Étiquette : assassinat

  • 10 ans après, le mystère entoure encore la mort de Kadhafi

    10 ans après, le mystère entoure encore la mort de Kadhafi. Jusqu’à aujourd’hui, les circonstances de son décès ne sont pas claires. La libye encore en guerre.

    C’était il y a dix ans jour pour jour : le 20 octobre 2011, le leader libyen Mouammar Kadhafi était tué. A l’époque, les rebelles du Conseil national de transition (CNT), appuyés par Washington, Paris et Londres, se battent contre l’armée libyenne. Tripoli est aux mains du CNT et Mouammar Kadhafi en fuite. Les rebelles soupçonnent qu’il est retranché à Syrte, sa ville d’origine et lancent un dernier assaut. Dans les heures qui suivent, on apprend sa capture, puis sa mort. Jusqu’à aujourd’hui, les circonstances de son décès ne sont toujours pas claires.

    20 octobre 2011. Il est 13h15, heure locale. Un commandant du CNT, Abdel Madjid, annonce la capture de Mouammar Kadhafi. Après quarante-deux ans de régime autoritaire, celui que l’on nomme le «Guide de la Révolution» est retranché à Syrte, son dernier bastion. A bord d’un convoi de véhicules, il tente de quitter la ville. Le convoi est bombardé par les forces de l’Otan. Mouammar Kadhafi tente de fuir. Certains affirment qu’il aura tenté de se cacher dans des égouts avant d’être capturé par des combattants du CNT. Les premières photos de sa capture le montrent le visage ensanglanté, désorienté. Mais vivant. Quarante minutes plus tard, ce même commandant du CNT déclare que Mouammar Kadhafi serait mort, qu’il aurait succombé à ses blessures. Il faut attendre encore une heure avant d’avoir une confirmation de son décès.

    Que s’est-il passé? Fusillade, explosion de grenade, lynchage…

    Plusieurs versions, mais aucune certitude. Plusieurs versions existent sur les circonstances de sa mort qui, aujourd’hui encore, restent floues, explique Hasni Abidi, directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe.

    Selon la version officielle des autorités libyennes, Mouammar Kadhafi est mort d’une balle dans la tête lors d’une fusillade entre ses partisans et les forces rebelles. Cependant, des vidéos filmées par des combattants du CNT et recueillies par l’organisation Human Rights Watch le montre capturé, vivant, mais saignant abondamment d’une blessure à la tête. Celle-ci aurait été provoquée par les éclats d’une grenade jetée par l’un de ses gardes du corps, selon l’ONG. Une autre vidéo le montre étant passé à tabac par les forces de l’opposition.

    Dans un témoignage recueilli par l’ONG, un commandant d’une brigade de Misrata, présent lors de son arrestation, avoue que c’était la pagaille. «Il y avait de nombreux combattants…», dit-il, «des gens lui tiraient les cheveux, le battaient, lui donnaient des coups de baïonnette». «Mouammar Kadhafi a été ciblé par un raid aérien de l’Otan, notamment des Français et des Britanniques. (…) Il a été blessé à la tête, a essayé de fuir et a été cueilli par plusieurs révolutionnaires. C’est après que les conditions de sa mort sont ambigues.»

    Au moment où il est chargé dans une ambulance qui doit l’emmener vers Misrata, Mouammar Kadhafi semble sans vie, raconte l’ONG qui réclame une enquête.

    Le Carrefour d’Algérie, 20/10/2021

  • Un jeune Algérien assassiné en France

    Criblé de balles sur la voie publique

    Un Algérien a été froidement assassiné dans les rues de Marseille, en France. Le corps sans vie de la victime a été retrouvé gisant dans une mare de sang. La victim a été la cible de plusieurs assaillants munis d’armes à feu, ces derniers n’ont pas hésité à cribler le jeune homme de balles.

    Selon le journal arabophone El Chourouk, il s’agit d’un jeune Algérien âgé de 27 ans. Originaire de la wilaya de Khenchela, la victime résidait avec sa famille à Marseille, où il se trouvait en situation irrégulière. La même source assure que le jeune ressortissant algérien a été assassiné par des inconnus dans la soirée de samedi dernier, sur la voie publique, dans la ville de Marseille.

    Toujours selon la même source, la victime était en train de marcher tranquillement dans les rues de la cité phocéenne, durant la soirée de samedi dernier, quand des individus armés non identifiés surgis de nulle part ont tiré en sa direction une rafale de Kalachnikov. Les assaillants ont pris la fuite vers une direction inconnue. Les secours ont essayé de réanimer en vain la victime. La police a bloqué toutes les issues de la zone du crime dans l’espoir de mettre la main sur les assassins.

    Une enquête a été ouverte par les services de sécurité. Il s’agit du 24e ressortissant algérienà être tué depuis 2018 en France, et du 17e qui est originaire de la wilaya de Khenchela, rappelle le journal El Chourouk.

    Le Midi Libre, 13/07/2021

    Etiquettes : Algérie, France, assassinat, crime, Marseille,

  • Espagne : Le triste sort d’une jeune femme Algérienne

    Portée disparue en Espagne

    En Espagne, et plus précisément dans la région de Valence, le corps d’une jeune femme a été retrouvé dans un état de dégradation très avancé, dissimulé à l’intérieur d’un puits. Il s’agit d’une jeune femme d’origine algérienne, Wafaa Sebbah, âgée de 19 ans seulement.

    La jeune femme était portée disparue depuis 2019. Cela fait plus de 19 mois qu’aucune trace de la jeune Wafaa n’a été retrouvée, au grand dam de sa mère qui n’a cependant jamais perdu espoir de revoir un jour sa fille vivante. « Je rêve d’elle chaque nuit. Je rêve qu’elle va revenir pour me prendre dans ses bras », a confié la maman deWafaa au journal espagnol Nius Diario qui rapporté l’information.

    Victime d’un barbare psychopathe

    C’est suite à son arrestation que l’assassin de Wafaa, appelé El Tuvi, a conduit les enquêteurs de la police à l’emplacement du puits où le cadavre de la jeune fille étai dissimulé. Arrivés sur les lieux, les éléments de l’Unité centrale opérationnelle (UCO) de la Guardia Civil découvrent avec horreur le corps d’une femme avec un sac en plastique sur la tête.

    Le mis en cause avoue qu’il avait tué la jeune femme en l’asphyxiant. Mais le corps de la victime livre bien plus que cela. Le criminel l’aurait attaché afin de l’immobiliser, et en plus de lui avoir tiré dessus avec un pistolet à plombs, il l’aurait également violé sans qu’elle puisse se défendre.

    El Tuvi, selon la même source, serait âgé de 30 ans, et Wafaa n’est peut-être pas sa première victime. Le mis en cause possède déjà un casier judiciaire bien noirci par des atteintes faites aux femmes. Le trentenaire a été en effet déjà condamné pour plusieurs graves délits concernant des agressions sur ses ex-compagnes. En 2018 par exemple, il a été arrêté pour avoir brûlé la voiture de sa copine et pour avoir saccagé son domicile, deux ans après, il récidive en s’en prenant directement à elle, et en l’agressant physiquement.

    Le Midi Libre, 23 juin 2021

    Etiquettes : Algérie, Espagne, Wafaa, El Tuvi, crime, assassinat,

  • Canada : Horrible islamophobie

    par Abdelkrim Zerzouri

    Le Canada terre d’accueil des immigrés ? Difficile de le faire croire aux proches des quatre musulmans, membres d’une même famille, tués dimanche dernier par un individu au volant d’un pick-up dans une localité de l’Ontario, à l’enfant qui a été gravement blessé par cet attentat à la voiture bélier et qui va garder ses séquelles toute sa vie, ainsi que tous les musulmans vivant au Canada.

    C’est un acte terroriste qui vise à faire peur à la communauté musulmane installée au Canada, comme l’a désigné le Premier ministre Justin Trudeau, contrairement à d’autres médias qui continuent à faire dans les deux poids deux mesures, prompts à qualifier pareils crimes d’attentats terroristes quand le coupable est musulman et de simple «attaque» contre des personnes quand la cible sont des musulmans.

    Sans s’étaler dans ce sens sur le traitement médiatique insidieux réservé à ces attentats terroristes commis contre les musulmans installés dans les villes européennes, américaines ou australiennes, qui a eu sa part dans les débats depuis le temps, sans arriver à changer les pratiques ancrées dans certaines rédactions, il y a lieu de parler d’un horrible sentiment d’islamophobie, plus connu en France, qui prend des penchants criminels et qui menace la tranquillité de ce pays qu’on croyait à l’abri de ces haines raciales vu la composante de sa population essentiellement constituée par des groupes d’immigrés de différentes races et épousant diverses religions, qui continuent de nos jours d’affluer vers ces terres qu’on décrit comme paisibles et très accueillantes. Plus le cas de dire pour les musulmans ?

    Pour ne pas tomber dans l’extrême, on dirait que l’islamophobie, qui se développe d’une manière apparente chez les Canadiens, s’exprimant sporadiquement, certes, mais d’une rare violence (rappelant la fusillade dans une mosquée au Québec, en 2017, qui a fait six morts).

    Très inquiétante cette haine des musulmans, donc, car pouvant à la longue installer un sentiment de peur généralisé au sein de la communauté musulmane et provoquer des réactions autant violentes contre cet «autre» qui nourrit des sentiments de haine à leur égard.

    Déjà, le Conseil national des musulmans canadiens (CNMC), qui s’est dit «plus qu’horrifié par cette attaque terroriste en sol canadien», a appelé à la vigilance tous les musulmans vivant au Canada. Cela relève le degré du climat d’insécurité dans lequel vivraient, désormais, les musulmans dans ce pays. Et, les réactions d’indignation unanime chez les responsables canadiens n’enlèveraient rien à ce sentiment de crainte chez tout musulman d’être la prochaine cible du prochain attentat terroriste.

    «Personne ne devrait jamais avoir à vivre de cette façon, ni ressentir cette peur. Toutefois, à cause d’incidents horribles comme celui-ci, beaucoup de nos concitoyens, de nos voisins, de nos amis n’ont aucune autre option», de l’aveu même du ministre canadien de la Sécurité publique et de la Protection civile. Sommes-nous arrivés à une époque où les musulmans ne seraient nulle part en sécurité en dehors de leurs pays ? Ou la forte immigration des musulmans vers les pays de l’Occident, en sus des dommages collatéraux ou la confusion de l’image du musulman avec le terroriste islamiste, pose-t-elle un problème fondamental d’inadaptation avec les mœurs sociales dans les pays d’accueil ? Peut-être que les musulmans devraient suivre l’exemple des Chinois qui bâtissent leur propre univers, des villes dans les villes, là où ils émigrent.

    Le Quotidien d’Oran, 10 juin 2021

    Etiquettes : Canada, islamophobie, extrême droite, crime, assassinat, attentat, voiture bélier, racisme, discrimination, xénophobie,

  • Maroc : Report du procès du tueur du bébé de Namur

    Bébé tué à Namur: le procès de son bourreau reporté à fin juin au Maroc

    Selon L’Avenir, le procès de l’assassin présumé de la petite Théa qui devait se tenir ce mardi au Maroc a été une nouvelle fois reporté.

    Pour rappel, Théa a été assassinée dans un appartement namurois. Elle avait 2 ans.

    La personne en cause est Mounir Kiouh, l’ex-copain de la mère de la petite Théa. En 2011, il a été condamné à 15 ans de prison par un tribunal namurois. La condamnation a été confirmée par la Cour d’Appel de Liège, mais le prévenu avait disparu à l’époque.

    Après une longue recherche, Kiouh a été retrouvé grâce à son profil Facebook. Après une nouvelle plainte déposée au Maroc par la famille de la petite, la justice marocaine a repris le dossier.

    Etiquettes : Théa, Namur, Maroc, assassinat, procès,

  • Le meurtre d’une Algérienne en France déclenche une polémique

    Le meurtre de l’Algérienne Chahinez par son mari il y a une semaine a choqué tant en Algérie qu’en France, suscitant partout les mêmes réactions d’indignation et de condamnation.

    Même si beaucoup en France se trompent encore une fois de cible, pointant du doigt les origines du meurtrier au lieu de s’en prendre à un phénomène de société qui n’est l’apanage d’aucune communauté, les violences conjugales ou les violences faites aux femmes.

    La victime, âgée de 31 ans, est morte dans des circonstances atroces. Son bourreau, lui aussi algérien, voulait la faire souffrir. Les circonstances du drame sont maintenant connues de tous, après les aveux faits par le meurtrier devant la police et la justice.

    Le meurtre est prémédité, minutieusement préparé. Mardi 4 mai, Mounir, 44 ans, se rend devant le domicile de sa femme, de laquelle il est séparé, et attend patiemment qu’elle rentre.

    Une fois sur place, il lui tire dessus plusieurs fois avec un fusil, et alors qu’elle gisait au sol, toujours vivante, il l’asperge d’essence puis met le feu. Il en fera de même avec la maison qu’il filmera en flammes pour poster la vidéo sur les réseaux sociaux.

    La presse française a consacré de larges espaces au drame, fouiné dans la vie du couple et dans son passé, et grâce aux informations livrées par le parquet, les portraits de la victime et du meurtrier sont dressés, ainsi que la trame de leur histoire tourmentée.

    Chahinez est arrivée d’Algérie il y a cinq ans, en compagnie de ses deux enfants, issus d’un précédent mariage. Mounir, lui, est un repris de justice qui a fait plusieurs séjours en prison pour des faits de violence et de vol.

    En juin 2020, il a été condamné à 18 mois de prison, dont 9 avec sursis, pour violences conjugales. La victime, c’est toujours Chahinez. Il a été libéré en décembre de la même année, avec obligation de se soigner et de ne pas s’approcher de sa femme. Une mesure qu’il n’a jamais respectée, rodant dans le quartier où elle habite.

    39 féminicides en France en seulement 4 mois
    Dans tout ce qui a été rapporté concernant cette affaire, un détail ne pouvait échapper à la fachosphère. « Chahinez n’était pas libre. Son mari voulait qu’elle vive comme une Française en France, alors que son mari voulait qu’elle vive comme une Algérienne en Algérie. »

    La phrase, prêtée par le Figaro à « une source proche du dossier » est mise en grosse manchette par le journal puis largement reprise, notamment par une partie bien connue de la France, celle qui a l’habitude de tout mettre sur le dos de l’immigration.

    Suffisant pour déclencher un déchaînement d’amalgames comme on en a l’habitude à chaque attentat terroriste ou acte répréhensible commis par un individu immigré ou d’origine étrangère, spécialement un maghrébin ou un musulman.

    Sur les autres réseaux sociaux, les commentaires mettant en cause l’Islam, l’Algérie, la Charia, les Arabes, le Maghreb, les immigrés, foisonnent.

    Pourtant, il y a bien des défaillances dans cette affaire qui méritent qu’on s’y attarde.

    « Elle se savait en danger », témoignent les proches de la victime. La jeune femme n’a pas bénéficié d’un téléphone grand danger et son mari n’a pas été mis sous bracelet électronique malgré ses antécédents et les plaintes de sa femme.

    La justice a annoncé qu’elle se penchera sur ces dysfonctionnements, car c’est là le véritable problème. À quoi servent les lois et les procédures si elles ne sont pas appliquées ? Dans le cas de Chahinez, si les autorités avaient fait ce qu’elles avaient à faire, suivant la loi, le drame aurait peut-être pu être évité.

    L’occasion pour l’extrême-droite de tenter de récupérer l’affaire à son profit, notamment cette histoire de Bracelet. Il est vrai que la présidente du Front national (RN), Marine Le Pen, n’en a pas cette fois profité pour développer sa rhétorique anti-immigrés.

    Mais elle ne s’est pas empêchée d’utiliser le drame pour régler ses comptes avec le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, candidat aux régionales dans les Hauts-de-France, sur « les terres » de Mme Le Pen.

    « L’obsession d’Eric Dupond-Moretti à mon égard commence à devenir relativement étrange (…) Il paraît qu’il reste quelques bracelets anti-rapprochement en rab, je suis preneuse », a-t-elle ironisé.

    Autre sujet qui ne doit pas être éclipsé par les clichés anti-immigrés, le phénomène des féminicides.

    Les 39 meurtres de ce genre qui ont été commis en France ces quatre derniers mois seulement, et ceux plus nombreux enregistrés dans d’autres pays de l’Occident, montrent clairement que la violence conjugale n’a pas de nationalité, ni de religion.

    Mounir a tué sa femme non pas parce qu’il est Algérien ou musulman, mais parce qu’il est un mari violent, un délinquant, un dérangé.

    TSA-Algérie, 09 mai 2021

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  • Recherché au Maroc pour le meurtre de six membres de sa famille, arrêté en Espagne

    Sucesos – Un fugitif arrêté à Castelló est recherché au Maroc pour le meurtre de six membres de sa famille

    Des agents de la police nationale ont arrêté à Castelló un fugitif recherché au Maroc qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international pour le meurtre présumé de six membres de sa propre famille. L’homme arrêté a poignardé les victimes pendant qu’elles dormaient à la maison, puis a allumé un incendie qui a tué son frère, sa belle-sœur, ses enfants et deux petits-enfants mineurs.

    Les investigations ont commencé il y a tout juste une semaine, lorsque les autorités marocaines ont informé les agents spécialisés dans la localisation des fugitifs de la police nationale de la présence possible en Espagne de l’auteur présumé d’un meurtre multiple au Maroc, comme le rapporte l’organisme dans un communiqué.

    Les efforts de la police ont permis de localiser cette personne dans la ville de Castelló, où elle vivait depuis 2002 avec sa femme et l’un de ses enfants. Grâce à ces informations, les agents ont mis en place un dispositif technique de contrôle et de surveillance de la police qui a permis d’arrêter le fugitif vendredi dernier alors qu’il quittait son domicile et se dirigeait vers son véhicule.

    Les faits pour lesquels il a été arrêté se sont produits en février dernier, dans le cadre d’un conflit familial qui l’a opposé à plusieurs membres de sa famille pour un héritage foncier. L’homme désormais arrêté a proféré des menaces téléphoniques à l’encontre de son frère et de sa famille, résidents de la ville marocaine de Salé, à qui il a fait part de son intention de les assassiner chez eux la nuit.

    Le jour de l’incident, l’homme arrêté a poignardé six membres de sa famille pendant qu’ils dormaient. Par la suite, il a déclenché un incendie criminel qui a entraîné leur mort à tous, c’est-à-dire le frère et la belle-sœur de l’homme arrêté, ainsi que ses enfants et deux de ses petits-enfants mineurs.

    L’arrêté a déjà été mis à la disposition de l’autorité judiciaire.

    20 Minutos, 25 avr 2021

    Etiquettes : Maroc, Espagne, faits divers, assassinat, fugitif, arrestation,