Catégorie : Maroc-Israël

  • Lettre concernant la position du Maroc au sujet de la demande d’Israël pour intégrer l’APES

    Tags : Maroc, Israël, APES, Conseil de l’Europe,

    Conseil de l’Europe : Lettre concernant la position du Maroc au sujet de la demande d’Israël pour intégrer l’Accord partiel élargi sur le sport (APES)

    J’ai l’honneur de porter à votre connaissance qu’Israël a formulé une demande pour adhérer à l’Accord Partiel Elargi sur le Sport (APES) du Conseil de l’Europe et à cet égard, le Secrétaire Exécutif dudit Accord, M. Stanislas Frossard, a adressée à notre pays une lettre, dont ci-joint copie, concernant la position du Maroc, en tant que membre de l’APES depuis 2010, quant à ladite demande formulée par Israël.

    A cet effet, les responsables de l’APES souhaitent connaître l’avis de notre pays concernant cette demande avant le 8 mai 2012, date à laquelle ils considèrent que le Maroc n’a pas d’objection à l’adhésion d’Israël à l’APES, et peuvent ainsi, l’inscrire officiellement à l’ordre du jour de la réunion des Délégués des Ministres.

    Il est à souligner qu’Israël participe régulièrement aux travaux du Comité directeur pour la bioéthique (CDBI) et bénéficie du statut d’observateur auprès:

    du Conseil de l’Europe ;

    du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux depuis juin 1994 ;

    de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe depuis le 2 décembre 1957, auprès de laquelle le Parlement marocain a obtenu le statut de « partenaire pour la démocratie » le 21 juin 2011 ;

    du Comité d’experts sur l’évaluation des mesures de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (MONEYVAL) ;

    du Comité des conseillers juridiques sur le droit international public (CAHDI).

    Il sied de rappeler l’état des lieux des adhésions d’Israël aux différentes Instances et Accords du Conseil de l’Europe :

    Membre de la Commission de Venise depuis le 1er mai 2008, dont notre pays est membre depuis 2007 ;

    Membre observateur à la Pharmacopée européenne depuis le 29 juin 2005, dont notre pays est aussi membre observateur depuis juin 1997.

    Par ailleurs, il est à rappeler qu’Israël a signé et/ou ratifié les dix Conventions du Conseil de l’Europe suivantes :

    1. La convention européenne relative à l’équivalence des diplômes donnant accès aux établissements universitaires ;

    2. La Convention européenne relative aux formalités prescrites pour les demandes de brevets ;

    3. La Convention européenne sur la classification internationale des brevets d’invention, ;

    4. L’Accord sur l’échange des mutilés de guerre entre les pays membres du Conseil de l’Europe aux fins de traitement médical ;

    5. La Convention européenne d’extradition ;

    6. L’Arrangement européen sur l’échange des programmes au moyen de films et de télévision ;

    7. La Convention européenne d’entraide judiciaire en matière pénale ;

    8. La Convention sur le transfèrement des personnes condamnées ;

    9. la Convention sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur dans la région européenne ;

    10. Le Deuxième protocole additionnel à la Convention européenne d’entraide judiciaire en matière pénale.

    En vu de la participation d’Israël aux travaux du Conseil de l’Europe, de l’APCE, du Congrès des Pouvoirs Locaux et Régionaux et des différents Organes du Conseil de l’Europe (Commission de Venise), côte à côte avec nombreux pays de la région MENA (autorité nationale palestinienne, Tunisie, Algérie) et compte tenu de la sensibilité du dossier du conflit israélo-palestinien, cette Direction est d’avis pour que le Maroc ne procède pas par l’envoi d’une notification d’approbation ni d’objection. Car une absence de notification, une fois le délai du 8 mai 2012 dépassé, n’engagera pas le Maroc. Toutefois, le Maroc sans l’envoi d’une notification sera considéré qu’il n’a pas d’objection à l’adhésion d’Israël à l’Accord APES.

    Les instructions de Monsieur le Ministre sont sollicitées à cet égard.

    Très Haute Considération

    Direction de l’Union Européenne et des Processus Méditerranéens

  • Israël a soutenu la candidature du Maroc au Conseil des Droits de l’homme

    Tags : Maroc, Israël, Conseil des Droits de l’homme,

    Selon une lettre envoyée par la Représentation d’Israël aux Nations Unies à l’Ambassade du Maroc auprès de l’ONU, Israël a accepté la demande de Rabat d’un soutien à sa candidature du Royaume au Conseil des Droits de l’homme pour la période 2014-2016. Les élections ont eu lieu à New York le 12 novembre 2013.

  • Maroc : La DGED entretient d’excellentes relations avec l’AJC

    Tags : Maroc, DGED, AJC, Etats-Unis, Israël, Yassine Mansouri, Jason Isaacson,

    De nombreux courriers confidentiels de la diplomatie marocaine témoignent de l’excellence des relations entre le DGED et le Comité Juif Américain (AJC) dont le président, Jason Isaacson, a été décoré par le roi du Maroc en 2009.

    Yassine Mansouri, le patron des services de renseignement extérieur marocain a été invité par l’AJC à assister à Washington à la 104ème réunion annuelle de l’AJC. La Ministre Mbarka Bouaida était présente à cet événement.

    Texte de la lettre d’Isaacson:

    Son Excellence Monsieur Mohamed Yassine Mansouri
    Directeur Général
    Direction Générale des Études et de la Documentation
    Rabat, Maroc

    Monsieur le Président :

    En toute amitié et respect, je vous écris pour vous transmettre mes vœux les plus chaleureux, ainsi que ceux de mes collègues de l’American Jewish Committee, et pour vous inviter à vous joindre à nous en tant qu’invité d’honneur lorsque nous nous réunirons à Washington pour notre 104ème réunion annuelle, à l’hôtel Grand Hyatt, du 28 au 30 avril 2010.

    J’ai le plaisir de vous informer que parmi les événements spéciaux de nos trois jours à Washington, il y aura un dîner organisé pour les membres de la direction de l’AJC – avec des membres du Congrès et d’autres invités – dans la résidence de Son Excellence, et mon ami estimé, l’Ambassadeur Aziz Mekouar.

    Nous nous réjouissons également à l’idée que Son Excellence Mbarka Bouaida, que j’ai eu le privilège de rencontrer deux fois la semaine dernière (et que j’ai présentée à des collègues clés actifs dans le domaine des droits de l’homme), participera en tant que panéliste à l’une des sessions plénières de notre assemblée annuelle. À ce titre, elle poursuivra la tradition que vous avez si fortement soutenue d’un partenariat permanent et dynamique entre le Royaume du Maroc et l’AJC. Parmi les autres temps forts de la conférence, citons le Gala annuel qui comprendra des allocutions de la Secrétaire d’État Clinton, du Ministre espagnol des Affaires étrangères Moratinos, du Ministre néerlandais des Affaires étrangères Verhagen et du Ministre israélien de la Défense Barak.

    Enfin, je voulais que vous sachiez à quel point j’ai été heureux d’avoir l’occasion de travailler en étroite collaboration avec l’Ambassadeur Mekouar – ainsi qu’avec mon ami cher et accompli, l’Ambassadeur Serge Berdugo – pour chercher à renforcer le leadership des États-Unis dans la poursuite d’une résolution équitable et pragmatique, comme vous me l’avez si soigneusement exposé, au différend sur le Sahara occidental. C’était un honneur pour mon organisation de jouer un rôle dans la récente lettre de soutien à la position marocaine au Sénat des États-Unis – dans le cadre des efforts continus de l’AJC pour promouvoir la stabilité, la paix et la coopération en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

    Je me réjouis de rester en contact – et de vous voir à Washington ou à New York, selon votre emploi du temps, ou lors de ma prochaine visite dans votre beau pays. Avec l’assurance de ma profonde estime, je reste,

    Jason Isaacson

    #Maroc #Etats-Unis #AJC

  • Etats-Unis : Une délégation de l’AJC demande de rencontrer le roi du Maroc

    Etats-Unis : Une délégation de l’AJC demande de rencontrer le roi du Maroc

    Tags : Etats-Unis, Maroc, Sahara Occidental, Lobbying, Israël, AJC, Comité Juif Américain,

    Dans une lettre adressée à l’ambassadeur du Maroc à Washington, le président du Comité Juif Américain (AJC) a exprimé son souhait d’être reçu par le souverain marocain lors de son séjour au Maroc à la tête d’une importation délégation.

    Son Excellence Monsieur Aziz Mekouar
    Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire
    Ambassade du Royaume du Maroc
    1601 21st Street, N.W.
    Washington, D.C. 20009

    Cher Aziz :

    Je vous écris pour faire suite à nos récentes discussions sur les plans de l’AJC – avec votre aimable encouragement – de visiter le Maroc en décembre. Permettez-moi d’exposer nos espoirs et nos demandes actuelles.

    Premièrement, et le plus important : Notre délégation d’environ 10 membres du conseil d’administration de l’AJC – dirigée par le président de l’AJC, Robert Elman – doit se rendre au Maroc. Robert Elman – doit arriver à Casablanca le mardi 14 décembre à 15h50 (de Tunis). Nous avons l’intention de nous rendre immédiatement à Rabat pour deux nuits, puis, le jeudi 16 décembre, de nous rendre à Fès pour une nuit, et enfin, le vendredi, de retourner à Casablanca pour le week-end. Certains membres de notre groupe rentreront chez eux le samedi ou le dimanche ; d’autres (dont je fais partie) prévoient de passer au moins un jour ou deux à Marrakech.

    Je pense que vous savez précisément ce que nous devons voir et qui nous devons voir. Mais je voudrais demander officiellement, au nom de notre délégation, la possibilité d’une audience avec Sa Majesté le Roi Mohammed VI – pour transmettre directement notre appréciation pour la longue amitié du Maroc avec les Etats-Unis et avec le peuple juif, et pour obtenir Son point de vue sur le chemin à suivre vers la paix au Moyen-Orient. (Naturellement, je voudrais également remercier Sa Majesté pour l’honneur qu’Il m’a si gracieusement accordé l’année dernière).

    J’espère qu’il sera possible d’organiser un certain nombre de réunions/réceptions à Rabat – en utilisant pleinement toute la durée de notre séjour en ville. J’espère qu’il sera possible d’organiser un certain nombre de réunions/réceptions à Rabat – en utilisant pleinement toute la durée de notre séjour en ville, du mardi 14 décembre en fin d’après-midi au jeudi 14 décembre au matin. Naturellement, j’espère vivement rencontrer Taieb et Yassine (que je regrette profondément d’avoir manqué à New York à la fin du mois dernier), ainsi que d’autres personnalités gouvernementales et politiques, et d’autres personnes que vous jugerez appropriées. Comme toujours, nous espérons explorer les questions de paix et de sécurité régionales, en abordant les efforts en cours pour renforcer l’infrastructure économique et sociale du Maroc dans sa lutte contre l’extrémisme, les perspectives de commerce et d’investissement du Royaume, ses réalisations en matière de développement social, d’énergie renouvelable et d’éducation (avec un accent particulier sur le statut des femmes), ainsi que sa tradition de tolérance et de diversité. Bien entendu, nous voudrons accorder toute l’attention nécessaire à la question du Sahara occidental.

    À Fès, j’espère que nous pourrons rencontrer le gouverneur local et/ou des chefs d’entreprise et d’autres personnalités de la société civile (et, bien entendu, des représentants de la société civile). de la société civile (et, bien sûr, faire du tourisme). À Casablanca, je chercherai à nouveau à collaborer avec Ahmed Charai pour organiser le type de table ronde que nous avons eu dans le passé, avec des personnalités du monde politique, des affaires et des médias – et peut-être aussi organiser une ou deux discussions séparées avec les médias, en plus d’une visite de la mosquée Hassan II. Et, certainement, nous passerons du temps avec Serge et d’autres membres de la communauté juive.

    J’attends avec impatience de pouvoir discuter de ce qui précède avec vous, à votre convenance – et d’effectuer une autre visite constructive et enrichissante dans votre magnifique pays. Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les plus chaleureux,

    Sincèrement,
    Jason F. Isaacson

    #Maroc #Etats_unis #Israël #AJC

  • Lettre de Harris à Bouaïda sur The New York Times et Israël

    Tags : Maroc, Etats_Unis, American Jewish Committee, AJC, David Harris, Israël, The New York Times, Mbarka Bouaida,

    Chère MBARKA,
    Il y a deux ou trois choses qui m’ont vraiment troublé dans la couverture des questions liées à Gilad Shalit par le New York Times la semaine dernière. C’est pourquoi j’ai ressenti le besoin d’écrire ce blog. Une brève lettre destinée à être publiée dans le Times (la limite du journal est généralement de 200 mots), qui a peut-être été choisie ou non pour être publiée, ne semblait pas adaptée à l’occasion. Lorsqu’un blog de l’AJC est publié sur Israël, le débat qui s’ensuit sur les sites web est normalement assez vigoureux. Veuillez vous impliquer directement en cliquant sur ces liens vers le Huffington Post et le Jerusalem Post.
    Meilleures salutations,
    David

    Le Jerusalem Post Le Huffington Post

    Le New York Times et Israël

    David Harris

    21 octobre 2011

    Je lis le Times pratiquement tous les jours depuis que j’ai dix ans. Cela fait plus d’un demi-siècle maintenant.

    Au fil du temps, j’ai été informé, inspiré et parfois exaspéré.

    Cette semaine, il y a eu des raisons d’être furieux.

    D’abord, lundi, sous la forme de quatre photographies apparaissant sur la première page (p. A4) de la section internationale.

    La plus grande des quatre, de 6 x 9 pouces, se trouvait en haut de la page et a immédiatement attiré l’attention du lecteur.

    Il s’agit d’une photo poignante d’une petite fille adossée à un mur en grande partie vide et fixant vers le haut, comme l’explique la légende, une petite photo de son grand-père.

    Walid Aqel, 48 ans, devait faire partie des prisonniers palestiniens libérés en échange de Gilad Shalit, le soldat israélien enlevé par le Hamas en 2006 et détenu au secret jusqu’à sa libération cette semaine.

    Le journal a omis de mentionner, dans la légende ou ailleurs, qu’Aqel était un des fondateurs de la branche militaire du Hamas, qu’il avait beaucoup de sang israélien sur les mains et qu’il avait été condamné par Israël à la prison à vie.

    Au lieu de cela, l’impression dominante qui se dégageait était qu’Aqel était avant tout un grand-père, dont l’adorable petite-fille se languissait de le voir revenir de ses geôliers israéliens.

    Puis, juste en dessous de la photo se trouvait l’article lui-même : « Israël libère 477 personnes en échange d’un soldat détenu par le Hamas ».

    Et sous l’article, trois petites photos, chacune mesurant 2 x 3 pouces, montraient les ravages humains causés en Israël par certains des Palestiniens qui seraient libérés dans le cadre de l’accord.

    En raison de leur taille réduite et de la densité des images, ces photos n’attiraient pas facilement le regard, alors qu’elles auraient dû être le cœur de l’histoire.

    Après tout, elles donnaient une idée de la nature des terroristes à libérer, aidant les lecteurs à comprendre à quel point la décision a dû être déchirante pour Israël.

    Pourtant, ces photos, d’une superficie totale de 18 pouces carrés, ont été submergées, tandis que la seule photo austère du haut, de 54 pouces carrés, a dominé.

    Puis vint l’éditorial du Times, « La libération de Gilad Shalit », mercredi.

    C’était, franchement, parmi les plus bouleversants que j’aie jamais lus.

    Le lendemain de la libération de Shalit et de son retour en Israël, alors que 477 prisonniers palestiniens ont été envoyés à Gaza, en Cisjordanie et ailleurs, et qu’un deuxième groupe sera bientôt libéré, le journal a choisi de s’en prendre une fois de plus au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

    Ce dernier est le souffre-douleur préféré des éditorialistes depuis qu’il a pris ses fonctions en 2009.

    Ils lui accordent peu de crédit pour ce qu’il a fait pour faire avancer les perspectives de paix et de développement palestinien – le gel des colonies pendant dix mois, la levée des blocus et des points de contrôle en Cisjordanie, le soutien souvent exprimé à une solution à deux États et l’aide à l’économie palestinienne en plein essor. Et ils ne ménagent pas leurs critiques à l’égard de ses prétendus méfaits.

    Mais cet éditorial est le pompon.

    Dès le deuxième paragraphe sur huit, et à peine 24 heures après le drame qui venait de se produire avec Shalit, l’éditorial suggérait déjà de manière sombre qu’il s’agissait en réalité d’un complot machiavélique visant à affaiblir davantage les chances de paix – et la faute, comme on pouvait s’y attendre, était rejetée sur Netanyahou.

    Bien sûr, l’éditorial aurait pu prendre d’autres directions.

    Il aurait pu s’attarder sur l’importance extraordinaire qu’Israël attache à la vie humaine, dans ce cas la vie d’un soldat.

    Il aurait pu se concentrer sur la nature de la démocratie israélienne, où les parents de Gilad Shalit n’ont jamais cessé de se mobiliser en faveur de leur fils, et ont créé un mouvement national pour le libérer, quel qu’en soit le coût.

    Elle aurait pu rappeler au monde le contraste entre la captivité de Shalit – plus de cinq ans sans la moindre visite du Comité international de la Croix-Rouge, et encore moins de sa famille – et celle des prisonniers palestiniens, dont aucun n’aurait certainement souhaité échanger son régime alimentaire, son accès au monde extérieur, voire à la lumière du soleil, ou ses possibilités d’éducation contre ce que Shalit a enduré.

    Et cela aurait pu contraster les humeurs qui ont suivi l’échange.

    Israël a chaleureusement accueilli le retour de son fils, tout en s’engageant dans un débat sur la signification de tout cela et sur ce qui pourrait se profiler.

    Pendant ce temps, en Cisjordanie et à Gaza, il n’y a eu aucune expression de remords pour le sang israélien versé par les terroristes libérés dans les pizzerias, les lynchages, les discothèques et les Seders de Pessah. Au contraire, des appels frénétiques ont été lancés pour l’enlèvement d’autres Gilad Shalit, tandis que le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, ne voulant pas être en reste par rapport au Hamas, a salué les arrivées : « Vous êtes des combattants de la liberté et des guerriers saints pour l’amour de Dieu et de la patrie ».

    Mais comme d’habitude, Abbas a obtenu un laissez-passer dans l’éditorial. En fin de compte, il ne semble jamais être responsable de quoi que ce soit.

    Faire l’éloge des terroristes ? Un discours enflammé à l’ONU le mois dernier, où il a nié le lien ancestral du peuple juif avec la région, tout en citant le lien musulman et chrétien ? Éviter les discussions bilatérales ? L’établissement de conditions préalables aux négociations, tout en refusant à Israël le droit de faire de même ? Un accord de réconciliation avec le Hamas ? Des porte-parole de l’AP qui continuent d’appeler à la destruction d’Israël à terme et à une Cisjordanie judaïque ?

    Tout cela semble compter pour peu, puisque, nous dit-on, c’est de toute façon la faute de Netanyahou.

    Et puis, il y avait une dernière raison d’infurger.

    Avec la disparition de Mouammar Kadhafi jeudi, je me suis rappelé à quel point j’ai été choqué le 21 janvier 2009, lorsque j’ai ouvert mon édition quotidienne du Times pour voir un article d’opinion, intitulé « The One-State Solution », écrit par le leader libyen. Surprise des surprises, il appelait à la fin d’Israël et, abordant un sujet auquel il apporte une si grande expertise, à la création d’une grande et heureuse famille à la place d’Israël.

    Sachant à quel point il est difficile d’être publié sur cette page, je n’ai pas pu comprendre pourquoi le journal a donné à ce tyran un espace privilégié pour débiter ses opinions absurdes et hors de propos sur un tel sujet.

    Tout ce que je peux dire, c’est : à des temps meilleurs !

    Pour en savoir plus, visitez ajc.org.

    Pour évaluer et commenter ces articles, rendez-vous sur le Huffington Post et le Jerusalem Post.

    #Maroc #Etats_Unis #AJC #Mbarka_Bouaida #David_Harris #Israël

  • La DGED rencontre des responsables d’Elbit Security Systems

    La DGED rencontre des responsables d’Elbit Security Systems

    Tags : Maroc, Israël, Elbit Security Systems, DGED, Yassine Mansouri,

    Le directeur de la Direction Générale d’Etudes et Documentation, Yassine Mansouri, a accueilli mercredi une délégation représentant l’entreprise israélienne Elbit Security Systems. La délegation était composée de :

    M. Dror Harai – Vice-président de la société Elbit Security Systems

    M. Shlomo Shilo – Directeur de la division Intelligence & IT

    M. Abraham Raz – Directeur du marketing

    Elbit Systems est une entreprise internationale de haute technologie engagée dans un large éventail de programmes à travers le monde, principalement dans les domaines de la défense et de la sécurité intérieure. Nous développons et fournissons un large portefeuille de systèmes et de produits aériens, terrestres et navals pour la défense, la sécurité intérieure et les applications commerciales. Nos systèmes et produits sont installés sur de nouvelles plates-formes, et nous réalisons également des programmes complets de modernisation de plates-formes. En outre, nous fournissons une gamme de services de formation et de soutien.

    Nos principales activités comprennent :

    -les systèmes pour avions et hélicoptères militaires ;

    -les systèmes et aérostructures pour l’aviation commerciale

    -les systèmes d’aéronefs sans pilote (UAS) ;

    -les systèmes électro-optiques, de vision nocturne et de contre-mesures ;
    les systèmes navals ;

    -systèmes de véhicules terrestres ;

    -munitions ;

    -les systèmes de commandement, de contrôle, de communication, d’informatique, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (C4ISR) et les cyber-systèmes ;

    -systèmes de guerre électronique et de renseignement sur les signaux ; et
    d’autres activités commerciales.

    #Maroc #Israël #Elbit_systems #Renseignement #DGED