Étiquette : Algérie

  • Algérie-Mauritanie: Stimuler le libre échange

    Etiquettes : Algérie, Mauritanie, libre échange, zone franche, poste frontalier, Tindouf, Zouérate,

    Les présidents de l’Algérie et de la Mauritanie ont ouvert jeudi un poste à la frontière des deux pays d’Afrique du Nord pour renforcer les liens bilatéraux et stimuler le commerce.

    Les dirigeants ont également convenu de créer une zone de libre-échange et de construire une route de 847 kilomètres reliant la ville algérienne de Tindouf à Zouérate en Mauritanie.

    « Les hôtels, les restaurants, les chauffeurs de taxi et les travailleurs des secteurs public et du logement sont heureux », a déclaré Dida Abdewahab, un habitant de Tindouf, à Reuters.

    L’accord intervient quelques jours après que l’Algérie, membre de l’OPEP, ait annoncé un investissement de 442 millions de dollars dans des projets énergétiques au Mali, au Niger et en Libye.

    L’Algérie a également annoncé l’ouverture de quatre autres zones de libre-échange en 2024 avec le Mali, le Niger, la Tunisie et la Libye.

    L’Algérie, fortement dépendante des ventes de pétrole et de gaz, s’efforce de diversifier son économie.

    Ses exportations hors hydrocarbures ont atteint un record de 7 milliards de dollars en 2022 et se sont élevées à 5,3 milliards de dollars au cours des 11 premiers mois de 2023, selon des chiffres officiels.

    L’Algérie enregistre un excédent commercial dans les produits céramiques, le clinker de ciment, les produits ferreux, le sucre raffiné et les dattes.

    « Cela aurait dû se produire il y a longtemps, mais il n’y avait pas assez d’attention diplomatique portée à la Mauritanie », a déclaré Geoff Porter, un analyste américain spécialisé dans l’Afrique du Nord, à Reuters.

    Reuters, 22/02/2024

    #Algérie #Mauritanie #ZoneFranche #Libreéchange

  • L’Algérie et la Mauritanie lancent un projet de zone de libre-échange

    Etiquettes : Algérie, Mauritanie, zone franche, libre échange, Tindouf, Zouérate,

    ALGER, 22 février (Xinhua) — L’Algérie et la Mauritanie ont lancé jeudi un projet de zone de libre-échange située dans la province algérienne de Tindouf, à l’extrême ouest de l’Algérie, près de la frontière entre les deux pays, a rapporté l’agence de presse officielle Algérie Presse.

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune et le président mauritanien en visite Mohamed Ould Cheikh Ghazouani ont assisté à la cérémonie d’inauguration des travaux dans la province, selon le rapport.

    L’événement a également dévoilé des projets de construction de postes frontières fixes entre les deux pays et d’une route de 840 km reliant Tindouf en Algérie à Zouerate, la capitale de la région du Tiris Zemmour, la plus septentrionale de la Mauritanie.

    La zone de libre-échange de Tindouf s’inscrit dans le cadre du projet algérien d’ouvrir des zones de libre-échange avec cinq pays voisins pour renforcer la coopération économique, dont les quatre autres sont le Mali, le Niger, la Tunisie et la Libye. Le plan a été annoncé par Tebboune au début du mois.

    #Algérie #Mauritanie #Tindouf #Libreechange #ZoneFranche

  • GB-Algérie: LNG et Sonatrach signent un accord de 10 ans

    Etiquettes : GB, Algérie, LNG, Sonatrach, Royaume Uni, accord de 10 ans, stockage, réeexpédition, GNL,

    Le terminal Grain LNG au Royaume-Uni et Sonatrach en Algérie ont signé un accord de gaz naturel liquéfié (GNL) d’une durée de 10 ans.

    Grain LNG a annoncé mercredi la signature d’un accord décennal avec Sonatrach afin d’élargir la capacité de stockage à long terme et de réexpédition de la compagnie algérienne au terminal d’importation de gaz naturel liquéfié (GNL) le plus important d’Europe, au-delà de janvier 2029.

    Cet accord porte sur une capacité d’importation de 125 gigawattheures par jour (GWh/j), équivalant à 3 millions de tonnes métriques par an (mtpa) de GNL, et est le premier à être annoncé dans le cadre du processus d’enchères concurrentielles de Grain LNG, lancé en septembre pour 9 mtpa de capacité existante. Ce processus vise les parties souhaitant acquérir une part importante dans le terminal à un coût réduit et avec des durées de contrat plus courtes par rapport aux projets de construction neuve.

    Situé sur l’île de Grain dans le Kent, le terminal Grain de National Grid est actuellement en cours d’expansion pour stocker et fournir suffisamment de gaz afin de répondre à jusqu’à 33% de la demande de gaz britannique.

    « Cet accord garantit que Grain continuera d’avoir une base de fournisseurs diversifiée au sein du bassin de l’Atlantique », a déclaré Katie Jackson, présidente de National Grid Ventures. « Les importations de GNL jouent un rôle crucial en veillant à ce que le Royaume-Uni dispose du gaz nécessaire, au moment opportun, offrant un approvisionnement flexible et fiable en gaz pour chauffer les foyers et compléter la croissance de la génération d’énergie renouvelable », a-t-elle ajouté.

    L’accord contribue à la stratégie de marketing à long terme de Sonatrach en diversifiant ses marchés de GNL, a déclaré Mayouf Belgacem, vice-président exécutif de Sonatrach.

    #Algérie #RoyaumeUni #LNG #GNL #Sonatrach

  • Tensions avec le Mali: L’Algérie voit la main du Maroc

    Etiquettes : Tensions avec le Maroc, Algérie, Maroc, Azawad, CMA, Mali, Sahel, Accord d’Alger,

    La récente résiliation de l’accord algérien de 2015 avec les groupes indépendantistes du nord du Mali par la junte au pouvoir au Mali a conduit à des accusations de l’Algérie à l’encontre du Maroc et d’Israël.

    Les autorités maliennes justifient leur décision en soulignant le vieillissement de l’accord, son « instrumentalisation » par l’Algérie et l’ »augmentation d’actes hostiles » et d’ »ingérence » de l’Algérie dans les affaires maliennes. L’Algérie voit la main du Maroc et de son allié Israël dans cette situation et les accuse de vouloir déstabiliser l’Algérie via le Sahel.

    Un article de TSA relie une réunion à Marrakech le 23 décembre à ces développements. Lors de cette réunion, les ministres des Affaires étrangères des quatre pays du Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad) se sont rencontrés, le Maroc leur promettant un accès à la mer via ses infrastructures portuaires de l’Atlantique.

    Ce projet, visant à relier le Sahel à l’Atlantique à travers le Sahara, à transformer les économies du Sahel, à améliorer la vie de la population et à promouvoir la sécurité dans la région, est soutenu par le Maroc en mettant à disposition ses infrastructures routières, portuaires et ferroviaires. Les quatre pays créeront chacun une « task force » pour définir leurs priorités et préparer la mise en œuvre du plan.

    Selon le journal algérien, ce projet vise à contrecarrer l’approche de l’Algérie en matière de résolution pacifique de la crise et d’aide au développement de ses voisins sahéliens. L’Algérie affirme que le Maroc agit comme une influence nuisible au Mali et qu’il y a une source d’inspiration israélienne derrière les activités du Maroc dans les pays du Sahel en général, rendant leurs actions « prévisibles ».

    #Maroc #Algérie #Sahel #Mali #Azawad #AccorddAlger

  • Crise avec le Mali, l’Algérie pointe du doigt le Maroc

    Etiquettes : Mali, Algérie, Maroc, Sahel, Azawad, Touregs, CMA, Niger, Burkina Faso, Tchad, Israël,

    La récente annulation de l’accord de 2015 entre l’Algérie et les groupes indépendantistes du nord du Mali par la junte au pouvoir au Mali a conduit à des accusations de l’Algérie contre le Maroc et Israël.

    Les autorités maliennes justifient leur décision en pointant la vétusté de l’accord, son « instrumentalisation » par l’Algérie, ainsi que la « multiplication des actes hostiles » et « l’ingérence » de l’Algérie dans les affaires maliennes. L’Algérie voit la main du Maroc et de son allié Israël dans cette situation et les accuse de vouloir déstabiliser l’Algérie à travers le Sahel.

    Un article de TSA relie une réunion à Marrakech le 23 décembre à ces développements. Lors de cette réunion, les ministres des Affaires étrangères des quatre pays du Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad) se sont réunis, le Maroc leur promettant un accès à la mer à travers ses infrastructures portuaires sur l’océan Atlantique.

    Ce projet, qui vise à relier le Sahel à l’océan Atlantique via le Sahara, transformer les économies du Sahel, améliorer la vie de ses populations et promouvoir la sécurité dans la région, est soutenu par le Maroc en rendant ses infrastructures routières, portuaires et ferroviaires disponible. Les quatre pays mettront chacun en place une « task force » pour déterminer leurs priorités et préparer la mise en œuvre du plan.

    Le quotidien algérien affirme que ce projet vise à contrer l’Algérie et sa démarche de résolution pacifique des crises et d’aide au développement de ses voisins du Sahel. L’Algérie affirme que le Maroc agit comme une influence néfaste au Mali et qu’il y a une inspiration israélienne derrière les activités du Maroc dans les pays du Sahel en général, rendant leurs actions « prévisibles ».

    #Maroc #Algérie #Sahel #Mali #Touaregs #CMA #Azawad

  • L’Algérie s’engage à soutenir la mission du Kenya en Haïti

    Etiquettes : Algérie, Kenya, Haïti, Israël, Gaza, Palestine, Ahmed Attaf, Musalia Mudavadi,

    Le Premier ministre, le secrétaire du Cabinet et le ministre des Affaires étrangères et de la Diaspora, Musalia Mudavadi, ont exprimé l’appréciation du Kenya pour le soutien politique et financier de l’Algérie à la mission de soutien à la sécurité multinational en Haïti, a rapporté jeudi Citizan Digital.

    Mudavadi a pris la parole jeudi lors d’une réunion avec le ministre des Affaires étrangères algérien, Ahmed Attaf, en marge du 19e sommet du Mouvement des non-alignés qui se tient à Munyonyo, en Ouganda.

    Il a affirmé l’engagement du Kenya à diriger les efforts internationaux pour soutenir la quête de la paix et de la stabilité en Haïti, tandis qu’Attaf a promis la collaboration continue de l’Algérie avec le Kenya sur cette question.

    Les deux ministres ont également discuté du conflit entre Israël et le Hamas, appelant conjointement à l’impératif de désescalade des hostilités et à la fin de la crise humanitaire à Gaza.

    Le Kenya et l’Algérie ont souligné la nécessité d’une solution à deux États, en accord avec la déclaration de l’ONU pour une résolution durable du conflit.

    Abordant la menace du terrorisme et de l’extrémisme en Afrique, Attaf a mis en avant les défis auxquels est confrontée la région du Sahel en raison de groupes armés et extrémistes, certains liés à des organisations terroristes telles que l’État islamique (ISIS).

    Mudavadi a souligné l’importance d’efforts concertés pour lutter contre le terrorisme, faisant référence aux préoccupations sécuritaires du Kenya liées à des groupes tels qu’Al-Shabab.

    Il a déclaré que les deux nations entretiennent des liens politiques et diplomatiques solides et sont des partenaires stratégiques sur le continent africain.

    #Algérie #Kenya #Palestine #Israël #Gaza #AhmedAttaf #MusaliaMudavadi #Sahel

  • Conseil de sécurité: L’Algérie portera haut la voix de l’Afrique

    Etiquettes : Algérie, Conseil de Sécurité, Afrique, ONU, Sierra Leone, Corée du Sud, Guyana, Slovénie,

    L’installation officielle de l’Algérie au Conseil de sécurité des Nations unies en tant que membre non permanent pour une période de deux ans a officiellement commencé.

    Du 1er janvier 2024 au 31 décembre 2025, nous aurons deux ans « pour porter haut la voix du continent africain au sein de cet organe central de l’ONU », rapporte l’agence de presse officielle algérienne APS.

    De plus, « l’Algérie renouvellera à New York son engagement envers la paix, en accordant la priorité au dialogue, à la résolution pacifique des crises et au principe de non-ingérence dans les affaires internes des États, dans le but de poursuivre son approche en faveur du maintien de la paix internationale et de la sécurité, soutenant la coopération internationale et renforçant le rôle de l’ONU, l’incitant à assumer ses responsabilités envers les deux peuples, palestinien et sahraoui », ajoute-t-on.

    Parmi les priorités de l’Algérie dans ce contexte, on trouve « la promotion de solutions pacifiques aux crises, le renforcement des partenariats, le soutien au rôle des organisations régionales et l’amélioration de l’efficacité de la lutte internationale contre le terrorisme », rapporte encore l’agence d’État.

    On se souvient que le 6 juin dernier, 184 pays sur 193 ont voté « oui » pour élire l’Algérie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2024-2025, aux côtés de la Sierra Leone, de la Corée du Sud, du Guyana et de la Slovénie. Cette prise de fonction est la quatrième du genre pour le pays nord-africain, après les mandats suivants : 1968-1969, 1988-1989 et 2004-2005.

    #Algérie #ONU #ConseilDeSécurité #Afrique

  • Algérie : Tebboune exhorté à se présenter pour un 2ème mandat

    Etiquettes : Algérie, Abdelmadjid Tebboune, Assemblée Nationale, Parlement algérien,

    Les membres du Parlement algérien ont exhorté le président Abdelmadjid Tebboune à se présenter pour un deuxième mandat lundi.

    « Si Allah veut me donner une santé suffisante », leur a-t-il dit, s’abstenant de faire une annonce formelle concernant l’élection présidentielle prévue à la fin de 2024.

    Tebboune a été élu en décembre 2019 pour un mandat de cinq ans et peut se présenter pour un deuxième et dernier mandat, selon la constitution algérienne.

    La décision des députés algériens a été prise suite à un discours très captif du président Tebboune où il a fait des annonces importantes :

    • Réservede 70 md$ et pas de financement externe
    • Ouverture vers la diaspora
    • Une augmentation de 45% aux salaires des employés de la santé et l’éducation
    • Indemnité chômage et femme au foyer
    • Récupération de 30 Md$ détournés

    #Algérie #Tebboune #2ème_mandat

  • Ah, qu’est-ce qu’il est fou notre ami le Roi !

    Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, Congrès Amazigh Mondial, Algérie, Hirak, Nasser Zefzafi, Gaza, Palestine,

    Le Maroc qui soutient le congrès Amazigh mondial et se pose, faussement et insidieusement comme le défenseur de l’amazighité et le porte étendard du combat pour identitaire. Quelle belle farce ! Quel doux leurre ! Que l’on ne s’y trompe pas.

    Le Maroc est un royaume de l’intrigue. Tout ce qu’il fait est très souvent sujet à caution. Difficile de croire un roi qui a pitoyablement rabaissé ses fidèles sujets au rang de vulgaire objets obéissants qui n’ont plus de voix au chapitre.

    Que ceux qui portent la cause amazighe dans leur cœur au Maroc comme ailleurs, se méfient des trompeuses professions de foi d’un roi bonimenteur qui brandit la carotte, pour cacher le bâton. Juste le temps de faire passer cette dernière pilule décidément bien grosse d’être un soutien du congrès mondial amazigh.

    Eh oui ! L’histoire du royaume des alaouites est là pour nous rappeler la longue série noire des répressions parfois inhumaines des militants de la culture et langue amazigh.

    L’oppression, la déportation, l’exil, l’assassinat et l’emprisonnement des symboles du combat amazigh au royaume de M6 s’hérite, à ce jour, de père en fils. La famille royale se transmet la haine de ces amazigh rebelles et allergiques à son régime moyenâgeux, depuis plus de cent ans.

    De Abdelkrim El Khattabi, fondateur de la république du RIF en 1921 à Nasser Ezzafzafi qui avait mené le Hirak du RIF, les militants de l’amazighité au Maroc ont connu les pires souffrances, sous les coups de boutoirs d’une monarchie sectaire, arrogante et surtout, sans pitié.

    Qui ne se souvient pas du bombardement de la région amazighophone du RIF en 1959 par le prince héritier Hassan II pour tuer dans l’œuf le soulèvement appelé à l’époque «la révolte du RIF » ?

    La série noire
    Pourtant, les rifains avaient seulement protesté contre la violence du makhzen, la pauvreté et la marginalisation. Mais la monarchie alaouite adore s’abreuver de sang. Le RIF fut l’épicentre d’une répression sauvage dans la mémoire collective garde le terrible souvenir du bain de sang commis à Beni Ourighel avec plusieurs milliers morts.

    Quelques années plus tard, l’icône du combat amazigh du RIF a dû se résigner à mourir dans son lointain exil au Caire plutôt que de revenir dans un Maroc privatisé par la famille royale et où il ne faisait plus bon vivre qui plus est.

    Depuis, les rifains sont quasiment soumis à un état de siège par le royaume du Hassan le terrible et aujourd’hui aussi par son fils Mohamed. Ils sont surveillés comme du lait sur le feu ! Pas de quartier pour ces révoltés du RIF empêcheurs de gouverner en rond au sein d’une monarchie qui veut absolument tout régenter.

    Appréciez donc cette menace sentencieuse et gorgée de haine de feu Hassan II prononcée en 1984 à l’endroit des rifains après une énième révolte : « Si ces Awbach (déchets de la société) ont oublié le personnage du roi Hassan II qu’il se rappellent celui du prince héritier Hassan de 1959 ! » Sans commentaires.

    Le Maroc qui réprime et massacre les rifains porte-flambeau de l’amazighité ne peut raisonnablement se prévaloir d’être un soutien au congrès mondial Amazigh ! La prétention frise le ridicule.

    A vrai le royaume de M6 désormais «sionisé» ne supporte pas que l’on ose ne serait-ce qu’une critique au régime du makhzen.

    La preuve ? Il y a quelques jours seulement un ancien médecin militaire déserteur chef des FAR (Forces armées royales), un certain Mourad Sghir a été retrouvé mort dans des circonstances bizarres à Tanger. Pour le journaliste opposant Ali Lamrabt, le crime porte une irréfutable signature : les services de Sa majesté.

    Ils sont des centaines d’opposants à finir comme ce malheureux Mourad Sghir au Maroc du baisemain et des présentations.

    Du Rif à Ghaza, même combat !

    Les sbires du makhzen sont vraiment culottés de prétendre soutenir l’amazighité et ses défenseurs. Notre «ami» le roi serait mieux inspiré de ne d’abord pas couper les vivres aux rifains Rifains et leur assurer des logements décents et de quoi survivre à la veille de l’hiver trois mois après un séisme dévastateur.

    La réalité est que la monarchie impose une double peine aux habitants du Rif comme ce fut le cas en 2004, lors du séisme qui avait frappé la région d’Al Hoceima qui avait fait des centaines de morts et de sans-abris notamment dans les villages d’Ait Kamra et d’Imzouren.

    Les malheureux habitants de ces localités Amazigh avaient été abandonnées à leur sort. Souvenons-nous que l’Algérie à travers la Sonelgaz assurait chaque semaine l’alimentation de cette région en bonbonne de gaz en ouvrant exceptionnellement la frontière de Ouajda !


    Le mensonge n’est pas une politique encore moins une bonne stratégie. Qui peut être un fieffé crédule pour croire le Maroc est sincère dans sa célébration « verbale » de l’amazighité et de son congrès ?

    La réalité est que ces galéjades royales s’apparentent au baiser de Judas. Ce sont des mystifications destinées à justifier à posteriori une répression ou un coup tordu à venir contre le RIF et son combat.

    Faut-il rappeler ici le martyre que subissent les palestiniens sous les bombardements de l’armée d’occupation sioniste ayant reçu la baraka du « Emir Al Mouaminin» (commandeur des croyants) via son label de «président du Comité Mondial El Qods» ? Incroyable !

    Ce royaume normalisateur et normalisé sert, ironie du sort, de chair à canon à l’entité sioniste à Ghaza et à laquelle elle ne peut rien refuser. Les soldats des FAR prêtent même main forte à l’armée génocidaire sioniste à Ghaza.

    Mais à bien y réfléchir, on s’aperçoit que le Maroc et Israël sont liés par un pacte génocidaire : l’un veut exterminer les Amazigh du RIF, et l’autre exterminer les Palestiniens.

    Question à un Dirham dévalué : A quoi bon glorifier l’amazighité quand on est à ce point allergique à ceux qui s’en réclament ? Faites vos jeux…d’échec au roi !

    Hakim Merabet

    Source

  • L’Algérie souhaite promouvoir les liens commerciaux et économiques avec le Pakistan

    Etiquettes : Algérie, Pakistan, relations commerciales, relations èconomiques,

    Brahim Romani, ambassadeur d’Algérie, a déclaré que son pays souhaite développer des liens commerciaux et économiques solides avec le Pakistan, car les deux pays ont un bon potentiel de coopération dans de nombreux domaines. Il a déclaré que le Pakistan est l’un des premiers pays à reconnaître l’Algérie et qu’il est temps que les deux pays se concentrent sur l’amélioration des relations commerciales afin d’obtenir de meilleurs résultats pour leurs économies respectives. Il a déclaré cela en s’adressant au monde des affaires lors de sa visite à la Chambre de commerce et d’industrie d’Islamabad (ICCI).

    L’ambassadeur a déclaré que l’Algérie occupe une situation géographique importante avec des ressources naturelles abondantes, notamment des mines de fer, de lithium, d’uranium, etc. et que les investisseurs pakistanais devraient explorer les opportunités d’investissement dans son pays pour exporter leurs produits vers l’immense marché africain. Il a indiqué qu’une délégation algérienne se rendrait également au Pakistan pour assister à des expositions à Lahore et Karachi. Il a déclaré que la CICI devrait également planifier une délégation en Algérie pour explorer les opportunités commerciales.

    S’exprimant à cette occasion, Ahsan Zafar Bakhtawari, président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Islamabad, a déclaré que le commerce bilatéral entre le Pakistan et l’Algérie est assez faible et que les deux pays devraient faire des efforts pour le porter à au moins 1 milliard de dollars américains. Il a identifié le coton, les textiles, les matériaux de construction, les produits chimiques, les engrais, les produits pharmaceutiques, l’aluminium, les produits en plastique, les articles électriques et électroniques, les produits alimentaires et autres comme domaines potentiels de coopération commerciale entre le Pakistan et l’Algérie. Il a déclaré que le Pakistan produit de nombreux produits de qualité et que l’Algérie devrait se concentrer sur ses importations en provenance du Pakistan. Il a assuré que la CICI est prête à travailler avec l’ambassade d’Algérie pour renforcer la connectivité entre les secteurs privés afin d’améliorer les relations commerciales et économiques entre le Pakistan et l’Algérie.

    Faad Waheed, vice-président principal de la CICI, a déclaré que le Pakistan et l’Algérie ont un bon potentiel pour renforcer la coopération dans le secteur de l’acier et que les deux pays devraient profiter de cette opportunité pour renforcer leur coopération bilatérale.

    Ingénieur. Azhar ul Islam Zafar, vice-président de la CICI, a souligné que les deux pays devraient encourager l’échange régulier de délégations commerciales pour explorer tous les domaines inexploités de coopération mutuelle.

    Zafar Bakhtawari, ancien président de la CICI et secrétaire général de l’UBG, a insisté sur la nécessité de vols directs entre le Pakistan et l’Algérie afin de promouvoir les relations interpersonnelles et commerciales. Il a déclaré que le Premier ministre algérien Nadir Larbaoui est son ami personnel et qu’en tant qu’ambassadeur d’Algérie au Pakistan, il a joué un rôle important dans l’amélioration des relations bilatérales entre les deux pays. Il a indiqué qu’une délégation de la CICI se rendrait en Algérie pour le féliciter de son élection au poste de Premier ministre.

    Cheikh Muhammad Ejaz, Maqsood Tabish, Dr Usman, Khalid Mehmood, Akhtar Hussain, Imtiaz Abbasi, Mme Munezih Majid et d’autres ont également partagé des idées utiles pour renforcer les relations commerciales entre le Pakistan et l’Algérie.

    #Algérie #Pakistan