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Le syndrome de Stockholm décrit l’état psychologique d’une victime qui s’identifie et sympathise avec son ravisseur ou son agresseur et ses objectifs. Le syndrome de Stockholm est rare ; selon une étude du FBI, il concerne environ 8 % des victimes d’otages.
Embrassades, sourires, applaudissements, poignées de main… c’est ce qu’on voit sur toutes les vidéos publiées par Hamas des otages libérés. « Shukran », « maa salama », « vous allez nous manquer », « merci beaucoup »… c’était quelques-unes des paroles qu’on entend dans les enregistrements révélés par les combattants Al Qassam. On voit même une vieille dame avec une Kalachnikov dans ses bras.
Certes, Al Qassam a fait preuve d’une grande organisation et une bonne communication, mais l’empathie des otages envers leurs ravisseurs est évidente. Un fait qui dérange à Tel Aviv qui tente par tous les moyens de continuer à diaboliser les palestiniens. Les arguments des responsables sionistes en vue de cacher cette vérité poignante sont ridicules :
- Le syndrome de Stockholm est complètement fictif, il a été inventé par les flics pour cacher à quel point ils ont foiré une prise d’otage en Suède.
- S’ils sourient, c’est probablement parce qu’ils sont heureux de rentrer chez eux.
- S’ils saluent leurs ravisseurs, c’est probablement parce qu’on leur a dit de le faire.
- Personne ne pense que les otages ont apprécié d’être captifs. Ce n’est qu’une question de propagande. Les pro-palestiniens sont prêts à dire n’importe quoi, ils ne se soucient pas du tout de la vérité.
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