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  • Pétrole : le Brent à plus de 77 dollars, vendredi

    Pétrole : le Brent à plus de 77 dollars, vendredi

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    Propulsés par les perturbations touchant la production alors que la demande s’annonce plus forte, les prix du baril de Brent flirtaient, vendredi, avec leur plus haut niveau de l’année.

    Ainsi, dans la matinée d’aujourd’hui, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 77,52 dollars à Londres, soit en augmentation de 0,35% par rapport à la clôture de jeudi.

    A New York, le baril de WTI pour le même mois progressait de 0,22% à 73,46 dollars.

    Il est à noter que pour sa part, le Brent a atteint 77,74 dollars en début de séance asiatique, s’approchant ainsi de son précédent plus haut à 77,84 dollars enregistré le 6 juillet. Pourrait-il le dépasser ? Cette éventualité renverrait le contrat de référence européen à un niveau plus vu depuis près de trois ans, le 29 octobre 2018, estiment des obsevateurs.

    Algérie, 24/09/2021

  • Pétrole: Le prix du baril poursuit sa remontée

    par A. Maktour

    Les traders et les pays producteurs dépendant des prix de l’or noir, entre autres intervenants sur le marché mondial du pétrole, n’ont pas encore fini de se remettre de leurs émotions de la semaine dernière, lorsque le prix du baril de Brent a franchi, jeudi, la barre des 76 dollars, les voilà de nouveau pris dans l’euphorie de la tendance haussière dès les premières heures de la séance de reprise des marchés, hier.

    Cela ne s’était plus vu depuis octobre 2018. Pour la reprise du marché en Asie, en cours de séance, le Brent affichait 76,60 dollars le baril, alors que celui du WTI était coté à 74,45 dollars. Plus les prix montent, plus l’interrogation devient lancinante.

    L’interrogation au sujet de la réaction face à la remontée spectaculaire des prix de la part des pays producteurs menés par l’Arabie Saoudite au sein de l’Opep, et leurs dix alliés regroupés autour de la Russie, dans le cadre d’Opep+. Le marché asiatique donnait en fait, hier, le ton pour la séance de réouverture à Londres pour le Brent et New York pour le WTI, les deux principaux marchés où les barils de référence ont brillé dès les premières heures par la stabilité, sur la lignée de la séance de clôture de vendredi dernier.

    Le contrôle de l’offre par l’Opep+ et la forte demande de pétrole font grimper les prix du brut dans toutes les régions du monde. Un état de fait qui devrait s’étaler dans le temps, selon toutes les perspectives, même si, dans l’immédiat, deux faits majeurs pourraient influer sur la courbe des prix. En effet, la réunion mensuelle, prévue jeudi, des membres de l’Opep+ focalisera l’attention puisqu’il est dit que les 23 membres, appelés à décider des nouveaux quotas de production à partir du mois d’août, seraient enclins à augmenter l’offre d’un demi-million de barils par jour. L’autre seconde donne à même d’influer sur le cours du marché, concerne les pourparlers sur le nucléaire iranien. Des discussions dont une des premières issues pourrait aboutir à l’allégement des sanctions qui font que l’Iran n’a pas le droit d’exporter son pétrole. Un retour du pétrole iranien sur le marché aura un effet irrémédiablement baissier sur le prix.

    Ceci, même si des analystes assurent que même si l’offre de pétrole venait à s’enrichir de la production iranienne, cela n’aurait qu’un effet relatif sur les prix, tant la demande mondiale est partie pour atteindre des proportions pour le moins «attrayantes» pour les investisseurs et les pays producteurs en mal de recettes pétrolières, à l’instar de l’Algérie.

    M. Azedine

    Le Soir d’Algérie, 29 juin 2021

    Etiquettes : Algérie, Pétrole, prix, barril, hausse, montée, Brent, recettes pétrolières,

  • Algérie : Le pétrole à 100 $, la bonne nouvelle

    Les cours du pétrole ont connu une progression sur les bourses mondiales. Une bonne nouvelle pour l’éco-nomie nationale. Le prix du baril de «Brent» s’est installé à 75,38 dollars, en hausse de 0,57 dollar sur l’Intercontinental Exchange Futures de Londres, alors que celui du baril de «Light sweet crude» a constitué 73,28 dollars, après une augmentation de 0,43 dollar, sur le New York Mercantile Exchange. Les gains annuels s’élèvent déjà à près de 45%. Sans parler de son impressionnant rebond depuis son niveau plancher d’avril 2020: +285%! Bank of America a relevé ses prévisions de prix du Brent pour cette année et l’année prochaine, affirmant que le resserrement des équilibres de l’offre et de la demande de pétrole en 2022 pourrait pousser brièvement le pétrole à 100 $ le baril, a rapporté lundi l’agence britannique Reuters.

    «Nous pensons que la reprise robuste de la demande mondiale de pétrole dépassera la croissance de l’offre au cours des 18 prochains mois, drainant davantage les stocks et ouvrant la voie à une hausse des prix du pétrole», a déclaré la banque dans une note datée de dimanche. Alors que la demande devrait se redresser à un rythme rapide au cours des prochains mois, la banque a averti que d’amples capacités inutilisées de l’OPEP+ et un retour probable des barils iraniens plafonneraient les prix du pétrole cette année, selon le même média. En effet, l’économie mondiale commence à se reprendre après deux ans de pandémie, ce qui a engendré une forte demande pendant la saison de conduite estivale et une pause dans les pourparlers pour relancer l’accord sur le nucléaire iranien qui pourrait conduire à une reprise des approvisionnements en brut du producteur de l’OPEP.

    Comme l’avaient prédit les experts, le prix du pétrole devrait connaître une «bonne» hausse avant, peut-être, de chuter. C’est ainsi que le PDG de TOTAL déclare que le prix du pétrole risque d’atteindre 100 dollars le baril mais aussi d’être bas au cours des prochaines années. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la demande pétrolière va dépasser son niveau d’avant pandémie d’ici fin 2022 et atteindre 100,6 millions de barils par jour. «Le brut a poursuivi sa hausse, galvanisé par l’idée que l’élection d’Ebrahim Raïssi [en Iran] rend les négociations sur le nucléaire plus difficiles», a commenté Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.

    Avec un prix référentiel du baril de pétrole fixé à 40 dollars par la loi de finances 2021, l’Algérie gagnerait presque le double si les pronostics des prévisionnistes ne sont pas mis à mal par une éventuelle révision à la hausse par l’Opep+ de ses quotas de production, note «El Watan». Cela aurait été également plus rentable, si la production pétrolière algérienne maintenait ses niveaux d’il y a quelques années.

    Selon les données du dernier rapport mensuel de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (OPEP), elle avait atteint en mars 2021 870 000 Mbj, soit une baisse de 8000 barils par rapport à la production moyenne de février (878 000 Mbj), d’après le média. Une hausse qui pourra «booster» l’économie nationale et atténuer la crise.

    Le Carrefour d’Algérie, 24 juin 2021

    Etiquettes : Algérie, pétrole, prix, hausse des prix, Brent, OPEP,

  • Pétrole : Le prix du Brent franchit la barre des 70 dollars

    Les prix du pétrole ont continué mardi leur poussé appuyés par un espoir des opérateurs de voir la demande pour les carburants augmentée dans le monde notamment après l’allégement des restrictions imposées pour lutter contre la pandémie de la covid-19.

    Ainsi , le prix du Brent , référence pour le prix du pétrole algérien , a franchi la barre des 70 dollars le baril suite à l’enthousiasme qui a marqué les marches pétroliers, de voir le demande pour le brut augmenter durant l’année en cours 2021.Cette hausse des prix est la plus importante enregistrée depuis le début du mois de mars dernier, elle représente 0,92% de plus par rapport à la dernière séance de transactions.

    Selon le site « Bloomberg », les prix ont augmenté également pour le brut américain léger connu sous le nom de WTI, pour atteindre prés de 67 dollar le baril ce qui représente une hausse de 0 ,91% par rapport à la dernière séance de transactions.

    Des spécialistes n’ont pas cachés leur certitude que les indicateurs positifs de voir la demande pour les carburants augmentée en Europe et aux USA, parallèlement à l’allégement des confinements sanitaires, constituent la raison majeure derrière cette hausse importante des prix du pétrole. « C’est vrai qu’il y a des craintes par rapport à la contamination par le covid-19 en Asie, mais cette situation est provisoire et trouvera sa solution avec la distribution des vaccins », ont –t- ils également ajouté.

    Il est à rappeler que plusieurs activités ont repris lundi en Grande Bretagne après un confinement sanitaire de 4 mois. Les confinements ont également été allégés en Espagne, la France, la Hollande et le Portugal suite à l’accélération des compagnes de vaccination contre le virus. Cette reprise des activités a également été enregistré dans plusieurs régions des USA, un pays qui représente à lui seul , la plus grande économie du monde. Par Aziz Latreche

    Le Chiffre d’Affaires, 18 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, prix, pétrole, Brent,

  • Les prix du pétrole chutent malgré de meilleures perspectives économiques

    LONDRES (Reuters) – Les prix du pétrole ont baissé mercredi malgré les perspectives d’une croissance économique mondiale plus forte alors que les négociations pour relancer un accord nucléaire avec l’Iran ouvrent la possibilité d’un assouplissement des sanctions sur ses exportations de pétrole.

    Les contrats à terme sur le Brent ont chuté de 36 cents, ou 0,6%, à 62,38 $ le baril à 8 h 43 GMT, tandis que le brut américain West Texas Intermediate était en baisse de 36 cents, ou 0,6%, à 58,97 $.

    Les prix s’échangeaient en territoire positif plus tôt dans la séance, soutenus par l’amélioration des données économiques.

    « L’optimisme sur les perspectives économiques mondiales a stimulé le sentiment sur le marché du pétrole brut », ont déclaré les analystes de la banque ANZ.

    Le Fonds monétaire international a déclaré mardi que des dépenses publiques sans précédent pour lutter contre le COVID-19 pousseraient la croissance mondiale à 6% cette année, un taux non atteint depuis les années 1970.

    Cependant, une possible augmentation des stocks de carburant américains et les pourparlers avec l’Iran ont pesé.

    Les stocks américains de brut ont diminué de 2,6 millions de barils au cours de la semaine terminée le 2 avril, tandis que les stocks d’essence ont augmenté de 4,6 millions de barils et les stocks de distillats de 2,8 millions de barils, ont indiqué trois sources du marché, citant l’American Petroleum Institute (API).

    Les données officielles devraient être publiées plus tard mercredi.

    L’Iran et les puissances mondiales ont tenu ce qu’ils ont décrit comme des pourparlers «constructifs» mardi et ont convenu de former des groupes de travail pour discuter de la possibilité de relancer l’accord nucléaire de 2015 qui pourrait conduire Washington à lever les sanctions sur le secteur énergétique iranien et à augmenter l’approvisionnement en pétrole.

    «L’Iran est le plus grand risque d’offre à la hausse pour le marché pétrolier», a déclaré Stephen Brennock du courtage pétrolier PVM.

    Les prix du pétrole ont chuté plus tôt cette semaine après que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés, un groupe connu sous le nom d’OPEP +, aient accepté de réduire progressivement les réductions de la production pétrolière à partir de mai.

    Mais les analystes estiment que l’ampleur de l’augmentation est peu susceptible d’avoir un impact majeur sur le rééquilibrage du marché.

    « La décision de l’OPEP + … ne devrait pas compromettre le rééquilibrage du pétrole et donc le contexte de prix élevés », a déclaré Brennock.

    Reuters, 7 avr 2021

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