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  • Algérie: Un responsable US discute de la prolifération des armes au Sahel

    Tags : Algérie, Etats-Unis, Bénin, armes, Sahel, Libye,

    Alger – Asharq Al-Awsat
    Bonnie Jenkins, la sous-secrétaire d’État américaine au contrôle des armements, discuterait avec de hauts responsables algériens de la sécurité, de la lutte contre le terrorisme et de la prolifération des armes au Sahel et en Libye.


    Jenkins a également les menaces russes « Wagner » à son ordre du jour.


    « Jenkins rencontrera de hauts responsables du gouvernement pour discuter de questions d’intérêt commun, y compris les efforts visant à approfondir la coopération bilatérale en matière de sécurité pour relever les défis communs en matière de sécurité régionale », lit-on dimanche dans un communiqué du bureau du porte-parole du département d’État américain.

    « Le sous-secrétaire rencontrera également des ambassadeurs de missions diplomatiques partageant les mêmes idées à Alger pour discuter des questions de sécurité régionale. »


    Cela indique qu’elle rencontrerait les ambassadeurs des pays du Sahel, de la Tunisie, de la Libye et de la Mauritanie.


    Cette visite intervient au milieu des tensions algéro-marocaines persistantes et de la présence des milices « wagneriennes » dans certains pays africains, notamment au Mali, ce qui inquiète Washington.

    Les observateurs s’attendent à ce que la responsable américaine transmette aux responsables algériens la volonté de son gouvernement de coopérer afin de freiner l’infiltration des groupes armés pro-russes sur le continent africain.


    Jenkins rencontrerait le président algérien Abdelmadjid Tebboune, le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, le chef d’état-major de l’armée Said Chengriha et des officiers supérieurs.

    La visite diplomatique de Jenkins intervient un mois après la visite de Michael Langley, commandant de l’US Africa Command, et trois mois après la visite de Brett McGurk, le coordinateur du Conseil de sécurité nationale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Yael Lempert, principale adjointe adjointe secrétaire, et Jeremy Brandt, responsable de l’Afrique du Nord au Conseil de sécurité nationale des États-Unis.


    Chengriha a informé Langley le 8 février que son pays tenait à l’impartialité et traitait avec plusieurs pays amis pour servir ses intérêts.

    Le sous-secrétaire Jenkins se rend en Algérie et au Bénin pour des réunions vitales sur la sécurité !

    Si vous vous intéressez aux questions de sécurité internationale et de non-prolifération, vous allez vous régaler ! La sous-secrétaire au contrôle des armements et à la sécurité internationale, l’ambassadrice Bonnie D. Jenkins se rendra en Algérie et au Bénin du 4 au 9 mars pour des réunions sur diverses questions de sécurité, de non-prolifération et de contrôle des armements.

    Rencontre avec des hauts fonctionnaires à Alger, Algérie

    Du 5 au 7 mars, la sous-secrétaire Jenkins sera à Alger, en Algérie, où elle rencontrera de hauts responsables gouvernementaux pour discuter de questions d’intérêt commun. Plus précisément, ils discuteront des efforts visant à approfondir la coopération bilatérale en matière de sécurité afin de relever les défis communs en matière de sécurité régionale. En outre, le sous-secrétaire rencontrera des ambassadeurs de missions diplomatiques partageant les mêmes idées à Alger pour discuter des questions de sécurité régionale.

    Il s’agit d’une opportunité passionnante pour les États-Unis et l’Algérie de renforcer leurs relations et de trouver de nouvelles façons de travailler ensemble pour un avenir plus sûr.

    Assistance à la professionnalisation et au renforcement des capacités à Cotonou, Bénin

    Du 7 au 9 mars, la sous-secrétaire Jenkins sera à Cotonou, au Bénin, où elle rencontrera de hauts responsables gouvernementaux et militaires pour discuter de l’élargissement de la professionnalisation et de l’assistance au renforcement des capacités des forces militaires et de sécurité béninoises. L’objectif de cette assistance est de promouvoir la sécurité et la stabilité nationales et régionales.

    Le sous-secrétaire recevra également un exposé sur le soutien des États-Unis à la sauvegarde des stocks d’armes conventionnelles. Il s’agit d’une question importante pour les deux pays, car elle garantit que les armes ne tombent pas entre de mauvaises mains et ne créent pas le chaos et l’instabilité.

    En outre, le sous-secrétaire Jenkins présentera l’engagement commun des États-Unis et du Bénin à élargir le rôle des femmes dans tous les aspects de la consolidation de la paix grâce aux efforts internationaux sur les femmes, la paix et la sécurité. Il s’agit d’un élément crucial de la construction d’un monde plus pacifique et plus stable.

    Pourquoi ce voyage est important

    Ce voyage est important pour plusieurs raisons.

    • Cela démontre l’engagement des États-Unis à promouvoir la sécurité internationale et la non-prolifération. En s’engageant avec des pays comme l’Algérie et le Bénin, les États-Unis peuvent aider à établir des partenariats plus solides et à trouver de nouvelles façons de relever les défis communs.
    • Ce voyage souligne l’importance du renforcement des capacités et de la professionnalisation dans la promotion de la sécurité et de la stabilité. En fournissant une assistance et une formation aux forces militaires et de sécurité, les États-Unis peuvent contribuer à faire en sorte que ces forces soient mieux équipées pour faire face à une série de problèmes de sécurité.
    • Ce voyage souligne l’importance de promouvoir le rôle des femmes dans la consolidation de la paix. Les femmes ont un rôle important à jouer dans la promotion de la stabilité et de la sécurité, et il est crucial que nous travaillions pour faire en sorte que leurs voix soient entendues.

    Conclusion

    En conclusion, le prochain voyage de la sous-secrétaire au contrôle des armements et à la sécurité internationale, l’ambassadrice Bonnie D. Jenkins en Algérie et au Bénin, est une occasion importante pour les États-Unis de s’engager avec ces pays sur une série de questions de sécurité, de non-prolifération et de contrôle des armements. En établissant des partenariats plus solides et en promouvant le renforcement des capacités, nous pouvons travailler ensemble vers un avenir plus sûr et pacifique.

    Source


    #Algérie #Bénin #Etats_Unis #Sahel #Armes #Libye

  • Le Bénin teste la puissance d’un mini-réseau rural avec un projet solaire de 1,7 MW

    Le Bénin teste la puissance d’un mini-réseau rural avec un projet solaire de 1,7 MW

    Tags : Bénin, NEoT Offgrid Africa, Meridiam, GDS International, ARESS,

    DAKAR, 14 novembre (Reuters) – NEoT Offgrid Africa, une plateforme d’investissement dans l’énergie fondée par le français EDF (EDF.PA) et le gestionnaire d’actifs parisien Meridiam, a annoncé lundi qu’elle travaillait avec deux autres sociétés pour développer une centrale électrique de 1,7 mégawatt ( MW) projet d’énergie solaire au Bénin.

    Il s’agit de GDS International, filiale du groupe énergétique français Générale du Solaire, et de la société ouest-africaine de transition énergétique ARESS.

    Ensemble, ils travailleront sur un projet de mini-réseau pour fournir de l’électricité dans 12 localités rurales, dont 3 MWh de capacité de batterie qui alimenteront en électricité plus de 5 000 foyers et entreprises, et qui devrait être achevé d’ici un an.

    L’idée est qu’il devrait s’agir d’un projet pilote d’électrification hors réseau régulée au Bénin, une partie d’une région qui, historiquement, n’a pas réussi à capter ses énormes ressources renouvelables en raison d’investissements insuffisants.

    Les chiffres de l’Agence internationale de l’énergie ont révélé que bien qu’elle abrite 60 % des meilleures ressources solaires au monde, l’Afrique ne dispose que de 1 % de la capacité solaire installée.

    Le projet représente un investissement de 8,5 millions d’euros (8,79 millions de dollars), cofinancé par NEoT Offgrid Africa, en tant que partenaire financier, et des fonds du principal fonds de développement du gouvernement américain, Millennium Challenge Corporation, selon le communiqué des entreprises.

    #Bénin 3

  • Maroc: Des tractations pour l’extradidion de Goutay

    Maroc, Bénin, France, Hubert Goutay – Maroc: Des tractations pour l’extradidion de Goutay

    Les tractations se poursuivent entre les autorités du Bénin, du Maroc et de la France pour l’extradition du Français Hubert Goutay, accusé dans une affaire de drogue au Bénin.

    Arrêté le 13 octobre 2021 au Maroc en application d’un mandat d’arrêt international émis par le Bénin pour des faits de « trafic de drogue », le ressortissant français Hubert Goutay est en détention à Rabat. Le dossier de l’opérateur économique suspecté dans l’affaire de trafic de drogue au Bénin est suivi de près par les autorités du Bénin et les services de renseignements et du Ministère de la Défense en France.

    Les sources proches du dossier informent que des tractations sont en cours pour l’extradition de Hubert Goutay.
    Vers quel pays les autorités marocaines accepteraient-elles d’envoyer Hubert Goutay, si des sources proches de Paris mettent en doute les accusations de la justice béninoise contre le mis en cause ? Le sort de Hubert Goutay dépendra de l’issue des négociations entre les autorités françaises, marocaines et béninoises. Pour l’heure, les tractations se poursuivent.

    M. Goutay est un homme d’affaires spécialisé dans le négoce de matières premières, patron de la société Goodness SAS.

    Le Français est recherché par la justice béninoise pour une affaire de 145 kg de cocaïne saisis dans un conteneur au port de Cotonou. Plusieurs personnes sont inculpées dans l’affaire dont Séraphin Yèto, PDG de Sonimex, une entreprise spécialisée dans le commerce de matériaux de construction.
    M. M.

    24h au Bénin, 19/11/2021

    #Hubert_Goutay #Maroc #Bénin #France #Cocaïne

  • Point de presse quotidien de l’ONU: 29 juillet 2021

    Point de presse quotidien de l’ONU: 29 juillet 2021

    (La version française du Point de presse quotidien n’est pas un document officiel des Nations Unies)

    Ci-dessous les principaux points évoqués par Mme Eri Kaneko, Porte-parole associée de M.  António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:

    Éthiopie

    Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Martin Griffiths, a entamé aujourd’hui une mission de six jours en Éthiopie.

    M. Griffiths a déclaré qu’il était important pour lui d’effectuer sa première mission officielle dans ses nouvelles fonctions en Éthiopie, où les besoins humanitaires ont augmenté cette année en raison des conflits armés au Tigré et au Bīnshangul Gumuz, des violences intercommunautaires dans certaines parties des régions Afar, Somali et des nations, nationalités et peuples du sud, ainsi qu’en raison de la sécheresse dans les régions Somali, d’Oromia et de l’Afar.

    Il a indiqué que ces chocs s’ajoutent à des défis existants liés aux inondations, à l’infestation de criquets pèlerins, à une insécurité alimentaire chronique et à la pandémie de COVID-19.

    Au cours de son déplacement, M. Griffiths devrait rencontrer des responsables gouvernementaux de haut niveau et des représentants des communautés humanitaires et des donateurs. Il a déclaré qu’il attendait avec impatience de participer à des discussions constructives sur l’intensification de la réponse humanitaire à travers le pays.

    Il prévoit de se rendre au Tigré pour entendre les civils touchés par le conflit et constater de visu les défis auxquels sont confrontés les travailleurs humanitaires. Selon les estimations, 5,2 millions de personnes – soit environ 90% de la population – ont besoin d’une aide humanitaire dans la région du Tigré.

    M. Griffiths prévoit également de rencontrer les autorités régionales d’Amhara dans la ville de Bahir Dar.

    Déplacement de la Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix

    La Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix, Mme Rosemary DiCarlo, était en visite officielle à Addis-Abeba, en Éthiopie, du 25 au 27 juillet, où elle a rencontré la Présidente éthiopiennne, Mme Sahle Work Zewde. elles ont discuté des priorités de l’Éthiopie et de la manière dont l’ONU peut soutenir davantage les efforts visant à renforcer la participation à la vie publique de tous les Éthiopiens, y compris les femmes, les jeunes et la société civile.

    Elle a ensuite rencontré le Vice-Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères éthiopien, M. Demeke Mekonnen, et la Ministre de la paix, Mme Muferiat Kamil, lors de réunions distinctes au cours desquelles ils ont échangé leurs points de vue sur les mesures à prendre pour renforcer la stabilité et l’unité nationale de la région. Mme DiCarlo a également souligné l’appui de l’ONU en faveur d’une solution pacifique au conflit du Tigré.

    La Secrétaire générale adjointe a ensuite rencontré la Vice-Présidente de la Commission de l’Union africaine, Mme Monique Nsanzabaganwa, et le Commissaire de l’UA aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité, M. Adeoye Bankole, pour discuter de la prévention des conflits et des efforts de paix, notamment de la participation des femmes et des jeunes à ces efforts.

    Le lendemain, mercredi 28 juillet, elle s’est rendue à Khartoum, au Soudan, où elle a rencontré le Premier Ministre, M. Abdalla Hamdok. Elle l’a félicité pour les récents progrès accomplis et l’a assuré que l’ONU et la Mission intégrée des Nations Unies pour l’assistance à la transition au Soudan (MINUATS) demeurent pleinement engagées à soutenir la transition soudanaise vers la démocratie, y compris l’achèvement et la mise en œuvre du processus de paix. Sa visite au Soudan s’achèvera le 31 juillet.

    Conseil de sécurité

    Ce matin, les membres du Conseil de sécurité ont voté pour prolonger le mandat de la Force des Nations Unies chargée du maintien de la paix à Chypre (UNFICYP) pour une nouvelle période de six mois.

    Les membres du Conseil de sécurité ont également voté en faveur de la prorogation du régime de sanctions en République centrafricaine.

    Mali

    La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) rapporte qu’hier, les Casques bleus ont repoussé deux attaques visant ses patrouilles. La première a eu lieu à Kidal. Un véhicule blindé a été endommagé mais aucune victime n’est à déplorer.

    La deuxième attaque s’est produite au nord de Douentza, dans la région de Mopti, dans une zone où les soldats de la paix avaient désamorcé un engin explosif improvisé plus tôt dans la journée.

    Au cours des trois dernières semaines, 15 attaques ont pris pour cible les Casques bleus au Mali, dont 11 impliquant des engins explosifs improvisés. Quinze membres du personnel de la MINUSMA ont été blessés lors de ces attaques, qui ont également causé d’importants dégâts matériels.

    Malgré ces défis, la Mission reste déterminée à s’acquitter de son mandat et a réitéré son soutien à la pleine mise en œuvre de l’Accord pour la paix.

    Bénin/COVID-19

    Lundi, le Bénin a reçu plus de 300 000 doses de vaccin par l’intermédiaire du Mécanisme COVAX. Ces vaccins seront utilisés dans 115 sites de vaccination à travers le pays.

    L’équipe de l’ONU, dirigée par le Coordonnateur résident, M. Salvator Niyonzima, intensifie son soutien à la campagne de vaccination en cours. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) appuie les autorités sanitaires dans la surveillance du virus, les enquêtes épidémiologiques, la gestion des cas, la communication des risques et l’engagement communautaire.

    De son côté, l’UNICEF travaille avec des partenaires pour transporter et distribuer les vaccins.

    L’ONU s’est efforcée de sensibiliser à la campagne de vaccination et diffuse des messages par SMS. Elle travaille également avec les autorités pour gérer les rumeurs et la désinformation.

    Éducation

    La Vice-Secrétaire générale, Mme Amina Mohammed, est intervenue par message vidéo, au nom du Secrétaire général, à l’occasion du Sommet mondial sur l’éducation. Elle a averti que nous sommes en plein milieu d’une crise de l’éducation.

    La pandémie de COVID-19 contribue déjà à une plus grande inégalité en matière d’éducation et à une augmentation du travail des enfants et du mariage des enfants, a-t-elle déclaré.

    Il y a un an, a-t-elle dit, plus de 90% des étudiants dans le monde –soit 1,6 milliard de jeunes– ne se rendaient pas à l’école. Quelque 156 millions de personnes sont encore touchées par les fermetures des établissements scolaires, tandis que près de 25 millions pourraient ne jamais regagner les bancs de l’école.

    La Vice-Secrétaire générale a souligné qu’une reprise efficace après la pandémie nécessite des investissements dans les enseignants, l’apprentissage numérique et des systèmes adaptés à l’avenir.

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