Étiquette : Barcelone

  • Maroc: L’Algérie rejette une nouvelle tentative de médiation

    Maroc: L’Algérie rejette une nouvelle tentative de médiation

    Maroc: L’Algérie rejette une nouvelle tentative de médiation – Union pour la Méditerranée, UpM, Espagne, Barcelone

    L’Algérie a de nouveau refusé une tentative de médiation initiée par l’Espagne en vue d’une réconciliation avec le Maroc. Madrid aurait souhaité organiser une rencontre entre le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et celui du royaume chérifien Nasser Bourita à l’occasion d’une réunion de l’Union pour la Méditerranée (UpM) dont les travaux ont débuté dimanche à Barcelone.

    Le chef de la diplomatie algérienne a préféré, lui, se rendre à Dakar (Sénégal) pour prendre part a la 8e conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine (Chine-Afrique). Le journal espagnol “El Pais” a rapporté que Ramtane Lamamra “s’était excusé à la dernière minute auprès de son homologue espagnol de ne pouvoir participer à la réunion”, la réunion de l’UpM « intervenant parallèlement à la tenue du Forum de coopération sino-africaine les lundi et mardi ».

    L’Express, 01/12/2021

    Lamamra a décliné une invitation a une réunion au Barcelone

    L’Algérie “rejette” une nouvelle tentative de médiation avec le Maroc

    L’Algérie a de nouveau refusé une tentative de médiation initiée par l’Espagne en vue d’une réconciliation avec le Maroc.

    Madrid aurait souhaité organiser une rencontre entre le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et celui du royaume chérifien Nasser Bourita a l’occasion d’une réunion de l’Union pour la Méditerranée (UpM) dont les travaux ont débuté dimanche a Barcelone.

    Le chef de la diplomatie algérienne a préféré, lui, se rendre a Dakar (Sénégal) pour prendre part a la 8e conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine (Chine-Afrique).

    Le journal espagnol “El Pais” a rapporté que Ramtane Lamamra “s’était excusé a la dernière minute auprès de son homologue espagnol de ne pouvoir participer a la réunion”.

    Le même titre –citant de sources diplomatiques- a précisé que le MAE algérien ait décidé de ne pas se rendre en Espagne car la réunion de l’UpM intervenait parallèlement a la tenue du Forum de coopération sino-africaine les lundi et mardi.

    Sur Twitter, Lamamra a soutenu que ce Forum constitue “une occasion d’évaluer l’exécution des programmes de coopération avec la République de Chine et les adapter de manière a dépasser l’impact du Coronavirus et a renouveler notre engagement commun de protéger les intérêts de l’Afrique”.

    En effet, le ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel Albares Bueno a voulu jouer la médiation entre Alger et Rabat en déclarant que “l’Algérie et le Maroc sont de principaux partenaires de l’Espagne et de l’Union européenne avec lesquels nous construisons une relation en Méditerranée…”, “Nous allons aborder ces questions a l’occasion de la réunion de Barcelone”, “Nous en Espagne, on œuvre souvent a trouver des solutions et pour un bon voisinage ainsi que pour la coopération en mer méditerranée. Le dialogue est indispensable a ce sujet”.

    Selon El Pais, a cause de l’absence des deux ministres algérien et marocain, la réunion s’achèvera sans le règlement de la crise opposant les deux pays depuis l’annonce par les autorités algériennes de la rupture de ses relations diplomatiques avec le Maroc.

    La tension est, faut-il le rappeler, montée d’un cran après la mort de trois ressortissants algériens dans un raid marocain.

    Mohamed Meslem

    Echourouk Online, 30/11/2021

    #Algérie #Maroc #Espagne #Union_Méditerranée #UpM

  • UpM : allocution d’ouverture de Josep Borrell

    UpM : allocution d’ouverture de Josep Borrell

    Union pour la Méditerranée, Barcelone – UpM : allocution d’ouverture de Josep Borrell

    Excellences, chers collègues et amis,

    Parce que c’est une réunion d’amis, merci à vous tous d’être là. C’est formidable que tant d’entre nous aient réussi à se rencontrer en personne dans ces circonstances difficiles. Il s’agit d’une réunion avec un nombre record de participation ministérielle – c’est une bonne nouvelle.

    La dernière fois, c’était en 2019 et je tiens à exprimer mes sincères remerciements à l’Espagne pour avoir accueilli cet événement dans un cadre aussi splendide, un lieu véritablement méditerranéen. Merci au ministre espagnol des Affaires étrangères [José Manuel Albares], pour ses encouragements à continuer à travailler et ses encouragements à continuer à faire preuve de solidarité et d’engagement.

    Comme il l’a dit, hier, nous avons eu la première « Journée de la Méditerranée » et en cette « Journée de la Méditerranée », j’ai envoyé un message disant que nous sommes une famille(le lien est externe). Nous sommes voisins, nous sommes partenaires, nous sommes une famille. A l’intérieur d’une famille il y a de l’amour, mais il y a aussi de temps en temps un certain nombre d’ennuis, de querelles. Et nous l’avons aussi.

    Nous l’avons parce que nous partageons une histoire commune. L’histoire nous rassemble et l’histoire nous apporte des conflits. L’histoire nous rejoint, mais aussi nous sépare. En fait, la Méditerranée est une frontière. C’est une frontière qui sépare deux mondes avec beaucoup de différences.

    Nous nous sommes engagés à dépasser ce qui nous sépare et à faire de la Méditerranée plus qu’une frontière un lieu de rencontre qui rassemble notre monde, nos mondes, disons-le au pluriel.

    La Méditerranée doit être un lieu de progrès partagé, mais si nous sommes honnêtes avec nous-mêmes, nous devons reconnaître que nous n’y avons pas beaucoup réussi. Et il est entre nos mains de continuer à travailler et à nous engager les uns avec les autres pour continuer à façonner notre histoire commune.

    Notre époque nous apporte de nombreux défis. Nous sommes confrontés à des conflits et, sur certains d’entre eux, nous avons fait très peu de progrès. Je suis désolé de devoir m’en souvenir. Nous sommes confrontés à la fragmentation, aux inégalités et au manque d’opportunités économiques, en particulier pour les nombreux jeunes. Nous sommes confrontés à la pression migratoire et aux rêves déçus.

    Regardez les chiffres : depuis 1990, au cours des 30 dernières années, au Maghreb – je sais que ce n’est pas toute la Méditerranée mais concentrons-nous sur le Maghreb – le PIB par habitant a doublé, mais dans l’Union européenne il a triplé. Ainsi, l’écart se creuse. Le PIB par habitant au Maghreb est passé de 5 000 $ à 10 000 $ et au [PIB par habitant dans l’] Union européenne est passé de 15 000 $ à 45 000 $ – l’écart est beaucoup plus grand.

    Et nous pouvons dire la même chose à propos de la démographie. La population a augmenté beaucoup plus vite dans le Sud que dans le Nord. Au Nord, il a augmenté de 12 % et au Sud de 45 %.

    Ces deux écarts, l’écart démographique et l’écart de richesse sont insoutenables, et ils ne diminuent pas, ils augmentent.

    Regardons la réalité devant nous. Malgré tous nos efforts, et malgré tant de conférences et de réunions, comme l’a rappelé le ministre espagnol [des Affaires étrangères, José Manuel Albares], nous continuons à avoir un écart croissant. Permettez-moi d’insister sur cette idée : c’est insoutenable. Nous devons combler cet écart. Et, pour combler cet écart, nous devons faire face à des défis spécifiques.

    Certainement, pour promouvoir un développement économique durable et inclusif, ce qui signifie au final, [créer] des emplois et des opportunités pour le grand nombre de jeunes du Sud. Et beaucoup d’entre eux devront chercher cette opportunité dans le Nord. Nous ne pouvons pas fermer nos frontières à la migration, mais elle doit être réglementée.

    Deuxièmement, nous devons lutter contre les inégalités et tisser des liens humains et culturels. Troisièmement, le commerce et l’investissement, il n’y a pas assez de commerce entre nous. L’Afrique du Nord est l’une des régions les moins intégrées au monde et le nombre d’échanges économiques entre le Nord et le Sud n’augmente pas. Et enfin et surtout, lutter contre le changement climatique et améliorer les conditions de vie.

    Certes, ces défis ne peuvent être résolus avec succès que si nous travaillons ensemble. J’insiste sur l’idée qu’il faut convertir la Méditerranée non pas en une frontière qui nous sépare, mais en un lieu de rencontre. C’est à cela que sert l’Union pour la Méditerranée, et ce que l’Union pour la Méditerranée fait par des mesures concrètes, par une coopération pratique, en produisant des résultats. C’est ce qu’est l’Union pour la Méditerranée.

    D’autres acteurs internationaux font leur apparition dans la région. Quand je suis arrivé à Bruxelles il y a deux ans, il n’y avait pas de Russes en Afrique du Nord. Maintenant, il y en a beaucoup. Lorsque d’autres acteurs viennent, il est important de continuer à accroître notre engagement parmi nous, parmi les Méditerranéens.

    Un bon exemple de cette solidarité est nos efforts communs pour faire face à la situation en Biélorussie, permettez-moi de le mentionner, car cela compte beaucoup pour nous, Européens. Beaucoup d’entre vous ont fait preuve de solidarité – merci – en limitant le trafic aérien vers la Biélorussie, ou pour reprendre les mots de mon collègue commissaire [pour promouvoir le mode de vie européen, Margaritis] Schinas : « C’est le moment où l’Union européenne compte sur nos amis, et nous sommes très heureux de voir que nous en avons beaucoup ». Et beaucoup d’entre vous ont été très utiles pour arrêter ce flux de personnes qui [ont été] utilisées comme balles contre les frontières européennes. Ils ont été transformés en armes, et ce genre de choses, nous ne pouvons pas nous permettre de les avoir.

    Un autre bon exemple est la façon dont nous nous sommes entraidés avec la pandémie de COVID-19. C’est un travail en cours, mais de notre côté, nous avons fait de notre mieux, pas assez, mais de notre mieux pour aider tous les pays du pourtour méditerranéen. Et nous continuerons à les soutenir.

    Un autre exemple encore est la déclaration ministérielle sur l’environnement et l’action pour le climat, adoptée par l’Union pour la Méditerranée au Caire le mois dernier, comme l’a rappelé le ministre espagnol [José Manuel Albares]. Cet accord doit conduire la région vers une transition verte réussie. Parce que le changement climatique et la dégradation de l’environnement comportent de sérieux défis, mais c’est aussi une grande opportunité pour nos deux économies, pour la création d’emplois, pour la diversification de notre structure économique.

    Un succès similaire a été enregistré en juin dernier lorsque l’Union des ministres de la Méditerranée a confirmé son intention de tracer une nouvelle voie de transition énergétique propre pour la région. Ils se sont mis d’accord sur un plan directeur pour l’interconnexion électrique entre tous les pays et à travers la Méditerranée. Je pense qu’il faut souligner l’importance de ce masterplan.

    Oui, l’Union pour la Méditerranée a prouvé sa capacité à dépasser les clivages politiques et à se concentrer plutôt sur des coopérations concrètes débouchant sur des résultats tangibles sur le terrain. C’est pourquoi, permettez-moi de remercier le Secrétariat général et le Secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée, Nasser Kamel, pour son leadership et son dévouement dans des circonstances si difficiles.

    La mise en œuvre sera la clé. Les belles paroles sont importantes, les bonnes actions sont meilleures. Mais en plus d’agir, nous avons besoin de communiquer. Je pense qu’il y a un manque de communication de notre part et que notre travail n’est pas bien connu ou traité comme il devrait l’être. Je vous invite tous à expliquer plus et mieux, à démontrer la valeur de la coopération à travers la Méditerranée. Notre peuple en a besoin. Ils ont besoin de savoir comment nous travaillons ensemble et c’est pourquoi nous sommes ici.

    Merci pour votre attention. Je vais céder la parole à mon coprésident, Ayman Safadi, [Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères de Jordanie], en le remerciant pour son excellente coopération.

    Lien vers la vidéo (à partir de 13’00 ») : https://audiovisual.ec.europa.eu/en/video/I-214321

    EEAS, 29/11/2021

    #Union_Méditerranée #UpM #Barcelone #6forum_régional

  • Barcelone: L’Algérie et le Maroc boudent le Forum de l’UpM

    Maroc, Algérie, Union pour la Méditerranée – Barcelone: L’Algérie et le Maroc boudent le Forum de l’UpM

    Le sixième Forum de l’Union pour la Méditerranée n’a finalement pas eu la présence de l’Algérie et du Maroc, les deux pays que l’Espagne aspirait à réunir dans la rencontre non seulement pour aborder bilatéralement la relance des relations et la crise énergétique avec chacun d’eux. , mais aussi tenter une sorte de médiation dans les tensions renouvelées qui les confrontent.

    Ni le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, ni l’Algérien Ramtane Lamamra, n’ont assisté à la réunion du Forum à Barcelone présidée par le ministre espagnol José Manuel Albares, le haut représentant pour la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, et le secrétaire de la UPM, Nasser Kamel.

    L’excuse pour justifier l’absence a été la célébration à Dakar du Sommet Chine-Afrique, un forum qui prend une importance particulière en raison de la présence croissante d’investissements et d’entreprises chinoises sur le continent voisin, une relation qui continue aujourd’hui d’être plus bénéfique. pour les intérêts du pays asiatique que pour les nations africaines, qui maintiennent un déficit commercial annuel avec la Chine de plus de 20.000 millions de dollars. Tenter de rééquilibrer cette situation est un objectif prioritaire de la réunion.

    Les Affaires étrangères n’ont jamais voulu confirmer la présence des ministres algérien et marocain au Forum méditerranéen, comprenant que, comme on pouvait s’y attendre, les différences, désormais particulièrement amères entre les deux, constitueraient un obstacle de premier ordre.

    Ainsi, la possibilité que le Forum ait été le théâtre du rendez-vous reporté entre Albares et son homologue marocain a été diluée. Un rendez-vous qui, s’il avait eu lieu, aurait pu servir à rétablir les relations diplomatiques entre Madrid et Rabat, boiteuses depuis que le Maroc, le 18 juin, a appelé son ambassadeur en Espagne pour des consultations. Le retrait du diplomate est intervenu après que Rabat a levé ses contrôles aux frontières avec Ceuta et a permis le passage de milliers de citoyens marocains et, plus tard, aussi, après que l’Espagne a décidé d’accueillir le chef du Front Polisario, Brahim Ghali, pour être soigné par le Covid. dans un hôpital espagnol.

    Ces derniers mois, la relation triangulaire Espagne-Maroc-Algérie a été éclipsée par la crise énergétique et la fermeture du gazoduc qui transporte le gaz algérien vers l’Espagne via le Maroc, ainsi que l’accusation d’Alger contre Rabat d’être à l’origine de l’attentat dans laquelle trois camionneurs algériens ont été tués.

    TENSIONS « ACTIVES »
    Ce cumul de circonstances a rendu difficile la rencontre des deux pays à Barcelone, rencontre au cours de laquelle Albares tente de « renforcer la cohésion » entre les nations des deux rives de la Méditerranée en adoucissant, par le dialogue et la collaboration, « les conflits et tensions qu’ils sont toujours actifs dans la région.

    A l’ouverture du Forum, le ministre espagnol a souligné que sans l’effort et la coopération de tous « la Méditerranée verra sa propre existence et celle des 790 millions de personnes qui vivent sur ses rives en jeu ». « La fragmentation de la région », a-t-il insisté, « ne profite qu’à ceux qui veulent nous diviser ».

    A cette occasion, le sixième Forum de l’Union pour la Méditerranée a réussi à réunir une vingtaine de ministres des Affaires étrangères des 42 pays qui le composent (27 de l’Union européenne et 15 d’Afrique). Son objectif dans cette édition est de relancer une relance économique et sociale « juste et inclusive » qui permettra de surmonter définitivement les graves conséquences de la pandémie.

    El Mundo, 29/11/2021

    #Maroc #Algérie #Union_Méditerranée #UpM #Barcelone

  • Dignes des films hollywoodiens: Evasion d’un marocain

    Maroc, Espagne, évasion, prison, Barcelone, Hamza Nali, #Maroc, #Hamza Nali,

    Barcelone.- Selon la presse locale catalane, un détenu du centre pénitentiaire de Lledoners s’est évadé, dans la nuit de mercredi à jeudi, alors qu’il se trouvait à l’hôpital Sant Joan de Déu de Manresa. Il s’agit d’un prisonnier considéré comme dangereux et qui aurait fui vers le Baix Llobregat.

    Selon El Caso, il s’agit de Hamza Nali, un prisonnier de nationalité marocaine qui avait été transféré par les Mossos d’Esquadra au centre médical pour une visite. Au moment de son évasion, vers 22 heures, il était torse nu et avait un bras dans le plâtre.

    Nali se serait évadé et la police cherche maintenant à savoir s’il a été récupéré par une voiture qui s’est dirigée vers Baix Llobregat, où, selon Los Mossos, le prisonnier évadé a des contacts. En outre, le même média rapporte que ses collaborateurs pourraient être armés.

    La police n’a pas précisé les crimes pour lesquels il était en prison ni s’il était en détention provisoire. Ce que l’on sait, c’est qu’il est considéré comme dangereux.

  • Air Algérie: Mise en vente des billets Barcelone-Alger

    La compagnie aérienne Air Algérie, a ouvert finalement le vente de ses billets concernant le ligne Barcelone Alger, et ce via son site officiel.

    Une information qui a été relaye par le site dédié à la diaspora « Djalia.DZ ».

    Les autorités algériennes ont prévu toujours d’imposer le coût du confinement a la charge du voyageur, selon la même source.

    Quant a la communauté algérienne établie a l’étranger, la diaspora tenu a dénoncer la vente en cachette des billets et le manque d’informations officielles sur le prix.

    Echourouk online, 29 juin 2021

    Etiquettes : Algérie, Barcelone, vols, Air Algérie, billets,

  • Air Algérie : baisse de tarif sur le « pack confinement »

    La Compagnie aérienne nationale, Air Algérie, a annoncé mardi dans un communiqué, que le montant « Pack confinement » prévu pour les Algériens de retour au pays, dès ce mardi, est réduit à 33.000 de DA par passager, tandis que les étudiants et les personnes âgées à faible revenu sont dispensés de ces frais.

    « En application des nouvelles directives des autorités algériennes, le montant du pack confinement est réduit à 33.000 da par passager » a indiqué Air Algérie dans une publication sur ses comptes officiels sur les réseaux sociaux.

    La Compagnie a également expliqué que « les demandes de dispense de paiement des frais de confinement en faveur des étudiants et des personnes âgées à faible revenu doivent être accompagnés des pièces justificatives et adressées aux représentations diplomatiques et consulaires à l’étranger », précisant « qu’elle (Air Algérie) contactera toutes les personnes dont la dispense a été accordée par les services compétents ».

    A rappeler que les frais de confinement étaient initialement fixés à 41.000 DA (TTC) pour les Algériens de retour au pays à la faveur de la décision du Gouvernement relative à l’ouverture partielle de l’espace aérien sur l’International à partir du 1er juin.

    Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ensuite ordonné de baisser les frais d’hébergement relatif à l’isolement de 20% pour les Algériens de retour au pays, et de dispenser les étudiants et les personnes âgées à faible revenu de ces frais.

    Le « Pack confinement », payable au moment de l’achat ou de la confirmation du billet d’avion couvre les frais de transport vers le lieu du confinement, l’hébergement de 5 nuitées en pension complète, ainsi que le test COVID prévu à la fin du confinement, avait expliqué Air Algérie, notant que l’exonération des frais de confinement est entendue dans la limite de deux enfants de moins de 12 ans par famille.

    La reprise des vols d’Air Algérie s’effectue à partir d’aujourd’hui avec un vol Constantine-Tunis-Constantine tous les vendredis, Alger-Istanbul-Alger (tous les dimanches), Alger-Paris (ORLY)-Alger (tous les mardis et jeudis), Alger-Marseille-Oran (tous les samedis) et Alger-Barcelone-Alger (tous les mercredis).

    APS

    Etiquettes : Algérie, Air Algérie, vols, rapatriement, ouverture des frontières, tarifs, pack confinement, voyages, Paris Orly, Istanbul, Marseille, Barcelone,

  • Barcelone : Explosion de joie et débordements

    BARCELONE, Espagne – Des célébrations de rue impromptues ont éclaté dans toute l’Espagne au moment où l’horloge a sonné minuit samedi, lorsque l’état d’urgence national de six mois visant à contenir la propagation du coronavirus a pris fin et que de nombreux couvre-feux nocturnes ont été levés.

    À Madrid, la police a dû faire sortir les fêtards de la place centrale de la Puerta del Sol, où les scènes de danse non masquée et les signatures de groupes ressemblaient à la vie nocturne pré-pandémique.

    Les adolescents et les jeunes adultes ont également afflué sur les places centrales et les plages de Barcelone pour marquer l’assouplissement des restrictions.

    « Liberté ! » a dit Juan Cadavid, qui reprenait contact avec des amis. Ce Barcelonais de 25 ans se réjouissait également à l’idée de reprendre le travail dans un restaurant étoilé au Michelin, fermé depuis sept mois en raison des restrictions liées à la pandémie.

    Associated Press, 09 mai 2021

    Etiquettes : Espagne, déconfinement, Barcelone, restrictions,

  • Espagne: Il faut payer 100 euros pour faire sa prière

    Tout fidèle doit débourser 50 euros pour la prière de vendredi et 100 euros pour les Tarawih.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=xM1thpnk8ug&w=560&h=315]

    C’est l’imam d’une mosquée sise a Barcelone qui a fait cette annonce. A quelques jours seulement du mois sacré, le responsable fait savoir que les tarifs varient entre 50 euros pour la grande prière de vendredi pour atteindre 100 euros pour les Tarawih.

    « Payer 50 euros pour la prière du vendredi et 100 euros pour celles des Tarawih, sinon, il ne faut pas venir nous casser la tête », affirme le membre de la commission chargé de la gestion de la mosquée.

    La même personne justifie cette annonce fracassante, qui a suscité la grogne de la communauté musulmane établie en Espagne, par la situation économique difficile provoquée par la pandémie.

    Echourouk Online, 6 avr 2021

    Etiquettes : Barcelone, prière, Tarawih, Ramadhan,