Étiquette : cannabis

  • Maroc: royaume du haschisch

    Maroc: royaume du haschisch

    Maroc, haschich, cannabis, trafic de drogue,

    Les Nations unies le classent 1er producteur mondial de cannabis
    Le pays de Mohammed VI règne sans partage sur la production et l’exportation de cette drogue.

    Mohamed TOUATI

    Attention, danger! Le Maroc détient son arme de destruction massive: la drogue. Le monde risque l’overdose. Le Maroc est à la tête des principaux pays d’origine et de départ de la résine de cannabis, ce qui fait de ce pays le premier producteur et exportateur mondial de cette drogue, souligne un rapport mondial sur les drogues 2022, publié par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime.

    Conséquence: le royaume du Maroc constitue une véritable menace pour l’ensemble de la planète et son voisinage, notamment. La plus grande partie du trafic de résine de cannabis se fait à partir du Maroc vers l’Espagne et de l’Afghanistan vers d’autres pays de l’Asie occidentale, notant que la résine de cannabis du Maroc est également destinée à d’autres pays d’Afrique du Nord, indiquent les rédacteurs du document, qui précisent que les saisies de résine de cannabis continuent d’être concentrées en Afrique du Nord et en Europe centrale, lesquelles forment une seule zone de production, de trafic et de consommation de cette drogue, représentant ainsi près de 60% des saisies mondiales au cours de la période 2016-2020.

    Les craintes et les mises en garde de l’Algérie, dont le territoire est inondé de tonnes de drogue en provenance du Maroc, se retrouvent encore une fois justifiées et renforcées. Ce trafic représente, pour les pays frontaliers, notamment ceux de la bande sahélo-sahélienne, des risques de déstabilisation réelle, voire de déflagration. Les groupes terroristes qui ont fait de cette région un de leur terrain favori, tirent de cette activité les principaux revenus qui remplissent leurs caisses. La connexion entre eux et le commerce de stupéfiants étant établie et dénoncée. «Le fléau des stupéfiants, qui cible la région maghrébine et du Sahel africain, s’avère plus dangereux que par le passé…à cause de l’alliance des barons du trafic de drogue produite dans le royaume du Maroc avec les groupes terroristes», avait fait remarquer le spécialiste des affaires de sécurité, Omar Benjana. Le trafic interrégional du cannabis va «du Maroc à la Libye puis à l’Egypte via le Sahel» relève, à cet effet le rapport de l’Office des Nations unies sur la drogue et le crime, qui ajoute que la résine de cannabis marocaine est également transportée par voie maritime, à travers la Méditerranée.

    Il est à souligner que la pandémie de Covid-19 n’a pas empêché le trafic du cannabis de prospérer. 209 millions d’individus ont consommé cette drogue en 2020, soit 4% de la population mondiale, alors que le nombre de personnes qui consomment du cannabis a augmenté de 23% au cours de la dernière décennie. L’Amérique du Nord et l’Europe restent les deux principaux marchés de consommation de la cocaïne et de grandes quantités sont acheminées d’Amérique latine vers l’Europe via l’Afrique de l’Ouest et du Nord, souligne l’Onduc.

    Le trafic de drogue n’est pas le seul domaine où le Royaume alaouite a fait l’actualité ce week-end. Le Maroc a, en effet fait reparler de lui dans l’affaire des migrants subsahariens. 14 migrants subsahariens, arrêtés le 23 juin dernier, soit à la veille du drame migratoire de Melilla, ont été condamnés, jeudi, à huit mois de prison ferme au Maroc, a fait savoir l’Association marocaine des droits humains. Une peine «très dure», «injuste» et «injustifiable», s’indigne l’Amdh. «Le tribunal de première instance de Nador (Nord) a condamné ces migrants à huit mois de prison ferme, c’est un jugement très dur», a déclaré aux médias leur avocat, Mbarek Bouirig, qui est décidé à faire appel.

    L’Expression, 06/08/2022

    #Maroc #Haschich #Cannabis #Drogue

  • Maroc : Cannabis et alcool contre la crise financière

    Maroc : Cannabis et alcool contre la crise financière

    Maroc, Cannabis, alcool, crise financière, économie,

    Le Maroc vient de légaliser la vente de cannabis et dirige vers la légalisation de la vente et la consommation d’alcool.
    L’agence nationale marocaine de réglementation supervisant l’usage du cannabis à usage médical s’est réunie pour la première fois jeudi dans l’une des dernières étapes avant la légalisation chez le premier producteur mondial de résine de cannabis.
    La nation nord-africaine a adopté une loi en 2021 autorisant provisoirement les utilisations légales du cannabis à des fins médicales, cosmétiques et industrielles, et a chargé une agence nationale de superviser le processus.
    Présidée par le ministre de l’Intérieur Abdelouafi Laftit, l’« Agence nationale de régulation des activités cannabiques » a approuvé son organigramme et son budget pour l’année 2022.
    L’agence sera chargée de contrôler toutes les étapes de la chaîne de production, de l’importation des graines à la commercialisation des produits à base de cannabis.
    D’autre part, intervenant lors d’un séminaire organisé, le 31 mai, par la Fondation Lafquih Tetouani, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a dénoncé les contradictions existantes dans la pénalisation de certains délits comme la consommation de boissons alcoolisées: «Il est aberrant d’interdire au Marocain de boire de l’alcool tout en lui demandant de payer la taxe sur sa consommation».

    Deux initiatives visant à apporter à l’économie marocaine un peu d’oxygène après une forte crise générée par deux ans de pandémie et les conséquences du conflit russo-ukrainien. RFI dresse un tableau très peu reluisant des finances marocaines dont voici le texte intégral:

    Une sécheresse dévastatrice et de mauvaises récoltes ainsi que des hausses de prix alimentées par la guerre en Ukraine menacent la fragile reprise économique du Maroc et exposent des faiblesses structurelles, selon des experts.

    Le royaume nord-africain avait rebondi l’année dernière après une forte récession en 2020 en raison de la pandémie de coronavirus, et le gouvernement du magnat du gaz Aziz Akhannouch avait prévu une croissance cette année supérieure à 3 %.

    Mais depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, il a été contraint de réduire ce chiffre à 1,7 % au maximum, déclarant au Parlement que « les événements extérieurs soudains et le changement climatique » étaient à blâmer.

    Le Fonds monétaire international a prévu une croissance encore plus faible de 1,1 %.

    Le Maroc a injecté des ressources dans la diversification de son secteur manufacturier, notamment en attirant des géants de l’automobile comme Renault.

    Mais ces efforts « n’ont pas changé la structure de l’économie ».

    Telle est la conclusion d’un rapport de 2021 d’une commission sur le « Nouveau modèle de développement » (NMD), une stratégie annoncée l’année dernière qui définit des plans ambitieux, notamment la réduction de l’écart de richesse du Maroc et le doublement de la production économique par habitant d’ici 2035.

    Le Maroc dépend fortement de l’agriculture, un secteur qui représente 14% du produit intérieur brut et environ un tiers de tous les emplois.

    Mais les agriculteurs sont en première ligne du changement climatique et ont été durement touchés ces derniers mois avec des précipitations en baisse de plus d’un tiers par rapport à la moyenne à long terme.

    Cela a eu un impact direct sur les récoltes, et le ministère de l’Agriculture s’attend désormais à une récolte céréalière inférieure de deux tiers à celle de l’an dernier.

    Malgré une hausse des exportations de fruits et légumes, le secteur dans son ensemble devrait reculer de 14 % cette année.

    Cela va « directement toucher les emplois et le niveau de consommation, en particulier dans les zones rurales », a déclaré l’économiste Abderrahim Hendouf.

    La dépendance excessive à l’égard de l’agriculture, en particulier pour l’emploi, rend l’économie marocaine plus vulnérable, a-t-il déclaré.

    Profiteurs, oligopoles

    Mais la sécheresse n’est pas la seule vulnérabilité du pays.

    La guerre en Ukraine a fait monter en flèche les prix des céréales et de l’énergie à l’échelle mondiale, poussant les prix du carburant au Maroc à des niveaux record.

    De nombreux Marocains ont également pointé du doigt les spéculateurs et les distributeurs de carburant, les accusant de profiter de la crise.

    En avril, alors que les musulmans marquaient le mois sacré du Ramadan, l’inflation à la consommation a atteint 5,9 % sur une base annualisée.

    « La situation a frappé le pouvoir d’achat des Marocains et risque d’alimenter la colère sociale », a déclaré Rachid Aourraz, chercheur à l’Institut marocain d’analyse des politiques.

    Le gouvernement d’Akhannouch a annoncé un plan d’aide d’un milliard d’euros pour aider les agriculteurs, ainsi que pour lutter contre l’inflation.

    Aourraz prédit que « les conséquences de cette crise pourraient être moins graves que la dernière fois, grâce à des développements positifs dans d’autres secteurs comme les services et l’industrie ».

    Depuis le début de l’année, le gouvernement a doublé les subventions au carburant et à la farine et a offert une aide financière directe aux travailleurs des transports qui avaient organisé une grève d’une semaine contre la hausse écrasante des coûts.

    Akhannouch s’est également engagé à stimuler les investissements de l’État pour créer des emplois.

    Mais même avant l’impasse actuelle, le Maroc avait connu une décennie de ralentissement de la croissance ainsi que des inégalités sociales et régionales béantes, le cinquième le plus riche détenant la moitié de la richesse du pays.

    Le royaume espère dépasser les 6 % de croissance d’ici 2035, en partie en amenant le vaste secteur informel dans l’économie formelle et en soutenant l’industrie.

    Mais ce dernier aura besoin d’un coup de pouce majeur dans l’investissement privé.

    La commission pour le NMD affirme que cela nécessitera également des changements majeurs dans l’environnement des affaires, actuellement entravé par « des oligopoles et des pratiques anticoncurrentielles ».

    Karim Tazi, l’un des auteurs du rapport, pointe le secteur bancaire, dominé par trois opérateurs principaux, et le secteur de l’énergie comme particulièrement peu compétitifs.

    De telles pratiques « suffisent à détruire la croissance de toute économie », a-t-il déclaré.

    #Maroc #Economie #Cannabis #Alcool #Légalisation

  • Maroc: vers l’usage a grande échelle du “cannabis”

    Maroc, cannabis, haschich, usage thérapeutique, trafic, drogue,

    Premier producteur mondial de résine de cannabis, le Maroc est sur le point d’autoriser l’usage de cette plante cultivée essentiellement dans le nord du pays en ciblant le marché européen.

    L’Agence marocaine de régulation du cannabis légal a tenu jeudi 2 juin sa première réunion a Rabat, dernière étape avant la mise en œuvre d’une loi légalisant l’usage thérapeutique du cannabis cultivé a grande échelle dans le nord-est du pays.

    Le Maroc, premier producteur mondial de résine de cannabis selon l’ONU, a adopté en 2021 une loi autorisant « les usages licites du cannabis médical, cosmétique et industriel » sous le contrôle d’une agence nationale créée a cet effet, a rapporté Le Monde.

    Pour sa première réunion, sous la présidence du ministre marocain de l’intérieur Abdelouafi Laftit, le conseil d’administration de « l’Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis » (Anrac) a approuvé son organigramme et son budget au titre de l’année 2022.

    Cette structure publique est chargée de contrôler toutes les étapes de la chaîne de production, depuis l’importation des semences et la certification des plants jusqu’a la commercialisation des produits issus du cannabis. Son plan d’action comprend en particulier le prochain lancement de procédures d’octroi de licences aux opérateurs nationaux et internationaux de l’industrie du cannabis licite.

    Au moins 60 000 familles vivent du « kif »

    L’agence devra également mettre en place les premières coopératives de transformation et de fabrication, composées exclusivement de cultivateurs locaux. Les six derniers arrêtés techniques nécessaires a l’implémentation de la loi ont été publiés jeudi au bulletin officiel, a précisé a l’AFP un porte-parole du ministère de l’intérieur.

    En mars, le gouvernement avait fixé les zones autorisées a la culture, a la production, a l’exploitation du cannabis, soit les provinces d’Al-Hoceima, de Chefchaouen et Taounate, situées dans le Rif, région montagneuse enclavée et déshéritée.

    Traditionnellement cultivé depuis des siècles, autorisé sous le protectorat français, interdit en 1954 mais toléré depuis, le « kif » y fait vivre au moins 60 000 familles sur 55 000 hectares, selon des chiffres officiels de 2019.

    Le Maroc table sur le « développement soutenu » du marché mondial du cannabis médical, avec des prévisions de croissance moyenne annuelle de l’ordre de 60 % en Europe, son « marché cible », selon une note du ministère de l’intérieur publiée en 2021. Les professionnels estiment a un milliard de dollars (0,8 milliard d’euros) le marché du cannabis légal en Europe.

    Echoroukonline, 04 juin 2022

    #Maroc #Cannabis #Haschich #Trafic_de_drogue

  • Maroc: Haschich, tourisme sexuel et sociétés offshores

    Maroc: Haschich, tourisme sexuel et sociétés offshores

    Maroc, Mohammed VI, trafic de drogues, cocaïne, haschich, cannabis, pédophilie, prostitution, sociétés offshore,

    Le Brésil devenait célèbre grâce à son football Samba et sa star Pelé, le Japon se fait connaître par son Samouraï, puis par son savoir technologique dans l’électronique, et le roitelet, commandeur des croyants réussira à hisser sa royauté pour devenir non seulement le premier pays producteur du Haschich au monde, mais aussi la capitale de la saga de la pédophilie. Explications

    Eldorado de la pédophilie

    Marrakech, au même titre que Agadir, sont devenues au fil des années, des terres saintes de la pédophilie et du tourisme sexuel, que même le Covid-19 n’a pas empêcher d’éteindre. La pauvreté, l’ignorance et la répression policière imposée au Peuple Marocain par une dynastie moyenâgeuse en a décidé ainsi.

    La royauté enregistre chaque année une hausse de touristes « sexuels ».. Les vols peu chers ont participé à rendre plus accessible cette destination et facilité l’accès aux pédophiles. Soi-disant touristes, businessmen, hommes politiques, ils viennent du Golfe pour beaucoup d’entre eux, pour d’autres d’Europe. Ils profitent de leur séjour ou se déplacent uniquement pour abuser de mineurs dans les villes les plus touristiques du pays.

    Dans la rue les victimes en majorité mineures sont racolées par des rabatteurs en échange d’argent. Ce miroir aux alouettes piège les enfants qui vivent dans une grande pauvreté. Ce sont souvent des jeunes qui vivent dans la rue et qui vont mendier, être approchés par les touristes, les abuseurs . Face à l’inexistence de chiffres officiels, il est important d’évoquer le câble diplomatique sur Wikileaks citant le ministère marocain de la Justice avançant 1 122 cas d’agressions sexuelles sur mineurs enregistrées en 2008. Il est difficile de dire si elles reflètent la réalité. Toujours selon le ministère, dix étrangers ont été poursuivis en 2009 pour homosexualité, incitation de mineur à la prostitution, participation à l’exploitation d’un mineur et viol violent de mineur.

    Le rapporteur spécial de l’ONU sur le trafic de personnes, Joy Ngozi Ezeilo, l’ONU affirmait le 25 juin 2013 que le « Maroc fait face à un défi considérable en tant que source, lieu de transit et destination de plus en plus importante pour le trafic de personnes ». Aujourd’hui, le Maroc n’est plus un pays de transit, mais un pays exportateur en matière de trafic de personnes.

    Lire aussi : Au Maroc, cette prostitution que vous ne saurez voir
    Lire aussi : Pédophilie au Maroc : les révélations choc d’un ex-amant de Bergé et Saint-Laurent

    Grosso modo, le Peuple Marocain est livré à lui-même, et ce n’est pas « les femmes-mulets » qui vont nous démentir, ou mêmes ces mineures « vendues » pour travailler dans les foyers dans les pays du Golfe.

    Premier pays producteur mondial de Haschich

    La production du Haschich ne cesse d’augmenter, atteignant des chiffres record, dont les revenus sont estimés à 15 milliards de dollars, selon des chiffres d’organisations internationales de lutte contre la drogue (200 millions de dollars par semaine). Les 15 milliards de dollars iront droit dans les comptes du roitelet et ses proches, et qui s’ajoutent aux 900 millions de dollars attribués par les multinationales, en contrepartie des facilités qui leurs sont accordées via l’exonération des taxes fiscales et parafiscales, l’attribution gratuite du foncier, en plus de la main d’œuvre bon marché, au nom de l’IDE profitable aux entités internationales au détriment du Peuple Marocain, via des opérations de transfert des devises. Pour en convaincre son Peuple, le roitelet avait lancé un projet de loi adopté par le parlement d’allégeance, autorisant le soi-disant-usage « médical, cosmétique et industriel » du cannabis.

    Le trafic de la cocaïne emprunte le chemin du Haschich

    Le trafic de cocaïne utilise des filières utilisées par les narcotrafiquants et les contrebandiers. Leurs réseaux, traditionnellement impliqués dans l’importation de cigarettes, puis de haschisch, se sont illustrés dans le transbordement au large de cargaisons de cocaïne chargées dans les Antilles sur des bateaux de pêche ou des porte-conteneurs.

    La drogue est transbordée sur les bateaux des trafiquants marocains au large des îles Canaries ou du Cap-Vert, centres de ravitaillement traditionnels pour les flottilles de pêche de l’Atlantique. Le débarquement a lieu sur les côtes portugaises ou andalouses, suivant les routes habituelles du haschisch. Plus sophistiquée est la pratique qui consiste à décharger la drogue au Maroc, dans un port quelconque de la côte atlantique, puis à la dissimuler dans un transport routier international (TIR) empruntant un ferry à destination du Portugal ou de la Galice. En outre, selon les autorités marocaines, tout bon trafiquant galicien se doit de disposer d’un correspondant dans un port marocain. Agadir, El-Jadida ou Casablanca abritent en permanence leurs bateaux, hors de portée des autorités espagnoles.

    Réseaux marocains, alliés du terrorisme au Sahel

    Les réseaux marocains du terrorisme international, en activité dans la région du Sahel, intouchables chez le commandeur des croyants, bénéficient de largesses offertes par le Makhzen pour blanchir l’argent de la drogue, de trafic d’armes et de la prise des otages, via les banques marocaines et sociétés-écrans. Sur ce plan, des organisations internationales avaient mis l’accent sur des liens de chefs de groupes terroristes en activité dans la région du Sahel avec des narcotrafiquants inféodés au Makhzen.

    49% des marocains souffrent de troubles mentaux

    C’est l’ancien ministre marocain de la Santé le Dr Abderrahman Maaroufi, qui avait annoncé que 49% des Marocains souffrent d’un trouble mental.

    Le ministre marocain confirme les statistiques officielles marocaines selon lesquelles 40% des Marocains âgés de 15 ans et plus souffrent d’un trouble mental : soit 26,5% de troubles dépressifs, 9% d’anxiété généralisée, 5,6% de troubles psychotiques. Les femmes sont plus touchées que la gent masculine (48,5% contre 34,3%) Au Maroc en estime 70.000 schizophrènes et plus de 3.000 malades dépressifs.

    Ceci résume l’état de santé de marocains dont un nombre important est accroc à la consommation de la drogue douce, dure et les psychotropes, ajoutée aux conditions de vie des plus catastrophiques, boostées par l’absence d’une prise en charge des problèmes du peuple marocain, par un régime à l’agonie, soucieux uniquement de sauver son trône de plus en plus menacé par le marasme des marocains qui ne digère plus de voir leur pays sous domination sioniste suite à la normalisation avec l’entité sioniste.

    Les sociétés offshores du commandeur des croyants

    Le roitelet Mohamed Vi ne s’est pas limité à empocher les revenus du Haschich, mais continue de piller les richesses du peuple sahraoui, et de l’argent du phosphate du peuple marocain, pour les blanchir dans des sociétés offshore. Panama Papers a déjà révélé que l’entourage du roi du Maroc gère, via plusieurs sociétés offshore, un luxueux voilier, un hôtel particulier à Paris, des participations dans une société cotée, en plus des sociétés basées en Afrique relevant de la Royale Holding..

    Lire aussi : Maroc : Mohammed VI aime les îles Vierges

    #Maroc #Cannabis #Haschich #Kif #Trafic #Cocaïne

  • Espagne-trafic: Arrestation de 7 français et 1 marocain

    Espagne-trafic: Arrestation de 7 français et 1 marocain

    Espagne, France, Maroc, trafic de drogue, saisie, cannabis, haschich, Kif,

    Frontière espagnole : Saisie de 2,4 tonnes de drogue et arrestations de sept Français et un Marocain

    Dix suspects ont été mis en examen après le démantèlement d’un «important» trafic de cannabis entre la frontière espagnole et la région nantaise, a annoncé le parquet de Rennes vendredi 20 mai dans un communiqué.

    Le juge d’instruction a mis en examen dix suspects, dont huit ont été placés en détention provisoire et deux sous contrôle judiciaire.

    Il s’agit de 8 hommes (sept Français et un Marocain) et 2 femmes de nationalité française, âgées entre 22 ans et 33 ans.

    Plus de 330 kilos de cannabis ont été saisis ainsi que 83.750 euros en espèces et le pavillon de l’organisateur des remontées de cannabis sur le sol français, selon le parquet.

    R. I. et AFP

    L’Evénement, 20 mai 2022

    #Espagne#Maroc#France#Nantes#Cannabis#Trafic

  • Espagne: Deux marocains condamnés à 8 ans de prison

    Espagne: Deux marocains condamnés à 8 ans de prison – Trafic de drogue, cannabis, haschich, Maroc,

    Le tribunal de Cadix en Espagne a condamné deux frères marocains, trafiquants de drogue, à huit ans de prison pour avoir entre autres enlevé et torturé pendant des mois leur partenaire d’affaire espagnol. Les deux frères marocains, âgés de 40 et 27 ans, sont arrivés dans la province de Cadix dans le sud-ouest de l’Espagne en 2019 et sont entrés en contact avec un Espagnol, un habitant de la région, à qui ils ont remis de l’argent pour acheter en son nom un bateau pour leur permettre  » d’introduire de grandes quantités de haschisch en Espagne « , a rapporté le journal  » La Voz de Cadix « .

    Cependant après leur première arrestation en octobre 2019 au large des côtes marocaines, à bord du bateau qui transportait une importante quantité de haschisch, les deux trafiquants ont accusé leur partenaire espagnol de les avoir trahis et l’ont menacé de mort ainsi que sa femme. Les deux frères lui ont tendu un piège et l’ont emmené de force dans un appartement à Manilva où ils l’ont menacé et violemment agressé, avant de l’obliger à leur signer un contrat de vente de sa maison.

    Les deux frères ont reconnu les faits et le tribunal de Cadix les a condamnés à une peine de huit ans et deux mois de prison pour les délits de trafic de drogue, d’extorsion continue et d’enlèvement. Un complice dans cette affaire a également écopé de cinq ans de prison, alors que l’Espagnol, victime des deux Marocain, accusé d’un crime de trafic de drogue, il a été condamné à un an et deux mois de prison.

    Le trafic de drogue en provenance du Maroc ne cesse de défrayer la chronique en Espagne et des saisies de quantités importantes de haschich sont souvent signalées. En mars dernier, l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) avait indiqué que le Maroc, premier producteur mondial de haschich, restait le principal pays de provenance de la résine de cannabis qui entre dans l’Union européenne (UE). Et en juin 2021, l’ONU avait affirmé que la résine de cannabis faisant l’objet d’un trafic mondial provenait principalement du Maroc.

    Lire aussi : Milliardaires: trafic d’influence, fraude aux impôts et yachts

    #Maroc #Espagne #Cannabis #Haschich #Trafic

  • Espagne: Deux trafiquants de drogue marocains condamnés

    Espagne: Deux trafiquants de drogue marocains condamnés – Maroc, drogue, cannabis, haschich

    Le tribunal de Cadix en Espagne a condamné deux frères marocains, trafiquants de drogue, à huit ans de prison
    pour avoir entre autres enlevé et torturé pendant des mois leur partenaire d’affaire espagnol.
    Les deux frères marocains, âgés de 40 et 27 ans, sont arrivés dans la province de Cadix dans le sud-ouest de l’Espagne en 2019 et sont entrés en contact avec un Espagnol, un habitant de la région, à qui ils ont remis de l’argent pour acheter en son nom un bateau pour leur permettre « d’introduire de grandes quantités de haschisch en Espagne », a rapporté le journal « La Voz de Cadix ».

    Cependant après leur première arrestation en octobre 2019 au large des côtes marocaines, à bord du bateau qui transportait une importante quantité de haschisch, les deux trafiquants ont accusé leur partenaire espagnol de les avoir trahis et l’ont menacé de mort ainsi que sa femme.
    Les deux frères lui ont tendu un piège et l’ont emmené de force dans un appartement à Manilva où ils l’ont menacé et violemment agressé, avant de l’obliger à leur signer un contrat de vente de sa maison.
    Les deux frères ont reconnu les faits et le tribunal de Cadix les a condamnés à une peine de huit ans et deux mois de prison pour les délits de trafic de drogue, d’extorsion continue et d’enlèvement.
    Un complice dans cette affaire a également écopé de cinq ans de prison, alors que l’Espagnol, victime des deux Marocain, accusé d’un crime de trafic de drogue, il a été condamné à un an et deux mois de prison.
    Le trafic de drogue en provenance du Maroc ne cesse de défrayer la chronique en Espagne et des saisies de quantités importantes de haschich sont souvent signalées.

    En mars dernier, l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) avait indiqué que le Maroc, premier producteur mondial de haschich, restait le principal pays de provenance de la résine de cannabis qui entre dans l’Union européenne (UE).

    Et en juin 2021, l’ONU avait affirmé que la résine de cannabis faisant l’objet d’un trafic mondial provenait principalement du Maroc.

    APS

    #Espagne #Maroc #Trafic #Drogue #Cannabis #Haschich

  • Maroc : 22 tonnes de haschich dissimulées dans des tomates

    Maroc : 22 tonnes de haschich dissimulées dans des tomates

    Maroc : 22 tonnes de haschich dissimulées dans des tomates – Tanger, Europe,

    Environ 22 tonnes de haschich cachées dans des tomates ont été acheminées via le port marocain de Tanger vers l’Europe, où la cargaison a été saisie dans deux pays européens, selon des médias locaux.

    Une vidéo relayée par des sites d’information dimanche montrait le déchargement d’une cargaison de drogue dissimulée dans des tomates dans un entrepôt d’un pays européen.

    Selon des sources médiatiques, un baron bien connu exerçant la contrebande de drogue par camions a tenté de faire passer ce type de marchandises illicites via le port de Tanger «après avoir déjà réussi à introduire de la drogue dans un camion il y a des semaines en suivant le même procédé».

    #Maroc #Trafic #Cannabis #Haschich

  • Trafic de drogue depuis le Maroc : sept arrestations en Moselle et à Marseille

    Trafic de drogue depuis le Maroc : sept arrestations en Moselle et à Marseille – France, cannabis, haschich,

    Un trafic de stupéfiants «depuis le Maroc via l’Espagne et les Pays-Bas» a été démantelé, sept personnes étant interpellées en Moselle et à Marseille, a indiqué dimanche la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Nancy. Les interpellations ont eu lieu mercredi. Six personnes ont été arrêtées dans plusieurs villes de Moselle et la septième à Marseille, selon un communiqué de la JIRS.

    Les suspects, «six hommes et une femme, âgés de 22 à 40 ans», ont été mis en examen : six ont été placés en détention provisoire et un sous contrôle judiciaire, a précisé la JIRS. Lors des interpellations en Moselle, «un peu plus de 237.000 euros et 132 kilogrammes de cannabis» ont été saisis, selon la même source.

    Quatre suspects ont notamment été mis en examen pour «importation de stupéfiants en bande organisée», ce qui donne une dimension criminelle au dossier, a précisé à l’AFP une porte-parole de la JIRS.

    La drogue stockée en Moselle
    L’enquête a débuté «par un renseignement anonyme faisant état d’une importation massive de cannabis» arrivant «par camion» depuis l’Espagne et transportant «des centaines de kilogrammes de cannabis d’une valeur estimée à un million d’euros, à raison d’une fois par mois». «La drogue était stockée en Moselle», avant d’être «livrée par dizaines de kilogrammes par des trafiquants appartenant à ce réseau très organisé», toujours selon la JIRS.

    D’autres saisies, imputables à ce réseau, ont été opérées parallèlement : 110 kilos de cannabis ont ainsi été découverts en Moselle dans un véhicule «faussement plaqué». Et en novembre, les douanes avaient saisi près de Nîmes 549 kilos de résine de cannabis.

    Selon les éléments de l’enquête, la drogue était importée par l’un des suspects, âgé de 24 ans, et vivant entre la Moselle, l’Espagne et le Maroc. Il fournissait ensuite «deux autres individus», implantés à Guenange (Moselle) pour l’un, entre Marseille et l’Alsace pour l’autre, et qui disposaient eux-mêmes «de leurs propres réseaux de redistribution des stupéfiants», indique la juridiction.

    Ils avaient «sous leurs instructions plusieurs individus» qui étaient «chargés de transporter les stupéfiants en Moselle, mais également jusqu’à Lyon et Paris», devaient «récolter l’argent et faisaient office de “nourrice” pour le stockage des stupéfiants et de l’argent», selon la même source.

    Le Figaro, 10/04/2022

  • Nouvelle route pour transporter la drogue du Maroc vers l’Espagne

    Nouvelle route pour transporter la drogue du Maroc vers l’Espagne – trafic de drogue, cannabis, haschich, cocaïne, Iles Canaries,

    La Garde civile espagnole a démantelé une organisation criminelle spécialisée dans le trafic de stupéfiants, lors d’une opération qui a permis de démasquer une nouvelle voie d’introduction de la drogue du Maroc vers l’Espagne, a indiqué mercredi le quotidien espagnol La Razon.

    Selon le média, les membres de cette organisation, ont d’abord emmené la drogue aux îles Canaries et, de là, dans le double fond d’un camion-citerne, jusqu’à la péninsule.

    L’enquête a commencé en août dernier, lorsque des agents de la Garde civile de Murcie (sud-est de l’Espagne) ont découvert qu’un criminel connu, un habitant de la municipalité de Las Torres de Cotillas (Murcie), avait acheté un camion-citerne. Ses antécédents criminels laissent soupçonner que le véhicule pouvait être utilisé pour transporter de la drogue, a précisé le journal.

    La surveillance de ce véhicule a conduit les gardes civils à la municipalité grenadine de Motril, où ils ont détecté comment il était chargé d’une quantité symbolique de mélasse de canne à sucre, utilisée comme engrais organique, puis ont poursuivi leur route vers le territoire insulaire.

    Compte tenu de son départ imminent, des agents de la Garde civile de Murcie et de Las Palmas ont coordonné les dispositifs de police pour effectuer la surveillance et l’enquête sur les mouvements du camion depuis son arrivée au port.

    En effectuant la route maritime avec une escale sur l’île de Lanzarote, le camion a atteint l’île de Fuerteventura, où plusieurs individus l’attendaient déjà, dont l’un a été reconnu par les agents comme un criminel, également résident de Las Torres de Cotillas, spécialisé dans la fabrication de doubles fonds dans tous types de véhicules, selon le journal.

    Les enquêtes menées sur ce suspect ont révélé qu’en outre, sous le couvert d’une entreprise de produits de fruits et légumes, il avait créé une société « écran » sur l’île pour assurer une couverture légale des expéditions de drogue.

    L’interception et l’examen du véhicule ont abouti à la localisation de 1.600 kg de haschich, en provenance du Maroc, cachés sous un double fond sophistiqué de grande capacité, activé clandestinement à l’intérieur.

    Par la suite, des perquisitions ont été effectuées dans les municipalités d’Antigua sur l’île de Fuerteventura (Las Palmas), Las Torres de Cotillas (Murcie) et dans les municipalités d’Alicante d’Orihuela et El Pilar de la Horadada, où une documentation et du matériel ont été saisis, liés aux crimes faisant l’objet de l’enquête.

    Selon l’enquête, il s’agit d’une organisation criminelle, dirigée par deux hommes d’affaires du secteur des transports d’Alicante,avec la collaboration de deux trafiquants de drogue. Profitant de cette proximité géographique, ils ont établi une plate-forme pour effectuer l’expédition de drogue du Maroc vers la péninsule, en faisant escale aux îles Canaries.

    Avec l’arrestation de ses six membres, la Garde civile espagnole considère cette organisation criminelle démantelée. L’opération a ainsi permis de démasquer une nouvelle voie d’introduction de drogue sur le territoire espagnol, en utilisant un point stratégique, en raison de sa proximité avec la côte marocaine, comme l’archipel des Canaries.

    Les détenus, la drogue, le camion-citerne et le reste des objets saisis, ont été mis à la disposition du tribunal d’instruction numéro 2 de Molina de Segura (Murcie), selon La Razon.