. L’arrêt de l’alimentation des Européens en matières premières africaines aboutira logiquement au ralentissement de la production de leurs industries, voire au rétrécissement de leurs entrées financières, chose qui va certainement ruiner leur économie en cas d’éclatement d’une guerre. On peut, d’ores et déjà, prédire qu’un conflit d’une telle envergure ne sera pas facile pour l’Occident, alors que la bataille économique parait déjà perdue pour eux.
La guerre entre les puissances de l’Ouest et les alliés de l’Est semble schématiser ses grandes lignes à l’horizon. La menace de l’usage de l’armement nucléaire par la Russie est une prévision probable, selon les déclarations fiévreuses des officiels des deux parties rivales et l’ascension rapide de la tension entre elles. Dans le cas de l’utilisation de l’arsenal atomique ou des armes chimiques, prohibées par les lois internationales, le camp adverse répondra sûrement par le même moyen. Les affrontements s’annoncent cataclysmiques, l’embrasement sera de toute évidence généralisé sur tous les continents, en regard de la disponibilité des armes de destruction massive en quantité importante et en qualité hautement pointue.
L’effondrement de la société occidentale est synonyme d’extinction de l’ordre politico-économique mondial, de l’arrêt des relations internationales, de la suspension des médias et des réseaux de communication et de transport et de l’annulation des compétitions sportives ainsi que des rencontres culturelles. C’est donc tous les peuples qui vont être paralysés par cette descente vers l’inconnu.
Cependant, il est à rappeler que toutes les raisons qui ont fait chuter les anciennes civilisations sont effectivement réelles à présent : catastrophes naturelles répétées, inégalités sociales, pollution, mauvaises moeurs communautaires, gouvernance déloyale et plus. La guerre n’est que la dernière goutte qui va accélérer le processus de l’écroulement prévisible de la civilisation occidentale. Néanmoins, on a le sentiment que cette guerre ne ressemble à aucune autre, il est probable que ça soit la Dernière Guerre du Monde.
En tous les cas, les occidentaux n’accepteront jamais la défaite, impossible à eux de jeter l’éponge ou de hisser le drapeau blanc, après plusieurs siècles de règne sur l’histoire humaine que, eux-mêmes ont confectionnée. Ils peuvent, tout au plus, céder de leur supériorité et partager le nouvel ordre qui sera redéfini de manière mixte mais, jamais faire de reddition devant leurs rivaux. A la perte du dernier espoir pour se maintenir en place, ils sont capables de passer au pire, comme dans leurs habitudes, et pratiquer la politique satanique de la terre brûlée. Bombarder tout avant de s’éteindre, ne laisser qu’une planète de cendres, juste pour que tout le monde soit perdant, juste pour qu’ils continuent à être les seuls maîtres du monde, même après leur fin. Il est impossible d’imaginer la qualité de la vie sur terre après un scénario apocalyptique aussi fataliste. Y aura-t-il des survivants miraculés après ce désastre universel ? Seront-ils obligés de retourner vivre dans les grottes et inventer des outils pour travailler la terre comme leurs premiers aïeux ? On dit souvent que l’histoire est un ensemble d’événements que se retournent, serait-ce le cas de la civilisation occidentale ? Y aura-t-il une ou des civilisations qui reprendront le relais du destin de l’Humanité ? Ou alors, serait-ce simplement la fin du monde, une fin longtemps prévue par les vieilles légendes et expressément énoncée par les vérités des doctrines cultuelles ?
* Ecrivain
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