Étiquette : Aïd El Fitr

  • Sáhara Occidental: Los sermones del Aid advierten contra los peligros de las redes sociales

    Etiquetas : Sahara Occidental, Aid El Fitr, redes sociales, fitna,

    El pueblo saharaui celebra este miércoles, como el resto de musulmanes, la fiesta del fin del Ramadán o Eid Al-Fitr, con sermones cargados de profundos mensajes espirituales que llaman a hacer el bien, subrayan la importancia de fortalecer la unidad y advierten del peligro del mal uso de las redes sociales.

    En sus sermones para la ocasión, los predicadores advirtieron contra “el uso abusivo de estas herramientas de comunicación por parte de determinadas personas, que se han aprovechado de ellas en detrimento de los valores y virtudes que siempre han caracterizado a nuestra sociedad, heredados de nuestros padres y abuelos, difundiendo mensajes tendenciosos y ofensivos que siembran discordia, odio y hostilidad entre las personas » “Se trata de una conducta vergonzosa, pecaminosa, prohibida por nuestra noble religión, cuyo mensaje exige discreción y preservación del honor”, ​​dijeron.

    El presidente de la República y secretario general del Frente POLISARIO, Brahim Ghali, asistió a la oración colectiva y al sermón de Eid Al-Fitr en la Wilaya de Dajla, acompañado de varios miembros de gobiernos, parlamentarios y autoridades de la Wilaya.

    Agencia de prensa saharaui via APS

    #SaharaOccidental #Marruecos #Redessociales #AïdElFitr

  • Peut-on faire autrement en Algérie?

    L’après Aïd El Fitr ouvre la voie à une période d’accalmie d’une courte durée, puisque la dépense de Aid El Adha pointe à l’horizon. Mais qu’à cela ne tienne. Cette fête apporte sa joie et les préparatifs de l’été qui frappe à la porte apaise les esprits, d’autant qu’il apporte lui aussi son lot de bonnes nouvelles. Et sur la petite liste d’évènements qui font plaisir aux Algériens il y a, bien entendu, le comportement tout à fait correct du pétrole sur les marchés internationaux.

    Même si la dépréciation de la monnaie nationale et l’envolée des prix des produits alimentaires locaux ont grevé le budget des ménages, les observateurs estiment que les effets de cette double «punition» s’estomperont dans les semaines à venir en raison, estiment-ils, des performances inattendues de l’or noir. En ces temps d’incertitudes financières internationales, l’Algérie rattrape un peu des pertes qu’elle a subi à cause des crises sanitaire et économique.

    Mais cette perspective intéressante appelle néanmoins une résurgence des mouvements sociaux. Le pays en a eu un avant-goût pendant le Ramadhan, avec la grève dans l’Éducation et le coup de colère des agents de la Protection civile. Les travailleurs d’autres secteurs ne manqueront pas de joindre leur voix à celles des protestataires, maintenant qu’il est théoriquement possible de satisfaire certaines revendications salariales dans la fonction publique. Il faut croire que face à un gouvernement, pas assez réactif, mais surtout sur le départ, la partie ne sera pas facile.

    Mais la pression fiscale, les enjeux électoraux, régionaux et internationaux, le besoin vital d’une paix civile, censée favoriser l’installation d’une démocratie effective fera faire à ce gouvernement et au prochain, issu des prochaines élections législatives, des dépenses supplémentaires pour maintenir un équilibre précaire. C’est dire donc que la bonne nouvelle n’en n’est pas réellement une, puisqu’elle servira plus à clamer le front social qu’à relancer l’économie. On aura donc compris que globalement les Algériens savent, grâce aux rubriques économiques des chaînes toutes info, la courbe des cours du pétrole et n’en démordent pas. Ils savent d’où vient l’argent et veulent leur part. Ils ont raison et tort à la fois en maintenant une pression permanente sur un exécutif qui se voit obligé de toujours nourrir la vache à lait des subventions. Mais peut-on faire autrement en Algérie ?
    Par Nabil G.

    Ouest Tribune, 16 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Aïd El fitr, dépréciation de la monnaie nationale, hausse des prix des produits alimentaires, crise sanitaire, covid 19, élections législatives, subventions,

  • Aïd El-Fitr: allocution du Président Tebboune au peuple algérien

    ALGER – Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a adressé mercredi une allocution au peuple algérien à l’occasion de l’avènement de l’Aïd El-Fitr. En voici la traduction APS:

    « Au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux,

    Que le Salut d’Allah soit sur notre prophète et guide Mohammad,

    Chères concitoyennes,

    Chers concitoyens,

    Il y a peu, nous guettions l’apparition du croissant annonçant le début du mois de Ramadhan et voilà qu’aujourd’hui nous sommes au dernier jour de ce mois béni, puisse Dieu Le Tout-puissant agréer notre jeûne, nos bonnes actions et nos prières. Je vous adresse mes meilleurs vœux.

    Cette heureuse occasion m’offre l’opportunité de m’adresser à vous, concitoyennes et concitoyens, pour vous inviter à davantage de vigilance, d’engagement et de respect des mesures préventives contre la pandémie de Covid-19 qui continue de faucher des vies et détruire les économies du monde, nonobstant les moyens colossaux mobilisés pour lutter contre ses incidences graves dans divers domaines.

    Les valeurs de solidarité dont a fait montre notre vaillant peuple ont triomphé durant ce mois sacré, nous sommes appelés aujourd’hui au moment où nous vivons la joie de l’Aïd à maintenir cet esprit et ces mêmes valeurs.

    Je ne manquerais pas, en cette grande occasion, de me remémorer les sacrifices du peuple palestinien frère qui mène une résistance héroïque face à l’occupation et à l’agression contre la Mosquée d’Al Aqsa, première qibla à El Qods. Malgré leurs souffrances, nous leur souhaitons un heureux Aïd à Ghaza et en Cisjordanie ».

    Chères concitoyennes,

    Chers concitoyens,

    Je vous renouvelle mes meilleurs vœux pour que durent les valeurs d’entraide et de fraternité. Je souhaite prompt rétablissement à nos patients et prie Dieu le Tout-Puissant d’entourer ceux qui nous ont quittés en ce mois béni, de Sa Sainte miséricorde.

    Je vous souhaite une heureuse fête de Aïd El Fitr, puisse Allah nous gratifier de ses bienfaits et préserver notre pays de tout malheur

    Vive l’Algérie libre, souveraine, sereine et prospère.

    Gloire à nos martyrs ».

    APS, 12 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Abdelmadjit Tebboune, Aïd El Fitr,

  • Covid-19 : la fin du ramadan et la peur d’une flambée épidémique en Tunisie, en Irak et en Indonésie

    Dans le club des correspondants, franceinfo passe les frontières pour voir ce qui se passe ailleurs dans le monde. Aujourd’hui direction Tunis, Bagdad et Jakarta pour voir quelles restrictions sanitaires ont été décidées lors de l’Aïd.

    Comme l’année dernière, la fin du ramadan, mercredi 12 mai, se déroule dans un contexte particulier. La pandémie de Covid-19 bouscule les habitudes des pays musulmans et les festivités sont soumises à restrictions. Nous partons en Tunisie, en Irak et en Indonésie pour voir quelles mesures ont été prises pour l’Aïd.

    Les Tunisiens fêtent l’Aïd confinés
    En Tunisie, c’est simple : la population passe toute cette dernière semaine du mois de ramadhan confinés. Impossible de se réunir en famille pour l’Aïd. Le pays est frappé par une troisième vague autrement plus meurtrière que les deux premières avec 90 morts par jour en moyenne.

    La Tunisie fait face à la plus grave crise sanitaire de son histoire dit le premier ministre qui, ces dernières semaines, alors que la courbe montait dangereusement, martelait que l’économie du pays ne survivrait pas à un nouveau confinement. Il a été contraint de changer d’avis.

    Zina, la quarantaine, couturière, résume bien l’ambiance générale. Elle est soulagée même si ce confinement tombe la dernière semaine du mois de ramadan. Soulagée mais fâchée contre ce gouvernement qui a bien trop tardé à promulguer le confinement : « Je le critique à mort, à mort. Fin mars, début avril, on aurait dû faire un confinement général. On meurt, on meurt tous les jours. Dans notre religion, c’est la santé avant tout ! C’est le bon Dieu qui nous ordonne de faire gaffe à notre santé ! »

    Le corps médical attendait lui aussi ce confinement à l’instar de Zakaria Bouquira. Ce médecin décrit l’état de son hôpital : « C’est vraiment terrible ce qui est en train d’arriver. Quand il y a des nouveaux patients ils sont sur la liste d’attente. On est arrivés au stade de la saturation. » Pour lui, il faudrait non pas une semaine de confinement, mais deux mois minimum afin d’aplanir la courbe. D’autant qu’à peine plus de 2% des Tunisiens ont être vaccinés pour le moment.

    En Irak, un couvre-feu peu respecté
    L’Irak, pays arabe le plus touché par l’épidémie de Covid-19, ne veut prendre aucun risque. L’Aïd se déroulera en petit comité seulement car un couvre-feu de dix jours commence dès aujourd’hui. Un couvre-feu total qui se prolongera jusqu’au 22 mai. Tout sera fermé pendant cette période normalement synonyme de vacances et de festivités.

    Des forces de sécurité quadrillent les villes pour contrôler tous les passages en voiture. Mais les Irakiens sont en quelque sorte inventifs et n’aiment pas beaucoup les règles. Il y a déjà, depuis plusieurs mois ici un couvre-feu, imposé les week-ends, et on voit de plus en plus de voitures dans les rues même pendant ces jours de restrictions. Ce sont des habitants qui ont réussi à se procurer des laissez-passer, normalement réservés aux militaires, médecins, journalistes, etc. Au même titre, d’ailleurs, qu’on voit de plus en plus d’Irakiens se rassembler sur les trottoirs, devant des cafés ambulants sans être trop inquiétés par les forces de l’ordre.

    Ce couvre-feu total risque donc de ne pas être totalement respecté. Ce qui fait craindre une hausse des contaminations peut-être dans les prochaines semaines. C’est en tout cas ce que redoute le personnel soignant. L’Irak a vécu une seconde vague très virulente, avec près de 10 000 nouvelles contaminations par jour, « officiellement ». Car tous les médecins disent ici que ces chiffres sont sous-évalués.

    Tous les services étaient en tout cas surchargés, et ca ne se calme que depuis quelques jours. Ce personnel soignant redoute donc que, malgré ce couvre-feu, de larges rassemblements, familiaux, religieux, soient organisés et aggravent une nouvelle fois la situation. Particulièrement à l’heure où plusieurs cas du variant dit indien ont été détectés en Irak. On sait que ce variant préoccupe beaucoup la communauté scientifique, et en Irak, le système de santé est quasi inexistant. Pour ces médecins ce n’est donc absolument pas le moment de lâcher du lest si l’on veut éviter un scénario catastrophe.

    L’Indonésie redoute un scénario à l’indienne
    En Indonésie, pays qui compte le plus de musulmans au monde, la fin du ramadan génère d’immenses mouvements de migrations intérieures : c’est le mudik. Des millions de travailleurs retournent dans leur région natale. Cette année, malgré la pandémie de Covid-19 et l’interdiction de voyager, le gouvernement s’attend à ce que 18 millions de personnes parviennent quand même à circuler. Les épidémiologistes redoutent le pire.

    C’est la même comparaison qui revient sans cesse, celle d’un scénario à l’indienne. L’Indonésie était déjà mal préparée à la pandémie, avec seulement trois lits de soin intensifs pour 100 000 habitants. Et aujourd’hui, avec les variants sud-africain, anglais et indien qui circulent, un scénario catastrophe est à craindre.

    Pour l’épidémiologiste Dicky Budiman ces migrations de fin de ramadan sont terribles car elles mettent à mal un des seuls atouts dont dispose l’Indonésie dans sa bataille contre le Covid-19 : « Comme nous sommes un archipel, nous avons des barrières naturelles, les îles sont de facto confinées, donc il faudrait utiliser cette géographie, mais là c’est trop tard on a perdu cette opportunité. »

    >>> L’indonésie mise sur un vaccin certifié halal

    Si les voyages sont interdits, comment ces migrations sont elles possibles ? Certains sont partis avant la date officielle d’interdiction, d’autres prennent des petites routes, se cachent dans des camions de marchandise. Pour Dicky Budiman, cette obstination à fêter l’Aïd normalement est aussi le symptôme du peu de crédit qu’ont les autorités sanitaires dans ce pays.

    En Indonésie, 80% des gens, lorsqu’ils tombent malades, se soignent par eux-mêmes. En attendant, le virus circule à un taux inquiétant : sur un échantillon de 6 000 voyageurs pris au hasard par le gouvernement, 61% étaient positifs au Covid-19.

    Franceinfo, 12 mai 2021

    Etiquettes : Tunisie, Irak, Indonésie, Aïd El Fitr, Ramadan, covid 19, pandémie, coronavirus, confinement,

  • Tunisie: les musulmans célébreront l’Aïd-el-Fitr confinés

    Depuis dimanche, la Tunisie est rentrée dans un confinement d’une semaine en raison de la situation sanitaire qui se détériore. Ce nouveau de confinement qui englobe la célébration de l’Aïd-El-Fitr, la fête de la fin du mois de Ramadan, suscite la colère des commerçants et artisans.

    La décision des autorités tunisiennes d’instaurer un nouveau confinement d’une semaine, du 9 au 16 mai, suscite de la colère et des manifestations au sein de la population, principalement pour son impact sur l’activité économique.

    Durant cette période, les mosquées doivent fermer et les prières du vendredi et de l’Aïd-el-Fitr sont annulées. Il est, en outre, interdit de circuler entre les villes, les rassemblements pour les événements sportifs ou familiaux et toutes les manifestations publiques ou privées sont interdites. Les parcs et centres commerciaux, les marchés hebdomadaires et supermarchés sont également fermés pendant cette période à l’exception des commerces de proximité et ceux liés aux secteurs vitaux.

    Plusieurs commerçants et propriétaires de café dans la ville de Gabès, dans le sud-est, ont organisé, dans la nuit du samedi 8 mai, un rassemblement de protestation devant le gouvernorat de la région pour exprimer leur refus du confinement général qui aura des incidences graves sur leurs activités, la période de l’Aïd étant une occasion pour se refaire une santé financière.

    Ces nouvelles mesures sanitaires de lutte contre le coronavirus coïncident, en effet, avec la fête marquant la fin du mois de jeûne du Ramadan, attendue cette année le 13 mai. À l’occasion de cette fête, les musulmans qui se réunissent traditionnellement en famille ou entre amis, après la grande prière à la mosquée, sont enjoints de rester chez eux.

    « Nous ne pouvons pas accepter »

    Dimanche 9 mai, au premier jour de ce nouveau confinement, plusieurs dizaines de chauffeurs de taxi se sont rassemblés à Tunis, la capitale, pour manifester contre ces nouvelles mesures, selon un correspondant de l’AFP. « Nous n’avons pas assez d’argent pour vivre, nous ne pouvons pas accepter de rester chez nous, » a dit l’un d’entre eux.

    Dans le gouvernorat de Sousse, dans le centre-est, la branche de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), la principale organisation patronale, a décidé de faire fi de ces restrictions supplémentaires : « Nous avons décidé de poursuivre les activités commerciales, étant donné les conditions économiques difficiles de la plupart des entreprises ».

    Le système de santé menace de s’écrouler

    Certains internautes ont par contre salué la décision des autorités et encouragé le respect des nouvelles mesures de lutte contre la pandémie. « Vu la pandémie dans le pays, le gouvernement avait-il d’autres choix ?, interroge Lilia Reno. D’ailleurs, de nombreux Tunisiens attendaient cette décision et espèrent ainsi la diminution du nombre de cas et de décès. »

    Selon le bilan de la pandémie dans le pays communiqué le 9 mai, la Tunisie a enregistré « 1 301 nouveaux cas de contamination au coronavirus et 79 décès supplémentaires durant ces dernières 24 heures. 2 518 sont actuellement hospitalisés, dont 490 patients en réanimation et 138 sous assistance respiratoire ». La Tunisie compte donc, à cette date, 320 813 cas confirmés de covid-19 et 11 429 décès, depuis le début de la pandémie en mars 2020.

    En raison d’un système de santé qui menace de « s’écrouler » du fait de l’afflux grandissant de malades dans les hôpitaux, les autorités tunisiennes ont annoncé, vendredi 7 mai, l’instauration d’un nouveau confinement du 9 au 16 mai, et un durcissement du couvre-feu qui commence désormais à 19 heures jusqu’à 5 heures.

    Guy Aimé Eblotié (avec AFP)

    La Croix Africa, 10 mai 2021

    Etiquettes : Ramadan, Aïd El Fitr, jeûne, confinement, coronavirus, covid 19, pandémie,

  • RAMADAN – Tout savoir sur l’Aïd El Fitr

    L’Aïd el-Fitr ou fête de la rupture, marque la fin du jeûne du mois de ramadan. Elle est célébrée le premier jour du mois de chawâl 10ème mois du calendrier lunaire islamique. Elle est aussi parfois appelée Aïd el Sghir « la petite fête », par opposition à l’Aïd el Kebir, « la grande fête »

    Pour être fixé sur la date de la fin du ramadan 2021 (année 1442 de l’hégire), il faut attendre la nuit du doute, le vendredi 29 ramadan (12 mai). Les instances musulmanes se réunissent ce jour-là pour observer le ciel. Si un croissant de Lune est visible dans la soirée, alors l’Aïd el-Fitr aura lieu le 13 mai, dans le cas contraire, l’Aïd el-Fitr débutera le 14 mai. Seul le Mufti de la République est habilité à annoncer la date exacte.

    L’Ambassade de France et le Consulat général seront fermés le jour de l’Aïd.

    Les coutumes de l’Aïd el-Fitr

    Selon la tradition, avant la prière du Sobh, les hommes portaient leurs plus beaux vêtements et les femmes préparaient les plats de Hlouw. Elles s’échangeaient des gâteaux et pâtisseries divines à travers les visites que seulement les hommes pratiquaient.

    Le fidèle s’acquitte de l’aumône de la rupture du jeûne ou Zakat al-Fitr. La prière (salat al aïd) a lieu en début de matinée et est effectuée soit dans une mosquée, soit dans un mossalla permettant de rassembler plus de fidèles.

    Les enfants, de leur côté, sortaient avec les nouveaux habits. Ils collectaient aussi Mehbet El Aid, donnée par les oncles et les voisins.

    Aujourd’hui, les femmes partagent avec leurs maris les visites entre familles et amis. Certaines familles préfèrent sortir et se promener plutôt que de se plier aux traditions et visiter le vieil oncle ou la belle-mère.

    Les enfants sont devenus de vrais petits pachas et savent bien que cette fête leur est aussi dédiée. Ils en profitent donc pour faire de multiples caprices et réclamer jeux coûteux et vêtements à la mode !

    Cependant, cette fête sera toujours la plus amusante et la plus colorée de toute l’année.

    Le petit journal, 04 mai 2021

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