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  • Algérie : Le boycott perd du terrain…

    Algérie : Le boycott perd du terrain…

    Algérie, boycott, élections, partis politiques, #Algérie

    L’on s’achemine inexorablement vers la participation de tous les partis politiques ayant boycotté toutes les dernières consultations électorales depuis la chute de Bouteflika et sa clique. Le double scrutin du 27 novembre prochain qui concerne la gestion des collectivités locales (APC et APW) semble avoir donné à réfléchir aux états-majors des partis en rupture de ban avec les élections.

    Lentement mais sûrement, ces formations annoncent leur participation à ce double scrutin pour tenter de placer le maximum d’élus locaux et contrôler les assemblées communales et de wilaya. Après le Parti des Travailleurs de Louisa Hanoune, c’est le plus vieux parti d’opposition, le FFS qui annonce officiellement qu’il sera bel bien partant pour les joutes du 27 novembre.

    Sans doute que son frère ennemi du RCD va le rejoindre dans les tous prochains jours dans cette option qui est, objectivement, la plus lucide en ces temps d’incertitudes. Il est en effet connu que les APC et les APW sont autrement plus importantes concrètement et politiquement que l’assemblée populaire nationale (APN) en ce sens qu’elles impactent directement la vie des citoyens.

    Quand on choisit un maire, on nourrit l’espoir qu’il puisse régler les soucis quotidiens des habitants des communes (eau, logement, électricité, voirie, gaz…). L’APC et l’APW ne votent pas les lois. Elles sont dans le réel, dans le concret, en un mot dans la vraie vie des citoyens notamment dans les régions montagneuses où le développement local est à ses premiers balbutiements.

    En participant à ces élections, les partis maintiennent leur ancrage local et renouvellent leur volonté  d’être à l’écoute des préoccupations des citoyens-électeurs. Ils savent par ailleurs que s’ils boycottent le double scrutin, les sièges des APC et APW seront inévitablement occupés par des indus élus qui, faute de mandats populaires, vont tourner le dos aux citoyens et se consacrer uniquement à se faire du fric sur leur dos.

    Sans doute que les partis jadis boycotteurs ont dû se poser toutes ces questions avant d’acter leur participation. Il va de soi que la question se pose en terme de survie politique pour eux. Déjà absents à l’APN, une non participation dans la gestion des assemblées locales signifierait ipso facto leur mort politique pendant cinq ans. Et pour un parti politique cela risque d’être fatal.

    La décision du PT, du FFS et peut-être du RCD relève donc de la lucidité politique qui commande de ne pas s’égarer dans un « ni nisme » mortifère extrêmement préjudiciable aux collectivités locales et aventureux pour la pérennité des partis. Il va sans dire que l’entrée en lice de ces partis va faire baisser sensiblement la tension dans le pays et réinstaller peut être une ambiance plus calme et des débats politiques plus disputés.

    Ce sera en quelque sorte une « normalisation » par le bas après le ratage des législatives qui aurait pu être un grand moment de rupture avec les méthodes du passé. Mais s’il était écrit quelque part que le salut de l’Algérie passe par les APC et les APW, nous dirons à la bonne heure !

    Par Imane B. 

    L’Est Républicain, 12/09/2021

  • Maroc : Campagne contre l’ambassadeur d’Israël

    Les utilisateurs des médias sociaux marocains demandent l’expulsion de l’envoyé d’Israël.

    Des militants marocains ont lancé une campagne appelant à l’expulsion du chef du bureau de liaison d’Israël à Rabat, David Govrin.

    Les militants se sont rendus sur Facebook et Twitter en utilisant le hashtag arabe « Expulsez le représentant de la puissance d’occupation ». Beaucoup ont également remplacé leur photo de profil par celle du drapeau palestinien et du Dôme du Rocher, en solidarité avec le peuple palestinien.

    Le journaliste Hassan Al-Yussufi a écrit sur sa page Facebook que « les habitants de la capitale, Rabat, refusent que le chef du bureau de liaison d’Israël, David Govrin, vive parmi eux. »

    L’activiste Rashid Brim a publié sur Facebook : « Le représentant de l’occupation n’est pas le bienvenu au Maroc, et interagir avec la campagne numérique est le moins que nous puissions faire pour soutenir notre peuple en Palestine, à Jérusalem et dans la sainte mosquée Al-Aqsa. La participation est nécessaire jusqu’à ce que nous purifions la terre du Maroc qui a été profanée par les sionistes. »

    D’autres ont souligné les crimes et abus continus de l’occupation à l’égard des Palestiniens au fil des ans, en disant : « rien n’a changé, et ne changera pas tant que nous ne tiendrons pas le responsable pour responsable ».

    Les Marocains ont également visité les sites où le représentant israélien s’était rendu dans le but de les « purifier ».

    « Il n’y a pas de place pour les sionistes et les occupants parmi nous », a tweeté Mohamed Boudichat.

    Selon les médias marocains, Govrin est actuellement hébergé dans un hôtel à Rabat, le bureau de liaison israélien dans la capitale marocaine n’ayant pas été inauguré, dans l’attente de la délivrance de visas d’entrée pour l’équipe technique du ministère israélien des Affaires étrangères.

    Le 10 décembre, Israël et le Maroc ont annoncé la reprise de leurs relations diplomatiques, qui avaient été rompues en 2000. Le Maroc est devenu le quatrième pays arabe à normaliser ses liens avec Israël en 2020, après les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Soudan.

    Middle East Monitor, 07 juin 2021

    Etiquettes : Maroc, Israël, normalisation, David Guvrin, boycott,

  • L’émissaire israélien au Maroc peine à trouver un bureau à louer

    Selon Haaretz, le représentant d’Israël au Maroc n’arrive pas à trouver un endroit où installer son bureau à Rabat.

    « Ce n’est pas drôle d’être l’émissaire officiel d’Israël au Maroc. Le diplomate chevronné David Govrin, qui dirige la mission, a du mal à trouver un endroit approprié pour ses bureaux. Six mois après sa nomination, la mission fonctionne toujours dans un hôtel de la capitale, Rabat », indique le journal israélien.
    « Les protestations contre la normalisation avec Israël masquent le mécontentement sous-jacent du roi concernant l’état économique du pays. Cependant, les pertes massives subies par l’industrie du tourisme en 2020 garantissent que les touristes israéliens sont toujours aussi bienvenus », ajoute-t-il.
    Les marocains ont utilisé les réseaux sociaux pour organiser una campagne contre la location de leurs biens au représentant de l’Etat sioniste suite aux derniers carnages commis par ce dernier contre la population civile palestinienne.
    Etiquettes : Maroc, Israël, normalisation, ambassade d’Israël au Maroc, David Guvrin, boycott, location,
  • L’émissaire israélien au Maroc peine à trouver un bureau à louer

    Selon Haaretz, le représentant d’Israël au Maroc n’arrive pas à trouver un endroit où installer son bureau à Rabat.

    « Ce n’est pas drôle d’être l’émissaire officiel d’Israël au Maroc. Le diplomate chevronné David Govrin, qui dirige la mission, a du mal à trouver un endroit approprié pour ses bureaux. Six mois après sa nomination, la mission fonctionne toujours dans un hôtel de la capitale, Rabat », indique le journal israélien.

    « Les protestations contre la normalisation avec Israël masquent le mécontentement sous-jacent du roi concernant l’état économique du pays. Cependant, les pertes massives subies par l’industrie du tourisme en 2020 garantissent que les touristes israéliens sont toujours aussi bienvenus », ajoute-t-il.

    Les marocains ont utilisé les réseaux sociaux pour organiser una campagne contre la location de leurs biens au représentant de l’Etat sioniste suite aux derniers carnages commis par ce dernier contre la population civile palestinienne.

    Etiquettes : Maroc, Israël, normalisation, ambassade d’Israël au Maroc, David Guvrin, boycott, location,

  • Algérie : Déconcertante platitude de la campagne électorale : Le FLN, les islamistes et les électeurs

    Par : M. Rahmani

    C’est une campagne électorale qui n’arrive pas vraiment à intéresser les citoyens et encore moins mobiliser et ce, plus d’une semaine après son lancement officiel malgré les interventions des candidats, les soi-disant contacts de proximité et les meetings qui ne drainent plus les foules comme avant.

    En effet, on est loin de ces foules qui se bousculaient pour assister à telle ou telle intervention d’un homme politique en vue ou une personnalité nationale mobilisée pour l’occasion. Ces fêtes qu’on avait l’habitude de voir et ces rassemblements hauts en couleur ont disparu du paysage laissant la place à une morosité et une indifférence sans précédent, surtout qu’il s’agit d’élections cruciales pour l’avenir du pays du fait d’une législature dont l’importance est vitale en ces temps de double crise sanitaire et économique.

    Désaffection et désintérêt des citoyens

    Ce désintérêt et cette désaffection pour la chose politique n’est pas fortuit et est l’expression d’un désaveu de tous ceux qui prétendent à la fonction de député siégeant au sein de l’auguste assemblée. Le citoyen échaudé et blasé parce qu’ayant été dupé à plusieurs reprises par des discours encenseurs et mirobolants faisant miroiter un avenir brillant pour les populations démunies et pour ceux qui croient vraiment en ce pays, n’y croit plus et met tout le monde sans exception aucune dans le même « panier ».

    Le vieux parti se rebiffe et passe à l’attaque

    L’on se remémore, il n’y a pas si longtemps, Abou El Fadl Baadji, nouveau patron du FLN, toute honte bue, discourant dans une des localités du Sud du pays promettant de transformer la région à l’image de Dubaï. Ce qui avait alors amené la réaction d’un citoyen qui avait rétorqué que le FLN est aux commandes depuis l’indépendance, il avait plus de 50 ans pour le faire et il ne l’a pas fait, comment cela se fait-il qu’il peut être en mesure de le faire en 5 ans ? Une remarque qui avait cloué le bec à tous ceux qui soutiennent le vieux parti.

    Le patron du FLN qui est en perte de vitesse récidive et veut mettre en avant sa formation en s’attaquant aux autres partis, c’est le cas notamment d’El Bina et son chef Bengrina qui a essuyé le courroux de Baadji. En effet, ce dernier a rapporté que les candidats de ce parti ont été des cadres du FLN et que cette formation n’a pas de programme, c’est un parti satellite qui gravite autour de l’internationale islamiste, représentée par les Frères Musulmans.

    Un électorat blasé et difficile à convaincre

    Mais ces querelles de clocher n’intéressent pas le citoyen algérien qui n’est plus aussi malléable et manipulable à souhait comme il l’avait été avant, bien au contraire, il est devenu plus difficile à convaincre car ne croyant plus en personne et n’est pas près de se faire avoir comme cela avait été le cas durant les précédentes législatives. La chute du régime Bouteflika a mis à nu toutes les pratiques mafieuses de certains hommes politiques et de personnalités qui soutenaient cette gestion catastrophique du pays qui a abouti à une déliquescence de l’Etat algérien malmené pendant des décennies, a fini par achever le semblant de confiance du citoyen qui subsistait encore.

    Un sabordage et une sorte de hara-kiri à l’Algérienne qui se sont manifestés par un rejet total de la classe politique qui s’est donnée à fond au plus fort du moment et prête encore à servir celui ou ceux qui prendront la relève quelle que soit leur appartenance ou obédience, l’essentiel est qu’ils restent toujours dans le giron du pouvoir non pas pour servir mais plutôt pour se servir comme d’habitude.

    Et donc, cette désaffection des citoyens pour ces élections n’est pas le fait d’une colère passagère ou d’une quelconque décision politique qui n’a pas été digérée et qui a été rejetée par la majorité de la population, c’est plutôt l’accumulation de toutes ces manipulations, ces mensonges et ces discours spécieux, ces détournements et ces vols, ces corruptions qui ont gangréné l’Etat et qui ont manqué de le terrasser, n’était ce sursaut salvateur qui a évacué toute cette racaille.

    Les risques et les dangers du boycott

    Mais cette désaffection, ce désintérêt et ce boycott qui pourraient s’exprimer le jour des élections n’est pas sans risques et peut avoir un effet boomerang qui plongerait encore le pays dans une instabilité politique et une zone de turbulences dont l’issue est incertaine.

    En effet, les partis islamistes à l’instar d’El Bina de Bengrina, d’El Adala de Djaballah et du MSP de Makri se sont sentis pousser des ailes et se sont investis pleinement dans cette bataille sans réel adversaire, car les quelques petits partis font juste semblant et les indépendants sans expérience et sans moyens ne suscitent aucune crainte.

    Ces partis se voient déjà au pouvoir, présidant aux destinées de ce pays en partant à l’assaut de l’hémicycle qu’ils comptent conquérir coûte que coûte.

    Makri se sent pousser des ailes

    Ainsi, Makri, dopé par l’absence de partis pouvant lui barrer la route, se dit prêt à diriger le gouvernement ! Rien que cela !

    La nature ayant horreur du vide, il fallait bien que quelqu’un prenne cette place et lui se voit déjà l’occupant officiant au gouvernement et soutenu par une assemblée d’obédience islamiste.

    Il faut dire que Makri n’a pas tout à fait tort car cette désaffection et cette indifférence jouent le jeu des islamistes qui, eux, mobilisent leurs militants et sympathisants pour gagner ces élections qu’on dit propres et honnêtes pour une fois.

    Ce scénario peut se réaliser au vu de la situation actuelle et les islamistes pourront dans ce cas accéder au pouvoir en ayant la majorité dans l’auguste assemblée. Ce qui aura certainement de lourdes conséquences sur les libertés individuelles et collectives avec un projet de société des plus restrictifs.

    Un sursaut citoyen est-il possible ?

    Et donc, à moins d’un sursaut salvateur qui verrait les citoyens se déplacer en masse, voter pour les indépendants et les autres formations en lice et ainsi barrer la route aux islamistes, le pays ne verra pas le bout du tunnel et s’enfoncera encore plus.

    Le Provincial, 29 mai 2021

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  • Maroc : Appels au boycott des produits espagnols

    Appels lancés par des milliers de personnes, dont des journalistes, sur les médias sociaux avec des comptes en langues arabe, française et espagnole

    Des activistes marocains ont appelé, samedi, au boycott des produits espagnols après une escalade des tensions entre Rabat et Madrid suite à l’accueil en Espagne du chef du front Polisario (mouvement séparatiste illégal).

    Les appels au boycott ont été lancés par des milliers de personnes, dont des journalistes, sur les médias sociaux avec des comptes en langues arabe, française et espagnole.

    Au Maroc, où opèrent plus de 800 entreprises espagnoles, l’Espagne est perçue comme un partenaire commercial depuis 2012.

    Les tensions ont débuté fin avril lorsque le gouvernement de Madrid a accueilli Brahim Ghali en Espagne, où il devait se faire soigner pour un cas grave de coronavirus.

    Les autorités espagnoles n’ont pas informé le gouvernement marocain de cette démarche.

    L’Espagne affirme que c’était à des fins humanitaires, mais les responsables marocains l’ont qualifié de « provocation inacceptable » et ont évoqué des conséquences.

    Après des réunions diplomatiques de haut niveau tenues mardi, les tensions sont légèrement retombées. Les autorités marocaines ont repris le contrôle de la région frontalière, tandis que la Haute Cour espagnole a convoqué Ghali le 1er juin pour une audience préliminaire dans le cadre d’une affaire de crimes de guerre le concernant.

    Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a exprimé son ferme attachement à la protection des frontières de l’Espagne mais n’a pas directement critiqué le Maroc.

    AA

    Etiquettes : Maroc, Espagne, Ceuta, migration, boycott, Brahim Ghali, Front Polisario,

  • Algérie : Le RCD, deuxième parti politique à décider de boycotter les élections législatives du 12 juin

    Le parti Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), l’un des principaux partis d’opposition en Algérie, a annoncé sa décision de boycotter les élections législatives anticipées qui se tiendront le 12 juin prochain.

    Le boycott a été décidé lors de la session générale du conseil national du parti tenue à Alger samedi, rapporte la presse algérienne, indiquant qu’il a été décidé à l’unanimité par les membres du conseil, qui ont explicitement rejeté la décision adoptée par les autorités et ont exprimé leur soutien au mouvement de protestation en cours dans le pays (Hirak).

    « C’est dans ce contexte de répression, de détention de prisonniers d’opinion, de restrictions des libertés individuelles et collectives, et de régression économique et sociale que le pouvoir en place, deux fois disqualifié par un grand et historique boycott des urnes, s’apprête à jouer une nouvelle fois la « tragédie électorale du 12 juin », s’est félicité le président du RCD, Mohsin Belabas, lors de l’inauguration des travaux du Conseil national de son parti sur cette simple session. Pour M. Belabas, cité par les médias locaux, le pouvoir de résoudre la crise en Algérie Priorise la décadence par rapport à. L’incapacité d’ouvrir un dialogue sérieux pour un véritable changement démocratique et de ne pas réussir à neutraliser le hirak par la répression, place l’avenir de la nation sur l’option décisive du vrai décideur », a-t-il déclaré.

    Le Parti des travailleurs (PT-Opposition), statuant le 15 mars, a déclaré que la RDC est la deuxième formation politique à boycotter les prochaines élections législatives, qui ne participeront pas à cette échéance, annonçant une élection dont les résultats sont connus d’avance et qui entre dans une tentative malheureuse et pathétique de « sauver un système obsolète et irréversible ». Il a dit : « Non et non, les prochaines élections à l’Assemblée ne commenceront pas par le démantèlement du système désuet hérité d’un modèle de parti, contre lequel la plupart des gens se sont révoltés et se sont soulevés.

    Tags : Algérie, RCD, élections législatives, boycott,

  • Campagne de boycott des produits français – Lancée sur les réseaux sociaux

    Des internautes ont lancé sur les réseaux sociaux une campagne d’envergure de boycott des produits fabriqués en France sous le hashtag “#BoycottLes produitsfrançais” en réaction aux déclarations du président français Emmanuel Macron encourageant les caricatures et les dessins offensants le Prophète Mohamed (QSSSL).

    En effet, le hashtag incitant au boycott des produits français s’est placé en tête des sujets les plus discutés dans le monde arabo-musulman et ce en réaction aux propos hostiles à l’Islam et aux musulmans tenus par des officiels français et en soutien au Prophète (QSSSL).

    En Algérie, plusieurs pages sur les réseaux sociaux et des personnalités publiques ont manifesté leur soutien à cette initiative.

    Le président français a déclaré, lors d’un hommage rendu au prof d’histoire-géographie tué par un jeune homme d’origine tchétchène, que « Nous ne renoncerons pas aux caricatures, aux dessins, même si d’autres reculent », martelant que ce dernier a été assassine « parce qu’il incarnait la République ».

    « Samuel Paty fut tué parce que les islamistes veulent notre futur et qu’ils savent qu’avec des héros tranquilles tels que lui, ils ne l’auront jamais», a insisté celui qui a succédé à François Hollande en 2017.

    Imène Boukhatem / Traduit par: Moussa. K.

    Source : Echourouk Online, 23 oct 2020

    Tags : France, Islam, Islamisme, Charlie Hebdo, caricatures, Samuel Paty, boycott, produits français, réseaux sociaux, campagne,