Étiquette : André Azoulay

  • Israel condecora a un asesor de Mohamed VI

    Etiquetas : Marruecos, Israël, André Azoulay, Mohammed VI, normalización, Accuerdos de Abraham,

    Una medalla por servicios prestados. André Azoulay, asesor del rey de Marruecos Mohamed VI y arquitecto de la normalización, acaba de recibir una de las más altas distinciones de Israel.

    André Azoulay fue condecorado con la « medalla de honor presidencial » por el presidente israelí Isaac Herzog, durante una ceremonia que tuvo lugar el miércoles 6 de septiembre.

    Nacido en Marruecos en 1941 en una familia judía bereber, Azoulay tuvo una larga carrera en finanzas antes de convertirse en consejero del rey Hassan II en 1991 y luego de su hijo y sucesor, Mohamed VI, a partir de 1999.

    Siendo de nacionalidad francesa, el consejero real es el padre de Audrey Azoulay, la exministra de Cultura de Francia (2016-2017) y directora general de la UNESCO desde 2017.

    Muy activo en Marruecos, el Medio Oriente y Europa, André Azoulay ha construido una amplia red de contactos al ser miembro de numerosas organizaciones de diálogo entre religiones y culturas. Es en virtud de esto, además de su influencia cercana al rey Mohamed VI, que desempeñó un papel clave en el acercamiento entre Marruecos e Israel, que comenzó hace varias décadas.

    Israel muestra una gran gratitud hacia André Azoulay

    Este acercamiento llevó a la normalización formal de las relaciones entre ambos países en diciembre de 2020, en el marco de los Acuerdos de Abraham, que también vieron a Israel normalizar sus relaciones con otros tres países árabes el mismo año: los Emiratos Árabes Unidos, Bahréin y Sudán.

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    Hasta ahora, ambos países han dado varios pasos en su acercamiento, incluyendo un aumento en su cooperación militar y de seguridad.

    La distinción de André Azoulay coincide con la visita a Israel del presidente del Senado marroquí, Enaam Mayara. Este último estaba previsto que visitara la Knesset israelí este jueves. El presidente de la Knesset calificó la visita del parlamentario marroquí como « una de las visitas más importantes de un político musulmán extranjero a la Knesset ».

    En Israel, parecen estar muy agradecidos por todo lo que este hombre ha hecho para promover el acercamiento con Marruecos.

    Se organizó una gran ceremonia en el palacio presidencial para condecorar a Azoulay con la más alta distinción civil del país, que en el pasado se otorgó a varios políticos y jefes de Estado extranjeros como Barack Obama, Henry Kissinger, Bill Clinton o Angela Merkel.

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    Varios cientos de invitados asistieron, incluido Abderrahim Bayoud, jefe de la oficina de enlace marroquí en Tel Aviv. La designación de embajadores respectivos es el próximo paso esperado en el proceso de normalización entre Marruecos e Israel.

    #Marruecos #Israël #Normalización #André #Azoulay

  • L’UNESCO ignore les journalistes au Maroc et en Palestine

    L’UNESCO ignore les journalistes au Maroc et en Palestine

    L’UNESCO ignore les journalistes au Maroc et en Palestine – Audrey Azoulay,

    Quand la directrice de l’UNESCO ferme les yeux sur la protection des journalistes au Maroc et en Palestine

    Dans un entretien accordé à l’AFP, la directrice de l’UNESCO, Audrey Azoulay, a indiqué que la protection des journalistes «concerne toute la société», gouvernements comme citoyens.

    Elle souligna en outre que la protection des journalistes «concerne toute la société, y compris les gouvernements qui doivent aider aux mécanismes de protection».

    «Cela concerne aussi les citoyens qui doivent se mobiliser pour comprendre que cette liberté-là, celle des journalistes, c’est la leur, la possibilité d’avoir accès à une information juste, une information indépendante», a-t-elle ajouté depuis Punta del Este, dans l’est de l’Uruguay où se tient jusqu’à mercredi cette conférence annuelle, consacrée en 2022 au «Journalisme sous l’emprise numérique».

    Qu’en est-t-il de la protection des journalistes chez Papa André?

    S’il est primordial de saluer la rhétorique de la directrice de l’UNESCO, il en demeure légitime rappeler à cette dernière les violations de la liberté d’expression et l’emprisonnement des journalistes marocains chez Papa André Azoulay, puissant Conseiller et protecteur de sa majesté Mohamed. A-t-elle critiqué le régime oppresseur des journalistes, ou le père est le garde-fou de la dynastie qui s’est mise au service d’un autre régime d’Apartheid, à savoir l’Israël qui détient dans ses geôles une vingtaine de journalistes palestiniens porteurs d’aspirations pacifiques du Peuple Palestinien

    Algérie54, 04/05/2022

    #Maroc #palestine #UNESCO #audrey_azoulay #andré_azoulay

  • UNESCO: Que faut-il attendre de la réélection d’Azoulay?

    UNESCO: Que faut-il attendre de la réélection d’Azoulay?

    Tags: Maroc, André Azoulay, Mohammed VI – UNESCO: Que faut-il attendre de la réélection d’Azoulay?

    Élue pour la première fois en 2017 au terme d’une élection dite serrée et riche en rebondissements parmi neuf candidats dont notamment, deux anciens ministres de la Culture, en l’occurrence le Qatari Hamad Bin Abdoulaziz Al-Karawi et l’Egyptienne Moushira Khattab, Audrey Azoulay a été réélue le 9 novembre 2021 à une très large majorité pour un second mandat de quatre ans à la tête de l’UNESCO cette organisation onusienne basée à Paris dont l’objet est de promouvoir, nous dit-on, la paix par la coopération internationale en matière d’éducation, de science et de culture par la préservation du patrimoine de l’humanité.

    Seule en lice pour ce nouveau mandat, cette ancienne ministre de la culture proche du président François Hollande, elle, la fille de l’inamovible conseiller et protecteur du Makhzen marocain sous les règnes de Hassan II et de son fils Mohamed VI, André Azoulay l’ami de Shimon Pérez, a obtenu 155 votes pour 165 votants (neuf contre et une abstention). Pour rappel, elle avait succédé à la Bulgare Irina Bokova qui avait achevé deux mandats marqués par des dissensions politiques en raison des questions ultrasensibles du Proche-Orient, comme ce fut le cas pour l’épineuse question patrimoniale de Jérusalem et Hébron.

    Rappelons que sous le premier mandat de cette directrice qui n’était pas là par hasard à la tête de cette institution qui semble avoir perdu son indépendance et son impartialité au point de mettre en jeu son universalité, la diplomatie palestinienne avait appelé la communauté internationale et l’UNESCO à faire pression sur Israël pour qu’il mette fin à ses activités illégales traduites en opérations et projets de vandalisme du patrimoine culturel palestinien chrétien et islamique. Finalement, ce n’est que le 13 octobre 2021, que l’UNESCO a pu adopter deux résolutions en faveur de la Palestine lors de la 212ème session de son Conseil exécutif tenue à Paris. Et au ministère palestinien des Affaires étrangères de déclarer, que l’adoption des résolutions de la « Palestine occupée » et des « institutions culturelles et éducatives » s’est faite à l’unanimité des membres du Conseil exécutif de cette organisation onusienne.

    Ces deux résolutions mettent l’accent sur le statut de Jérusalem et Hébron en tant que villes occupées ainsi que sur les mesures illégales prises par Israël, d’où la demande formulée pour leur annulation immédiate. Ces résolutions appellent l’État hébreu à mettre fin à ses politiques illégales et continues, privant les Palestiniens du droit de culte et de circulation en déformant l’authenticité et l’intégrité des sites du patrimoine en Palestine d’une manière générale et à Jérusalem en particulier. Le ministère palestinien des Affaires étrangères s’est donc félicité du vote et a souligné la nécessité de mettre en œuvre d’autres décisions concernant les sites palestiniens en Cisjordanie. De la sorte, il a exprimé son rejet des pratiques israéliennes visant à judaïser les sites religieux et patrimoniaux en interdisant aux fidèles palestiniens chrétiens et musulmans d’y accéder.

    En quittant l’UNESCO qu’elle juge mal gérée et bien sûr, trop critique à l’égard de son protégé l’État hébreu terroriste et raciste, le 13 octobre 2017, l’administration Trump avait pris une nouvelle fois ses distances avec cette organisation, symbole du multilatéralisme. Ce retrait a été suivi bien évidemment, par celui d’Israël qui considère que l’UNESCO est devenue l’une des arènes de sa rivalité diplomatique avec les Palestiniens, surtout depuis l’admission de la Palestine en 2011, sous le premier mandat de la directrice bulgare, Irina Bokova. Cette victoire symbolique du peuple palestinien sera-t-elle suivie d’autres décisions qui le conforteront dans ses droits légitimes ? Rien n’est moins sûr dans l’état actuel des choses !

    Parions plutôt, qu’avec cette nouvelle nomination d’Audrey Azoulay, cette femme adoubée par la France, Israël et les États-Unis l’on assistera au retour de ces deux derniers absents dans ce «cercle de famille» entre entités solidaires agissant sous la houlette du sionisme qui semble trouver de plus en plus d’émules, y compris chez les pays arabes. Et en premier lieu, auprès du Commandeur des croyants (Amir al mouminine) et président du comité Al-Qods, alors que supposé défendre les droits des musulmans sur Jérusalem, ville sainte de l’Islam. N’est-ce pas que dans un message envoyé à la fille de son mentor, Mohamed VI se réjouit à bon escient de sa réélection ? Comme à son habitude, il espère tirer des dividendes par ce coup de brosse «téléphoné» à ses mentors, en s’inscrivant dans une attitude du politiquement correct de l’alignement sur les thèses de sa famille sioniste d’adoption qui n’est pas si nouvelle puisqu’étant celle de ses prédécesseurs et non moins ascendants, Mohamed V et Hassan II.

    À noter que ce trio de «choc» auquel se joint le Makhzen, a bien salué ce retour salutaire pour des intérêts partagés bien évidemment et rien n’est définitivement gagné pour la cause de la Palestine mais aussi, pour les autres pays du Moyen-Orient. Cette heureuse élue au demeurant «téléguidée» et couvée par la «bénédiction» de son père, veut nous faire croire qu’elle compte agir en toute indépendance et liberté, pour apaiser les tensions et divisions minant son organisation en mal de réformes et de consensus, en la recentrant sur ses missions essentielles. Quand bien même nous feignons de la croire un tant soit peu, nous sommes en droit de nous interroger si cette dame est la mieux placée pour arbitrer les différents patrimoniaux dans le cadre du régime de la colonisation, qui opposent à la fois la Palestine occupée à Israël et /ou, le Maroc à la République arabe sahraouie démocratique (RASD) ! Pas si sûr qu’il faille lui faire confiance, du moins sur ce chapitre d’une extrême sensibilité !

    N’est-ce pas elle qui a volé au secours de l’occupation marocaine du Sahara occidental en violant la charte de l’ONU, en intégrant Lâayoune ville du Sahara occidental au réseau mondial UNESCO des villes apprenantes (GNLC), comme dénoncé par l’Association chilienne d’amitié avec la RASD qui a exigé la rectification de cette inscription ? L’inscription de la ville sahraouie illégalement occupée par le Maroc, en tant que ville marocaine, membre du Réseau mondial des villes apprenantes, dans son édition 2020, «constitue une violation» du Droit international et aussi «une violation ouverte des statuts de l’UNESCO», estime l’Association chilienne. Cela veut dire que plus que jamais, cette organisation onusienne sera encore dans le sillage des manœuvres de l’occupant marocain, à faire perdurer la colonisation des territoires sahraouis mais aussi, ceux de la Palestine par Israël, son allié dans notre région du Maghreb.

    Et dire que depuis le 15 novembre 2017, cette directrice ne pouvait pourtant ignorer, ni la Charte de l’ONU ni les résolutions du Conseil de sécurité, réaffirmant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Et pourtant ! Elle a bel et bien affiché sa posture en faveur de l’occupation marocaine du Sahara occidental, tentant ainsi d’impliquer un organisme onusien, sur la voie des violations des propres textes de l’ONU. Alors, oui ! C’est certainement sans surprise qu’Audrey Azoulay continuera à plonger cette importante organisation onusienne dans une dérive, au même titre que son père est lui aussi, pour beaucoup dans le rapprochement entre l’État sioniste d’Israël et le Makhzen. Comment ne serait-il pas l’artisan zélé de cette union maléfique qui pèsera durablement sur la région Maghreb, alors qu’il est le Président du «Centre Shimon Perez pour la Paix» et ses réseaux sionistes en France et aux États Unis qui sont mis au profit de la politique coloniale et annexionniste du Maroc au Maghreb ?

    Pour ce qui nous concerne directement, il est bien heureux que notre pays compte déjà sur la liste du patrimoine mondial immatériel de l’UNESCO : un genre musical et poétique, l’Ahellil du Gourara (2008) mais aussi, le costume nuptial féminin de Tlemcen (2011), le pèlerinage du Rakb de Sidi cheikh (2013), l’Imzad, cette sorte de violon Touareg (2013), la fête de la Sbeiba à Djanet (2014) et les cérémonies de commémoration du Sboue de Timimoun (2015). De même, la question du classement du couscous qui a fait l’objet de plusieurs années de tensions tendues entre le Maroc et l’Algérie, a pu connaître un dénouement heureux, grâce à l’implication de la Mauritanie et de la Tunisie. C’est ainsi, que ces quatre pays du Maghreb ont pu déposer une candidature conjointe. Cette démarche symbolique est inédite, faut-il le faire observer. Le sera-t-elle pour d’autres éléments patrimoniaux communs ? Cela est possible et envisageable si la volonté existe pour rompre avec les politiques suivies depuis les années 80 et accélérées avec les mandatures des Présidents qui se sont succédé après le décès du Président Houari Boumediène.

    En effet, notre pays et sa diplomatie ont depuis les années 80 été à la traîne et en rupture totale avec la politique de l’Algérie combattante, progressiste et défenseur des causes justes dans le Monde. Notre pays a pendant très longtemps tourné le dos à sa politique extérieure en direction des pays de l’Afrique subsaharienne, mais aussi, des autres pays amis et alliés stratégiques de l’Algérie au Moyen-Orient, en Asie et en Amérique latine. C’est pourquoi, il est temps de se réveiller comme semble le faire notre nouvelle diplomatie stimulée et animée par notre infatigable Ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, permettant ainsi à notre pays d’être plus efficace et plus performant en matière de politique extérieure pour faire entendre la voix de notre pays et faire le travail indispensable et déterminant de lobbying auprès des autres pays membres des organisations onusiennes, dont l’UNESCO. Mais rien n’est moins sûr, encore une fois si la volonté politique de rompre avec les politiques passées de suivisme et de mauvaise gouvernance est inexistante et ne repose pas sur un consensus réel pour donner une place à l’Algérie dans le concert des Nations et au sein des organismes et institutions onusiennes pour éviter les échecs !!!

    par Abdelkader Khelil*

    Le Quotidien d’Oran,18/11/2021

  • France-Maroc : Une amitié très cultivée

    Maroc, France, Lobbying, André Azoulay, Hassan II, Mohammed VI, #Maroc #France


    Le Maroc sait tisser ses réseaux, particulièrement avec la France: Culture, tourisme, politique : une diplomatie riche en paillettes avec des opération de lobbying élevées au rang des beaux-arts.
    Par Vladimir de Gmeline
    L’affaire Pegasus fera-t-elle trembler la belle amitié franco-marocaine sur les bases ? Rien n’est moins sûr. Depuis le milieu des années 1990, les relations entre les deux pays sont faites d’un mélange de séduction, d’estime mutuelle, d’intérêts économiques considérables, d’invitations dans les plus beaux palais, d’échanges culturels, de lobbying intense auprès des politiques, des milieux d’affaires et des journalistes. Et, aussi, un peu d’oubli des atteintes aux droits de l’homme. Une amitié construite de main de maître, comme le raconte le journaliste Omar Brouksy dans son ouvrage La République de Sa Majesté (Nouveau Monde), paru en 2017, au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron : « Depuis, le contexte et le cadre de cette relation de connivence n’ont pas changé, fait remarquer cet opposant dont le téléphone, ô surprise, est sur la liste des numéros espionnés par le logiciel Pegasus, DSK est toujours installé dans une maison magnifique à Marrakech, il conseille des chefs d’Etat africains et le roi Mohammed VI, et vous n’entendrez pas BHL et Jamel Debbouze critiquer le souverain ; Il y a 700 entreprises françaises, la mission culturelle française au Maroc est la plus importante au monde, la langue française reste celle de l’élite.Pendant ce temps, on arrête des journalistes sous des prétextes bidon et les militants du Rif sont toujours emprisonnés ».
    Relais influents
    L’année 1990 marque un tournant. La publication du livre de Gilles Perrault Notre ami le roi (Gallimard) révèle que l’élégant et très cultivé Hassan II n’est pas franchement un humaniste chevronné. Le monarque se rend alors compte qu’il ne dispose pas de relais suffisants à Paris ; Avec l’aide ultra-efficace de son conseiller économique, André Azoulay, homme de réseaux formé au Centre de formation des journalistes à Paris, Hassan II va reconstruire son image et celle de son pays. Émissions, reportages et autres contrats avec des groupes hôteliers y contribuent ; A la mort de Hassan II, l’entreprise continue avec la même efficacité, d’autant que Mohammed VI passe à ses débuts pour un héritier emprunté mais sympathique, jouissant d’une réputation de « roi des pauvres » proche de son peuple.
    En parallèle, un autre homme va jouer un rôle clé dans la construction de solides relations entre Rabat et Paris : Mehdi Qotbi, peintre issu d’un milieu pauvre, professeur d’arts plastiques, ami des poètes, sympathique endiable et doté d’un culot à toute épreuve. Il est l’ami de Dominique de Villepin, qui lui ouvre les portes de l’Elysée, et de Jack Lang. Par ailleurs, entre les français nés au Maroc, ceux qui y ont fait leurs études, comme Elisabeth Guigou, la nouvelle génération de Franco-Marocains et les parlementaires membres du groupe d’amitié entre les deux pays (le plus grand de l’Assemblée), le royaume dispose de multiples relais ; Même si, ces derniers temps, l’association n’a pas misé sur le bon cheval : Mustapha Laabid, député apparenté LREM d’Ille-et-Villaine et président du groupe d’amitié, vient d’être déclaré inéligible à la suite de sa condamnation pour abus de confiance.
    Heureusement, le Maroc pourra toujours compter sur Najat Vallaud-Belkacem et Rama Yade, professeures à l’Université Mohammed VI Polytechnique. C’est dans cet établissement, financé par l’Office Chérifien des phosphates, que le fils du roi, Moulay Hassan, poursuit ses études.
    Intérêts communs. Au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron, les relations entre Paris et Rabat sont au beau fixe. « DSK conseille Mohammed Vi et vous n’entendrez pas BHL et Jamel Debbouze critiquer le souverain », analyse Omar Brouksy. Ci-dessous, le chef de l’Etat et le roi du Maroc, à l’Elysée, le 12 décembre 2017.
    Marianne, 30 juillet au 05 août 2021