Étiquette : AFP

  • La visita de De Mistura en la prensa francófona

    Etiquetas : Sahara Occidental, Frente Polisario, Marruecos, ONU, Staffan de Mistura, AFP,

    La AFP se hizo eco de la visita al Aaiún del Enviado Personal del Secretario General de la ONU para el Sahara occidental, Staffan de Mistura. Bajo el título de « Sahara Occidental: primera visita del enviado de la ONU en un intento por resolver la crisis », la AFP informó, citando a la ONU, de que « el enviado de las Naciones Unidas para el Sahara Occidental, Staffan de Mistura, llegó el lunes a Laâyoune para mantener consultas « con todas las partes involucradas », en su primera visita a este territorio en disputa desde su nombramiento.

    « Staffan de Mistura « espera realizar visitas en la región y llevar a cabo reuniones con todas las partes involucradas antes de la publicación del informe del Secretario General ante el Consejo de Seguridad en octubre ». Esta visita tiene como « perspectiva avanzar de manera constructiva en el proceso político en el Sahara Occidental », agregó la misma fuente, sin proporcionar detalles sobre el programa del enviado de la ONU ni su duración. La cuestión del Sahara Occidental, una antigua colonia española considerada « territorio no autónomo » por la ONU, ha opuesto durante décadas a Marruecos a los independentistas saharauis del Frente Polisario, respaldados por Argel », añade la agencia francesa.

    « Rabat, que controla aproximadamente el 80% de este territorio, propone un plan de autonomía bajo su soberanía. El Polisario reclama un referéndum de autodeterminación bajo el auspicio de la ONU, que se acordó en 1991 en un alto el fuego pero que nunca se materializó. Nombrado en octubre de 2021, el enviado ha visitado la región varias veces para reunirse con las diferentes partes, pero el proceso político no ha avanzado. En octubre de 2022, la ONU instó a las « partes » en conflicto a « reanudar las negociaciones » para lograr una solución « sostenible y mutuamente aceptable ». Sin embargo, Argel, que rompió relaciones diplomáticas con Rabat en 2021, se opone a reanudar las negociaciones en forma de mesas redondas, como las que había organizado el anterior enviado de la ONU en Suiza », concluye la AFP.

    #SaharaOccidental #Polisario #Marruecos #ONU #DeMistura

  • L'AFP mène, "arme du mensonge à la main" Une guerre par procuration contre l'Algérie

    Algérie, AFP, migration,

    L’Agence France presse (AFP) poursuit, « arme du mensonge à la main », sa guerre par procuration contre l’Algérie, en publiant mardi sur son fil un reportage bondé d’ »intox éhontées » et de « mensonges flagrants », une énième bévue qui entache son registre déjà riche de fake-news destinés « exclusivement » à l’Algérie.
    Tout observateur averti n’est pas sans savoir que l’AFP s’est récemment érigée en appareil de « propagande par excellence » pour mener une guerre par procuration et se faire le relais de certains algérophobes qui digèrent mal la constance des positions historiques de l’Algérie vis-à-vis des causes internationales justes et ses succès successifs en tant qu’acteur régional et stratégique du rétablissement de la paix, de la sécurité et du consensus international. 
    Les procédés auxquels recourt ce média public français pour détourner l’attention des échecs en série de la politique de son pays dans un contexte électoral aux conséquences incertaines, sont connus de tous, tout comme ses efforts convulsifs de recherche d’une matière fallacieuses qui pourrait servir d’arme dirigée contre l’Algérie, au service d’agendas « hostiles ». 
    S’enchainent bévues, bavures, impairs et bourdes…l’AFP se surpasse…ses dépêches ciblant l’Algérie et ses fondements tiennent du délire et nuisent de la manière la « plus hideuse » à sa place, à son image et à son parcours sur la scène médiatique internationale, se dépouillant « honteusement » encore une fois de son honneur professionnel, de son engagement envers l’éthique professionnelle. 
    Fomenté contre l’Algérie, ledit reportage à travers lequel l’AFP peut se vanter de surpasser les plus grands scénaristes du 7ème art, traite du phénomène de la migration clandestine en se basant sur des données irréalistes, réduisant ainsi le rôle de cette agence à celui d’une simple machine maniée par des entités hostiles à l’Algérie. 
    D’aucuns pourraient se demander comment une agence de presse de cette stature s’est-elle laissée tomber de si haut, se dénuant de ses engagements moraux et éthiques, alors que la responsabilité pleine et entière du pays auquel cette tribune médiatique appartient, son implication dans de nombreuses tragédies que continuent à vivre des pays africains et son exploitation du phénomène migratoire pour en faire un fonds de commerce et faire aboutir des plans électoraux conjoncturels, sont clairement établies. 
    Cette « sortie médiatique » s’inscrit également dans le cadre d’une série d’actes hostiles et contraires aux usages de la profession, d’autant que l’AFP avait récemment fait l’apologie du mouvement terroriste +MAK+, dirigé par un élément résidant en France et recherché par la Justice algérienne qui a pris les mesures nécessaires à son extradition, conformément aux chartes et conventions internationales en vigueur.
    Lemaghrebdz, 28/10/2021
  • Les cors d’une guerre civile… en France

    L’Algérie mène une vraie guerre contre trois ennemis: les mouches marocaines sur la toile, les néocolonialistes dans la prese française et les sionistes. 

    On y est. C’est la guerre. L’Algérie mène une vraie guerre contre trois pays qui s’y mettent sans aucune retenue. Les doubab marocains sur la toile. Les néocolonialistes français de l’AFP et dans les plateaux de télévisions françaises, publiques et privées. Et, enfin, les sionistes, quoi qu’aucun Algérien ne reconnaît que les sionistes ont un pays tant que nos frères palestiniens restent colonisés. Le Président français sortant ose parler de la rente mémorielle, reniant toute vérité historique. L’on peut comprendre et le trauma du petit français en pleine crise d’adolescence politique et l’inculte qui prononce sans proportion aucune ce que lui chuchote sous cape la communauté des conseillers en mal de conseils.

    Pour rappel : n’est-il pas vrai que la France est le seul pays au monde à devoir sa liberté aux mitrailleurs musulmans. 10% de la population algérienne a été enrôlée, poussée au combat à côté de leur oppresseur, lors de la Première Guerre mondiale. Faux ?

    400 000 basanés ont été forcés de participer à la Seconde Guerre mondiale. Et comment la France, le pays des droits de la reconnaissance, a-t-elle fêté sa victoire offerte par nos aïeux ? Avec les bombes et le napalm. C’est faux ? C’est un fait historique.

    Trois ambassadeurs français en Algérie l’ont plus ou moins reconnu. Sarkozy n’a-t-il pas déclaré que le colonialisme était une négation en 2008 ?

    Soixante ans après l’indépendance, la France peine à avouer son crime contre la nation algérienne même si quelques verrous ont bien sauté.

    Pour rappel encore : Florence Beaugé, journaliste dans les «prestigieux» feuilles de choux Le Monde a bien dénoncé dans ses articles et dans son livre «Algérie, de la guerre à la mémoire» paru aux éditions du Cygne toutes les atrocités de la France coloniale.

    Un témoignage sur les exactions de l’armée française : l’histoire de Louisette Ighilahriz, parue à la Une du journal Le Monde le 20 juin 2000, les regrets de Massu, les dénégations de Bigeard, les aveux d’Aussaresses, une enquête sur les viols, une autre sur Jean-Marie Le Pen, tortionnaire à Alger en 1957 ou encore l’enquête concernant le général Maurice Schmitt, (l’ancien chef d’état-major des armées françaises et tortionnaire en chef à l’Ecole Sarouy), la confession du sergent Cloarec, etc..

    Sommes-nous pour autant des êtres grossiers en réclamant ces vérités ? Non!

    Les responsables de l’Etat français craignent plutôt de déplaire à un électorat nostalgique d’une Algérie française ! Tantôt ce sont les harkis que les Français remettent dans les circuits pour narguer les Algériens, tantôt un révisionnisme absurde.

    Qu’est-ce qui empêcherait la France de dire clairement : «Oui, il s’est passé ceci et cela, à telle ou telle époque»… Que la France reconnaisse qu’il y a eu utilisation massive de la torture pendant la guerre d’Algérie, et même avant (puisqu’on torturait de façon routinière dans les commissariats, avant 1954.) Il ne s’agissait pas de «bavures», comme des généraux français ont tenté de le faire croire, mais d’un système. Les «paponnades» du 17 Octobre 1961 sont le sens de ce système français assassin.

    Cela, il faudrait que l’Etat français l’admette un jour ou l’autre au-delà de phrases théâtrales mêlant l’hypocrisie au mélodrame. C’est cette façon de faire qui est inexcusable.

    Les intellectuels français, hypocrites, les intellectuels de service, tentent de renvoyer dos à dos les crimes de l’armée française et ceux du FLN. BHL, pour ne citer que lui, en détruisant la Libye par amour d’Israël d’après ce qu’il disait, distribue les bons et les mauvais points.

    BHL a-t-il oublié que la France était censée être un Etat de droit, la patrie des droits de l’homme, avec un arsenal de guerre pour mater le soulèvement des Algériens. Face à elle, il n’y avait que des maquisards et une population sans défense.

    Ces intellectuels devenus partisans de l’extrême droite raciste se réservent bien de dénoncer les restes de la guerre d’Algérie en France. Le vécu des enfants d’immigrés musulmans ghettoïsés dans les banlieues. Le racisme qu’ils subissent au quotidien. La discrimination à l’emploi, au logement…

    De dénoncer cette «arabophobie» ou «islamophobie», en France, les discriminations touchant les descendants des migrations post-coloniales sont de plus en plus nombreuses et visibles. Les descendants des basanés qui ont libéré la France, ceux qui l’ont construite. Ceux qui lui ont offert un siège au CS de l’ONU.

    Ces intellectuels dénoncent-ils le cliché de «l’islamiste de banlieues» qui tend à s’imposer dans le débat public français et vient pénaliser l’ensemble des citoyens de culture musulmane ? C’est un discours plus subtile qu’on ne le croit : il ne prétend pas que tous les musulmans soient dangereux mais seulement une «minorité», avec toutefois l’idée que cette minorité peut «contaminer» tous les autres, comme une sorte de maladie contagieuse (la maladie de l’islam). Et c’est le fer de lance du guignol Zemmour qui risque de devenir le patron de la France pour mener ce pays à une vraie guerre civile. Ça craint fort que Les Lumières de la France s’assombrissent et la guerre civile qu’elle souhaite pour l’Algérie risque de la surprendre dans pas longtemps si elle continue de jouer avec le feu.

    S. M.

  • Affaire MAK : L’ambassadeur d’Algérie à Paris adresse une mise au point à l’AFP

    L’ambassadeur d’Algérie en France, Mohamed-Antar Daoud a adressé une mise au point à l’Agence française de presse AFP, suite à la publication d’une dépêche sur le MAK.

    Pour Mohamed-Antar Daoud, «le fait d’ouvrir son fil aux responsables de ce mouvement qui planifie des actions criminelles et attentats terroristes” contre les marches populaires pacifiques revêt une forme de “sympathie” et de “légitimation” ».

    Le 26 avril dernier, l’AFP a publié, en effet, une dépêche intitulée : « le mouvement kabyle MAK réfute tout projet d’attentat ». Cette dernière s’appuie, selon l’ambassadeur d’Algérie à Paris, sur « les proférations de cette organisation subversive ».

    L’ambassadeur a ajouté que « les graves aveux donnés par l’ex-membre du mouvement subversif MAK, le dénommé H. Nouredine, aux services de sécurité, ont révélé l’existence d’un plan criminel perfide visant à perpétrer ces attentats pour exploiter ensuite les images dans leurs campagnes subversives et implorer I ‘intervention étrangère dans les affaires internes du pays ».

    « Force est de constater aujourd’hui que le fait d’ouvrir son fil aux responsables de ce mouvement revêt une forme de légitimation voire de sympathie en direction des responsables de ce mouvement séparatiste qui planifie, selon les informations vérifiées du ministère de la Défense nationale, des actions criminelles et attentats terroristes contre les marches populaires pacifiques », a-t-il affirmé.

    Daoud regrette, dans ce contexte, le manque de professionnalisme et d’éthique de l’AFP « dans ses couvertures médiatiques », en dépit de « sa posture éditoriale critique et négativiste » en ce qui concerne l’Algérie.

    “De ce qui précède, il me parait utile de rappeler que l’Algérie, forte de son parcours et de son vécu, a toujours su démontrer sa capacité de protéger son unité nationale, à travers ses institutions soutenues par son peuple, qui ensemble, se sont érigés en rempart contre les récurrentes menaces et tentatives de déstabilisation”, lit-on encore dans la mise au point de Mohamed-Antar Daoud.

    Enfin, le chef de la mission diplomatique algérienne en France rappelle que l’Algérie « a toujours su démontrer sa capacité de protéger son unité nationale, à travers ses institutions soutenues par son peuple, qui ensemble, se sont érigés en rempart contre les récurrentes menaces et tentatives de déstabilisation », lit-on encore dans la mise au point de Mohamed-Antar Daoud.

    Maghreb Info, 01 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, AFP, MAK, Kabylie,

  • Algérie-France/ La « glissade » de l’AFP transforme des mouvements subversifs en Algérie en « organisations fréquentables »

    ALGER – La « glissade » de l’Agence de presse française AFP qui a « transformé des mouvements subversifs, tels que le MAK et Rachad, en organisations fréquentables, voire pro-démocratiques » a été qualifiée de « lamentable » par un site d’information algérien.

    « Il est lamentable de constater ce jeu malsain d’une agence de la stature de l’AFP, qui a ouvert son fil à un responsable d’un mouvement séparatiste qui tente de porter atteinte à l’unité nationale d’un pays souverain et qui s’est permis de recourir à un genre de pratiques journalistiques qu’elle se dit pourtant bannir de son guide de bonnes pratiques éditoriales, à savoir le commentaire, pour transformer des mouvements subversifs, tels que le MAK et Rachad, en organisations fréquentables, voire ‘pro-démocratie’ « , est-il relevé dans une tribune, sous le titre « Le dérapage de l’AFP », publiée dans ce site (levenement-dz.com).

    Dans cette tribune, il est relevé que « les desseins de l’AFP, à travers ce commentaire, deviennent plus visibles », ajoutant qu’il est « clair » que pour cette Agence d’information « les mouvements comme le MAK, qui affiche son caractère séparatiste et l’organisation islamiste Rachad, héritière du parti ayant plongé l’Algérie dans le sang durant plus d’une décennie, sont des mouvements pro-démocratie ».

    Ainsi, l’auteur de cette tribune a fait observer que « la France, qui a usé, le long du siècle passé, des moyens les plus répressifs contre les mouvements séparatistes, dont en particulier les partis indépendantistes basques et corses ainsi que le Front de l’indépendance Kanak, et qui continue à fermer tous les espaces devant les mouvements autonomistes, trouve, à travers son agence de presse, le mouvement séparatiste ‘MAK’, qu’elle abrite à Paris, un mouvement pro-démocratie ».

    Et d’ajouter que l’AFP « qui se tait devant la répression féroce qui s’abat sur les citoyens sahraouis dans les villes occupées par une monarchie qui se permet tous les dépassements dans ces territoires non-autonomes, sous la haute protection de l’Elysée et fait tout pour continuer à passer sous silence la répression foudroyante qui a frappé le Hirak du Rif, et la torture abjecte pratiquée à grande échelle contre les militants de cette région frondeuse du Maroc et le mouvement de libération sahraoui, essaye de suggérer que l’organisation séparatiste ‘MAK’ est fréquentable et dont la littérature politique peut être normalement relayée ».

    A travers la reprise de « larges extraits » des propos du premier responsable de cette organisation séparatiste basée à Paris, l’AFP ne cache pas sa sympathie pour un mouvement séparatiste », lit-on encore dans cette tribune, relevant que lorsqu’il s’agit « d’organisations politiques indépendantistes basques ou corses, la majorité des médias français ne tergiversent pas sur les termes pour les nommer, quitte à les qualifier de terroristes ».

    « L’AFP ne s’est pas contentée dans sa dépêche intitulée ‘Le mouvement Kabyle MAK réfute tout projet d’attentat’, de reprendre les propos de son responsable, elle s’est même permis ce qu’elle prétend bannir dans sa pratique du journalisme agencier, à savoir le commentaire », est-il encore relevé.

    En usant de l’expression « régime, dont le pilier est l’armée », qui serait, selon cette dépêche, tenté de « discréditer le mouvement pro-démocratie, de retour dans la rue depuis la fin février dernier », l’AFP glisse subrepticement dans le dénigrement des autorités algériennes et de l’ANP, garante de la sécurité et de la stabilité du pays.

    APS, 28 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, MAK, AFP,