Depuis un certain temps, le « dénommé » Saïd Ida Hassan, ancien agent au bureau de la MAP à Madrid (viré depuis selon lui) et actuel responsable d’un étrange site Web appelé « Andalus Press », installé en Espagne, s’attaque gratuitement à de très honorables militants marocains.
Pour quelle raison ? On se le demande bien.
M. Saïd Ida Hassan apparaît dans les documents confidentiels révélés par le hacker « Chris Coleman » et qui ont mis en évidence, entre autre, les relations coupables entre des journalistes et les services secrets marocains.
Dans plusieurs emails échangés avec un certain « Karim Karimi », qui est l’alias comme on a pu le confirmer de Mourad El Ghoul, le directeur du cabinet du directeur général de la DGED, Mohamed Yassine Mansouri, le nom de M. Ida Hassan apparaît souvent.
Dans l’un d’eux, que nous publions ci-dessous, il apparaît même aux côtés de Mme Nadia Jalfi, l’épouse de l’ex-ambassadeur d’Espagne en Inde (Gustavo Aristegui, englué aujourd’hui dans une grosse affaire de corruption), qui a été accusée par le quotidien espagnol « El Mundo » en 2015 « d’aider la DGED ».
Récemment, c’est l’association créée par M. Saïd Ida Hassan qui a eu le « privilège » de recevoir en Espagne Abdelhak Khiame, l’un des pontes des services secrets marocains.
Comment une petite association totalement inconnue a pu inviter en Espagne le fidèle second du patron de la DST, Abdellatif Hammouchi ?
Mystère.
M. Saïd Ida Hassan a le droit de se faire passer pour un journaliste pour, disons, « servir la patrie » (ouakha sidi), mais ce qu’il n’a pas le droit de faire c’est de s’en prendre à d’honorables militants qui eux servent leur pays d’une manière sincère et autre que celle dictée par le ministère de l’intérieur.
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