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  • Marruecos y Argelia se disputan la acogida de la Copa Africana de Naciones

    Etiquetas : Marruecos, Argelia, Copa Africana de Naciones, CAN, Sahara Occidental,

    Argelia y Marruecos tienen una relación política adversa, que entró en el ámbito del fútbol este año.

    Marruecos y Argelia son los favoritos para ser nombrados anfitriones de los torneos de la Copa Africana de Naciones de 2025 y 2027 , respectivamente, y el anuncio se hará en El Cairo el miércoles.

    Ambos buscan organizar la edición de 2025 del principal evento deportivo africano, junto con Zambia y una candidatura conjunta Nigeria-Benin.

    Argelia también participó en el concurso de 2027, al igual que Botswana, Egipto, Senegal y un desafío combinado de Kenia, Tanzania y Uganda.

    Después de varios plazos sin que se revelara el nombre de los anfitriones, un alto responsable de la Confederación Africana de Fútbol (CAF) dijo a la AFP que « los dos anfitriones serán nombrados definitivamente el 27 de septiembre ».

    Los miembros del comité ejecutivo votarán después de estudiar evaluaciones independientes de cada candidato para 2025 y 2027, pero la política y la promesa de rotación regional han complicado las cosas.

    Los vecinos del norte de África, Argelia y Marruecos, tienen una relación política de confrontación, que entró en el ámbito del fútbol este año.

    La prohibición de que los aviones marroquíes sobrevuelen Argelia provocó la retirada del equipo que representaba al reino del Campeonato Africano de Naciones (CHAN) 2022/2023 para jugadores locales.

    Marruecos había ganado las dos ediciones anteriores y cuando se les negó su solicitud de volar directamente a Argelia, boicotearon el torneo, robándole a uno de los favoritos al título.

    Ambos países cuentan con estadios e infraestructura excelentes y poblaciones amantes del fútbol, ​​y son capaces de organizar torneos de la Copa de Naciones de clase mundial.

    Pero a ambos les gustaría ser los anfitriones de 2025, y el destacado funcionario marroquí y de la CAF, Fouzi Lekjaa, causó revuelo a mediados de año cuando dijo a los políticos locales que se elegiría el reino.

    Los medios nacionales lo citaron diciendo que « el estadio de Fez tendrá el honor de acoger los partidos de la CAN (Copa de Naciones) 2025 cuando Marruecos gane la organización ».

    – Rivalidad política –

    El presidente de la CAF y multimillonario sudafricano, Patrice Motsepe, es muy consciente de la rivalidad política entre los vecinos.

    “No debemos involucrarnos en lo que está pasando entre Argelia y Marruecos. La CAF nunca debería intervenir en política”, afirmó durante el torneo CHAN.

    Motsepe ha elogiado la capacidad organizativa de ambos países, que han organizado cada uno la Copa de Naciones una vez: Marruecos lo hizo en 1988 y Argelia dos años después.

    « Marruecos ha acogido a menudo competiciones importantes sin problemas, mientras que la CHAN en Argelia este año fue la mejor de la historia », afirmó.

    Durante la CHAN, Motsepe dijo que quería que cada región fuera sede de la Copa de Naciones: “No podemos asignar la organización de la CAN sucesivamente a una misma región”.

    Sin embargo, varios meses después, el secretario general de la CAF, Veron Mosengo-Omba, dijo que la rotación regional tal vez no siempre sea posible.

    “Hoy en día, sólo cinco o seis países de los 54 miembros de la CAF pueden postularse para albergar la Copa Africana. En consecuencia, no será posible realizar esta alternancia”, afirmó.

    Lo que comenzó en 1957 como un torneo de tres equipos es ahora un evento de 24 naciones en el que participan estrellas como Mohamed Salah, Victor Osimhen, Andre Onana, Sadio Mane y Hakim Ziyech.

    Los anfitriones deben tener un mínimo de seis estadios: dos con una capacidad de al menos 40.000 espectadores y cuatro con capacidad para 20.000 o más espectadores.

    Costa de Marfil acogerá la Copa de Naciones 2023/2024, que ha sido pospuesta de junio y julio de este año a enero y febrero del próximo para evitar la temporada de lluvias.

    #Marruecos #Argelia #CAN

  • Les footballeurs marocains : pionniers dans le monde arabe

    Les footballeurs marocains : pionniers dans le monde arabe

    Maroc, football féminin, Euro 2022, CAN, Coupe d’Afrique féminine,

    L’Euro 2022 a marqué un tournant dans le football féminin. La Coupe d’Afrique des Nations féminine de cette année a également été un succès complet – et n’aurait été que le début pour l’équipe du pays hôte, le Maroc.

    L’intérêt pour le football féminin a augmenté dans le monde ces derniers temps. L’Euro 2022 a été un succès complet : sur le plan sportif, médiatique et aussi en termes de nombre de spectateurs dans les stades anglais. La Coupe d’Afrique féminine, qui s’est déroulée au Maroc en même temps que les Championnats d’Europe en Angleterre, a également enregistré des records d’affluence. Les hôtes marocains ont su convaincre sur le plan sportif, ont atteint la finale et suscité l’enthousiasme.

    Jusqu’à présent, aucune nation arabe n’a réussi à s’implanter durablement dans le football international. Cela pourrait cependant bientôt changer, car la solide performance du Maroc à la Coupe d’Afrique des Nations en a fait la première équipe arabe de l’histoire à se qualifier pour une Coupe du monde, et ils seront au tournoi en juillet 2023 en Australie et en Nouvelle-Zélande.

    Barrières culturelles
    « Ce n’est que le début du football féminin ici », a déclaré l’attaquante vedette marocaine Ghizlane Chebbak peu après qu’elle et son équipe se soient qualifiées pour la Coupe du monde en atteignant les demi-finales de la Coupe d’Afrique des Nations. « Nous avons parcouru un long chemin, mais il reste encore un long chemin à parcourir. »

    Le tournoi à domicile a été une percée pour le Maroc – mais aussi pour toute une culture où les gouvernements et les associations nationales ont été, et sont encore dans de nombreux endroits, très réticents à promouvoir le football féminin. « Cela a à voir avec le contexte socioculturel du monde arabe et les normes acceptées dans lesquelles les femmes sont censées fonctionner », a déclaré à DW Susan Shalabi, vice-présidente de l’Association palestinienne de football.

    Elle est l’une des rares femmes du monde arabe à occuper un poste de direction dans le football. « Le football a toujours été considéré comme un sport masculin difficile jusqu’à récemment. Les filles n’étaient pas encouragées à jouer au football », explique Shalabi.

    Sentier rocheux
    De nombreux internationaux marocains ont vécu la même chose. Contrairement à Ghizlane Chebbak, dont le père Larbi était un international célèbre et qui a trouvé facile de percer dans le football, la route de ses coéquipières était souvent beaucoup plus difficile. Par exemple pour Rania Harrara. Bien qu’il n’y ait pas de programme de football pour filles dans son école, Harrara était déterminée à jouer et s’est frayé un chemin dans l’équipe des garçons avec vengeance.

    « Le fait d’avoir persévéré malgré toutes les insultes misogynes et de me battre pour une place dans l’équipe de football de mon école est l’une de mes réalisations les plus fières et les plus précieuses », déclare le jeune de 18 ans. « J’ai peut-être gagné des matchs et gagné ma place grâce à des performances sportives, mais les insultes n’ont jamais cessé. »

    Harrara s’engage à faciliter la tâche aux filles de leur pays d’origine si elles veulent jouer au football. Il y a six ans, elle a fondé « l’Association de Football Féminin Casablancais », une organisation qui donne aux jeunes femmes marocaines la possibilité de pratiquer le sport qu’elles aiment.

    Investissements manquants
    L’un des plus grands obstacles pour les footballeuses dans les pays arabophones a souvent été le manque d’intérêt de la part des associations et la réticence à investir de l’argent dans le football féminin. Même pour les joueurs talentueux, c’était tellement difficile de commencer une carrière. « Le manque de soutien des fédérations signifie l’inactivité dans les ligues nationales », a déclaré Agnes Amondi, écrivain à Her Football Hub et Africa New Media Group, à DW.

    Même lorsqu’il y avait des signes de succès, il y avait toujours un manque de fondation sur laquelle bâtir, explique Amondi, en donnant un exemple : « En 2016, l’Égypte s’est qualifiée pour la Coupe d’Afrique des Nations pour la première fois depuis 1998, mais après avoir été éliminée en au tour préliminaire, tout s’est arrêté. » Depuis lors, les Égyptiens n’ont pas participé à un tournoi et ont si peu joué qu’ils ne sont actuellement pas inclus dans le classement mondial de la FIFA.

    50 000 au stade et salutations du roi
    Cet été, le Maroc a montré ce qui est possible en accueillant la Coupe d’Afrique des Nations : En préparation du tournoi, l’association marocaine a investi dans ses infrastructures et le championnat national. Le résultat était impressionnant : lors des 13 tournois précédents, aucune équipe du monde arabophone n’avait même atteint la phase à élimination directe, cette fois le Maroc a même pris d’assaut la finale, battant le Nigéria, 11 fois champion en cours de route. Bien que les Marocains aient terminé leur tournoi à domicile par une défaite finale face à l’Afrique du Sud, il était clair que quelque chose de fondamental avait changé.

    Il y avait 45 000 spectateurs dans le stade pour la victoire en demi-finale contre les Nigérians et plus de 50 000 pour la finale. Pour la première fois, le football féminin était plus grand et plus important que celui des hommes. Ghizlane Chebbak et ses coéquipières ont même reçu un message de félicitations du roi Mohamed VI du Maroc. « J’ai vécu quelque chose que je n’avais jamais vécu auparavant : un stade rempli de supporters et d’amateurs de football », a déclaré Chebbak, qui a été élu joueur du tournoi. « Je vis un rêve. »

    Le Maroc comme pionnier
    Le succès du Maroc n’est pas non plus passé inaperçu dans le reste du monde arabophone. « C’était un régal pour les yeux », s’enthousiasme Susan Shalabi. « C’est réconfortant de voir cet enthousiasme et ce soutien pour un jeu féminin. Cela doit simplement se produire dans un pays arabe et les autres voudront suivre et s’améliorer également. Cela contribuera à créer un environnement plus convivial pour que les femmes jouent au football ».

    La journaliste de football Agnès Amondi espère également que d’autres pays suivront l’exemple du Maroc. « Le Maroc est un modèle pour l’Egypte, la Tunisie et l’Algérie », dit-elle. « Si vous voulez que vos équipes féminines réussissent, vous devez investir, vous engager et bien planifier. »

    Il y a des signes que les choses commencent réellement à bouger. Cette année, l’Arabie saoudite, l’un des pays arabes les plus conservateurs, a introduit une ligue nationale. De plus, l’équipe nationale féminine saoudienne a disputé ses premiers matches internationaux. En août, la Fédération saoudienne a également annoncé son intention de postuler pour accueillir la Coupe d’Asie féminine 2026 – impensable il y a quelques années à peine.

    « Nous avons de grandes ambitions pour le développement du football féminin en Arabie saoudite et les récents progrès sont incroyables », a déclaré Lamia bin Bahian, membre du conseil d’administration de l’Association saoudienne de football. « Nous sommes vraiment à l’aube d’une ère nouvelle et passionnante. »

    La Coupe du monde comme la plus grande scène
    Au Maroc, ils ne sont pas seulement un peu plus loin grâce à la qualification réussie pour la Coupe du monde. La Coupe d’Afrique des Nations 2024 aura également lieu à nouveau au Maroc. Avant cela, les footballeurs marocains pourront représenter le monde arabe sur la plus grande scène du football lors de la Coupe du monde l’été prochain et affronter les meilleures équipes d’Europe et d’Amérique du Nord et du Sud.

    « Que demander de plus ? », demande Agnès Amondi. « C’est l’occasion de voir le chemin qu’ils ont parcouru et ce qu’il leur reste à faire pour rivaliser avec les meilleurs mondiaux. Cela peut-il être un tournant dans le jeu ? A long terme oui, mais il n’y a pas de raccourci. »

    DW, 31/08/2022

    #Maroc #Football #Mondial #Qatar_2022

  • Dates du tirage de la CAN Féminine 2022, CHAN 2022, CAN 2023

    Dates du tirage de la CAN Féminine 2022, CHAN 2022, CAN 2023 – Algérie, Coupe d’Afrique des Nations, Total-Energies,

    Voici les dates des prochains tirages au sort des phases de groupes des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Total-Energies Côte d’Ivoire 2023 et du CHAN Total-Energies Algérie 2022 ainsi que du tournoi final de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine Total-Energies Maroc 2022.

    Eliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Total-Energies 2023

    Le coup d’envoi de la phase de groupes des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Total-Energies Côte d’Ivoire 2023 sera donné en juin prochain.

    Le tirage au sort des phases de poules est prévu le mardi 19 avril 2022 à 17h30 GMT.

    Coupe d’Afrique des Nations Féminine Total-Energies Maroc 2022

    En juillet 2022, tous les regards seront tournés vers le Maroc, pays qui accueille la compétition féminine phare de l’Afrique : la Coupe d’Afrique des Nations Féminine Total-Energies Maroc 2022.

    Le tirage au sort du tournoi final est prévu au Maroc le 25 avril 2022 à 20h30 GMT.

    Éliminatoires Total-Energies CHAN Algérie 2022

    Les éliminatoires du Championnat d’Afrique des Nations Total-Energies Algérie 2022 (prévu en 2023) débuteront en juillet 2022.

    Le tirage au sort des éliminatoires aura lieu le 28 avril 2022. L’heure sera confirmée ultérieurement.

    CAF

  • CAN : la nouvelle élimination litigieuse de la Tunisie…

    CAN : la nouvelle élimination litigieuse de la Tunisie… – coupe africaine,

    Samedi, la Tunisie a été éliminée aux portes du dernier carré de la Coupe d’Afrique des Nations. Une nouvelle sortie de route douloureuse pour les Aigles de Carthage, qui n’ont pas été épargnés par l’arbitrage. La Tunisie a été stoppée aux portes du dernier carré de la CAN. Les tournois se suivent et se ressemblent pour la Tunisie. En quête d’un second titre après 2004, les Aigles de Carthage ne réaliseront pas leurs rêves en 2022 suite à leur défaite contre le Burkina Faso (0-1) samedi lors des quarts de finale de la Coupe d’Afrique des Nations. Le même bourreau qu’en 2017, au même stade de l’épreuve, mais cette fois-ci avec des regrets bien plus prononcés, au moins aussi importants que ceux face à la Guinée équatoriale en 2015.

    Une main sur le but, Khazri découpé

    S’ils ont été bien plus nerveux que lors de leur précédente rencontre face au Nigeria (1-0), les Tunisiens n’ont clairement pas été aidés par l’arbitrage de Joshua Bondo. Cela a commencé par le but inscrit par Dango Ouattara. Parti en contre à la limite du temps additionnel, le joueur de Lorient a résisté au retour de deux défenseurs pour ajuster le gardien Bechir Ben Saïd. Le souci, c’est que le Merlu a touché le ballon de la main avant de trouver la faille. Une faute assez nette sur le ralenti qui n’a même pas été vérifiée par l’officiel. Mais l’action la plus litigieuse a eu lieu à un quart d’heure du terme. Beaucoup plus tonique et rapide, Soumaïla Ouattara est parvenu à dégager un ballon chaud dans la surface. Problème, le défenseur central du FUS de Rabat a tout emporté sur son passage : le cuir et Wahbi Khazri. Sur le ralenti, l’attaquant de Saint-Étienne, qui a mis du temps à se relever, a échappé au pire puisqu’il a eu la «chance» de ne pas avoir été taclé sur sa jambe d’appui. Malgré les images nettes sur la VAR, l’arbitre botswanais n’a pas accordé de penalty.

    Une fin de match encore prématurée

    Pour «compenser» cette décision houleuse qui fait couler beaucoup d’encre depuis quelques heures, l’homme de 43 ans a eu beaucoup moins de scrupules à renvoyer au vestiaire le buteur burkinabè, auteur d’un coup de coude dans le visage d’Ali Maaloul, cinq minutes plus tard. Une expulsion directe qui n’a pas profité à la Tunisie, trop brouillonne dans les 30 derniers mètres et incapable de bousculer un bloc des Étalons parfaitement en place. La formation maghrébine a d’ailleurs une nouvelle fois été désavantagée dans les ultimes secondes avec un coup de sifflet final prématuré, vingt secondes avant la fin du temps additionnel de quatre minutes, marqué par de nombreux arrêts de jeu. Une fin de match qui a fait ressurgir le scandale de l’arrêt de match à la 85e puis à la 89e minute face au Mali (0-1), au premier tour. Une succession d’événements contraires malvenus pour la Tunisie, décidément peu épargnée par l’arbitrage.

    #CAN #Tunisie #BurkinaFaso

  • Algérie-Maroc: Bien plus qu’un simple match

    Algérie-Maroc: Bien plus qu’un simple match

    Algérie-Maroc: Bien plus qu’un simple match – FIFA, Coupe Arabe, CAN, Palestine, normalisation,

    L’acharnement des deux équipes algérienne et marocaine à gagner le match qui les a opposées l’une à l’autre, samedi soir au Qatar, avait certes un objectif sportif majeur mais il cachait mal un sentiment profond de cet appel de l’Algérie de remettre la question palestinienne au centre de l’action commune arabe.

    Ceci n’a rien d’une extrapolation insensée ou d’une élucubration passagère conséquence de 120 minutes d’affrontements intenses entre les ‘Combattants du désert’ et les ‘Lions de l’Atlas’. Un véritable derby maghrébin où les deux équipes ont mouillé leurs maillots jusqu’à la moelle. La conjoncture est devenue propice pour qu’Algériens et Marocains continuent et continueront pendant longtemps de se mesurer les uns aux autres en raison de dérives diplomatiques qui précipitent, désormais, l’Afrique du Nord dans un enchaînement de faits géopolitiques effrayants.

    Le match Algérie-Maroc a ressemblé de très près à un match Algérie-France qui a été enflammé par toute la charge historique qui oppose les deux pays. Match à propos duquel le grand Omar Betrouni a fait savoir que le Président Houari Boumediène a envoyé son chef du protocole, Abdelmadjid Allahoum, dans les vestiaires pour dire aux joueurs algériens «il n’est pas question que la Marseillaise (hymne national français ndlr) retentit dans le stade du 5 juillet».

    Comme pour convoquer l’histoire de «la Mecque des mouvements de libération», l’appel insistant de l’Algérie à remettre la question palestinienne au centre des préoccupations des Etats arabes a été traduit à la fin du match par l’explosion de la joie de milliers d’Algériens qui sont sortis dans les rues d’ici et d’ailleurs avec en main -grandeur nature- l’emblème national de la Palestine occupée. Parfois, on pouvait voir le drapeau palestinien flotter seul dans les airs sans le drapeau algérien, par la force de tous ceux qui ont voulu offrir cette victoire au peuple palestinien des territoires occupés, opprimé par l’entité sioniste. Justement, tout est dans cette forte symbolique qui départage profondément l’Algérie et le Maroc depuis que celui-ci a dévoilé officiellement son rapprochement de toujours avec les Israéliens.

    L’action magique de M’bolhi

    Sauf que pour cette fois, cet entrelacement des intérêts du royaume avec Israël fait peur tant il repose sur des visées d’un expansionnisme sioniste qui veut s’étaler du Moyen-Orient au Maghreb pour infiltrer et déstabiliser les Etats libres et souverains d’ici et atteindre les profondeurs de l’Afrique. Il est certes illusoire de croire que les services de renseignement du ‘Mossad’ n’ont pas encore franchi ce stade puisque le statut de membre observateur qu’il a réussi à décrocher au sein de l’Union africaine, le 22 juillet dernier ne peut être un fait du hasard.

    Les poulains de Madjid Bouguera ont arraché une victoire par un geste talentueux et une action magique de Mbolhi, l’homme qui a sauvé un match décisif sur tous les plans. A les voir courir dans tous les sens comme d’ailleurs tous les joueurs marocains, l’on ne peut s’empêcher de penser à tout cela, à ce maudit statut de l’entité sioniste dans l’institution panafricaine, au sommet de l’UA de février prochain et au sommet de la Ligue des Etats arabes qu’Alger va abriter en principe, au cours de la deuxième quinzaine de mars prochain, au nom d’un rôle tournant par ordre alphabétique des Etats membres.

    Ce n’est pas pour rien d’ailleurs que Ramatane Lamamra a été le premier et le seul ministre du gouvernement d’Aymene Benabderrahmane à féliciter l’équipe algérienne pour son exploit sportif face à son homologue marocaine. «Félicitations à l’équipe nationale pour sa belle victoire et sa qualification méritée (…). Je suis très fier de nos jeunes, de leur remarquable prestation et leur esprit sportif de haut niveau. Je leur souhaite d’autres réussites durant ce qui reste de ce parcours (coupe arabe au Qatar ndlr)», a twitté le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, juste quelques minutes après la victoire algérienne.

    A travers ce message, le chef de la diplomatie algérienne laisse indéniablement penser qu’il a, lui aussi, des tests complexes à réussir pour toutes ces questions complexes et cruciales les unes tout autant que les autres. Les menaces qui pèsent sur le Maghreb et l’Afrique ont été largement évoquées lors de la rencontre de la diplomatie algérienne qui s’est tenue les 8, 9 et 10 novembre derniers au palais de Nations, à Club des pins. Menaces qui visent en particulier à «affaiblir l’Algérie de l’intérieur», avait souligné le président de la République. Les manœuvres pour atteindre ce but, sont multiples et variées.

    «Il n’y a pas de pays amis mais des intérêts à préserver»

    Des guerres par procuration jusqu’à la guerre de 4ème génération, du Sahel, de la bande sahélo sahélienne à toutes les frontières nationales, rien ne rassure à ce sujet. Les influences étrangères et la prolifération des groupes terroristes au Mali et à la frontière sud du pays, le conflit libyen à l’est dont la complexité et la gravité engendrées et entretenues par les ingérences étrangères et leurs bras armés qui risquent de renvoyer aux calendes grecques la tenue des élections du 24 décembre et même celles de février prochain ou du moins les reporter à des dates ultérieures difficiles à fixer, les frontières ouest qui, en plus du déversement de quantités énormes de drogues produites par le royaume marocain sur les territoires algériens, sont scrutées par les services de renseignement israélien pour répandre des actions hostiles contre l’Algérie et le Front Polisario. Et enfin en face, la mer Méditerranée où les harraga et l’émigration en général et en particulier celle algérienne, sont mis au-devant de la scène politique européenne pour régler des comptes claniques et idéologiques et aussi et en réalité pour mener la vie dure à des pays comme l’Algérie qui refusera toujours de monnayer ses intérêts en se constituant comme le veut l’Europe, en tant que zone tampon pour faire barrage aux flux migratoires africains. Si de la voix de ses responsables, «l’Algérie doit s’engager fermement pour répondre aux manœuvres qui la visent», elle appelle avec insistance les pays arabes à recentrer leurs efforts sur la question palestinienne dont la solution pourrait régler tous les problèmes du monde arabe. «Le Sommet arabe est une occasion importante pour faire preuve de cet engagement collectif à la Cause palestinienne», affirment les diplomates algériens. Alger appelle à cet effet à la convocation de l’initiative arabe de paix qui reconnaît certes Israël mais sous la stricte condition d’un règlement du conflit israélo-arabe (Palestine, Syrie, Liban…), sur la base du principe de «la terre contre la paix».

    En parallèle, elle interpelle régulièrement les Africains membres de l’UA pour s’engager à rétablir la paix et la sécurité dans les régions continentales en conflit et à se redresser face aux élans hégémonistes de la Cedeao. Elle œuvre tout autant pour siéger, durant une année, comme membre observateur au sein du Conseil de sécurité de l’ONU parce qu’elle se prépare sincèrement à travailler dur pour «renforcer le rôle de l’ONU, à travers l’exercice de ses responsabilités envers les peuples palestinien et sahraoui.

    A ceux qui pensent, ici et ailleurs, que «l’ennemi des Arabes et des musulmans n’est plus l’entité sioniste mais l’Iran et le chiisme» doivent se rendre compte que la propagande israélienne a atteint un niveau de dangerosité sans pareil mettant ainsi en confrontation sanglante l’islam chiite et sunnite. Le cas de la guerre contre le Yémen en témoigne tragiquement. Avant toute chose, Lamamra devra recentrer tous ces débordements pour pouvoir agir efficacement dans un contexte miné par les retournements, la normalisation, la redéfinition des positions et des rôles, les trahisons et les fausses amitiés. «Il n’y a pas de pays amis mais il y a des intérêts à préserver», semble-t-il dire devant ces divisions intempestives des Etats arabes et musulmans et les ingérences étrangères.

    Au milieu de tout ce marasme, on se permet une note d’optimisme à travers le fair-play dont ont fait preuve entre eux les joueurs algériens et marocains. Dans les tribunes du stade quatari, on voyait même mis côte à côte les drapeaux algérien et marocain…

    Ceci même si en recevant le président de l’Autorité palestinienne, des responsables algériens sont convaincus que «chacun a choisi son camp».

    Le Quotidien d’Oran, 13/12/2021

    #Algérie #Maroc #Match #Coupe_Arabe #FIFA

  • Le gardien Raïs M’bolhi « homme du match » Algérie-Maroc

    Le gardien Raïs M’bolhi « homme du match » Algérie-Maroc – FIFA, Coupe Arabe, CAN, football,

    Le gardien et capitaine de l’équipe algérienne A’ de football, Raïs M’Bolhi a été désigné “Homme du match” face au Maroc, samedi soir à Doha, à l’issue duquel les Algériens se sont qualifiés aux demi-finales de la Coupe arabe-2021 de la Fifa (2 à 2, 5 – 3 aux tirs au but).

    Raïs M’Bolhi s’est distingué au cours des 120 minutes de jeu de la rencontre, achevée par la série de tirs au but qui a vu les joueurs de Madjid Bougherra l’emporter grâce notamment à leur gardien qui a stoppé avec brio le tir du joueur marocain El Berkaoui.

    Les cinq tireurs algériens, respectivement Belaïli, Bendebka, Bedrane, Benayada et Tougaï ont tous transformé leurs penalties, alors que du côté marocain, seuls Rahimi, Benoun et Jabrane y étaient parvenus.

    La sélection algérienne rejoint ainsi ses homologues tunisienne, égyptienne et qatarie dans le dernier carré de la Coupe arabe.

    Avec la consécration de M’Bolhi, les Algériens font le plein puisque avant lui, Bounedjah avait été désigné “homme du match” contre le Soudan, alors que Brahimi a remporté ce prix à l’issue du match face au Liban.

    En demi-finale, prévue le mercredi 15 décembre courant (20h00) au stade Al-Thumama, l’Algérie jouera face au Qatar, alors que dans l’autre demi-finale, prévue le même jour à 16h00, la Tunisie sera opposée à l’Egypte, au stade Ras Abu Aboud.

    #Algérie #Maroc #Match #Coupa_Arabe #FIFA

  • Algérie: Quand Belmadi déjoue le complot maroco-français

    Algérie: Quand Belmadi déjoue le complot maroco-français

    Maroc, Algérie, France, CAN, CAF, Djamel Belmadi, Les Verts – Algérie: Quand Belmadi déjoue le complot maroco-français

    Depuis son succès à la dernière CAN en Egypte, la sélection Algérienne de football drivée par le très populaire Djamel Belmadi, est cible d’un complot qui dépasse le stade sportif, pour atteindre la géopolitique.
    Plusieurs indicateurs abondent dans ce sens, dans la mesure ou la victoire des poulains de Belmadi en terre égyptienne, coïncidait avec une situation politique instable en Algérie, liée en premier lieu au Hirak venu sauver le pays du diktat d’El Issaba, et se heurtant à des tentatives de récupération politicienne par des groupuscules inféodés aux agendas étrangers, représentés par le MAK et l’organisation terroriste de Rachad, née sur la dépouille du FIS dissous à l’origine de la décennie qui avait fait 200 mille victimes en Algérie.

    La victoire footballistique algérienne , œuvre d’être sélectionneur devenu le ministre du bonheur en Algérie, d’un staff technique , administratif et médical et surtout de joueurs dévoués à la cause algérienne, ouvrit la voie à un énorme espoir chez la jeunesse Algérienne, désireuse de vivre dans la dignité et le bien-être loin du désespoir instrumentalisé par des politicards qui font des malheurs du peuple Algérien, un fonds de commerce politique pour présenter leurs créances d’allégeance aux officines étrangères hostiles à l’Algérie.

    Réussissant le pari de faire sortir l’Algérie de son coma sportif, imposé par une improvisation de casting et de copinage, devise d’El issaba, Djamel Belmadi devient malgré lui un ennemi, des projets de déstabilisation et de conspirations contre l’Algérie.Il réussira en compagnie de son équipe à tirer son épingle du jeu, pour mettre hors d’état de nuire les embûches dressées sur son chemin , comme l’état de la pelouse du stade du chahid Mustapha Tchaker, ou la campagne de déstabilisation menée par certains journalistes et médias, pour le contraindre à démissionner et quitter le navire Algérie.

    Le complot franco-marocain

    Ayant réussi à vaincre relativement le danger interne, grâce à une mobilisation populaire en sa faveur, Djamel Belmadi sera contraint de faire face au jeu de coulisses du Maroc mené par le président de la fédération royale marocaine Fawzi Lakdjaa, artisan de la manipulation des burkinabés pour déstabiliser l’équipe Algérienne, lors du match aller, joué au stade de Marrakech, en usant de subterfuges extra-sportifs, suivi d’un tapage médiatique au sujet du déroulement de la rencontre Djibouti-Algérie, tenue finalement au stade du Caire en Egypte, puis du choix de l’arbitre pour diriger le match Algérie-Burkina Faso, officié finalement par le sud-africain, Victor Gomes, s’ajoutant aux provocations des burkinabés, qui réussiront légèrement à déconcentrer les verts, mais échouèrent dans leur tentative d’éliminer les verts chez-eux et d’arrêter leur série de 33 matches sans défaites, faisant de l’Algérie l’une des grandes nations footballistiques du ghota mondial.

    Pour ce qui est de l’implication de la France, il faut citer les médias Le Parisien et le Figaro, qui tentèrent bien que mal de ternir l’image de l’Algérie à travers des Fakenews à la limite de l’absurdité. Le Parisien véhiculera la Fakenews sur l’arbitre sud-africain Victor Gomes, que Djamel Belmadi encensera, pour ses prestations mondiales de haut niveau. Le Parisien annoncera quelques jours avant le match décisif de Blida entre l’Algérie et le Burkina Faso, que les responsables algériens avaient refusé la désignation de l’arbitre sud-africain, qui aurait selon le média français dénoncé il y a quelques années, une tentative de le soudoyer par un club algérien en lice dans une compétition continentale. Pour ce qui du Figaro, il diffusera la fakenews, selon laquelle les joueurs burkinabés ont été contraints de changer en dehors des vestiaires du stade Mustapha Tchaker, qui seraient dans un « état lamentables « que les images et caméras présentes au stade démentiront

    Mainmise du Maroc sur la CAF

    Les éléments cités par nos soins sont confirmés ce jeudi, par le journaliste français d’investigation Romain Molina. Ce dernier évoque l’influence hégémonique de Faouzi Lakjaâ, président de la Fédération marocaine de football (FRMF), sur la Confédération africaine de football (CAF).« Le Maroc peut faire ce qu’il veut, ils ont une influence énorme à la CAF ! », a-t-il souligné

    Rachad en embuscade

    La sérénité de Djamel Belmadi a réussi à déjouer tous les complots concoctés par les officines hostiles à l’Algérie, et qui n’arrivent pas à digérer l’épanouissement de l’équipe d’Algérie, et devra se mesurer à un ennemi du peuple appelé Rachad, organisation terroriste, dont l’un des fondateurs vient de diffuser une vidéo pleine de mensonge, annonçant une éventuelle élimination physique de Belmadi par les services algériens. Est-ce logique d’éliminer celui qui vient de faire naître l’espoir chez la jeunesse algérienne, tuée par Rachad et l’obscurantisme des Zitout &co ?

    Bien sur que non puisque la réussite de l’équipe nationale et Djamel Belmadi abonde dans le sens de la stabilité du pays et de son émergence sur le plan international via le football, sport roi de la planète. Il est certain que le succès de Belmadi casse la spirale de l’endoctrinement du désespoir au sein de la jeunesse algérienne, au même titre que Cheb Hasni, qui representait le sursaut de cette jeunesse, assassiné en 1994 par l’organisation du FIDA, de Mourad Dhina le partenaire de Larbi Zitout dans son entreprise terroriste. En conclusion, le « Qui Tue Qui » à connotation sportive prônée par la nébuleuse terroriste ne pourra jamais aboutir, dans une nouvelle Algérie déterminée et décidée plus que jamais à retrouver son standing malgré le complot franco-maroco-sioniste, dont l’exécutant n’est autre que la nébuleuse terroriste de Rachad.

    Algérie54, 20/11/2021

    #Algérie #Maroc #France #Football #Mondial #LesVerts #DjamelBelmadi

  • L’Algérie proteste contre un arbitre marocain

    L’Algérie proteste contre un arbitre marocain- Samir Guezzaz va arbitrer le marche Burkina Faso-Niger (Mondial 2022)

    La politique « sportive » dit-on, pour ne pas confondre avec la « politique politicienne », est toujours de mise dans le « sommet » du football mondiale. Et la dernière décision de la Confédération africaine de football (CAF) ainsi que la Fédération internationale de la même discipline la FIFA de désigner un arbitre marocain pour diriger un match du groupe « A » où l’Algérie est leader en compagnie du Burkina Faso en est la meilleure preuve.

    Et pour mieux comprendre la situation, il y a lieu d’abord de noter que le monde entier connait la très mauvaise relation entre l’Algérie et le Maroc que ce dernier a envenimé récemment. Mais cela n’a pas empêché les « deux organisateurs » du Mondial 2022 pour la zone Afrique de désigner l’arbitre marocain Samir Guezzaz pour diriger le prochain match du Burkina Faso contre le Niger pour le compte de la 5è journée des éliminatoires de la Coupe du Monde.

    Ensuite, il faut rappeler que le président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa, a été élu, en mars dernier à « Rabat », membre du Conseil de la Fédération internationale de football (FIFA), lors de la 43ème Assemblée générale ordinaire (AGO) et élective de la Confédération africaine de football (CAF). Toutefois, le président de la Fédération algérienne de football (FAF) Kheireddine Zetchi, a décidé de retirer sa candidature.

    Lekjaa est donc le deuxième vice-président de la CAF et occupe, en outre, plusieurs fonctions au sein des instances et commissions du football mondial et continental. Il est président de la commission des finances de la CAF et vice-président de la commission d’organisation des compétitions inter-clubs et de la gestion du système d’octroi des licences de clubs au sein de la CAF, en plus de siéger à la commission de gouvernance de la FIFA.

    Ainsi donc et pour comprendre la main mise du marocain, on remarque que non seulement le match est prévu au Grand stade de Marrakech au Maroc, mais il sera dirigé par un arbitre du même pays où la domiciliation a été arrêtée par la CAF et la Fifa.

    Or, tout le monde connait la procédure de qualification au Mondial 2022 prévu au Qatar d’où il ressort justement que le Maroc serait un rival des Verts lors d’un prochain tour.

    De plus, il faut savoir que du côté du Burkina Faso, qui doit rencontrer l’Algérie lors de la 6è et dernière journée des qualifications de ce groupe « A », 9 joueurs des Etalons sont sous le coup d’une suspension dans le cas où ils recevraient un avertissement contre le Niger. Ce qui du côté algérien, on s’inquiète vraiment de l’impartialité de l’arbitre marocain dans ce match qui pourrait être bien clément avec les joueurs burkinabés pour ne pas leur infliger des cartons synonymes de suspension contre l’Algérie pour l’ultime match du groupe prévu le 16 novembre prochain au stade Mustapha Tchaker de Blida dont la pelouse vient d’être remise en très bon état.

    Et c’est donc pour assurer l’éthique, la Fédération algérienne de football a envoyé une lettre de réclamation officielle auprès de la Confédération africaine de football (CAF) contre la nomination de l’arbitre marocain Guezzaz pour le match du Burkina Faso face au Niger le 12 novembre prochain au Grand Stade de Marrakech alors que les Verts défieront Djibouti au Cairo Stadium du Caire, le même jour à 15h.

    Belmadi branché sur la CAN du Cameroun

    Cette situation intervient au moment où le sélectionneur national, Djamel Belmadi, qui ne laisse rien au hasard est déjà branché sur la préparation de la participation des Verts à la Coupe d’Afrique des nations CAN-2021(reportée à 2022, ndlr) au Cameroun (9 janvier – 6 février).

    Et justement dans la perspective d’évoquer les préparatifs de la participation de la sélection nationale à cette CAN-2021, la CAF a organisé jeudi dernier une réunion en visioconférence avec les représentants de la FAF.

    La FAF a indiqué sur son site officiel que lors de cette réunion, « tous les points liés au séjour des champions d’Afrique lors de cette compétition ont été passés en revue par les officiels de la CAF à l’aide de présentations thématiques relatives à l’hébergement, les séances d’entraînement, le volet médical, la VAR (assistance vidéo à l’arbitrage), le volet médical, le contrôle antidopage, le transport, les accréditations, le marketing, les activités médiatiques, la sûreté et la sécurité, et bien d’autres sujets et détails particuliers ».

    Une liste élargie de 30 joueurs doit être transmise à la CAF avant le 30 décembre 2021, avec la possibilité de remplacement d’un joueur blessé, durant la compétition. La numérotation des maillots se fera du 1 au 23, voir plus au cas où la sélection disposera de joueurs supplémentaires, précise la même source.

    Par ailleurs, chaque équipe bénéficiera de trois remplacements au cours du match, plus un quatrième lors des prolongations. Le banc de touche est pourvu de douze (12) sièges, dont huit (08) pour les officiels, et quinze (15) sièges derrière le banc.

    Par ailleurs et contrairement à la dernière CAN-2019 en Egypte, le recours à la technique de la VAR débutera cette fois-ci dès le premier match du premier tour (phase de poules) et portera sur quatre (04) aspects : les buts, les cartons rouges, les penalties et l’identité du joueur à sanctionner.

    Enfin à rappeler que l’Algérie, championne d’Afrique en titre, évoluera dans le groupe E, en compagnie de la Sierra Leone, la Guinée équatoriale, et la Côte d’Ivoire. Les « Verts » entameront la défense de leur titre, le mardi 11 janvier 2022, en affrontant la Sierra Leone, au stade de Japoma à Douala (14h00, algériennes), avant de défier la Guinée équatoriale, le dimanche 16 janvier 2022 à Douala (20h00), puis la Côte d’Ivoire, le jeudi 20 janvier 2022, sur le même stade (17h00).

    Saïd B.

    La patrie news, 01/11/2021