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A quelques jours du sommet arabe, l’ArabieSaoudite durcit le ton face à Benjamin Netanyahu. Dans un communiqué, le ministère saoudien des Affaires étrangères « condamne dans les termes les plus fermes les déclarations d’un ministre du gouvernement d’occupation #israélien concernant le largage d’une bombe nucléaire sur la bande de Gaza assiégée ». Le communiqué évoque l’influence de « l’extrémisme et de la brutalité au sein du gouvernement israélien. De plus, ne pas renvoyer immédiatement le ministre en question du gouvernement reflète le comble du mépris pour toutes les normes et valeurs humaines, morales, religieuses et juridiques du gouvernement israélien ».
Même Barack Obama a été de la partie. « Ce qu’a fait le Hamas est horrible et rien ne le justifie. Ce qui est également vrai, c’est que l’occupation et ce qui arrive aux Palestiniens sont insupportables. Il faut admettre que nous sommes tous complices dans une certaine mesure ».
Le Tchad a rappelé son chargé d’affaires en Israel pour denunciar la «perte de vie de nombreux citoyens inocentes à Gaza». C’est le septème pays après la Colombie, le Chili, la Jordanie, le Bahréin, le Honduras et la Turquie. La Bolivie, pour sa part, a rompu ses relations avec Israel.
Au Maroc, le pouvoir occulte résiste à toute réacion face aux massacres commis par l’entité sioniste et face aux manifestants marocains qui exigeaient que le royaume alaouite annule les accords d’Abraham signés avec Israël.
Le roi Mohammed VI aurait dû être le premier à réagir en sa qualité de Président du Comité Al Qods, le troisième des Lieux Sacrés de l’Islam.
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