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  • Lobby promarocain en Amérique Latine

    Lobby promarocain en Amérique Latine

    Lobby promarocain en Amérique Latine – Maroc, Sahara Occidental, lobbying

    Argentine 

      JORGE TAIANA, ancien ministre des affaires étrangères

      DANIEL SCIOLLI, gouverneur de la province de Buenos aires, influent personnage politique et ami.

      EDUARDO OURNAKIAN, homme d’affaire, président du conseil d’affaires maroco-argentin

    Brésil

      CELSO AMORIM, actuel ministre de la défense et ancien chef de la diplomatie

    CRISTOVAM RICARDO CAVALCANTI BUARQUE

      EDUARDO MATARAZZO SUPLICY, sénateur de Sao Paulo

    Chili

      PATRICIO ALEJANDRO HALES DIB, ancien président du groupe parlementaire Chili-Maroc

      TEODORO RIBERA NEUMANN, actuel ministre de la justice

    Colombie

      LE GENERAL ALEJANDRO NAVAS RAMOS, commandant des forces armées (vient d’être décoré).

      GERNEY RRIOS, académicien et journaliste (vient d’être décoré).

      MARIA EMA MEJIAS, secrétaire général de l’Union ds nations sud-américaines (Unasur, jusqu’au 10 mai prochain) et ancienne ministre des affaires étrangères.

    Paraguay

      HECTOR LACOGNATA, actuel conseiller présidentiel et ancien ministre des affaires étrangères

      ALBERTO GRILLON, sénateur

      LOUIS MARIA DUARTE, Professeur universitaire, conseiller juridique au Sénat paraguayen.

      ENRIQUE VARGAS PENA, journaliste

      LEILA RACHID, ancien ministre des affaires étrangères.

    Pérou

      MARTHA CHAVEZ, congressiste (opposition) engagée envers la cause marocaine

      YEHUDE SIMON, ancien Premier ministre et actuel Congressiste (palestino-péruvien, proche du pouvoir)

      ALFONSO JAGUANDE D’ANJOY, professeur à l’Université Ricardo Palma

    Panama

      DEMETRIO OLACIREGUI, Journaliste

    Venezuela

      JULIO CESAR PINEDA, journaliste, ex-ambassadeur en Libye, en Corée et au Kuwait, connaisseur et défenseur de la cause marocaine.

      ISAC COHEN ANIDJAR, rabbin principal du Venezuela (Caracas)

      JOSE RAMON SANCHEZ, député au parlement latino-américain et responsable des relations extérieures de la campagne présidentielle du challenger de HUGO CHAVEZ.

    Nicaragua

      FRANCISCO CHAMORRO, fils de l’ex-présidente VIOLETA CHAORRO, qui a rompu avec les séparatistes à son arrivée au pouvoir en 1990. Les Chamorro possèdent le journal le plus influent du pays El Nuevo Diario.Espagne

      AOUATIF STITOU, Directrice Générale Adjointe de l’Agence de Coopération catalane et responsable des relations institutionnelles. Egalement représentante du Gouvernement catalan au sein de l’Agence espagnole de coopération.

      ANGEL COLOM i COLOM, secrétaire d’immigration du Parti Catalan au pouvoir CiU et Secrétaire Général de la Fondation Neus Catalanes.

    Honduras

      JORGE SHIBLI CANAHUATI LARACH, propriétaire des deux principaux journaux du pays, « La Prensa » et « El Heraldo », fait partie des dix familles les plus influentes du Honduras, propriétaire de très grand intérêt économique.

    Source : Boîte mail de Mourad El Ghoul, directeur de cabinet de Yassine Mansouri, le patron de la DGED

    Source: Marocleaks, 01/01/2022

    #Maroc #AmériqueLatine #Lobbying

  • Annuler ou ne pas annuler l’œuvre de Michel Foucault ? Réponses des philosophes argentins

    Cinq penseurs argentins donnent leur avis sur les répercussions de l’accusation de pédophilie portée par l’intellectuel français Guy Sorman, plus de trente ans après la mort du philosophe.

    Daniel Gigena

    Après que l’intellectuel français Guy Sorman (1944) a dénoncé que le philosophe Michel Foucault (1926-1984) avait eu des relations sexuelles avec des enfants de huit à dix ans en Tunisie en échange d’argent, et provoqué des réactions dans différentes sphères au-delà des cloîtres académiques, il a été prouvé une fois de plus qu’au XXIe siècle, il n’existe pas d’ »intouchables » à l’abri du débat public. Si l’auteur d’Histoire de la sexualité n’est pas là pour se défendre contre l’accusation de son compatriote (qui coïncidait avec la promotion de son nouveau livre, Mon dictionnaire du Bullshit), il est clair qu’une secousse secoue la culture française depuis quelques années.

    L’accusation contre Foucault rejoint aujourd’hui celles reçues il y a plusieurs décennies par des écrivains comme François Mauriac et Michel Tournier, ou les théoriciens René Schérer et Guy Hocquenghem, et plus récemment, le politologue Olivier Duhamel (accusé par sa belle-fille, la juriste Camille Kouchner, d’abus sexuels dans le livre La grande famille) et l’écrivain Gabriel Matzneff, que Valeria Spingora a dénoncé dans Le consentement pour avoir encouragé la pédérastie dans ses livres et ses déclarations publiques, parfois célébré par le monde intellectuel de son pays. Les temps changent et même les actes privés des descendants de Socrate peuvent être évalués à la lumière de l’éthique publique.

    Quel est l’avis des penseurs argentins contemporains sur l’affaire Foucault et la portée d’un débat qui transcende la sphère philosophique et réveille le fantôme de l’ »annulation » ? Nous vous présentons ci-dessous les points de vue de cinq philosophes et essayistes locaux.

    Esther Díaz, docteur en philosophie de l’université de Buenos Aires, auteur, entre autres, de La filosofía de Michel Foucault, Entre la tecnociencia y el deseo et Filósofa punk.

    « Je suis assez indigné par cette question et par le fait que la presse est donnée à cette personne que je ne veux pas qualifier et qui, sans aucune pudeur ni respect, même sans respect pour les enfants qu’elle mentionne, porte cette accusation. Si ce qu’elle dit est vrai, pourquoi ne l’a-t-elle pas dénoncé avant ? S’il ne l’a pas fait, il était complice d’un pédophile. Il y a cinquante ans, il le savait et maintenant, parce qu’il va publier un livre, il s’accroche à la tête chauve de Foucault pour faire de la propagande et, dans le même acte, il est exposé. Foucault est mort et ne peut pas se défendre ; si Guy Sorman était au courant et ne l’a pas dénoncé, il était complice. On ne trouve nulle part dans l’œuvre de Foucault une ligne soutenant la pédophilie. Son œuvre a marqué le XXe siècle et plusieurs générations. Que se passerait-il si nous découvrions que ceux qui créent les vaccins que nous nous administrons pour nous protéger des maladies étaient des pédophiles ? Nous nous ferions quand même vacciner.

    Emmanuel Taub, docteur en sciences sociales de l’université de Buenos Aires et auteur, entre autres titres, de Messianisme et rédemption : Prolégomènes pour une théologie politique juive et Modernité croisée : théologie politique et messianisme.

    « Je ne veux pas réfléchir aujourd’hui à ces actes de Foucault sous l’angle du crime ou sous celui de la responsabilité morale, car je crois que tout cela fait aussi partie de leur mise en lumière, mais je veux penser au ‘fanatisme philosophique’ qui transforme, de son vivant ou post mortem, un intellectuel en une figure sacrée. Les nouvelles qui viennent de nous parvenir doivent aussi nous montrer que Foucault était un penseur remarquable et en même temps un être humain pervers et misérable comme tout être humain. Les deux questions font partie de la même chose, parce qu’elles reposent sur la même personne et parce que la tâche de la pensée ne disculpe ni ne moralise jamais les désirs, les pratiques ou les actions les plus sombres, les plus répugnants et les plus sinistres des êtres humains. Foucault est tout cela, et son œuvre et ses actes sont tout ce que Foucault est. La fascination aveugle qui se construit sur ces idoles génère plus d’aveuglement, des discours contradictoires et des totémisations ; dans l’empressement à exalter la pensée, on efface les biographies. Toutefois, dans quelle mesure leurs actes sont-ils différents de ceux des personnes qui pratiquent le tourisme sexuel en Asie ? Plus encore : quelle est la différence avec l’exploitation sexuelle des mineurs contraints à la prostitution dans notre pays ? Je ne sous-estime pas le problème du trafic de mineurs ni l’appareil institutionnel qui le permet, mais je mets en évidence la figure du consommateur, celui qui cherche à réaliser des pratiques et des perversions sexuelles tout en construisant dans son esprit l’idée que la pédophilie sous forme de prostitution n’est pas de la pédophilie, ni un crime, ni un abus. Ces questions m’ont amené à me souvenir des cas de Martin Heidegger et de son nazisme ou, plus encore, d’Adolf Eichmann dans la lecture d’Hannah Arendt : cette catastrophe humaine par laquelle l’être humain rationnel et moderne est aussi capable de suspendre, dans certaines situations, la capacité de voir l’autre comme un égal, et de distinguer le bien du mal. Dans ce cas précis, la « situation certaine » n’est pas la parole du Führer ayant force de loi ou l’histoire de l’antisémitisme, mais la sacralisation d’un penseur au point de soustraire ses actes au monde du droit et des hommes. Ce processus de sacralisation permet aux actions d’un individu, en l’occurrence Foucault, d’être non seulement au-dessus des limites de notre moralité construite, mais aussi au-dessus de toute forme de jugement ou d’appréciation. Et on ne peut pas comprendre cette situation sans comprendre l’un des grands « monstres » de la modernité, comme l’écrivait Arendt : le colonialisme européen. Alors qu’en Europe, la résistance au système se fait dans des limites éthiques, dans les colonies, l’Européen construit ses propres limites par ses actions. La « supériorité intellectuelle » imaginée est devenue dans les colonies une pratique sans limites, et là, la sexualité moderne que Foucault lui-même a construite s’est mêlée aux valeurs pré-modernes. Ce que cela nous apprend, c’est que croire que cette façon d’habiter le présent avec des valeurs du passé, supposant une forme de résistance à la Modernité, sont en réalité des actes de résistance individuels et égoïstes qui ne regardent jamais l’autre comme un égal ».

    Edgardo Castro, docteur en philosophie de l’Université de Buenos Aires, auteur du Diccionario Foucault et de Lecturas foucalteanas.

    « Les faits dénoncés sont aberrants, comme les décrit Guy Sorman, mais on ne sait toujours pas s’ils sont vrais. L’histoire soulève quelques doutes. Foucault ne vivait plus en Tunisie en 1969, mais ont-ils pu se rencontrer lors de vacances au même endroit ? Oui, mais ce n’est pas ce que dit Sorman. On ne sait pas exactement de quoi il a été témoin : de l’achat des enfants ou des abus sexuels ? Plusieurs choses doivent être clarifiées, et toutes corroborées. A Sorman, puisqu’il va croire à son récit, je l’invite à affecter les royalties du livre qu’il promeut à la réparation des victimes de ces abus. Si les faits sont avérés, les actes commis par Foucault et sa propre personne sont sujets à condamnation. Mais je ne pense pas que ses concepts et ses problèmes doivent être jetés par-dessus bord. Parce qu’elles sont réelles (comme la relation évidente, au niveau planétaire, entre la politique et la vie biologique de la population) et théoriquement valables. Je ne trouve aucune relation conceptuelle entre ces problèmes et concepts et les faits dénoncés. C’est pourquoi, avec la même fermeté que je condamnerais les faits dénoncés, s’ils sont avérés, je ne suis pas prêt à annuler la culture ».

    Luis Diego Fernández, docteur en philosophie de l’Universidad Nacional de San Martín, son dernier livre est Foucault et le libéralisme.

    « La soi-disant « culture de l’annulation » des artistes ou des intellectuels n’est rien d’autre que la vieille auto-justice d’individus ou de groupes qui se sentent blessés, une attitude microfasciste et policière qui fait appel à la censure ou à l’autocensure face à la menace d’appliquer des jugements sommaires par des lynchages ou des silences virtuels. Ses origines remontent aux campus progressistes des universités américaines, en tant que dérivé d’une logique minoritaire, narcissique et tribale. Sur l’affaire Foucault en Tunisie, je pense d’abord que Guy Sorman fait une promotion jaune de son nouveau livre, en dénonçant misérablement quelqu’un qui ne peut pas se défendre. S’il est vrai que Foucault a soulevé la question du consentement sexuel entre adultes et mineurs en 1977 dans un dialogue avec David Cooper (c’était une question débattue dans l’intelligentsia française des années 1970), aucun document historiographique ne vient étayer les propos de Sorman. En revanche, ce témoignage ne change en rien ma vision de l’œuvre de Foucault, que je considère comme l’un des trois philosophes les plus importants du vingtième siècle. Les philosophes ne sont pas des saints, des héros ou des dieux, ce sont des hommes qui font des erreurs, ont des faiblesses et se laissent traverser par des passions sexuelles ou politiques. Le malaise sur cette question, c’est la gauche puritaine, qu’elle s’en occupe. Mon point de vue est libertaire et je dénonce d’emblée cette inquisition moralisatrice du progressisme contemporain. Je ne suis ni juge ni prêtre pour condamner qui que ce soit. Dans le même sens que Foucault, on peut penser aux cas d’André Gide, Roman Polanski ou Paul Gauguin, ou, sur le plan politique, à Martin Heidegger ou L. F. Céline. F. Céline. Tous, à mon avis, sont des créateurs extraordinaires, et une fois passé le coup de vent du corset de la correction, leurs œuvres persisteront intactes, laissant en évidence la petitesse de ceux qui ne peuvent que dénoncer ».

    Esteban Ierardo, diplômé en philosophie de l’université de Buenos Aires, est l’auteur, entre autres, de La sociedad de la excitación : Del hiperconsumo al arte y la serenidad (La société de l’excitation : de l’hyperconsommation à l’art et à la sérénité).

    « Outre l’accusation très grave de Sorman à l’égard de Foucault, et le doute quant à sa véracité ou non, ce qui reste, peut-être, c’est l’effet multiple de l’accusation. D’une part, et au-delà de toute naïveté, la diffusion gratuite pour le livre de Sorman, qui pourrait faire partie d’un calcul éditorial ; et, en même temps, la réapparition de Foucault dans une nouvelle à grand tirage. C’est-à-dire que l’impossibilité aujourd’hui de déterminer la justice de l’accusation fait que, dans la pratique, tout se réduit au paradoxe de la diffusion, en même temps, de l’accusateur et de l’accusé, dans ce qui est le plus recherché aujourd’hui : briser l’indifférence et attirer l’attention ».

    Daniel Gigena

    La Nación, 4 avr 2021

    Etiquettes : Philosophie, pensée, Michel Foucault, Argentine, François Mauriac, Michel Tournier, René Schérer, Guy Hocquenghem, Olivier Duhamel, Camille Kouchner, La familia grande, Gabriel Matzneff, Valeria Spingora, Le consentement, viol, abus, inceste, pédophilie, pédocriminalité, Guy Sorman, Tunisie,


  • Sahara Occidental: L'ONG DHSF gèle ses activités, un camouflet pour le Maroc

    L’annonce du gel des activités de l’ONG Droits de l’Homme sans frontières (DHSF), de droit argentin, dans les pays d’Amérique Latine et d’Afrique du Nord, constitue un véritable camouflet pour le régime marocain, qui utilise souvent cette organisation pour s’attaquer au Front Polisario. Le DHSF a dans un communiqué publié le 20 mars sur son site web, annoncé « suspendre la publication au nom de l’institution de rapports, déclarations et avis en lien avec la situation des droits de l’Homme dans les pays d’Amérique Latine et d’Afrique du Nord » sur fond de scission dans ses rangs. Le communiqué en question, outre qu’il prévoit la révision des statuts de DHSF sur la base de propositions attendues dans 30 jours d’un panel de juristes désignés à cet effet, annonce la décision du Conseil d’administration de l’ONG de « ne pas apporter sa caution aux déclarations émises par les membres du Conseil, en particulier par son directeur par intérim, le Chilien Juan Carlos Moraga Duque ».

    Et de préciser dans ce sens, que les opinions de Juan Carlos Moraga Duque « n’engagent que sa personne », mettant ainsi un terme à l’instrumentalisation par ce dernier de DHSF à des fins de propagande pour servir les intérêts du Maroc et de ses alliés latino-américains notamment en ce qui concerne la question du Sahara occidental. Comme de coutume, les médias proches du makhzen au Chili et en Argentine, tout en regrettant la teneur du communiqué, ont imputé ce revirement d’une partie du Conseil d’administration de DHSF aux pressions exercées par le Venezuela (gouvernement et opposition) ainsi que par des éléments présentés comme « sympathisants du Front Polisario ». 
    Notant que lorsque cette proposition d’ »élargissement » a été soulevée, une discussion s’est engagée au sein du DHSF, et des dénonciations sont également exprimées sur « l’intention cachée de Moraga d’utiliser cette organisation au profit de l’une des parties en question: le Maroc, au détriment du Front Polisario ». C’est ainsi que DHSF a tenu à préciser également dans son communiqué que « les déclarations de Moraga contre le Front Polisario sont pratiquement désavouées », l’accusant d’utiliser sa position et le nom de DHSF en faveur du Maroc. 
    Par ailleurs, un article publié récemment sur le site d’information portalnoticioso.net depuis l’Argentine, a rapporté que, depuis un an, une véritable lutte idéologique s’est engagée à l’intérieur de DHSF où, des secteurs liés à l’ultra-gauche qui défend le Front Polisario, ont coïncidé avec l’ultra-droite qui attaque le gouvernement de Nicolas Maduro, dirigé par Maria Corina Machado, pour critiquer les rapports, tant en ce qui concerne le Venezuela que le Sahara occidental. 
    Pour rappel, le Comité Argentin d’Amitié avec le Peuple Sahraoui avait dénoncé en octobre dernier un rapport mensonger de DHSF sur le Sahara occidental. « Loin de lutter pour la défense des droits humains, l’organisation DHSF, applaudit ceux qui les piétinent et les violent au quotidien, à l’instar du Maroc, pays usurpateur qui occupe illégalement les territoires sahraouis depuis près d’un demi-siècle », avait réagi le Comité argentin qui dit être dans « l’obligation » de répondre aux allégations colportées par cette ONG, relayées par certains médias. 
    Pour sa part, l’analyste politique chilien, Esteban Silva Cadra, avait dénoncé récemment DHSF comme une organisation de « façade » pour diffuser la position des porte-paroles de la monarchie marocaine en Amérique latine, qui utilisent politiquement la question des droits de l’Homme pour discréditer le Front Polisario et ses partisans auprès des gouvernements et des mouvements sociaux et politiques solidaires avec la cause du peuple du Sahara occidental », occupé par le Maroc depuis 1975. Esteban Silva Cadra, sociologue et président du groupe chilien d’amitié avec la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), avait déclaré à ce propos: « Lorsque nous avons enquêté sur l’origine de cette entité (DHSF), nous avons découvert qu’il s’agissait d’une +créature virtuelle+ totalement inconnue des institutions et des mouvements des droits de l’Homme en Argentine comme au Chili et dans d’autres pays d’Amérique du Sud.
    Etiquetas : Sahara Occidental, Maroc, Droits de l’Homme sans frontières, DHSF, Argentine,