Tags : Sahara Occidental, Maroc Parlement Européen, Groupe S&D, Qatargate,
#Qatargate #Maroc #Parlement_européen #Corruption #Antonio_Panzeri #Eva_Kaili #Andrea_Cozzolino #Francesco_Giorgi #Sahara_Occidental #Groupe_S&D
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Tags : Andrea Cozzolino, Parlement européen, corruption, Antonio Panzeri, Francesco Giorgi, Maroc,
Pour les avocats de l’aurodéputé Andrea Cozzolino, impliqué par Antonio Panzeri dans le Qatargate, les déclarations de ce dernier représentent « une histoire imaginative et gazeuse, typique de ceux qui ne savent rien et inventent l’incroyable pour gagner les bénéfices promis et obtenus ».
Les avocats Federico Conte et Dezio Ferraro soulignent également à quel point les propos de Panzeri sont « le côté obscur de la repentance intéressée ». Cozzolino est attendu devant la cour d’appel de Naples pour l’audience sur la demande d’extradition formulée par le procureur fédéral belge.
Selon l’agence ANSA, les avocats de l’eurodéputé italien Andrea Cozzolino ont déclaré mardi que les services secrets ont joué un rôle dans le scandale de corruption du Qatargate dans lequel leur client est accusé d’être impliqué.
M. Cozzolino s’est rendu au tribunal de Naples mardi pour une audience concernant une demande d’extradition déposée par les procureurs belges dans le cadre de l’affaire des tentatives présumées du Qatar et du Maroc d’influencer les affaires européennes par le biais de la corruption.
M. Cozzolino, qui a été suspendu par le Parti démocratique italien (PD) de centre-gauche et du groupe parlementaire des socialistes et démocrates (S&D) au Parlement européen, nie tout acte répréhensible.
L’affaire présente un « scénario de plus en plus opaque derrière lequel se joue un match parallèle et clandestin de politique étrangère et, en arrière-plan duquel, les actions des services secrets continuent d’agir », ont déclaré les avocats de M. Cozzolino.
Les avocats de la défense ont déclaré que cela donnait « de bonnes raisons de douter que le système judiciaire belge puisse garantir à Cozzolino un procès équitable ».
L’eurodéputée grecque Eva Kaili, qui a été démise de son poste de vice-présidente du Parlement européen après l’éclatement du scandale et qui est en prison depuis le 9 décembre, a également été inculpée dans le cadre de cette affaire, ainsi que son partenaire italien Francesco Giorgi.
L’ancien eurodéputé italien Antonio Panzeri, figure centrale du scandale, a commencé à coopérer avec les procureurs belges après avoir négocié une peine d’emprisonnement d’un an.
Giorgi est également l’ancien assistant de Panzeri.
Un autre Italien mis en examen dans le cadre de l’affaire, Niccolo « Figa »-Talamanca, secrétaire général de l’ONG « No Peace Without Justice », a été libéré de prison.
Deux autres députés européens, l’Italo-Belge Marc Tarabella et l’Italienne Maria Arena, sont également impliqués dans cette affaire.
#Qatargate #Maroc #Parlement_européen #Corruption #Antonio_Panzeri #Eva_Kaili #Andrea_Cozzolino
Tags : Wikileaks, Maroc, Sahara Occidental, Algérie, Mauritanie,
WikiLeaks a encore frappé avec 250.000 mémos confidentiels publiés.
Julian Assange, figure de proue du site, est devenu la bête noire du Pentagone.
WikiLeaks est une drôle de boîte noire du web d’où sortent des révélations qui font trembler Washington et provoquent des frayeurs géopolitiques. Le ministre italien des Affaires étrangères est allé jusqu’à évoquer un «11 Septembre de la diplomatie mondiale», suite aux dernières révélations de WikiLeaks. Quant à son mystérieux patron, Julian Assange, il est devenu la nouvelle icône du journalisme qui, après avoir surfé sur la protection ultra sécurisée des journalistes dans les pays nordiques, s’est mis à l’abri chez les Suisses. Victime de nouvelles cyberattaques, le site WikiLeaks a en effet trouvé vendredi refuge en Suisse alors que Washington cherche à stopper ses activités. Le site s’est installé à une nouvelle adresse, WikiLeaks.ch.
Depuis dimanche 28 novembre, de nouvelles révélations sont publiées, faisant les choux gras des médias. Entre détails croustillants et portraits psychologiques des hommes de pouvoir, des informations d’ordre plus géopolitiques ont été rendu publics (voir encadré et page ci-contre sur le Maroc). Les câbles vont du 28 décembre 1966 au 28 février 2010 et proviennent de 274 ambassades, consulats et missions diplomatiques. Sur son site, WikiLeaks affirme que «les documents donneront aux citoyens dans le monde entier une vue sans précédents sur les activités à l’étranger du gouvernement américain». Toutefois, la vue d’ensemble n’est pas aisée puisque le site stipule que pour arriver au bout des 250.000 mémos, un individu lisant les câbles au rythme équivalent à une thèse doctorale par semaine mettrait 70 ans à lire tous les documents. Dur de faire le tour des documents donc, mais pourtant, le jeu en vaut la chandelle selon Julian Assange : «Les câbles dévoilent les USA espionnant leurs alliés et l’ONU ; fermant les yeux sur la corruption et les violations des droits de l’Homme des « pays clients » ; des arrangements discrets avec des pays supposés neutres ; et du lobbying pour les entreprises américaines ». Evidemment, ces divulgations ne sont pas du goût de tout le monde…
Julian Assange, un homme traqué
La traque du porte-parole de WikiLeaks coïncide avec la publication par son site de milliers de notes diplomatiques américaines, qui ont exaspéré de nombreux pays et en premier lieu Washington, lequel le considère désormais comme l’ennemi public numéro 1. Les Etats-Unis, qui ont qualifié d’ « anarchiste » le fondateur de WikiLeaks, mettent tout en œuvre pour l’arrêter. Des sénateurs américains ont ainsi annoncé qu’ils avaient déposé une proposition de loi pour faciliter les recours juridiques contre Julian Assange et son site. Installé en Suède depuis le mois d’août, Julian Assange a dû à présent fuir, étant sous le coup d’un mandat d’arrêt international, suite aux accusations de viols et agressions déposés par deux suédoises. Julian Assange nie catégoriquement et laisse entendre qu’il est victime d’une conspiration. Autour de lui, ses collaborateurs dévoués – jeunes informaticiens doués, journalistes à la plume engagée, réseau collaboratif et un bon cabinet d’avocats, élément clé d’un parcours de cyberattaquant- font bloc. Julian Assange actuellement très recherché, tant des médias que de la justice, et suite à la « notice rouge » émise par Interpol, 188 pays membres d’Interpol ont maintenant l’obligation de l’arrêter et de l’extrader vers la Suède.
Le Maroc sur les cables
Maroc-Israël
Dans un document confidentiel datant du 9 juin 2009, l’ambassade américaine à Rabat voit d’un bon œil le retour à la normale entre le Maroc et Israël après les contacts que les deux pays ont eu à Rabat, entre le 3 et 5 juin 2009, à l’occasion de la tenue de la rencontre sur le terrorisme nucléaire. «Des contacts qui ont permis aux responsables des deux pays de prendre langue après une période de froid suite à la guerre israélienne contre Gaza, fin 2007 et début 2008. Durant la même rencontre, Eynat Shlein-Michael, directrice des affaires Maghreb au ministère des AE israélien, a rencontré Youssef Amrani, le SG des AE marocain». Plus tard, la responsable israélienne a confié que «Amrani a manifesté sa volonté de résoudre certaines questions en suspens, y compris les autorisations de survol, mais que le gouvernement du Maroc tarde à les livrer. Le document souligne également que Eynat Shlein-Michael a exprimé à Youssef Amrani le souhait de son gouvernement d’une part, que le Maroc soutienne activement Mahmoud Abbas et d’autre part, d’identifier les opportunités de coopération «win-win» entre le Maroc et Israël. Eynat Shlein-Michael a confié que son déplacement au Maroc s’inscrit dans un cadre strictement bilatéral et non pour participer à la conférence sur le terrorisme nucléaire. Le télex de l’ambassade américaine à Rabat rapporte que la responsable israélienne s’est dit satisfaite de son séjour marocain. Eynat Shlein-Michael a jeté des fleurs à Youssef Amrani qui «l’a présentée aux ambassadeurs français et russe», elle a en revanche souligné que «l’enthousiasme de Amrani n’est pas partagée par les autres responsables des Affaires étrangères marocains».
Maroc-Algérie
Un télex datant du 9 juin 2009 rapporte des propos attribués à Yassine Mansouri. En réponse à une question du sénateur Burr (à gauche), le patron de la DGED assure que «nous avons un grave problème avec l’Algérie. Le Maroc apprécie les efforts des secrétaires d’Etat Rice et Clinton visant à améliorer les relations mais la clé de nos différends avec l’Algérie est une solution de l’affaire du Sahara occidental. Mansouri a souhaité bonne chance à l’ambassadeur Christopher Ross en tant qu’envoyé personnel pour le Sahara occidental». Les discussions entre le sénateur Burr et Yassine Mansouri (à droite), (ont porté également sur les Marocains encore détenus à Guantanamo. Le chef de la DGED a demandé à son interlocuteur le «retour des deux Marocains».
Maroc-Mauritanie
Dans le même télex, la situation en Mauritanie a été au centre des discussions entre Mansouri et Burr. Le chef de la DGED a confié à son interlocuteur que «la stabilité de la Mauritanie est plus importante que la démocratie. Mansouri a demandé au gouvernement américain d’être plus flexible» sur cette question.
Les «invités» du Maroc
Un télex datant du 1er avril 2010 rapporte les discussions entre le général William Ward, le chef de l’Africom, et le général Abdelaziz Bennani. L’Américain a fait savoir à son homologue marocain que le «royaume compte plusieurs invités de marque. Bennani demande à Ward s’il fait référence à Chirac et Sarkozy. Le chef de l’Africom a répliqué qu’il faisait référence au chef de la junte militaire Dadis Camara (à l’époque hospitalisé au Maroc après une tentative d’assassinat) et à son ministre de la Défense (Sekouba Konaté, ndlr). Surpris, le général Bennani a déclaré qu’il n’avait pas d’information sur l’arrivée de ce dernier au Maroc. Bennani a fait savoir à Ward que le séjour de Dadis s’inscrivait dans un cadre humanitaire. Le général Ward a souhaité que le Maroc garde Dadis Camara le plus longtemps possible».
Poutine-Berlusconi, comme cravate et chemise
Des diplomates américains installés à Rome révèlent par WikiLeaks que le Premier ministre russe, Vladimir Poutine et son homologue italien Silvio Berlusconi ont une relation plus qu’amicale… Des «cadeaux somptueux» sont offerts dans les deux sens, des contrats juteux dans le domaine de l’énergie… Le Premier ministre italien se fait un malin plaisir à devenir le porte-parole « poutinien » en Europe. La diplomatique américaine juge au passage le pouvoir de Poutine en berne, affaibli par une bureaucratie ingérable et souvent indifférentes à ses directives.
La Chine attaque (déjà) l’Amérique !
Toujours selon les documents divulgués, les Chinois mèneraient des attaques informatiques contre les Etats-Unis et leurs alliés. Pékin a notamment ordonné le piratage de Google, explique un télégramme de janvier 2010. L’ordinateur du Dalaï Lama et de nombreux diplomates étrangers sont également espionnés depuis 2002.
Le Qatar ennemi de la lutte anti-terroriste
L’organisateur de la Coupe de Monde 2022 est jugé par la diplomatie américaine comme étant le pire pays de la région sur le plan de la lutte anti-terroriste. Quand au reste, ce sont, toujours selon le site, les donateurs saoudiens qui restent les principaux financiers d’Al Qaïda.
Une visite d’Obama contre un échange de prisonniers
On apprend que la Slovénie a accepté un prisonnier de Guantanamo sur son sol contre une visite officielle de Barack Obama. La république des Kiribati a même annoncé vouloir prendre en charge des détenus musulmans chinois contre une «valise diplomatique» remplie de dollars. Plus incroyable encore, les Américains ont proposé aux Belges d’accepter des prisonniers de Guantanamo sur son sol. Un moyen «peu coûteux» selon eux pour prendre du poids en Europe.
Publié dans Le Soir Echos le 06 – 12 – 2010
Source
#Maroc #algérie #Sahara_Occidental #Mauritanie #Assange
Tags : Maroc, Parlement européen, corruption, Pegasus, Emmanuel Macron, Sahara Occidental,
Le lobbying agressif et l’espionnage du Maroc du roi Mohammed VI en Europe, sur fond de « Qatargate », commence à irriter de nombreux appareils sécuritaires et diplomatiques, à commencer par les français. «Les services secrets marocains se sont toujours mal comportés en France. Ils n’ont pas honte», a déclaré un agent des renseignements français à l’hebdomadaire Marianne, qui vient de consacrer un long dossier aux sombres manœuvres de Rabat, prêt à tout pour défendre ses intérêts, même à intercepter le locataire de l’Elysée, Emmanuel Macron.
Le scandale Pegasus, du nom du logiciel d’espionnage développé par la société israélienne NSO, à travers lequel le Maroc et d’autres pays ont espionné diverses personnalités, serait à l’origine, selon certains observateurs, des « représailles françaises » contre Rabat qui a eu lieu le 19 janvier dernier au Parlement européen. Ce jour-là, une résolution du Parlement européen exhortait « les autorités marocaines à respecter la liberté des médias et à assurer un procès équitable aux journalistes emprisonnés » : une attaque frontale qui, selon les autorités marocaines, dont le président de l’Union Maroc-UE commission mixte, Lahcen Haddad, porterait la signature de l’État profond français.
Le vote en faveur de la résolution par les eurodéputés de la Renaissance , le parti de Macron, a été vécu comme une « trahison » par Rabat, à tel point que le roi Mohammed VI, par pique diplomatique, a rappelé l’ambassadeur du Maroc à Paris sans nommer de successeur. « Il n’y avait pas eu de crise aussi profonde depuis l’enlèvement de Mehdi Ben Barka en 1965, qui avait provoqué une rupture des relations pendant 4 ans », a déclaré l’historien Vermeren, l’un des plus grands experts maghrébins. Certains font le pari que Macron ne remettra plus jamais les pieds à Rabat jusqu’à la fin de son mandat car il est désormais considéré comme « persona non grata », et les autorités marocaines ne font plus confiance à cette France.
A travers Pegasus, cependant, le Maroc aurait non seulement écouté les conversations du président français et de 14 de ses ministres pour obtenir des informations sensibles : il aurait aussi intercepté des personnes moins connues, mais jugées hostiles aux intérêts de Rabat, donc à garder sous contrôle. C’est le cas de certains individus impliqués dans la question du Sahara Occidental, comme le révèle Marianne. Un dossier incandescent d’ un point de vue géopolitique qui voit d’ un côté le Front Polisario, représentant le peuple sahraoui, qui voudrait l’ indépendance du Sahara Occidental, ancienne colonie espagnole, et d’autre part le royaume marocain, qui pour des raisons stratégiques et économiques revendique la souveraineté sur ces terres riches en phosphates, 70% des ressources mondiales, et sur les mers poissonneuses de la région.
#Qatargate #Maroc #Parlement_européen #Pegasus #Corruption #Sahara_Occidental
Tags : Maroc, Autriche, relations bilatérales,
Lundi, à l’occasion du 240e anniversaire des relations diplomatiques du Maroc avec Vienne, le chancelier Karl Nehammer (ÖVP) s’est rendu dans le pays d’Afrique du Nord en tant que premier chancelier autrichien.
Nehammer s’est entretenu mardi avec le Premier ministre marocain Aziz Akhannouch et le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita sur le renforcement des relations bilatérales et la lutte contre l’immigration clandestine.
« Les chiffres de l’asile montrent clairement qu’il existe un dangereux mélange d’asile et de migration en provenance de pays d’origine sûrs comme le Maroc. Il faut donc continuer à resserrer le frein de l’asile et accélérer la question des retours », a déclaré la chancelière, selon son porte-parole au Maroc. Une politique d’asile cohérente doit également être appliquée en expulsant les demandeurs d’asile qui ont reçu une décision négative.
Négociations sur le retour des migrants
Le ministre de l’Intérieur Gerhard Karner (ÖVP), qui a accompagné Nehammer au Maroc, rencontrera mardi son homologue marocain pour discuter de l’amélioration de la coopération en matière de retour. L’objectif est également une déclaration politique commune des chefs de gouvernement. L’accord sur la migration et la mobilité que l’Autriche a récemment conclu avec l’Inde pourrait servir de modèle. L’Inde est donc prête à reprendre les Indiens immigrés clandestinement d’Autriche. À cette fin, il devrait y avoir une entrée et des opportunités de travail plus faciles pour les travailleurs indiens hautement qualifiés.
Le Maroc fait partie des pays avec lesquels l’Union européenne négocie depuis des années un accord de réadmission des demandeurs d’asile déboutés sans succès. Selon la Chancellerie fédérale, l’Autriche est la première destination des citoyens marocains au sein de l’UE. En 2022, environ 22 000 demandes d’asile en provenance du Maroc ont été enregistrées dans l’UE, dont 39 % en Autriche (8 470 demandes). Ils arrivent apparemment en Autriche via la Turquie, qui permet aux Marocains d’entrer dans le pays sans visa, et la route dite des Balkans. La plupart voyagent – selon les médias, principalement vers l’Allemagne, la France ou l’Espagne. Seules quelques centaines font partie de l’approvisionnement de base autrichien.
Délégation commerciale
Nehammer sera également accompagné du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères Peter Launsky-Tieffenthal et d’une délégation commerciale de haut rang. Une visite à la société autrichienne Hirschmann Automotives est prévue mercredi après-midi. L’entreprise fabrique des composants électroniques pour l’industrie automobile au Maroc et emploie plus de 2 000 personnes localement.
« Outre les questions de politique de sécurité, le Maroc est également un partenaire important avec un grand potentiel de coopération économique », a déclaré Nehammer, selon sa porte-parole. « En outre, le Maroc deviendra de plus en plus important à l’avenir en ce qui concerne l’approvisionnement énergétique du futur en ce qui concerne l’hydrogène. » Une immense centrale solaire et éolienne est également actuellement en construction au Maroc, qui doit être reliée à la Grande-Bretagne via un câble électrique sous-marin afin de couvrir les besoins énergétiques de sept millions de foyers d’ici 2030.
Les exportations autrichiennes vers le Maroc ont augmenté de 37,7% en 2021 par rapport à l’année précédente et ont atteint 179,9 millions d’euros. Le volume des échanges cette année-là était de 366,4 millions d’euros. Le Maroc est le premier pays à signer un protocole d’accord sur un « partenariat vert » avec l’UE. L’accent est mis sur les questions climatiques et énergétiques, l’environnement, y compris les questions marines et maritimes, et l’économie verte. Cette initiative devrait également devenir un modèle de partenariat pour la poursuite de la coopération avec les pays africains.
« L’Afrique du Nord est un partenaire géostratégique important pour l’Union européenne », a souligné Nehammer. « En tant que bâtisseur de ponts, l’Autriche s’est engagée à renforcer la coopération à tous les niveaux. »
Relations diplomatiques depuis 1783
L’Autriche est l’un des premiers pays avec lesquels le Maroc a formellement établi des relations diplomatiques. Il y a 240 ans, le 28 février 1783, le Maroc et l’empire des Habsbourg s’en emparèrent en nommant Mohamed Ben Abdelmalek comme ambassadeur auprès du sultan Moulay Mohamed III. a présenté ses lettres de créance à l’empereur Joseph II à Vienne. Un traité d’amitié a suivi, qui prévoyait, entre autres, la facilitation des échanges. En 1829, cependant, il y a eu des conflits armés lorsque la marine autrichienne a répondu à la capture d’un navire marchand en bombardant trois ports commerciaux marocains. À la fin du XIXe siècle, l’Autriche-Hongrie a participé à la politique des grandes puissances européennes au Maroc, devenu un protectorat de la France et de l’Espagne.
Le Maroc n’a pu se débarrasser du paternalisme français qu’au milieu des années 1950. L’Autriche a de nouveau eu un ambassadeur à Rabat depuis le milieu des années 1960. Le Maroc a ouvert une ambassade à Vienne en 1981. Environ 200 Autrichiens vivant à l’étranger vivent au Maroc. Le pays est également visité par plusieurs milliers de touristes autrichiens par an.
Autrefois victime de la domination coloniale elle-même, au milieu des années 1970, le Maroc a incorporé le Sahara occidental, qui avait été abandonné par les dirigeants coloniaux espagnols. Les efforts des Nations Unies pour permettre l’autodétermination du peuple sahraoui ont échoué pendant des décennies.
Le Maroc a su consolider sa position internationale ces dernières années en établissant des relations diplomatiques complètes avec l’État d’Israël en 2020. Le régime du roi Mohammed VI. est accusé de faire trop peu pour lutter contre la pauvreté dans le pays. Le monarque, au pouvoir depuis 1999, est très apprécié en Occident car il s’oppose à l’intégrisme islamique et se propose comme partenaire dans la lutte contre les flux migratoires illégaux.
Document confidentiel sur l’Autriche et l’ancien président Heinz Fischer
Heinz Fischer
Source :
Rabat, le 22 février 2012
Note
A
Monsieur le Ministre
Objet : entretien avec le Président du Groupe des Sociaux Démocrates (S&D) au
Parlement européen.
J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que j’ai reçu, le 20 février 2012, M. Hannes SWOBODA (Autriche), qui effectuait sa première visite de travail en dehors de l’Europe, depuis son élection le 17 janvier 2012 à la tête du S&D, deuxième groupe politique au sein du Parlement européen avec 190 membres.
Au début de cet entretien, je me suis félicité de l’adoption par le parlement européen, le 16 février dernier, de l’Accord Agricole. Un vote qui représente un signal fort important aussi bien pour le Maroc que pour l’UE et qui reflète la volonté des deux partenaires d’approfondir leurs relations aux niveaux économique et politique, dans le cadre d’une politique de voisinage renouvelée et ambitieuse.
L’implication du Parlement Européen dans le renforcement du partenariat privilégié entre le Maroc et l’UE:
J’ai ensuite indiqué que le Maroc, qui assume pleinement son choix de l’Europe, inscrit ses relations avec l’UE dans une dynamique ascendante et ambitionne son évolution vers un Cap stratégique qui va au-delà du Statut avancé. Il a précisé que le Maroc s’engage avec l’UE dans des processus de négociations dans l’objectif d’une intégration poussée au marché économique européen.
Tout en se félicitant à son tour de ce vote, M. Hannes SWOBODA, (qui avait voté contre l’Accord de pêche et pour l’accord agricole) a développé les éléments suivants :
En ce qui concerne « le volet Sahara » des relations entre le Maroc et l’UE, et tout en pointant du doigt la focalisation par le Parlement européen sur le bénéfice des accords Maroc-UE à la « population locale », j’ai rappelé les efforts menés par le Maroc dans les provinces du Sud.
Je me suis interrogé, également, sur le manque à gagner politique et économique qu’engendre l’absence d’aide ou d’investissement européen en faveur des populations Sahraouies ayant choisi l’unité nationale et l’intégrité territoriale. En quoi, ai-je précisé, la construction d’une école ou d’une infrastructure pourrait-elle préjuger une solution, alors que l’aide octroyée aux populations de Tindouf pourrait être interprétée comme une prise de position ?
En réponse, M. H. SWOBODA que la visite qu’il avait effectuée il y a quelques années dans les camps de Tindouf l’a convaincu que la situation n’était pas durable dans un « Etat » artificiel. Il a ajouté dans ce sens que cette situation sert les intérêts de quelques groupes algériens en précisant que l’autonomie négociée restait la solution à laquelle les groupes politiques du parlement européen pourraient apporter leur contribution.
Pour ce qui est des investissements européens dans les provinces du Sud, H. SWOBODA a laissé entendre qu’une possibilité existait et a proposé, à cet effet, qu’une délégation composée d’eurodéputés effectue une visite de travail dans cette région à l’automne prochain.
A noter qu’à l’issue de cet entretien, M. Hannes SWOBODA a déclaré à certains organes de la presse marocaine que le dialogue entre le Maroc et l’UE était constructif et venait d’être renforcé par le vote positif de l’Accord agricole par le parlement européen. Le responsable européen a souligné que le rôle de l’UE consiste à « aider à faire avancer les pourparlers pour trouver une solution politique à la question du Sahara tout en saluant les efforts déployés par le Maroc en vue de parvenir à une solution à cette question».
#Maroc #Autriche #Sahara_Occidental
Tags : Maroc, Union Européenne, Espagne, tomates, marché européen, fruits, légumes,
Selon un rapport du service d’information espagnol Hortoinfo, le Maroc devrait dépasser l’Espagne en tant que fournisseur de tomates dans l’UE d’ici 2022. Les Pays-Bas et l’Espagne sont les leaders des ventes de tomates sur le marché européen depuis dix ans. En 2013, elles représentaient ensemble 60 % de l’approvisionnement en tomates de l’UE. Les Pays-Bas ont ensuite vendu 861,18 millions de kilos et l’Espagne 717,86 millions de kilos.
L’année dernière, les États membres de l’UE ont acheté 2,650 milliards de kilos de tomates pour
4,525 milliards d’euros.
Les Pays-Bas ont fourni 644,01 millions de kilos. Soit 217,17 millions de kilos de moins qu’en 2013 (-25,22%). La valeur de ces ventes était de 1,280 milliard d’euros et le prix moyen était de 1,99 € le kilo. En 2013, les Pays-Bas ont reçu 1,061 milliard d’euros et le prix moyen était de 1,23 € le kilo.
Le Maroc était deuxième en 2022 avec des ventes de 558,27 millions de kilos dans l’UE. C’est 71,33 % de plus qu’en 2013.
L’Espagne a dû laisser une place et arrive troisième avec 513,84 millions de kilos. C’est 28,42% de moins qu’en 2013. Cependant, la valeur de ces ventes a augmenté de 126,31 M€ par rapport à 2013 (+15,57%), passant de 811,36 M€ en 2013 à 937,67 M€ en 2022. Le prix moyen est passé de 1,13 € le kilo à 1,82 € le kilo.
Source : hortoinfo.es
#Maroc #Espagne #UE #Fruits #Légumes #Tomates
Tags : France, Afrique, Emmanuel Macron, Françafrique,
PARIS (AP) – Le président français Emmanuel Macron s’est engagé à réduire le nombre de troupes françaises en Afrique dans le cadre d’un « nouveau partenariat de sécurité » avec les nations concernées et à déployer des politiques économiques plus ambitieuses, dans le but de renforcer l’influence décroissante de la France sur le continent .
Macron a appelé à ouvrir une « nouvelle ère » dans un discours à l’Elysée, avant un voyage ambitieux mercredi au Gabon, en Angola, en République du Congo et au Congo.
Il a déclaré que la France devait s’éloigner de l’ingérence dans certaines parties de l’Afrique qu’elle gouvernait autrefois en tant que puissance coloniale, affirmant que le continent n’était plus son « arrière-cour ».
« Il y a une autre voie », a-t-il déclaré : « Aborder les pays africains comme des partenaires avec lesquels nous partageons des intérêts et des responsabilités équilibrées, réciproques et responsables.
Il a promis un « nouveau partenariat de sécurité » avec des effectifs réduits de troupes françaises sur le continent.
Macron a déclaré que les bases militaires françaises ne seront pas fermées, mais seront transformées en fonction des besoins exprimés par les partenaires africains.
« Notre modèle ne doit plus être des bases militaires comme celles que nous avons maintenant », a-t-il déclaré. « Demain, notre présence (militaire) passera par des bases, des écoles, des académies, qui seront gérées conjointement » par des personnels français et africains.
« Et je le dis très clairement : le rôle de la France n’est pas de régler tous les problèmes en Afrique », a-t-il ajouté.
Le discours de lundi est intervenu à un moment où l’influence de la France sur le continent est confrontée à ses plus grands défis depuis des décennies. Le sentiment anti-français croissant a conduit à des manifestations de rue dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et du Nord.
De plus, les liens économiques historiques que la France entretenait avec la région sont sous la pression de la présence commerciale croissante de la Russie, de la Chine et de la Turquie.
Macron a reconnu que l’Afrique est désormais un « terrain de compétition » et a exhorté les entreprises françaises à « se réveiller » et à s’impliquer dans la lutte.
L’année dernière, les troupes françaises ont dû se retirer du Mali, qui s’est plutôt tourné vers des entrepreneurs militaires russes privés du groupe Wagner, et plus récemment du Burkina Faso, qui semble également de plus en plus tourné vers Moscou.
Macron a dénoncé Wagner comme des « mercenaires criminels » dont le rôle est de « protéger les régimes défaillants et putschistes ». Il les a accusés de « précéder » les ressources naturelles et « d’avoir commis des violences contre les populations (locales) », y compris des viols.
L’année dernière, Macron a annoncé la fin officielle de la force militaire dite de Barkhane après que la France a retiré ses troupes du Mali. Les opérations françaises d’aide à la lutte contre les extrémistes islamiques dans la région du Sahel se concentrent désormais principalement sur le Niger et le Tchad, où le pays compte encore environ 3 000 soldats.
Au Burkina Faso, Boubacari Dicko, l’émir – ou chef traditionnel – de la ville septentrionale de Djibo, près de la frontière malienne, a déclaré qu’une relation renouvelée entre la France et les pays africains pourrait être basée sur un partenariat gagnant-gagnant.
« Le changement est bon » et « nécessaire » car la politique française de ces dernières années a été critiquée pour ne pas avoir restauré la sécurité dans la région, a-t-il dit, ajoutant : « L’armée française était là, mais cela n’a pas empêché les djihadistes d’entrer dans la région ». pays et s’étendant dans le pays chaque jour.
Macron, 45 ans, est le premier président français né après la fin de l’ère coloniale. Il a précédemment cherché à étendre la coopération de la France avec des pays anglophones, comme le Ghana et le Kenya, et à accroître les investissements français dans le secteur privé africain.
Au cours de la tournée de cette semaine, il visitera également l’Angola lusophone, dans le but de développer des liens notamment dans l’agriculture et l’industrie alimentaire, et l’énergie, y compris le pétrole et le gaz.
Pourtant, le voyage de Macron en Afrique centrale suscite déjà des interrogations.
Certains militants de l’opposition au Gabon ont dénoncé sa visite, qu’ils perçoivent comme une offre de soutien au président Ali Bongo Ondimba – dont la famille est au pouvoir depuis les années 1960 – avant une élection présidentielle plus tard cette année.
Des questions similaires ont été soulevées au Congo, qui fait face à une élection présidentielle en décembre.
Le bureau de Macron a déclaré que tous les responsables français resteraient neutres concernant ces élections.
L’Elysée a souligné que Macron se rendait au Gabon principalement pour assister à un grand sommet climatique sur la préservation des forêts.
Il cherchera également à montrer l’engagement de la France à améliorer les relations économiques et culturelles avec deux pays francophones – la République du Congo et le Congo voisins – à travers des entretiens avec les autorités ainsi qu’avec des citoyens ordinaires, des entrepreneurs, des artistes et des militants, selon l’Elysée.
Macron a dénoncé lundi l’offensive dans l’est du Congo par le groupe rebelle M23 lié au Rwanda voisin comme une « régression inacceptable ». Les combats se sont intensifiés ces derniers jours , avec des « conséquences terribles » pour la population, a déclaré Macron. « L’unité, la souveraineté et l’intégrité territoriale du Congo ne peuvent être remises en cause », a-t-il déclaré.
AP
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Tags : Algérie, importation de voitures, conditions, moins de 3 ans,
Les conditions et modalités de dédouanement et du contrôle de conformité des véhicules de tourisme et utilitaires d’occasion, de moins de 3 ans, acquis par les particuliers résidents, ont été fixées par un décret exécutif publié au Journal officiel n°11. Selon ce décret exécutif n°23-74 signé le 20 février en cours par le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, le particulier résident (toute personne physique résidente en Algérie) est autorisé à acquérir auprès des personnes physiques ou morales un véhicule d’occasion pour sa mise en circulation en Algérie, «une seule fois tous les trois ans», à compter de la date de la déclaration de sa mise à la consommation. Il est entendu par véhicule d’occasion tout véhicule, de tourisme ou utilitaire, usagé dont l’âge «ne dépasse pas les trois ans», entre la date de sa première mise en circulation et la date de la souscription de la déclaration de sa mise à la consommation.
«Toutefois, il est autorisé d’importer uniquement les véhicules particuliers, de tourisme ou utilitaire, électrique ou à moteur à piston alternatif, à allumage par étincell (essence) ou hybride (essence et électrique)», selon le texte excluant ainsi les véhicules roulant au diesel. L’importation des véhicules d’occasion par des particuliers résidents «s’effectue sur leurs devises propres», d’après le mêmedécret précisant par ailleurs que le dédouanement pour la mise à la consommation des véhicules d’occasion est soumis au paiement des droits et taxes exigibles, conformément à la législation en vigueur.
S’agissant des conditions d’éligibilité pour les véhicules d’occasion, «ils doivent être en bon état de marche, ne doivent présenter aucun défaut majeur ou critique et doivent satisfaire aux exigences réglementaires en matière de sécurité et d’environnement et, le cas échéant, aux normes du constructeur», souligne la même source ajoutant qu’en cas de non-conformité du véhicule constatée par l’expert agréé par le ministère chargé des mines, «le véhicule doit être réexporté à la charge du particulier résident importateur, le cas échéant, le véhicule est pris en charge conformément à la législation et à la réglementation douanières.»
«Les véhicules d’occasion importés sont admis, temporairement, sur le territoire national moyennant la délivrance d’un titre de passage en douane valable pour une durée d’un mois, non prorogeable», lit-on dans le même texte.
Concernant le dossier de dédouanement pour la mise à la consommation du véhicule, le décret exécutif stipule qu’il doit être introduit au niveau du bureau de douane d’entrée ou du bureau de douane territorialement compéten.
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Tags : Algérie, Air Algérie, vols, billets, promotions, voyages,
La compagnie aérienne nationale annonce des réductions importantes sur ses vols. Bonne nouvelle pour les clients fidèles d’Air Algérie.
En effet, après le lancement accordé récemment d’un tarif Gift (cadeau) pour tous les billets achetés durant la période du 13 février au 16 février 2023, ainsi que de nombreuses promotions commerciales depuis le début de l’année, Air Algérie, intervient de plus en plus pour prêter mains fortes à ses clients, et ça continue.
Que du bonheur ! En effet, encore une fois, la Compagnie nationale aérienne a décidé d’offrir aux membres de son programme de fidélité des réductions allant jusqu’à 40% sur les billets Prime. Elle propose des réductions sur les billets Prime (achetés par la conversion des miles). Pour les clients concernés, c’est une bonne affaire. Car, le billet est initialement moins cher puisqu’il est payé en partie en contrepartie des points gagnés mais il est également sujet à une réduction. L’offre est valable « pour tout achat avant le 5 mars 2023 en classe économique et pour un voyage allant jusqu’au 25 mars 2023 sur l’international et le national », indique Air Algérie dans un communiqué.
Pour ceux qui peuvent voyager durant la période juste avant le ramadan, c’est l’occasion à saisir, à condition d’acheter le billet avant le 5 mars prochain. Air Algérie propose 15 % de réduction sur les vols du réseau domestique. Ainsi, le billet vers Djanet et Tamanrasset est mis en vente à 11 000 dinars au lieu de 18 000 dinars. Annaba et Oran à 5400 au lieu de 6500. La réduction est de 30 % sur le réseau Europe. À titre d’exemple, le billet vers Paris est à 18 900 dinars au lieu de 27 000 dinars. Lyon, Marseille et Nice, le billet est évalué à 13 160 au lieu de 18 800. Quant aux réductions vers Montréal au Canada, elles atteignent les 40 %, allerretour à 54 000 au lieu de 90 000. D’autres destinations ne sont pas en reste puisque la compagnie nationale a proposé des rabais similaires. Telles que Francfort à 18 900 au lieu de 27 000, Rome, Milan, Lisbonne et Genève à 13160 au lieu de 18800. Tunisie à 8 400 au lieu de 12 000 et Doha à 54 600 au lieu de 78 000. À noter que l’Arabie saoudite et l’Espagne ne sont pas concernées par l’offre.
Sur le réseau international, la réduction ne concerne pas les vols vers Barcelone, toujours sujets à des restrictions en raison des tensions entre l’Algérie et l’Espagne. L’offre ne concerne pas non plus les vols vers Médine et Jeddah. Les vols vers les lieux saints sont sujets à un cadre commercial particulier. Les billets primes sont proposés dans les deux sens (aller-retour) et il est même possible de l’offrir à une tierce, a indiqué Air Algérie, contactée par Destinations Med. « Les taxes et autres frais sont à la charge du bénéficiaire.» «Le billet prime n’est ni modifiable ni remboursable et demeure proposé dans la limite des sièges disponibles. L’annulation n’est pas permise », a précisé Air Algérie.
Par : IDIR AMMOUR
Le Midi Libre, 28/02/2023
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