Étiquette : cannabis

  • Le Maroc amnistie les cultivateurs du cannabis

    Le Maroc amnistie les cultivateurs du cannabis

    En violation du droit international; préconisant la lutte contre la drogue,le régime marocain, en fin de règne, n’a pas trouver mieux pour faire face à la colère sociale, que amnistier les cultivateurs du cannabis, après avoir présenté ses lettres de créances à l’entité sioniste, pour trouver un allié conjoncturel pour sauver le trône de Mohamed VI.

    Ainsi, des médias marocains révèlent que des dizaines de milliers de cultivateurs de cannabis dans le nord du Maroc, fief du Hirak du Rif, seront bénéficiaires d’une amnistie générale et seront exonérés des poursuites judiciaires.

    Cette amnistie ouvrira la voie la légalisation des cultures de cannabis, dont l’objectif est d’inonder les continents africain et européen de cette drogue, et qui serait susceptible de créer de l’emploi dans une région très affectée par la fermeture des frontières terrestres avec l’Algérie, et le renforcement de la lutte contre le trafic de drogue par l’Algérie

    Selon des études présentées en début de cette semaine au Parlement du Makhzen, par le ministère marocain de l’Intérieur, la culture du cannabis fera vivre 50.000 familles et 400.000 personnes au total.

    L’Algérie face à la guerre de la drogue

    Les autorités algériennes sont appelées à durcir les lois de lutte contre le trafic de drogue, même en imposant les peines capitales, pour diminuer la guerre d’épuisement menée par le Makhzen, et qui vise en premier lieu le déchirement de la société algérienne et sa jeunesse visée par la drogue, qui traverse les frontières terrestres et maritimes; malgré les efforts consentis par les différents services de sécurité.

    Algérie54, 06 mai 2021

    Etiquettes : Maroc, cannabis, haschich, légalisation, amnistie, cultivateurs, Algérie, drogue, trafic de drogue,

  • Algérie/ Un réseau de trafic de drogue dirigé par un Marocain démantelé a El Tarf

    Algérie/ Un réseau de trafic de drogue dirigé par un Marocain démantelé a El Tarf

    Selon un communiqué de la DGSN

    Un réseau de trafic de drogue dirigé par un ressortissant marocain a été démantelé par les services de sécurité de la wilaya de El Tarf.

    Selon un communiqué de la sûreté de wilaya de El Tarf, ce réseau criminel spécialisé dans le trafic de drogue est composé de douze (12) individus dont deux femmes et un ressortissant marocain.

    La même source a affirmé que cette organisation active le long des frontières ouest et est du pays sous la direction d’un ressortissant marocain.

    L’opération menée par les services de sécurité s’est soldée par la saisie de 30 kg de cannabis et quatre (4) véhicules utilisés pour l’acheminement des stupéfiants ainsi que pour les déplacements des trafiquants.

    Echourouk online, 05 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Maroc, trafic de drogue, cannabis, El Tarf,


  • Maroc : De l’opium pour le peuple – Mohammed VI légalise la culture de la drogue dans son royaume

    Ce schéma d’économie basée sur le cannabis devient sérieusement problématique pour la sécurité internationale. Les liens entre le trafic de drogue et les groupes terroristes transnationaux qui prospèrent grâce au kif marocain sont un secret de Polichinelle.

    «Maroc: le cannabis pour doper l’économie?», s’interroge offusqué, le prestigieux hebdomadaire français, Le Point dans un article paru hier, consacré au projet de loi dépénalisant la culture du cannabis à «des fins médicales et industrielles» qui devrait être adopté sous peu par le Parlement marocain. Sans limites, sans barrières et ne rien s’interdire, quitte à froisser les croyances et piétiner la morale, le roi est prêt à tout, absolument tout. En l’espace de 4 mois, il s’est frotté par trois fois à l’impensable. En novembre dernier, l’armée marocaine brave la communauté internationale quand elle a lancé une opération militaire dans la zone-tampon d’el Guerguerat qui a conduit à rompre un cessez-le-feu en vigueur depuis 29 ans.

    Un mois plus tard, en décembre 2020, le Maroc usant d’une insolence déconcertante, normalise ses relations diplomatiques avec l’entité sioniste. Un rapprochement qui figurait dans les termes du deal que le royaume a passé avec l’administration de l’ancien président américain, Trump, pour que ce dernier reconnaisse la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental. Entre-temps, la Covid-19 est passée par là. Le royaume est à terre. Une économie terrassée par des mois de confinement et de frontières fermées, des avions cloués au sol et un secteur touristique anéanti, le Makhzen croit tenir le bon filon pour contenir dans une volute de kif un mécontentement populaire grandissant aggravé par les retombées de la crise sanitaire. Tout comme Israël qui a autorisé le cannabis à des fins thérapeutiques depuis 2006, le Makhzen inscrit à l’agenda un projet législatif pour rendre légal l’usage de la drogue. Et voilà le Maroc qui s’octroie officiellement le titre narco-royaume.

    Selon le magazine Le Point, citant un rapport de l’institut Amadeus, une pareille mesure permettra de créer «800000» postes d’emploi et qui «pourrait par ailleurs abonder huit milliards de dollars». Rien que ça! Justifiant son projet, le ministre marocain de l’Intérieur, artisan de ce projet, a soutenu que l’usage légal du cannabis permettrait de «cadrer et légaliser ce secteur», de régulariser le statut des quelque 140000 familles vivant de la culture du cannabis». Une exploitation industrielle du haschich, quoi de plus naturel pour le Maroc leader mondial en la matière.

    Une étude de l’ «Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée» (un réseau indépendant) publiée en 2020 rapporte que la production marocaine annuelle de cannabis est à plus de 700 tonnes et estime sa valeur à 23 milliards de dollars. L’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (Onudc), a souligné dans son dernier rapport, intitulé «2020 World Drug Report», que le Maroc continue d’être le premier producteur de cannabis dans le monde. Le document onusien souligne également que la majeure partie de la drogue marocaine destinée à l’Europe est expédiées vers l’Espagne avant d’atteindre les autres membres de l’Union européenne.

    Cette situation d’économie basée sur la drogue devient sérieusement problématique non seulement pour la sécurité régionale, mais internationale. Les liens entre le trafic de drogue et les groupes terroristes transnationaux qui prospèrent grâce au cannabis marocain sont un secret de Polichinelle. Mais curieusement, l’annonce de la légalisation de la drogue au Royaume chérifien n’a pas alarmé, outre mesure les décideurs de ce monde prompts à mobiliser leurs arsenaux militaires pour beaucoup moins que ça. Le rôle du Panama dans le trafic international de drogue, la violation de la neutralité du canal de Panama ont été des prétextes suffisants pour les Américains d’envahir ce pays et d’enlever le puissant dirigeant militaire Manuel Noriega.

    Ou encore l’énorme pression américaine qui a conduit à la reddition aux autorités comoriennes de Pablo Escobar, le plus grand des trafiquants de cocaïne du monde.

    L’Expression, 3 mai 2021

    Etiquettes : Maroc, cannabis, haschich, légalisation, économie,

  • Après l’annonce de la légalisation de sa culture au Maroc : Les prix des terres du cannabis montent en flèche

    Des sources médiatiques, citant des agriculteurs locaux ont affirmé que les prix des terres où est cultivé le cannabis ont augmenté en flèche ces derniers temps, révélant que plusieurs petits agriculteurs pensent sérieusement à vendre leur terre, ou au moins une partie, pour couvrir leurs besoins et payer leurs crédits, exploitant l’opportunité de le haussement des prix et la course des investisseurs pour acquérir des terres.

    Ces « spéculations foncières » menées à très grande échelle s’inscrivent dans le cadre d’un projet de prévoyant la légalisation de la culture de cette drogue. Selon des rapports récurrents très documentés de l’ONU, le royaume chérifien est le fournisseur principal de cette substance illicite à travers le monde.

    Cette activité délictueuse, menée à l’échelle de tout le royaume chérifien, et sous la protection des officiers supérieurs de l’armée marocaine, permet à ces derniers de financer leurs actions subversives et secrètes visant à déstabiliser des pays voisins, à commencer par l’Algérie et la RASD (république arabe sahraouie et démocratique).

    Cela quand ils ne profitent pas carrément de cet argent sale pour se vautrer dans une ostentatoire luxure. Des officiers déserteurs et/ou retraités de FAR (forces armées royales) évoquent même un très probable coup d’Etat des contre Mohamed VI et l’ensemble de ses officiers supérieurs corrompus.

    K.Z.

    La Patrie News, 2 mai 2021

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  • Vidéo : Le Maroc exporte du cannabis dans des boîtes censées contenir de l’huile d’olive

    La sophistication des techniques d’interception oblige les trafiquants à trouver des moyens de continuer à introduire clandestinement des drogues dans les pays où elles sont vendues.

    Les progrès réalisés dans les techniques d’interception des drogues par les forces de l’ordre ont contraint les trafiquants à recourir à toutes sortes d’astuces pour faire circuler la drogue. Les trafiquants marocains ont développé des structures commerciales et logistiques typiques des grandes entreprises qui mettent souvent en échec les forces de sécurité.

     » Les mafias sont des entreprises qui investissent dans les dernières technologies. Ils se sont occupés du GPS avant nous », affirme un hautr responsable des services de sécurité espagnol.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=i1kS6o571jE&w=560&h=315]

    Etiquettes : Maroc, Espagne, trafic de drogues, cannabis, boîtes de l’huile d’olive, haschich,

  • Ali Ahmed Salem, journaliste mauritanien est formel : « Le haschich marocain inonde la Mauritanie et le marché africain »

    Partager ses frontières avec l’un des plus gros producteurs du cannabis au monde n’est pas sans conséquences directes sur certains pays. L’Algérie, n’est pas la seule à en « payer les frais ». La Mauritanie aussi.

    L’écrivain et journaliste mauritanien et expert en affaires sécuritaires mauritaniennes, Ali Ahmed Salem, a en effet indiqué que le » haschich marocain qui passe par le poste frontalier de Guerguerat au Sahara occidental, inonde la Mauritanie et le marché africain ».

    Dans une interview accordée au site « Sahara occidental 24 «, M. Ali Ahmed Salem a affirmé que le haschich marocain est le prochain danger provenant de l’est , précisant que les camions de transport marocain vers la Mauritanie et de celle-ci vers plusieurs pays africains, ont constitué durant les dernières années l’artère principale pour alimenter le marché africain en drogue .

    Le haschich marocain est transporté dans des camions de transport de marchandises marocaines via le poste frontière de Guerguerat, a expliqué le même intervenant, soulignant que «cela a posé ces derniers temps un défi sécuritaire et social, voire politique sur la Mauritanie « .
    Le journaliste mauritanien a rappelé que les bandes de trafic de drogue marocaine tentent toujours par plusieurs moyens d’introduire la drogue en Mauritanie en dépit du durcissement du contrôle par les autorités mauritaniennes sur l’ensemble des postes frontaliers .

    Pour rappel, l’analyste senior au Global initiative, Farah Raouf avait affirmé que le territoire du Sahara Occidental occupé est devenu une plaque tournante pour le trafic de Cannabis en provenance du Maroc, et d’où transite l’essentiel de la production de cette drogue vers les pays du Sahel .

    «La culture intensive du Cannabis dans les montagnes du Rif en fait du Maroc l’un des plus grands exportateurs de drogue (au monde) et bien que le produit de qualité supérieure soit principalement destiné à l’Europe, la majorité du haschich de qualité inférieure traverse le sud du Maroc et le Sahara occidental pour alimenter les marchés de la Mauritanie et le nord du Mali», avait indiqué Raouf Farah au site d’investigation Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP).

    De son côté, le représentant du Front Polisario aux Nations unies, Sidi Mohamed Amar, avait réitéré février dernier l’appel du front en direction du conseil de sécurité à « faire pression sur le Maroc pour l’amener à assumer ses responsabilités régionale et internationale, et à cesser ces actes déstabilisants et menaçants pour la sécurité et la stabilité des pays voisins et de la région tout entière».

    Il rappelle en outre que depuis le 13 novembre 2020, l’ensemble du territoire du Sahara occidental est devenu «une zone de guerre ouverte» en raison de la grave violation par le Maroc du cessez-le-feu.
    Et malgré cet état de guerre, poursuit le diplomate sahraoui, «le trafic de drogue et le trafic d’êtres humains à travers le mur de sable illégal (érigé par l’occupant) au Sahara occidental se poursuivent sans relâche».

    Le représentant du Front Polisario auprès de l’ONU, avait rappelé en outre, que «le Maroc reste le plus grand producteur et exportateur de cannabis au monde», comme le confirment de nombreux rapports internationaux dont le rapport 2020 sur la stratégie internationale de contrôle des stupéfiants du département d’Etat américain et le rapport mondial sur les drogues 2020 de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime».

    Y.O

    Algérie Breve News, 28 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Maroc, Mauritanie, cannabis, haschich, drogue, Sahara Occidental,

  • Quotidien koweïtien : les produits en provenance du Liban sont surveillés de près

    – Les produits en provenance d’Inde seront également contrôlés en raison du record mondial d’infections au coronavirus dans ce pays.

    Le journal koweïtien Al-Rai a déclaré, lundi, que « les produits libanais sont contrôlés par le ministère du Commerce et de l’Industrie », suite à une décision saoudienne ordonnant de suspendre l’entrée des légumes et fruits en provenance du Liban.

    Riyad a annoncé vendredi la suspension de l’entrée de légumes et de fruits libanais sur ses terres, à compter de dimanche, en raison des opérations de narcotrafic à destination du Royaume, selon un communiqué de l’Intérieur saoudien.

    Le ministère saoudien a affirmé que la décision restera en vigueur « jusqu’à ce que les autorités libanaises concernées présentent des garanties suffisantes et prennent les mesures nécessaires pour mettre fin à ces opérations suspectes ciblant le Royaume ».

    Le journal Al-Rai a rapporté, citant des sources anonymes, que le ministère du Commerce et de l’Industrie du pays a entamé dès dimanche les opérations de contrôle des différentes cargaisons venant du Liban dans les marchés locaux.

    De son côté, le ministère koweïtien des Affaires étrangères a soutenu la décision de l’Arabie saoudite d’interdire l’entrée de légumes et de fruits en provenance du Liban, « en raison de leur exploitation dans le trafic de drogue ».

    Selon le journal, « des instructions ont été émises pour continuer à autoriser l’importation de cargaisons de légumes et de fruits du Liban par voie maritime et aérienne uniquement à l’heure actuelle, et ce, avec un resserrement du contrôle ».

    Dans la même optique, des sources ont évoqué l’existence d’éventuelles opérations similaires visant à surveiller les cargaisons en provenance de l’Inde, au moment où le pays enregistre le plus lourd bilan de contamination au coronavirus dans le monde.

    Pour le quatrième jour consécutif, l’Inde a enregistré dimanche un nouveau record mondial d’infections avec 349 691 cas et 16 960 172 décès.

    Agence Anadolou, 26 avr 2021

    Etiquettes : Koweit, Liban, Inde, Arabie Saoudite, cannabis, drogue,

  • Des manifestants français réclament un procès pour le tueur d’une femme juive

    PARIS (AP) – Des foules se sont rassemblées dimanche à Paris et dans d’autres villes françaises pour dénoncer une décision de la plus haute cour de France selon laquelle le tueur de la femme juive Sarah Halimi n’était pas pénalement responsable et ne pouvait donc pas être jugé.

    Des milliers de personnes ont rempli la place du Trocadéro à Paris, en face de la Tour Eiffel, répondant à l’appel d’associations juives, d’organisations luttant contre l’antisémitisme et d’autres groupes qui affirment que justice n’a pas été rendue.

    L’annonce que le tueur ne serait pas envoyé au procès a suscité l’indignation de la communauté juive française et internationale.

    Halimi, une femme juive de 65 ans, est morte en 2017 après avoir été poussée par la fenêtre de son appartement parisien par son voisin, Kobili Traoré, qui aurait crié « Allahu Akbar » (« Dieu est grand » en arabe). Traoré a reconnu l’avoir poussée.

    L’arrêt de la Cour de cassation, rendu au début du mois, a déclaré qu’il y avait suffisamment de preuves pour démontrer que l’acte avait des motifs antisémites.

    Cependant, la Cour a déclaré qu’une personne qui a commis un crime alors qu’elle était dans un « état délirant » ne peut être renvoyée devant un tribunal, même si cet état est dû à la consommation habituelle de drogues illégales. Traoré avait l’habitude de fumer de grandes quantités de cannabis.

    « Selon les avis unanimes de différents experts en psychiatrie, cet homme présentait au moment des faits un état délirant sévère », a déclaré le tribunal dans un communiqué.

    En vertu de la loi française, les personnes ne peuvent pas être tenues pénalement responsables des actions commises alors qu’elles perdent totalement leur jugement ou leur maîtrise de soi en raison d’un trouble psychiatrique.

    Depuis la mort d’Halimi, Traoré se trouve dans une unité spécialisée d’un hôpital psychiatrique.

    Le président français Emmanuel Macron a appelé à un changement de la loi française dans une interview accordée au journal Le Figaro.

    « Décider de prendre des stupéfiants et ensuite ‘devenir fou’ ne devrait pas, à mon avis, supprimer votre responsabilité pénale », a déclaré Macron. Il a également exprimé son soutien à la famille de la victime.

    Le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti a tweeté dimanche qu’il présentera fin mai un projet de loi visant à combler un vide juridique dans le droit français concernant les conséquences de l’usage volontaire de drogues.

    Associated Press, 25 avr 2021

    Etiquettes : France, Sarah Halimi, associations juives, organisations de lutte contre l’antisémitisme, drogue, cannabis, Kobili Traoré, antisémitisme,

  • Maroc-Sénégal : arrêtée pour trafic de drogue puis libérée, Fatou Kiné Ndiaye dénonce une trahison

    Quelques heures après sa libération, Fatou Kiné Ndiaye la jeune étudiante de 22 ans mise aux arrêts au Maroc a tenu à se prononcer sur les circonstances de cette arrestation. Selon les propos de la jeune femme relayés par les médias, elle estime avoir été victime d’une trahison. «J’ai été trahie, blessée», a fait savoir l’étudiante sénégalaise en gestion-management.

    “J’ai surmonté cette épreuve avec dignité…”

    «Je n’ai rien à dire sinon rendre grâce à Dieu. J’ai surmonté cette épreuve avec dignité. J’ai été heureuse de retrouver ma mère. Ça m’a fait énormément plaisir», a-t-elle poursuivi avant d’indiquer qu’elle est pressée de retourner dans son pays. Rappelons que depuis plusieurs semaines, elle était en détention au Maroc suite à une affaire de drogue. Elle aurait été piégée par un homme du nom de Massoukha Mbengue avec de la drogue.

    Placée sous mandat de dépôt en février

    Elle avait été placée sous mandat de dépôt en février dernier pour des faits de trafic et de détention de drogue. Le colis lui avait été confié par l’homme pour être convoyé au Sénégal en gratuité partielle. La situation se serait produite à la veille de ses vacances au Sénégal. Elle ne savait pas qu’en lieu et place des chaussures qui lui ont été remises par son voisin, il y avait en réalité de la drogue. La découverte avait été faite à l’aéroport. Après plusieurs semaines de fuite, le mis en cause a finalement été interpellé.

    La Nouvelle République, 22 avr 2021

    Etiquettes : Maroc, Sénégal, trafic de drogue, cannabis, haschich,

  • Espagne : Un franco-marocain prend la fuite parce qu’il portait 135 kg de haschich dans sa voiture

    Arrêté après avoir fui un contrôle de police parce qu’il transportait quatre paquets de haschisch dans le coffre de sa voiture.

    La Garde civile l’a trouvé dans une station-service de Lorca alors qu’il tentait de passer inaperçu.

    La Garde civile de la région de Murcie, dans le cadre du « Plan opérationnel intégré contre le trafic de haschisch du Maroc », a intercepté un véhicule transportant 135 kilos de haschisch.

    Le conducteur, qui a tenté de s’enfuir d’un poste de contrôle de la police établi sur l’autoroute A-7 à son passage par Puerto Lumbreras, a été arrêté car il est soupçonné de trafic de drogue, de désobéissance grave à un agent de l’autorité et de faux documents.

    L’action a été initiée dans le cadre du « Plan opérationnel intégral contre le trafic de haschisch en provenance du Maroc » lorsque des agents de la Garde civile effectuaient un contrôle sur l’autoroute A-7, dans la municipalité de Puerto Lumbreras, et ont observé qu’une mini-fourgonnette noire s’approchait du point de contrôle à grande vitesse, précédée par une patrouille du détachement de la circulation de Vera (Almeria).

    Le conducteur, loin de prêter attention aux signaux d’arrêt faits par les agents du véhicule de police, a poursuivi sa marche avec des manœuvres non réglementaires en échappant au contrôle établi dans la province de Murcie.

    Immédiatement, une patrouille du détachement de la circulation de Lorca a rejoint le dispositif de suivi de la voiture en fuite, tandis que dix autres unités de la Garde civile et d’autres unités de la police locale de Lorca ont été alertées de la fuite et ont rejoint d’autres parties de la zone pour le rechercher.

    L’important dispositif policier a permis de localiser la voiture garée à proximité d’une station-service dans le hameau de La Torrecilla Lorca et de repérer dans un restaurant voisin, une personne qui correspondait aux caractéristiques physiques du conducteur, tout en essayant de passer inaperçue.

    La Garde civile a arrêté le suspect et examiné le véhicule où elle a trouvé quatre ballots de haschisch, d’un poids total de 135 kilos. Le conducteur, un homme de 38 ans, né au Maroc, de nationalité et de résidence françaises, a été arrêté comme auteur présumé des délits de trafic de drogue et de désobéissance grave à un agent de l’autorité.
    L’examen de la voiture, a également détecté que les plaques d’immatriculation ne correspondaient pas à la documentation du minivan, il est donc également attribué à l’auteur présumé du crime de faux documents.

    En outre, les agents ont trouvé un système hydraulique sophistiqué qui permet d’augmenter la dureté de la suspension, prétendument installé pour que la hauteur de la voiture ne soit pas affectée lors du transport d’une charge d’un poids élevé.

    L’action, développée conjointement par les agents de la Garde Civile d’Almeria et de Murcia, en collaboration avec la Police Locale de Lorca, a abouti à l’arrestation d’une personne comme auteur présumé des délits de trafic de drogue, de désobéissance grave à l’agent de l’autorité et de faux documents, ainsi qu’à la saisie à itinere de 135 kilos de haschisch.

    Le détenu -homme, 38 ans, né au Maroc ; et de nationalité et citoyenneté française-, les drogues et les effets saisis, ainsi que la procédure ont été mis à la disposition du tribunal d’instruction numéro 1 de Lorca.

    La Opinion de Murcia, 22 avr 2021

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