Pour sa part, le président de la République sahraouie et secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, a évoqué l’affaire du Sahara Occidental comme une “question de décolonisation”, découlant, selon lui, de “l’obstination du gouvernement marocain” à s’opposer à la tenue d’un référendum sur l’indépendance de la région.
Après avoir condamné le pillage des ressources naturelles du Sahara Occidental effectué par le Maroc, M Abdelaziz a revendiqué la fin des violations des droits des Sahraouis et la libération des prisonniers politiques, dont cinq viennent d’entamer dans la prison de Salé (Maroc) une grève de la faim à durée indéterminée.
Alger constitue la dernière étape du tour de l’émissaire onusien avant de rendre son rapport au Conseil de Sécurité au mois d’avril prochain.
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