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  • Algérie. Le peuple a (toujours) raison

    Algérie. Le peuple a (toujours) raison – Abdelmadjid Tebboune, Algérie nouvelle,

    La raison du peuple est toujours la meilleure. Deux ans après l’élection de M. Abdelmadjid Tebboune à la magistrature suprême, le 12 décembre 2019, le temps aura donné raison au peuple algérien. N’en déplaise aux cassandres et prophètes de la transition qui écumaient le mouvement populaire et le précipitait, doucement et sûrement, dans une impasse mortifère pour la nation. Le peuple algérien avait raison d’exprimer son vote et de ne pas répondre aux clairons et trompettes qui sonnaient le boycott et la chute des institutions de l’Etat.

    Le vote en faveur du candidat indépendant Abdelmadjid Tebboune a été très majoritairement acquis grâce aux voix des catégories les plus modestes, soit cette masse diffuse d’Algériennes et d’algériens au destin chevillé à la patrie et foncièrement attachée à la continuité et pérennité de l’Etat. Son électorat, le candidat Tebboune a été le chercher loin, non pas parmi les ex- « grands électeurs » du système, les faiseurs et défaiseurs notoires des rois, mais parmi les honorables et braves gens de cette « Algérie profonde », socialement toisée et souvent marginalisée si non exclue des biens faits des progrès et développement humains.

    La victoire de M. Tebboune signifie aussi et surtout la défaite d’un « système » antinational qui excellera, des décennies, dans ses pratiques maffieuse et la prédation. Si la surprise a été grande pour ce système qui avait tout misé sur son « poulain », la victoire de M. Abdelmadjid Tebboune, a permis de dévoiler d’importantes failles. Notamment dans le paysage médiatique national qui conjecturait, si non fantasmait, sur des scénarii de politique fiction. Mais la raison du peuple a eu le dernier mot. Ce fut de « bon augure » pour la démocratie balbutiante! A mi-mandat présidentiel, ou presque, les Algériens sont globalement satisfaits, -comme aime à le répéter le chef de l’Etat -, parce que l’Algérie est un pays sûr et sécurisé, préservé du chaos que lui vouait les fauteurs de troubles parmi les puissances ennemies. Un Président qui a le courage et l’honnêteté de dire haut et fort, ce que beaucoup pensent tout bas.

    Chose qui ne plait pas. A l’establishment et ses relais qui, pressés de remonter sur selle, grenouillent et pataugent dans la mare aux complots, les fake-news et incitent au désordre public.

    Ce qui déplait aux parties hostiles au changement, aux adeptes de l’immobilisme qui tentent de torpiller l’édification de l’Algérie nouvelle prônée par le Président Tebboune. Vent debout, le Président Tebboune poursuit avec force et conviction, l’édification de la nouvelle Algérie à laquelle aspirent les Algériens.

    El Moudjahid, 11/12/2021

    #Algérie #Tebboune

  • Algérie : L’urne ne sourit pas aux jeunes

    Ces législatives ont consacré l’éviction de ce potentiel innovant

    Ces législatives nous renvoient à l’école du marketing politique, afin de décrypter les messages en suspens.

    Mohamed OUANEZAR

    L’espace d’une législative mouvementée, une pléiade de jeunes candidats indépendants et d’autres inscrits sur les listes de partis politiques, sans ressources et sans grande expérience politique a cru en ce changement attendu et annoncé en grande pompe, par les uns et les autres. De futurs et potentiels jeunes politiciens qui n’ont pas hésité à aller au charbon, lors de cette campagne électorale, en faisant preuve de courage et détermination.

    Les Algériens, dans leur majorité, ont assisté avec plaisance à l’émergence d’une nouvelle race de jeunes politiciens en herbe. Peu importe les motivations réelles de ce vaste élan de jeunesse porteuse d’espoirs et d’attentes multiples.

    L’essentiel étant que nous sommes en face d’un vaste réservoir de citoyens nationalistes, jeunes, novateurs, créateurs et compétents, qui attendent d’être écoutés et d’être pris au sérieux pour le bien de l’Algérie, uniquement. Mais pas que. Nous sommes en face d’un potentiel jeunesse qui doit être associé dans l’édification de cette Algérie, à laquelle nous aspirons tous. Reste à savoir et éclaircir le comment et le pourquoi pour nous engager dans cette voie? Il s’agit, aujourd’hui, de trouver les voies et les formules idoines pour faire fructifier et fédérer ces potentiels prêts à l’emploi?
    À défaut de résultats probants à l’issue de ces législatives, cela pourrait être le projet politique majeur du président, afin de promouvoir cet élan nationaliste des jeunes. Ils étaient plus de 12 000 à avoir décroché le visa pour se porter candidats à ces élections inédites. Ils étaient encore plus à avoir formulé le voeu de se porter candidats, mais n’avaient pu franchir le cap. Si l’on se réfère au nombre de formulaires retirés au départ, estimés à plus de 7 millions, ce potentiel pourrait être multiplié par 100 et même plus. Beaucoup de messages restent à décrypter, à l’issue de ces élections législatives.

    Néanmoins, l’urgence reste la prise en charge de ce potentiel humain et politique extraordinaire. Parmi les solutions que l’on pourrait envisager, inciter ces jeunes à s’organiser en partis politiques ou en associations spécialisées, afin de produire l’effet de déclic tant attendu. C’est une élection singulière, à plus d’un titre, qui nous renvoie à l’école du marketing politique, afin de décrypter les messages en suspens. Quels enseignements faut-il tirer, justement, des résultats de ces élections législatives?

    D’aucuns s’attendaient à une reconfiguration du champ politique national, à l’issue des élections législatives du 12 juin 2021. Mais il n’en fut rien.

    Pis encore, c’est presque un retour à la case départ. Bien que n’ayant aucun mérite à faire valoir dans la victoire électorale de leurs formations respectives, certains chefs de file de partis jubilent et gesticulent dans tous les sens pour se vanter de leur bonne vision et gestion de ces élections. C’est l’abstention et non le boycott, faut-il nuancer, qui a fait basculer les résultats de ce scrutin, annoncé comme étant décisif.

    Les réservoirs électoraux des partis politiques ont également fait le reste, en apportant de l’eau au moulin des partis traditionnels.

    Le rideau est tombé sur les élections législatives du 12 juin. Insolites et inédites sur plus d’un plan, elles ont laissé un goût d’inachevé chez la plupart des observateurs et analystes, qui gageaient sur une nouvelle ère, pouvant déboucher sur ces joutes électorales. Il n’en fut rien. L’espoir est-il encore permis de voir émerger de nouvelles forces politiques et changer les rapports de forces existantes? La question mérite d’être largement méditée.

    L’Expression, 16 juin 2021

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  • Le processus de changement initié par le président semble déranger : Le clin d’œil de l’ANP à Tebboune

    Le processus de changement initié par le président semble déranger : Le clin d’œil de l’ANP à Tebboune

    LE PROCESSUS DE CHANGEMENT INITIÉ PAR LE PRÉSIDENT, L’ALGÉRIE NOUVELLE, SEMBLE DÉRANGER : Le clin d’œil de l’ANP à Tebboune

    Dans la dernière livraison de sa revue El- Djeïch, à travers son éditorial consacré aux forces qui résistent au changement initié par le président Tebboune, et lesquelles manœuvrent pour saborder les élections législatives prochaines, l’Armée nationale populaire se tient, encore une fois, aux côtés de la République et ses institutions, et promet une riposte implacable à toute tentative manifestant en perspective d’épouser une telle action funeste. C’est dire un soutien de l’institution militaire à l’actuel locataire d’El-Mouradia qui maintient le cap, contre vent et marées, sur l’objectif de bâtir l’Algérie nouvelle.

    Ainsi, estime l’organe d’information de l’ANP, la multiplication des mouvements de grève, constatée ces derniers jours dans de nombreux secteurs, vise à faire échec aux prochaines législatives et au processus d’édification de la nouvelle Algérie. « À l’approche de ce rendez-vous important, la scène nationale connait des événements suspects qui ne sont qu’une tentative d’entraver le processus démocratique national mis en œuvre depuis l’élection du président de la République « a indiqué la revue avant de mettre en garde contre tous ceux qui seraient tentés par porter atteinte à la sécurité nationale qu’elle a qualifiée de ligne « rouge à ne pas transgresser ».

    La revue estime que plusieurs éléments renforcent la thèse de la présence d’un complot, « et de tentatives vaines et désespérées de déstabiliser la sécurité nationale, en embrasant la rue, en suscitant la colère du peuple, en poussant à davantage de congestion pour que la situation finisse par exploser, dans l’espoir d’entraver les prochaines échéances électorales », y lit-on.

    Et qui dit échéance électorale, ceci entend un défi d’étape après la consultation référendaire sur la révision de la Constitution, dans le cadre du processus de changement global initié par le président Tebboune dans l’Algérie nouvelle, que le pays s’attelle à franchir le 12 juin prochain.

    Après avoir échoué de le faire avec le rendez-vous du 1er novembre dernier, les partisans du chaos reviennent à la charge pour retenter le coup.

    D’ailleurs, El-Djeïch ne manquera pas souligner que les élections législatives du 12 juin prochain dérangent les forces de l’inertie, les opposants au changement et le camp de la contre-révolution qui avaient pris l’habitude de s’offrir, « un Parlement sur mesure, utilisant l’argent sale pour bénéficier de l’immunité parlementaire et de la protection de leurs intérêts au lieu de servir le peuple qui les a élus », note l’édito tout en soulignant que les forces de l’inertie ont épuisé leurs espoirs de revenir un jour sur la scène politique nationale ce qui les a conduit à tenter d’exploiter le milieu professionnel pour faire aboutir leur plan diabolique.

    L’ANP met en garde les courants contre-révolutionnaires, contre toute tentative de déstabilisations du pays tout en soulignant que la multiplication des grèves ces derniers temps est la preuve que les forces de l’inertie sont aux commandes de ces tentatives.

    « L’appel d’organiser des manifestations et de mener des grèves dans plusieurs secteurs à la fois, à l’approche des élections, laisse poser plusieurs questions sur le timing de ces grèves et la revendication des droits professionnels légitimes ! », s’est interrogée la revue tout en rappelant que le président de la République a déjà « affirmé la nécessité de remédier aux lacunes enregistrées dans l’ensemble des secteurs, et la nécessité de les traiter progressivement dans la sérénité. »

    Néanmoins, l’entêtement de certains à tenir des grèves à un moment suspect est la meilleure preuve que ceci ne peut s’inscrire que dans une tentative de semer le trouble pour réaliser des objectifs et des intérêts qui ne vont pas dans le sens de l’amélioration de la situation professionnelle et des droits des travailleurs ».

    Cela se déroule à un moment où notre pays est confronté à des menaces criminelles, orchestrées par des mouvements terroristes et racistes ayant déclaré leur haine envers l’Algérie », souligne la revue.

    Slimane B.

    Le Courrier d’Algérie, 06 mai 2021

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  • Les avancées réalisées par l’Algérie depuis la présidentielle de 2019 soulignées

    BOGOTA – L’ambassadeur d’Algérie à Bogota, Hachemi Ahmed, a mis en exergue, les étapes politiques franchies par l’Algérie depuis l’élection présidentielle du 12 décembre 2019 et l’avènement de l’Algérie nouvelle, à l’occasion d’une visioconférence dédiée à l’Afrique du Nord.

    S’exprimant au cours de cette conférence, organisée par la fondation universitaire San Mateo, Hachemi Ahmed, a également souligné les grandes lignes de la politique étrangère et les nouvelles mesures économiques adoptées par le gouvernement afin de faire face aux nouveaux défis multidimensionnels notamment ceux découlant de la pandémie actuelle.

    L’ambassadeur d’Algérie à Bogota, qui était l’invité d’honneur de cet évènement a, par ailleurs, relevé  » la diversification des recettes financières hors hydrocarbures » du pays, mettant en exergue le rôle de la diplomatie économique.

    Cette visioconférence, entamée par les hymnes nationaux de l’Algérie et de la Colombie a été également une opportunité pour faire découvrir aux partenaires colombiens les multiples facettes de l’Algérie à travers la diffusion d’une vidéo montrant les paysages des différentes régions du pays.

    APS, 3 mai 2021

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