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  • Algérie: Quand Belmadi déjoue le complot maroco-français

    Algérie: Quand Belmadi déjoue le complot maroco-français

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    Depuis son succès à la dernière CAN en Egypte, la sélection Algérienne de football drivée par le très populaire Djamel Belmadi, est cible d’un complot qui dépasse le stade sportif, pour atteindre la géopolitique.
    Plusieurs indicateurs abondent dans ce sens, dans la mesure ou la victoire des poulains de Belmadi en terre égyptienne, coïncidait avec une situation politique instable en Algérie, liée en premier lieu au Hirak venu sauver le pays du diktat d’El Issaba, et se heurtant à des tentatives de récupération politicienne par des groupuscules inféodés aux agendas étrangers, représentés par le MAK et l’organisation terroriste de Rachad, née sur la dépouille du FIS dissous à l’origine de la décennie qui avait fait 200 mille victimes en Algérie.

    La victoire footballistique algérienne , œuvre d’être sélectionneur devenu le ministre du bonheur en Algérie, d’un staff technique , administratif et médical et surtout de joueurs dévoués à la cause algérienne, ouvrit la voie à un énorme espoir chez la jeunesse Algérienne, désireuse de vivre dans la dignité et le bien-être loin du désespoir instrumentalisé par des politicards qui font des malheurs du peuple Algérien, un fonds de commerce politique pour présenter leurs créances d’allégeance aux officines étrangères hostiles à l’Algérie.

    Réussissant le pari de faire sortir l’Algérie de son coma sportif, imposé par une improvisation de casting et de copinage, devise d’El issaba, Djamel Belmadi devient malgré lui un ennemi, des projets de déstabilisation et de conspirations contre l’Algérie.Il réussira en compagnie de son équipe à tirer son épingle du jeu, pour mettre hors d’état de nuire les embûches dressées sur son chemin , comme l’état de la pelouse du stade du chahid Mustapha Tchaker, ou la campagne de déstabilisation menée par certains journalistes et médias, pour le contraindre à démissionner et quitter le navire Algérie.

    Le complot franco-marocain

    Ayant réussi à vaincre relativement le danger interne, grâce à une mobilisation populaire en sa faveur, Djamel Belmadi sera contraint de faire face au jeu de coulisses du Maroc mené par le président de la fédération royale marocaine Fawzi Lakdjaa, artisan de la manipulation des burkinabés pour déstabiliser l’équipe Algérienne, lors du match aller, joué au stade de Marrakech, en usant de subterfuges extra-sportifs, suivi d’un tapage médiatique au sujet du déroulement de la rencontre Djibouti-Algérie, tenue finalement au stade du Caire en Egypte, puis du choix de l’arbitre pour diriger le match Algérie-Burkina Faso, officié finalement par le sud-africain, Victor Gomes, s’ajoutant aux provocations des burkinabés, qui réussiront légèrement à déconcentrer les verts, mais échouèrent dans leur tentative d’éliminer les verts chez-eux et d’arrêter leur série de 33 matches sans défaites, faisant de l’Algérie l’une des grandes nations footballistiques du ghota mondial.

    Pour ce qui est de l’implication de la France, il faut citer les médias Le Parisien et le Figaro, qui tentèrent bien que mal de ternir l’image de l’Algérie à travers des Fakenews à la limite de l’absurdité. Le Parisien véhiculera la Fakenews sur l’arbitre sud-africain Victor Gomes, que Djamel Belmadi encensera, pour ses prestations mondiales de haut niveau. Le Parisien annoncera quelques jours avant le match décisif de Blida entre l’Algérie et le Burkina Faso, que les responsables algériens avaient refusé la désignation de l’arbitre sud-africain, qui aurait selon le média français dénoncé il y a quelques années, une tentative de le soudoyer par un club algérien en lice dans une compétition continentale. Pour ce qui du Figaro, il diffusera la fakenews, selon laquelle les joueurs burkinabés ont été contraints de changer en dehors des vestiaires du stade Mustapha Tchaker, qui seraient dans un « état lamentables « que les images et caméras présentes au stade démentiront

    Mainmise du Maroc sur la CAF

    Les éléments cités par nos soins sont confirmés ce jeudi, par le journaliste français d’investigation Romain Molina. Ce dernier évoque l’influence hégémonique de Faouzi Lakjaâ, président de la Fédération marocaine de football (FRMF), sur la Confédération africaine de football (CAF).« Le Maroc peut faire ce qu’il veut, ils ont une influence énorme à la CAF ! », a-t-il souligné

    Rachad en embuscade

    La sérénité de Djamel Belmadi a réussi à déjouer tous les complots concoctés par les officines hostiles à l’Algérie, et qui n’arrivent pas à digérer l’épanouissement de l’équipe d’Algérie, et devra se mesurer à un ennemi du peuple appelé Rachad, organisation terroriste, dont l’un des fondateurs vient de diffuser une vidéo pleine de mensonge, annonçant une éventuelle élimination physique de Belmadi par les services algériens. Est-ce logique d’éliminer celui qui vient de faire naître l’espoir chez la jeunesse algérienne, tuée par Rachad et l’obscurantisme des Zitout &co ?

    Bien sur que non puisque la réussite de l’équipe nationale et Djamel Belmadi abonde dans le sens de la stabilité du pays et de son émergence sur le plan international via le football, sport roi de la planète. Il est certain que le succès de Belmadi casse la spirale de l’endoctrinement du désespoir au sein de la jeunesse algérienne, au même titre que Cheb Hasni, qui representait le sursaut de cette jeunesse, assassiné en 1994 par l’organisation du FIDA, de Mourad Dhina le partenaire de Larbi Zitout dans son entreprise terroriste. En conclusion, le « Qui Tue Qui » à connotation sportive prônée par la nébuleuse terroriste ne pourra jamais aboutir, dans une nouvelle Algérie déterminée et décidée plus que jamais à retrouver son standing malgré le complot franco-maroco-sioniste, dont l’exécutant n’est autre que la nébuleuse terroriste de Rachad.

    Algérie54, 20/11/2021

    #Algérie #Maroc #France #Football #Mondial #LesVerts #DjamelBelmadi

  • De la politique au sport… les complots sans fin du Maroc

    Algérie, Vahid Halilhodžić, Ramain Molina, CAF – De la politique au sport… les complots sans fin du Maroc

    Début avril, Vahid Halilhodžić, le sélectionneur de l’équipe nationale marocaine de football, a fait une révélation de taille. Lors d’une conférence de presse, il a assuré que les responsables de la Fédération royale de football (FRMF), veulent à tout prix remporter la prochaine Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui aura lieu au Cameroun.

    S’adressant directement à Fouzi Lakjaâ, président de ladite fédération, et ses hommes de main, coach Vahid a exprimé son incompréhension quant à cette lubie. Parce que, selon lui, les dirigeants de la FRMF veulent remporter, coûte que coûte, la prochaine CAN au détriment d’une qualification pour la Coupe du Monde 2022.

    L’ancien sélectionneur national connaît d’ailleurs les raisons de ce tapage : le sacre de l’Algérie en 2019 en Egypte rend jaloux les responsables marocains.

    « Mon président, et tout le monde là, vous êtes un peu ! Je le dis, il ne faut pas se fâcher. L’Algérie a gagné et pas vous. J’ai senti que certains préfèrent la CAN à la Coupe du Monde. Je le dis franchement et honnêtement », leur avait-il lancé.

    Fait marquant : la sortie de Vahid Halilhodžić est intervenue moins de deux semaines après la fin des éliminatoires de la CAN. Quelques jours plutôt, l’équipe nationale algérienne avait en effet concédé match nul en Zambie (3-3) à cause d’un arbitrage honteux.

    Bien sûr, les responsables de l’époque de la Fédération algérienne de football ont vigoureusement protesté auprès de la Confédération africaine de football (CAF) contre le Comorien Adelaid Mohamed Ali. La sanction, toutefois, était bien légère. Il n’a été suspendu que pour 90 jours.

    Depuis, les Verts ont été victimes de plusieurs erreurs d’arbitrage. Pis encore, de pression. De quoi, rendre le sélectionneur Djamel Belmadi furieux. « On a une pression constante de ces arbitres qui passent leur temps à venir dans nos vestiaires. Ils font pression sur nous pour rien. Ils énervent tout le monde », a-t-il fustigé après le match joué à Marrakech contre le Burkina Faso pour le compte de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022.

    Est-ce un hasard que Belmadi et ses hommes soient ciblés à chaque fois ? Non, ce n’en est pas un. Il s’agit plutôt d’une tentative de déstabilisation bien planifiée et dirigée contre la sélection algérienne par ceux qui n’arrivent pas à digérer ses prouesses. Autrement dit, la fédération marocaine et plus généralement le makhzen.

    En témoigne, la mise en branle de la propagande marocaine, surtout sur les réseaux sociaux, pour que le match retour contre Djibouti (avant dernière journée) ait lieu à Marrakech. La fédération marocaine ne s’est pas arrêtée là. Elle a déployé son charme pour convaincre les Djiboutiens. L’intervention à temps des autorités algériennes était salvatrice. Heureusement.

    Jeudi, le journaliste français, Romain Molina, a mis à nu les agissements marocains au niveau de la CAF. Dans un Twitter Space, il a évoqué l’influence hégémonique de Fouzi Lakjaâ sur l’instance continentale. « Le Maroc peut faire ce qu’il veut, ils ont une influence énorme à la CAF ! », a-t-il notamment déclaré devant les participants.

    Pour l’heure, les complots du sbire de Mohammed VI ne sont que des coups d’épée dans l’eau. L’équipe nationale est solide, et « ça tout le monde le sait ». Ce qui peut lui profiter en revanche, ce sont les dissensions et les problèmes causés par des Algériens.

    Selon Molina, des anciens de la FAF font la guerre à Charaf Eddine Amara, l’actuel président. Or, ce n’est pas le bon timing. « C’est assez triste. Le Football algérien est quand même magnifique », s’est-il désolé.

    Il est temps de mettre de côté les animosités et de se serrer les coudes pour contrecarrer les conspirations du makhzen. Du reste, le linge sale sera lavé en famille.

    Yanis Younsi

    La Patrie news, 20/11/2021

    #Algérie #Maroc #Complots #Football #Sport #Vahid_Halilhodžić #Romain_Molina

  • Révélations de Molina sur l’influence du Maroc sur la CAF

    Tags : Maroc, Algérie, CAF, Romain Molina – Révélations de Molina sur l’influence du Maroc sur la CAF

    Belmadi, FAF, pression du Maroc sur la CAF : Les révélations choquantes d’un journaliste français !
    Algérie Foot – Dans un Twitter Space qui a lieu jeudi soir, l’auteur et journaliste indépendant Romain Molina a dévoilé quelques informations croustillantes sur la Fédération Algérienne de Football (FAF), Djamel Belmadi ainsi que l’influence énorme de Fouzi Lekjaa, président de la fédération marocaine, sur la CAF.

    Romain Molina, auteur de plusieurs livres sur le football, a livré son analyse sur la situation au sein de la FAF. « Il y a des problèmes à la Fédération Algérienne. Les anciens de Zetchi (ex Président de la FAF) font la guerre au Président actuel (Charaf-Eddine Amara). C’est assez triste. Le Football algérien est quand même magnifique. », a-t-il balancé.

    Le journaliste a ensuite fait des révélations surprenantes sur les coulisses de la Confédération Africaine de Football (CAF). « Le Maroc peut faire ce qu’il veut, ils ont une influence énorme à la CAF ! », a déclaré Romain Molina.

    Concernant l’entraineur Djamel Belmadi, il a évoqué son dernier mini-clash avec le média DZ Foot et conclura après tout « Grandé Belmadi ! »

    Romain Molina, selon ses dires, devrait prochainement quitter le monde du football. Il devrait terminer de grosses enquêtes avant de s’éloigner d’un monde qu’il n’apprécie plus.

    Fennec Football, 19/11/2021

    #Algérie #Maroc #CAF #FouziLekjaa #RomainMolina #Belmadi

  • L’Algérie proteste contre un arbitre marocain

    L’Algérie proteste contre un arbitre marocain- Samir Guezzaz va arbitrer le marche Burkina Faso-Niger (Mondial 2022)

    La politique « sportive » dit-on, pour ne pas confondre avec la « politique politicienne », est toujours de mise dans le « sommet » du football mondiale. Et la dernière décision de la Confédération africaine de football (CAF) ainsi que la Fédération internationale de la même discipline la FIFA de désigner un arbitre marocain pour diriger un match du groupe « A » où l’Algérie est leader en compagnie du Burkina Faso en est la meilleure preuve.

    Et pour mieux comprendre la situation, il y a lieu d’abord de noter que le monde entier connait la très mauvaise relation entre l’Algérie et le Maroc que ce dernier a envenimé récemment. Mais cela n’a pas empêché les « deux organisateurs » du Mondial 2022 pour la zone Afrique de désigner l’arbitre marocain Samir Guezzaz pour diriger le prochain match du Burkina Faso contre le Niger pour le compte de la 5è journée des éliminatoires de la Coupe du Monde.

    Ensuite, il faut rappeler que le président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa, a été élu, en mars dernier à « Rabat », membre du Conseil de la Fédération internationale de football (FIFA), lors de la 43ème Assemblée générale ordinaire (AGO) et élective de la Confédération africaine de football (CAF). Toutefois, le président de la Fédération algérienne de football (FAF) Kheireddine Zetchi, a décidé de retirer sa candidature.

    Lekjaa est donc le deuxième vice-président de la CAF et occupe, en outre, plusieurs fonctions au sein des instances et commissions du football mondial et continental. Il est président de la commission des finances de la CAF et vice-président de la commission d’organisation des compétitions inter-clubs et de la gestion du système d’octroi des licences de clubs au sein de la CAF, en plus de siéger à la commission de gouvernance de la FIFA.

    Ainsi donc et pour comprendre la main mise du marocain, on remarque que non seulement le match est prévu au Grand stade de Marrakech au Maroc, mais il sera dirigé par un arbitre du même pays où la domiciliation a été arrêtée par la CAF et la Fifa.

    Or, tout le monde connait la procédure de qualification au Mondial 2022 prévu au Qatar d’où il ressort justement que le Maroc serait un rival des Verts lors d’un prochain tour.

    De plus, il faut savoir que du côté du Burkina Faso, qui doit rencontrer l’Algérie lors de la 6è et dernière journée des qualifications de ce groupe « A », 9 joueurs des Etalons sont sous le coup d’une suspension dans le cas où ils recevraient un avertissement contre le Niger. Ce qui du côté algérien, on s’inquiète vraiment de l’impartialité de l’arbitre marocain dans ce match qui pourrait être bien clément avec les joueurs burkinabés pour ne pas leur infliger des cartons synonymes de suspension contre l’Algérie pour l’ultime match du groupe prévu le 16 novembre prochain au stade Mustapha Tchaker de Blida dont la pelouse vient d’être remise en très bon état.

    Et c’est donc pour assurer l’éthique, la Fédération algérienne de football a envoyé une lettre de réclamation officielle auprès de la Confédération africaine de football (CAF) contre la nomination de l’arbitre marocain Guezzaz pour le match du Burkina Faso face au Niger le 12 novembre prochain au Grand Stade de Marrakech alors que les Verts défieront Djibouti au Cairo Stadium du Caire, le même jour à 15h.

    Belmadi branché sur la CAN du Cameroun

    Cette situation intervient au moment où le sélectionneur national, Djamel Belmadi, qui ne laisse rien au hasard est déjà branché sur la préparation de la participation des Verts à la Coupe d’Afrique des nations CAN-2021(reportée à 2022, ndlr) au Cameroun (9 janvier – 6 février).

    Et justement dans la perspective d’évoquer les préparatifs de la participation de la sélection nationale à cette CAN-2021, la CAF a organisé jeudi dernier une réunion en visioconférence avec les représentants de la FAF.

    La FAF a indiqué sur son site officiel que lors de cette réunion, « tous les points liés au séjour des champions d’Afrique lors de cette compétition ont été passés en revue par les officiels de la CAF à l’aide de présentations thématiques relatives à l’hébergement, les séances d’entraînement, le volet médical, la VAR (assistance vidéo à l’arbitrage), le volet médical, le contrôle antidopage, le transport, les accréditations, le marketing, les activités médiatiques, la sûreté et la sécurité, et bien d’autres sujets et détails particuliers ».

    Une liste élargie de 30 joueurs doit être transmise à la CAF avant le 30 décembre 2021, avec la possibilité de remplacement d’un joueur blessé, durant la compétition. La numérotation des maillots se fera du 1 au 23, voir plus au cas où la sélection disposera de joueurs supplémentaires, précise la même source.

    Par ailleurs, chaque équipe bénéficiera de trois remplacements au cours du match, plus un quatrième lors des prolongations. Le banc de touche est pourvu de douze (12) sièges, dont huit (08) pour les officiels, et quinze (15) sièges derrière le banc.

    Par ailleurs et contrairement à la dernière CAN-2019 en Egypte, le recours à la technique de la VAR débutera cette fois-ci dès le premier match du premier tour (phase de poules) et portera sur quatre (04) aspects : les buts, les cartons rouges, les penalties et l’identité du joueur à sanctionner.

    Enfin à rappeler que l’Algérie, championne d’Afrique en titre, évoluera dans le groupe E, en compagnie de la Sierra Leone, la Guinée équatoriale, et la Côte d’Ivoire. Les « Verts » entameront la défense de leur titre, le mardi 11 janvier 2022, en affrontant la Sierra Leone, au stade de Japoma à Douala (14h00, algériennes), avant de défier la Guinée équatoriale, le dimanche 16 janvier 2022 à Douala (20h00), puis la Côte d’Ivoire, le jeudi 20 janvier 2022, sur le même stade (17h00).

    Saïd B.

    La patrie news, 01/11/2021

  • Achat de Botola: les émiratis au secours des Marocains

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    Les Marocains n’ont pas seulement acheté la CAF, ils ont également vendu les droits de leur championnat à la télévision émiratie. Ainsi, les responsables d’une chaîne émiratie ont entamé des négociations avec la Société marocaine de la radio et de la télévision, afin d’obtenir les droits de transmission des matchs de la Botola.

    Selon les informations diffusées par la presse marocaine, une chaîne émiratie compte transmettre au moins un match par journée de la Botola. La chaîne veut également obtenir les résumés complets de tous les matchs du cham-pionnat afin de les diffuser dans une émission spéciale foot à laquelle participeront des analystes marocains et émiratis.
    À noter que la Société marocaine de radio et de télévision du Maroc, depuis l’expiration de son contrat avec beIN Sports, n’a pas réussi à trouver un partenaire qui accepte ses conditions financières pour avoir les droits de transmission des matchs de la Botola.

    Qui va prendre le relais de la chaîne qatarie beIN Sports, dont le contrat qui la liait à la Société nationale de de la radio et de la télévision (Snrt) pour la diffusion de la Botola a pris fin au terme de la saison passée? Selon plusieurs observateurs, la chaîne émiratie Abu Dhabi Sport serait dans les starting blocks pour prendre le relais de beIn Sports et devenir ainsi le prochain diffuseur de la Botola, rapporte le quotidien Assabah dans ses pages sportives du week-end (samedi 12 et dimanche 13 décembre).

    Mais rien n’a filtré jusqu’ici sur un probable deal scellé entre la Snrt et le bouquet émirati, nuancent nos confrères arabophones. Ce qui alimente l’incertitude sur l’avenir de la Botola et l’identité de son diffuseur. Si la Snrt n’arrive pas à trouver de remplaçant à beIN Sports, qui a passé cinq années comme diffuseur de la Botola, le championnat marocain pourrait subir d’énormes pertes financières, qui s’élèvent à 2 millions de dollars annuellement.

    Les clubs marocains aussi auront beaucoup à perdre d’un «new deal» entre la Snrt et un futur diffuseur, puisqu’ils puisent une part non négligeable de leur revenu des droits TV que leur accorde la Frmf via les contrats signés avec les diffuseurs. Quant à beIN Sports, elle n’a, jusqu’ici, montré aucun signe d’intérêt à signer un nouveau contrat avec la Snrt. Les émiratis, qui ont installé une ambassade dans les territoires occupés sahraouis, envisagent d’aider le Maroc à sauver leur deal audiovisuel. Le retrait de beIN Sports a créé la panique chez les Marocains qui voient dans les émiratis un sauveur de première.

    Amira SOLTANE

  • La FAF déclare la guerre aux arbitres africains « saboteurs »

    La FAF déclare la guerre aux arbitres africains « saboteurs »

    Algérie, FAF, arbitres, Qatar 2022, CAF, #Algérie,

    La Fédération algérienne de football (FAF) a décidé d’aller de l’avant, pour protéger les chances de l’équipe nationale dans les éliminatoires du continent africain qualificatifs pour la Coupe du monde Qatar 2022 », ce qui l’a incité à porter plainte auprès de la Confédération africaine de football (CAF) contre l’arbitre botswanais Joshua Bondo, qui avait dirigé le dernier match contre le Burkina Faso, dans la ville marocaine de Marrakech.

    Selon nos sources proches de la FAF, l’instance dirigée par Charafeddine Amara a déposé une plainte auprès de la «CAF» appuyée par de nombreuses vidéos et photos, confirmant que l’arbitre Joshua Bondo a commis de nombreuses erreurs ayant empêché les camarades de Mahrez de remporter le match qui s’est terminé sur un nul.

    Les mêmes sources ont confirmé que la FAF a accusé l’arbitre Bondo d’avoir commis plus de trois fautes graves qui ont eu un impact direct sur le résultat, comme l’agression dont a été victime Ramy Bensebaini, ainsi que Ramiz Zerrouki. Le même referee a également privé le capitaine des Verts Riyad Mahrez d’un penalty qui ne souffrait d’aucune contestation, de surcroît dans les dernières minutes du match.

    C’est la deuxième fois en l’espace de quelques mois que la FAF décide de porter plainte contre les arbitres. La première c’était après le match contre la Zambie à Lusaka en mars dernier lors des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations de 2022 prévue au Cameroun, et c’était contre l’arbitre Abdel-Eid Ali Mohamed des Iles Comores, qui a offert aux locaux, deux pénalités imaginables. Cet arbitre a écopé d’une suspension de trois mois, suite à cette plainte de la partie algérienne.

    Le sélectionneur algérien Djamel Belmadi avait appelé à plusieurs reprises à protéger ses joueurs des jeux de coulisses, dont l’arbitrage en particulier. Il a estimé que les Verts sont souvent lésés, notamment quand ils se produisent à l’extérieur. Un paramètre qui donne des soucis pour le patron technique des Fennecs surtout à l’approche de rendez-vous décisifs comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde, qui demeure l’objectif majeur du sélectionneur national.

    Hakim S.

    Le Courrier d’Algérie, 26/09/2021

  • Incidents finale JSK-Raja: La CAF ouvre une enquête

    La Confédération africaine de football (CAF) a ouvert une enquête disciplinaire suite aux incidents survenus lors de la finale de la Coupe de la Confédération, disputée samedi dernier entre la JS Kabylie et les Marocains du Raja Casablanca (1-2), à Cotonou (Bénin), a indiqué l’instance continentale mercredi soir.

    « Après le coup de sifflet final, un groupe de supporters a envahi l’aire de jeu et perturbé la cérémonie officielle de remise des médailles et des trophées. La CAF condamne fermement ces comportements inacceptables, nuisibles à l’image d’une de ses compétitions », a expliqué la CAF sur son site officiel.

    La CAF « a ouvert une enquête disciplinaire afin de déterminer les responsabilités de ces débordements et appliquer d’éventuelles sanctions, dans le but d’empêcher que de tels incidents ne se reproduisent », conclut le communiqué.

    Au cours de cette finale, le Raja est parvenu à marquer deux buts lors du premier quart d’heure, grâce à Sofiane Rahimi (5e) et Ben Malango (14e), avant que les « Canaris » ne réduisent le score en seconde période par l’entremise de Zakaria Boulahia (46e).

    Le Patriote, 15/07/2021

    Etiquettes : CAF, finale JSK-Raja, enquête disciplinaire, Cotonou,

  • Patrice Motsepe : Un milliardaire intronisé ce vendredi président de la CAF

    Sa candidature en novembre 2020 avait créé la surprise. À 59 ans, le magnat sud-africain Patrice Motsepe, peu connu dans le monde du football, doit pourtant devenir, vendredi, le nouveau patron de la Confédération africaine, après avoir su rallier ses trois concurrents. Portrait.

    Enfant d’un township, milliardaire et désormais à la tête de la CAF (Confédération africaine de football). Patrice Motsepe s’apprête à prendre les rênes du football africain à l’issue de l’assemblée générale élective de la Confédération, vendredi 12 mars, à Rabat (Maroc). Son arrivée à ce poste constitue une surprise, l’entrepreneur s’étant toujours dit trop occupé pour prétendre à ces fonctions.

    Celui qui a fait de l’unité son credo a pourtant réussi à convaincre ses concurrents de lui laisser la voie libre. Les trois autres candidats au poste, l’Ivoirien Jacques Anouma, le Sénégalais Augustin Senghor et le Mauritanien Ahmed Yahya, se sont ainsi retirés à son profit lors d’une cérémonie célébrant l’unité africaine à Nouakchott (Mauritanie), en marge de la finale de la CAN-U20.

    « Si nous travaillons ensemble avec l’expérience, le talent et la passion, le football en Afrique connaîtra une réussite et une croissance qu’il n’a jamais vécues par le passé. Pour cela, il a besoin de nous tous », a alors déclaré Patrice Motsepe, après avoir remercié chacun de ses anciens rivaux pour leur contribution au programme établi en commun. « Quand je vois la passion de ces hommes, je me dis qu’un avenir brillant nous attend. »

    Un enfant du township devenu milliardaire

    À 59 ans, l’homme d’affaires se prépare à écrire un nouveau chapitre de sa success story. Car l’entrepreneur, bien qu’adepte de la discrétion, est incontestablement un modèle de réussite dans son pays.

    Patrice Motsepe a grandi dans le township de Soweto, près de Johannesburg. Dans ce ghetto réservé aux non-Blancs, sa famille relativement aisée tient un « spaza shop », à la fois épicerie et débit de boisson en Afrique du Sud. Les sept enfants suivent des études dans des établissements catholiques privés et Patrice Motsepe peut se permettre de chercher sa voie, passant d’abord une licence d’art avant de s’intéresser au droit minier et au droit des affaires.

    En 1988, il intègre le cabinet d’avocats Bowman Gilfillan et, en 1993, peu après l’abolition de l’apartheid, il en devient le premier associé noir. Le début d’une ascension sociale fulgurante. Dans les années qui suivent, il fonde Future Mining et African Rainbow Minerals Gold, deux sociétés spécialisées dans l’extraction minière qui constitueront les bases de sa fortune.

    Patrice Motsepe devient le premier Noir milliardaire d’Afrique du sud. Aujourd’hui, selon le dernier classement Forbes, il est la dixième fortune du continent. Ses 2,6 milliards de dollars font de lui le troisième homme le plus riche du pays.

    Des liens familiaux avec le pouvoir

    Sans faire de politique, Patrice Motsepe n’est pas pour autant éloigné des cercles du pouvoir. Sa sœur aînée, Tshepo Motsepe, est l’épouse du chef de l’État, Cyril Ramaphosa. Une autre de ses sœurs, Bridgette Motsepe, est la seule femme à la tête d’une industrie minière en Afrique du Sud, et est mariée à Jeff Radebe, un des cadres du Congrès national africain (ANC, le parti au pouvoir), plusieurs fois ministre.

    L’homme est aussi philanthrope. Il est le premier Africain à promettre, en 2013, de faire don de la moitié de sa fortune à des œuvres de charité dans le sillage de la campagne The Giving Pledge, initiée par Warren Buffett et Bill Gates. Récemment, sa fondation a promis de verser un milliard de rands (soit un peu plus de 50 millions d’euros) pour lutter contre la pandémie de Covid-19 en Afrique du Sud.

    En 2004, sa fortune lui ouvre aussi les portes du monde du football. Il devient le président du FC Mamelodi Sundowns, le club le plus titré d’Afrique du Sud qui, sous sa tutelle, enrichit encore son palmarès de sept titres supplémentaires de champion. La formation de Pretoria remporte également la Ligue des champions africaine en 2016 face à Zamalek puis la Supercoupe d’Afrique.

    Trois concurrents plus expérimentés que lui

    Malgré ces succès, la candidature de Patrice Motsepe à la CAF en novembre dernier crée la surprise. Car il reste peu connu dans le monde du football par rapport à ses concurrents pour le poste. Le Sénégalais Augustin Senghor, l’Ivoirien Jacques Anouma et le Mauritanien Ahmed Yahya sont tous d’anciens ou actuels présidents des fédérations de leurs pays, une quasi-obligation en temps normal pour briguer le poste de président de la CAF.

    Ce manque de notoriété ne l’empêche pas de rester discret. Patrice Motsepe ne se charge même pas de l’annonce de sa candidature : souffrant du Covid-19, il laisse ce soin au président de la Fédération sud-africaine de football (Safa). Puis il n’accorde aucune interview pour préciser ses ambitions pour le football africain et attend le 25 février pour dévoiler son programme.

    Un texte en dix points consensuels qui vise « l »unité de l’Afrique » et promet que le football africain deviendra « le meilleur du monde ».

    Une « marionnette » de la Fifa ?

    Le consensus s’est propagé. Lors d’une rencontre à Rabat le week-end du 27 février, les fédérations marocaine et égyptienne invitent les trois candidats ouest-africains à se ranger derrière le Sud-Africain en échange de postes : Jacques Anouma, Augustin Senghor et Ahmed Yahya deviendront respectivement conseiller, deuxième et premier vice-présidents.

    Le « pacte de Rabat » se concrétise la semaine suivante à Nouakchott. Une opération que beaucoup considèrent comme une ingérence de la Fédération internationale de football (Fifa).

    Selon une source de l’AFP décrite comme proche du dossier, « Motsepe a la préférence de la Fifa, qui veut quelqu’un de nouveau, pas impliqué dans l’ancienne direction, pour attirer les nouveaux sponsors, les investisseurs et donner une plus belle image de la CAF après tout ce qui s’est passé ».

    Une image en effet entachée ces dernières années par des scandales financiers. Le président sortant, le Malgache Ahmad Ahmad, a été suspendu cinq ans par la Fifa en novembre pour soupçons de corruption. Une peine réduite à deux ans.

    Du côté de la Fifa, on a longtemps nié toute participation à la succession d’Ahmad Ahmad, bien que le président de l’instance internationale, Gianni Infantino, ait passé deux semaines en Afrique en février. Pourtant, lors de la « cérémonie de l’unité africaine », ce dernier fait la déclaration suivante : « Je suis ravi que la Fifa ait pu contribuer, même si ce n’est que peu, à ce moment crucial pour le football sur ce grand continent. »

    Dès lors, faut-il voir en Patrice Motsepe un simple prête-nom qui vaquera à ses affaires courantes pendant que la Fifa gérera la Confédération africaine ?

    « La Fifa ne cherche pas le profil idéal pour le foot africain mais seulement une marionnette », assure à l’AFP Bacary Cissé, patron au Sénégal du journal sportif Record. En 2017, la Fifa « avait déjà fait élire Ahmad pour faire partir Issa Hayatou », après 29 ans de règne.

    Pour le journaliste, « la Fifa veut parachuter Motsepe dans le foot africain, mais son profil ne colle pas. Il n’est même pas président de fédération. Il n’a même pas le temps de s’occuper de son club ! »

    Avec AFP

    L’Authentique, 12 mars 2021

    Tags : FIFA, CAF, Patrice Motsepe, Gianni Infantino,

  • «La CAF est maintenant un département de la FIFA. C’est le moment le plus triste de l’histoire de la CAF.

    Cette fois, l’ambiance est très différente car la manipulation de Zurich est trop évidente.

    Alors que Patrice Motsepe tenait sa conférence de presse, où il a évité toute question difficile, un président d’une association membre qui ne souhaite pas être nommé par peur d’être sanctionné, nous a envoyé ce SMS:

    «La CAF est maintenant un département de la FIFA. C’est le moment le plus triste de l’histoire de la CAF. [Gianni Infantino] a créé un système méchant et très dangereux. Il peut suspendre n’importe qui avec son jouet le Comité d’éthique. Et personne n’ose protester, parce que s’il le fait, il sera suspendu et banni sur la base d’accusations forgées de toutes pièces ou ils installent un comité de normalisation pour vous écarter.»

    Chouounfr.info, 15 mars 2021

    Tags : Gianni Infantino, Patrice Motsepe, FIFA, CAF, corruption,

  • Algérie-Maroc : La bourde monumentale de Zetchi

    L’assemblée générale élective de la Confédération africaine de football (CAF), qui s’est déroulée le 12 mars à Rabat, a accouché d’un plébiscite pour le richissime Sud-Africain Motsepe, avantageusement boosté qu’il fut par le président de la FIFA.

    Cet événement (dont l’épilogue était déjà écrit depuis plusieurs jours) aurait pu être d’une actualité secondaire sans cette monumentale bourde commise par la délégation algérienne menée par Kheireddine Zetchi, le président de la FAF.

    Le programme envoyé quelques semaines auparavant aux 54 Fédérations nationales africaines comportait, comme l’exige le règlement, les propositions d’amendements des statuts, dont l’une (inscrite par la partie marocaine), imposait la mise en place de conditions d’admissibilité à tout nouveau postulant à la qualité de membre de la CAF.

    Le secrétaire général de cette instance l’a annoncé à la fin du scrutin : la résolution a été approuvé par 100% des présents, ce qui laisse entendre que même la partie algérienne a entériné cette disposition particulière qui contentait le Maroc.

    Il ne faut pas être dupe pour admettre que celle-ci visait à faire barrage à une entité non encore membre de l’ONU, la RASD, et à sa jeunesse d’opérer un brassage intra-africain et d’exister dans le concert des nations continentales, ce qui aurait été salutaire à son épanouissement. Il est, en effet, inadmissible pour un responsable d’une Fédération de renom, celle de l’Algérie en l’occurrence, de ne pas avoir flairé le subterfuge marocain, en fréquentant les coulisses de la CAF et d’y organiser un travail d’opposition aux uns et de sensibilisation aux autres à la mesure des intérêts d’un peuple spolié de son droit à l’autodétermination. Désormais, cette mesure n’a cours qu’en Afrique. La FIFA et les autres Confédérations continentales (Amérique du Sud, Amérique du Nord, centrale et Caraïbes, Europe, Asie et Océanie) intègrent en leur sein des Fédérations nationales dont les pays ne sont pas membres de l’ONU. C’est le cas, par exemple, du Kosovo, de Taïwan, de Gibraltar, Chypre du Nord, des îles Feroe (non reconnus par l’ONU en tant que nation) et de nombreuses îles et archipels d’Océanie.

    Il était donc du devoir de Zetchi de faire preuve de vigilance, comme le font nos nombreux cadres et personnalités astreints dans les conférences internationales à veiller dans leurs démarches à la défense des intérêts nationaux. Manque d’expérience, passivité ou désintérêt ? La posture de l’abstention que le président de la FAF a beau faire prévaloir au cours de ces assises renseigne en fait sur la docilité dont il a fait preuve face à la flibusterie marocaine, manœuvre grotesque qui ne visait qu’un seul objectif. Au terme de cette forfaiture lamentable qui n’honorera pas les dirigeants du football africain, la presse du royaume s’est empressée de s’enflammer en la qualifiant de «victoire diplomatique sur l’Algérie». Rien que ça ?…

    Le peuple sahraoui peut s’enorgueillir d’avoir été, en 1999 au sommet de Syrte (Libye ), un éminent membre fondateur de l’Union africaine (UA) et, qu’à ce titre, il jouit de ses pleins droits diplomatiques au sein de la communauté africaine. Il est toutefois dommage que l’instance continentale du football africain, à travers ses membres élus, corrompus pour la plupart, continue à être colonisée par les Blancs du Nord et n’arrêtent pas de s’adonner à des filouteries d’un autre âge. Ces attitudes qui perdurent viennent nous rappeler combien la politique de la chaise vide de nos représentants sportifs dans les instances continentales et internationales impacte considérablement nos intérêts nationaux et, partant, la place la plus large dont devrait jouir notre pays dans les structures sportives dirigeantes africaines et mondiales.

    El Watan, 17 mars 2021

    Tags : Maroc, Algérie, Sahara Occidental, CAF, FIFA,