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  • La campagne de vaccination au Maroc perd de son élan

    La campagne de vaccination au Maroc perd de son élan

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    Le Maroc dispose de suffisamment de vaccins, mais leur utilisation a diminué. Sept millions de personnes ont reçu une troisième dose, tandis que seulement 40 000 en ont reçu une quatrième malgré la disponibilité.

    Les centres de vaccination mobiles visent à aider, en particulier dans les zones rurales.

    DW, 08/09/2022

    #Maroc #Vaccin #Coronavirus #Covid19 #Pandémie

  • La révolution du numérique et le nouveau pouvoir mondial

    La révolution du numérique et le nouveau pouvoir mondial

    Révolution numérique, crise énergétique, crise alimentaire, pandémie, covid 19, réchauffement climatique, BRICS, Chine, Russie, Ukraine,

    Abderrahmane Mebtoul Professeur des Universités, docteur d’Etat 1974 – Expert international – Expert-comptable de l’Institut supérieur de gestion de Lille France

    1.-Rappelons le scandale récent où le programme phare de NSO nommé Pegasus, u surnommé «Cheval de Troie», a permis, de fouiller dans les données (calendriers, photos, contacts, messageries, appels enregistrés, coordonnées GPS…) des Smartphones, iPhone comme Android, infectés, mais aussi de contrôler à distance la caméra et les micros intégrés à l’appareil. La maitrise de cette technologie donne la possibilité d’écouter des conversations dans une pièce alors que le téléphone apparaît inactif. Ce logiciel en est à sa troisième version. Dans les premières moutures, la victime devait cliquer sur un lien pour charger le virus. Mais, depuis au moins deux ans, Pegasus est devenu une technologie dite «zéro clic» où la victime reçoit ce qui ressemble à un appel vidéo qui suffit à infecter le téléphone dès la première sonnerie, même si elle ne répond pas.

    Selon Forbidden Stories, la réception d’un «iMessage», la messagerie d’Apple, ou d’un SMS infecté servirait de viatique pour prendre le contrôle de l’appareil. C’est un puissant logiciel qui au départ devait contrecarrer les actions terroristes mais qui a été utilisé pour espionner le compte d’une dizaine d’Etats, et une liste de plus de 50.000 numéros de téléphone de personnalités diverses de par le monde . Cependant les nouvelles technologies ne concernent pas seulement les écoutes. Les drones sans pilotes commencent à remplacer l’aviation militaire classique pouvant cibler avec précision tout adversaire à partir de centres informatiques sophistiqués à des milliers de kilomètres. Les satellites remplissant l’atmosphère, permettent d’espionner tout pays, de détecter le mouvement des troupes et la diffusion d’images de toute la planète.

    C’est dans ce cadre que se développe l’Intelligence économique dont sa gestion stratégique est devenue pour une Nation et l’entreprise l’un des moteurs essentiels de sa performance globale et de sa sécurité. Mais si les experts militaires s’accordent sur le fait que l’espionnage a toujours existé dans les relations internationales depuis que le monde est monde, mais aujourd’hui plus sophistiqué, il appartient à chaque nation d’utiliser des moyens plus sophistiqués pour se protéger où les cybers attaques sont facteurs de déstabilisation. Une Nation sans un service de contre espionnage incluant le militaire et l’économique, le social dont l’anthropologie pour saisir les mutations sociales, et le culturel afin de prévoir les comportements psychologiques, est comme un aveugle qui tâtonne sans stratégie.

    Notre univers est devenu une grande maison de verre, l’infrastructure de l’Internet se répandant aujourd’hui autour du monde pour créer un large réseau mondial et ce grâce à l’informatique qui permet aujourd’hui de numériser les informations et de gérer de nouveaux systèmes. L’utilisation de Facebook et Twitter par la diffusion d’informations parfois non fondées où faute de transparence, la rumeur dévastatrice supplante l’information officielle déficiente.

    2.-L’interaction de l’électronique et de l’informatique explique que les applications des NTIC puissent répondre aux besoins aussi bien des entreprises et de l’Etat que des ménages et des individus. La globalisation des entreprises, des marchés et des circuits de la finance n’a pas seulement impliqué un remodelage des structures économiques et des flux d’échange, elle a aussi conduit à la professionnalisation de la communication et de l’information, ainsi qu’à une intégration de plus en plus poussée des phases de la conception, de la création et de la consommation des produits, parallèlement à la fusion de sphères d’activités jadis séparées, voire opposées. D’où l’appui aux entreprises pour l’accès aux volumes importants d’informations sur le commerce international détenu par les départements et agences ministériels, les services de renseignement et de contre-espionnage, mettant en place un service d’information économique au profit des entreprises engagées dans le commerce extérieur.

    Depuis l’apparition des intranets et des extranets, l’information se diffuse plus rapidement et plus largement hors des frontières, acquérant ainsi une telle valeur stratégique que l’enjeu est désormais de se l’approprier. Des écoutes téléphoniques, nous assistons aux interceptions des messages électroniques. Lorsqu’un mail est envoyé de façon habituelle, il n’est pas crypté et peut transiter par une dizaine de proxys qui jalonnent le parcours vers sa destination. Les informations contenues dans le corps du message et dans les fichiers joints peuvent être lues par autant de responsables de proxies que nécessite le trajet. Les vols de documents ne se produisent pas seulement en accédant, à distance ou non, à un ordinateur ou un serveur, mais également par les photocopieuses qui stockent les informations avant de les imprimer, des experts en informatique pouvant donc ensuite très facilement récupérer ces informations.

    Autres exemples : le fonctionnement des bourses interconnectées déterminant le prix de produits stratégiques dont la méconnaissance peut se traduire en pertes financières, prix qui fluctuent de minutes en minutes, d’heures en heures et dont la méconnaissance peut mettre en faillite des firmes ou un pays, l’utilisation de mécanismes sophistiqués à l’aide de bureaux conseils juridiques et financiers pour les transferts illicites de capitaux à travers les surfacturations rendant presque impossible le traçage et donc la récupération par les Etats lésés. Face aux grands bouleversements géostratégiques qui s’annoncent, les impacts de l’épidémie du coronavirus et le dérèglement climatique modifieront le nouveau pouvoir mondial avec des incidences politiques, sociales, culturelles et militaire.

    3.- C’est qu’avec la crise ukrainienne, récemment en Asie avec les tensions Chine/USA concernant l’avenir de Taiwan, ( voir notre interview à la télévision ALG24 du 04 aout 2022), la crise énergétique et alimentaire, l’impact de l’épidémie du coronavirus et du réchauffement climatique, posent la problématique d’une nouvelle architecture des relations internationales et sur le plan politique et sur le plan économique de la nécessaire transition numérique et énergétique qui devrait modifier considérablement tant les politiques sécuritaires, économiques, et et sociales des Nations. Nous assistons à un profond bouleversement de l’ordre économique et géopolitique mondial où le commerce de l’énergie se modifie, l’inflation est de retour, la crise alimentaire guette bon nombre de pays, les chaînes d’approvisionnement se reconfigurent, les réseaux de paiement se fragmentent et certains pays émergents comme la Chine repensent leurs réserves de devises estimées au 31/12/2021 à environ 3200 milliards de dollars.

    C’est ainsi que le monde devrait connaître un grand bouleversement travers le BRICS, composé de cinq pays – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, l’acronyme BRICSAM (en anglais , également utilisé pour y adjoindre le Mexique, sans qu’il soit membre de ce groupe, rejoints en tant qu’ observateurs par la Thaïlande, l’Egypte, la Guinée et, le Tadjikistan. Ensemble, les BRICS pèsent 45 % de la population de la planète, près du quart de sa richesse et les deux tiers de sa croissance et les estimations, les BRICS seraient à l’origine de plus de 50 % de la croissance économique mondiale au cours des dix dernières années, ce bloc selon le quotidien allemand « Die Welt » pouvant être l’amorce : d’une alliance anti-occidentale. Cela marque la fin d’un monde né un demi-siècle plus tôt et la dislocation d’une architecture internationale qui s’est traduite des décennies durant par les divisions, les déchirements et les guerres.

    Aujourd’hui, les menaces sur la sécurité ont pour nom terrorisme, prolifération des armes de destruction massive, crises régionales et délitement de certains Etats. Face à cette situation ayant des impacts géostratégiques, économiques et sécuritaires, où les relations diplomatiques de chefs d’Etat à Etat, de ministres à ministres ont de plus en plus peu d’impacts, étant supplantés par des réseaux décentralisés, l’Etat major de l’ANP à travers les dernières éditions El-Djeich tire la sonnet d’alarme afin que la majorité des responsables des institutions stratégiques en Algérie en déphasage par rapport aux nouvelles réalités tant internes que mondiales, s’adaptent en urgence, nécessitant un important investissement dans le savoir. (Voir l’American Herald Tribune du 11 août 2018 (USA) «Dr Abderrahmane Mebtoul : «Algeria Still Faces Significant Challenges et IMPED ministère de la Défense nationale octobre 2019 conférence du Pr A. Mebtoul où les axes de la maîtrise du numérique ont été développés». C’est que la nouvelle révolution mondiale du numérique a un impact sur le comportement des citoyens, sur la gestion des institutions et des entreprises et d’une manière générale sur la gouvernance et sur notre nouveau mode de vie. Politiques, militaires, entrepreneurs, citoyens, nous vivons tous aujourd’hui dans une société de la communication électronique, plurielle et immédiate qui nous contraint à prendre des décisions en temps réel.

    En conclusion, les défis collectifs nouveaux, sont une autre source de menace : ils concernent les ressources hydriques, la pauvreté, les épidémies, l’environnement. Ils sont d’ordre local, régional et global. Existant un lien dialectique entre sécurité et développement, cela rend urgent un front social interne solide et de profondes réformes structurelles loin des replâtrages conjoncturels, toute Nation qui n’avance pas recule forcément et toute Nation n’est forte que si son économie est forte, l’Algérie étant dépendante des hydrocarbures (97/98% des recettes en devises avec les dérivés). Toute action diplomatique dans l’avenir des relations internationales n’aura de réelles efficiences que si l’économie est forte et si le pays maîtrise les nouvelles technologies.

    Face à ces nouvelles mutations technologiques s’impose une coordination internationale et un code de bonne conduite, avec de nouveaux mécanismes juridiques de protection qui touchent tant la vie privée que la sécurité des Nations. Le monde étant à l’aube d’une quatrième révolution économique, l’Algérie n’a pas d’autres choix que de réussir les réformes structurelles impliquant des stratégies d’adaptation et une autre politique socio-économique, loin des utopies du passé, dont celle de la transition énergétique et numérique. Le temps ne se rattrapant jamais en économie, toute Nation qui n’avance pas recule forcément, impliquant des actions concrètes loin des promesses utopiques du passé.

    #Révolution_numérique #Pegasus #Technologie #crise énergétique et alimentaire, l’impact de l’épidémie du coronavirus et du réchauffement climatique,

  • Covid-19 en Algérie : l’incidence encore en légère baisse

    Covid-19 en Algérie : l’incidence encore en légère baisse

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    Algérie – Cent-vingt huit nouveaux cas confirmés de Covid-19 (contre 133 recensés hier) et 109 guérisons ont été enregistrés, alors qu’aucun décès n’a été déploré ces dernières 24 heures en Algérie. C’est ce qu’a, d’ailleurs, indiqué aujourd’hui le ministère de la Santé dans un communiqué.
    Ainsi, le total des cas atteints de la covid-19 s’établit à 268866 cas. Toutefois, celui des décès reste inchangé (6878 cas); tandis que le nombre total des patients guéris passe à 180575 cas.

    Par ailleurs, trois patients sont actuellement en soins intensifs, note la même source, relevant que 27 wilayas n’ont recensé aucun nouveau cas.

    Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d’hygiène, la distanciation physique et le port du masque.

    Ennahar Online, 15/08/2022

    #Algérie #Covid19 #Coronavirus #Pandémie

  • El Confidencial : Le roi du Maroc retourne à Paris

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    Le séjour éphémère de Mohammed VI à Rabat : un discours et un retour à Paris
    La Maison royale a annulé les événements de la Fête du Trône, à l’exception du discours royal, à cause du covid, mais les autorités ont autorisé un macro-concert à Saidia en l’honneur du roi.

    Par Ignacio Cembrero
    El Confidencial, 31/07/2022
    Mohammed VI, 58 ans, ne rentre au Maroc que pour les fêtes religieuses ou laïques. Il a passé quelques heures samedi à Rabat à l’occasion de la fête du Trône, qui commémore son intronisation il y a 23 ans, et est rentré en début de soirée à Paris, d’où il était arrivé quelques heures plus tôt, selon des sources au fait de ses déplacements.

    Dans un discours diffusé samedi soir et enregistré quelques heures plus tôt, le monarque alaouite a averti les Marocains que « le plus grand danger pour le développement du pays et la promotion des investissements réside dans les obstacles que certains dressent délibérément pour préserver leurs propres intérêts et obtenir des avantages personnels ». « Ces actions doivent être combattues », a souligné un roi à l’air maigre et fatigué devant les caméras.

    Ce qui a commencé samedi soir était les quatrièmes vacances de Mohammed VI depuis le début de l’année, combinées cet été à quelques examens médicaux liés à l’arythmie cardiaque pour laquelle il a été opéré avec succès à deux reprises (juin 2020 et février 2018) et à des visites à sa mère, Lalla Latifa, 77 ans, qui est soignée dans un hôpital parisien pour la maladie dont elle souffre. Avec cette frénésie de voyages, le roi donne l’impression de vouloir rattraper les années où il n’a pas quitté le Maroc à cause de la pandémie.

    Fin février, il s’installe dans sa résidence de Pointe Denis, au Gabon, d’où il rédige le communiqué royal contenant des extraits de la lettre que lui a adressée le 14 mars le président Pedro Sánchez pour s’aligner sur la position du Maroc dans le conflit du Sahara occidental. Il est rentré à Rabat peu avant le 1er avril, jour du début du Ramadan (mois de jeûne pour les musulmans). Il repart, cette fois pour Paris, le 1er juin, où il reste jusqu’à l’Aid-el-Adha (fête du sacrifice) du 10 juillet, la plus grande fête de l’Islam. Il a passé ces cinq semaines entre le château familial de Betz, au nord-est de Paris, et le palais qu’il a acheté en juillet 2020 près de la Tour Eiffel pour 80 millions d’euros, selon la presse française.

    À son retour à Rabat, il a accompli le rituel religieux de cette fête en dirigeant la prière dans la mosquée du palais et en abattant un agneau dans la cour. Trois jours plus tard, le mercredi 13, il préside un Conseil des ministres, puis rentre à Paris, où il reste jusqu’à la fête du Trône. De son second séjour à Paris, qui s’étendit sur les deux dernières semaines de juillet, il existe un témoignage graphique. Dans une vidéo téléchargée sur les médias sociaux le 25 juillet, on peut voir le monarque au volant d’une voiture sous la pluie. Un autre chauffeur, d’origine marocaine, à en juger par son accent arabe, le salue depuis sa voiture : « Salam aleikum Sidna » (Que la paix soit avec toi, mon Seigneur). Le dirigeant baisse sa vitre et répond par des mots inintelligibles dans la vidéo.

    La commémoration annuelle du 30 juillet, équivalent à un jour férié en Europe, a été réduite au discours royal et à la grâce que le monarque accorde traditionnellement aux prisonniers. Cette fois, 1 769 en ont bénéficié. Il n’y a plus eu de festivités ni de célébrations. Le monarque a annulé la réception massive qu’il donne traditionnellement ce jour-là, la cérémonie de la « beaia » au cours de laquelle les hauts fonctionnaires lui rendent hommage et celle au cours de laquelle les officiers des différentes écoles militaires prêtent serment de fidélité au souverain. Tous ces événements se déroulent en plein air. C’est la troisième fois que le monarque alaouite supprime toutes les célébrations liées à la plus importante fête laïque du Maroc. Il y a une semaine, la Maison royale a annoncé dans un communiqué que « compte tenu de la poursuite des mesures préventives imposées par l’évolution de la situation sanitaire imputable à la pandémie de Covid-19, il a été décidé de reporter toutes les activités (…) ». Des mesures sanitaires strictes étaient toujours en place au Maroc en 2020 et 2021. Aujourd’hui, elles ont presque toutes été levées, à commencer par les matchs de football dont les tribunes sont pleines de spectateurs. Alors que la Maison royale a supprimé les cérémonies en plein air de la Fête du Trône, Abdelhafid Douzi, 37 ans, célèbre chanteur belgo-marocain, a organisé samedi un macro-concert sur la plage de Saidia (Méditerranée) pour célébrer, à sa manière, les 23 ans de règne de Mohamed VI, selon le journal en ligne marocain « Le Desk ».

    Abdelhafid Douzi entretient une relation cordiale avec le monarque, mais dans le monde de la chanson, son meilleur ami est peut-être un autre Marocain, le chanteur et acteur Saad Lamjarrad, 37 ans. L’un des artistes les plus célèbres du monde arabe, Lamjarrad a également voulu commémorer à sa manière l’intronisation de Mohammed VI. Il l’a fait en publiant samedi une chanson intitulée « Long Live Our Beloved King ». Peut-être pour célébrer la réconciliation entre le Maroc et l’Espagne, obtenue grâce au renoncement du gouvernement espagnol à 47 ans de neutralité dans le conflit du Sahara occidental, Lamjarred s’est associé à un chanteur d’origine espagnole, Nicolas Reyes, 63 ans, qui vit en France, et à une poignée de danseurs de flamenco. Reyes est le chanteur principal du groupe Gipsy Kings.

    La vidéo officielle, qui a été visionnée samedi dernier à près de 530000 reprises, s’ouvre sur un appel téléphonique de Nicolás Reyes à Saad Lamjarred dans lequel l’artiste franco-espagnol lui demande de rejoindre les Gipsy Kings « pour chanter pour le meilleur roi du monde ». Le Marocain se met en route, embrasse Reyes et les deux commencent à chanter, l’un en espagnol et l’autre en arabe. « Tu es le premier soldat de notre royaume, ce père et ce fils de notre nation », peut-on lire dans les paroles de la chanson alors que le drapeau marocain flotte, par moments. « Tu es le roi le plus aimé du peuple et sans toi le peuple n’est rien (…) » « Chantons pour le roi ». Lorsque Reyes chante, ses paroles sont sous-titrées en arabe.

    #Maroc #Mohammed_VI #santé_du_roi #Maladie_du_roi #Fête_du_trône

  • Algérie : Raisons de la hausse des cas covid-19

    Algérie : Raisons de la hausse des cas covid-19

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    Depuis le début de l’année 2020, le monde entier a dû faire face à l’épidémie de coronavirus.

    En Algérie, le virus a fait son apparition en mars 2020, ce qui a fortement impacté la vie quotidienne des Algériens. Après 4 vagues de Covid-19, depuis mars 2022, les chiffres relatifs à ce virus sont en baisse pour afficher des bilans au plus bas depuis le début de l’épidémie. Mais ces derniers jours, le nombre de contaminations est en légère hausse. Pour référence, l’Algérie a enregistré dans les derniers bilans annoncés par le ministère de la Santé, ces derniers jours, un nombre de contaminations oscillant entre 10 et 20 cas en moyenne par jour.

    Le directeur général de la prévention et de la promotion de la santé au ministère de la Santé, Djamel Fourar, a confirmé que les visites pendant l’Aïd étaient l’une des raisons de l’augmentation du nombre d’infections par le virus corona. Fourar a également indiqué que la raison était également due au non-respect du protocole sanitaire par les citoyens.

    La directrice de l’établissement public de santé de quartier de Bab El-Oued, Nadia Jili, a également déclaré que la vaccination est toujours en cours au niveau de tous les centres sanitaires, et que « le personnel médical est pleinement préparé pour prendre en charge les personnes contaminées au niveau de toutes les structures hospitalières, des salles de soins et des cliniques multiservices ».

    La situation épidémiologique est « stable », selon Benbouzid Malgré cette légère hausse, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a rassuré en confirmant que la situation épidémiologique liée à la propagation du coronavirus en Algérie est « stable ». Il poursuit en disant : « Cependant, le recrutement du personnel de santé reste en place pour faire face à toute évolution ».

    Le ministre de la Santé a aussi expliqué que « la situation épidémiologique est stable et n’est pas préoccupante », tout en soulignant que le personnel médical avait acquis une expérience riche dans la lutte contre la propagation de la Covid-19.

    Par : CHAHINE ASTOUATI

    Le Midi libre, 13/07/2022

    #Algérie #Pandémie #Coronavirus #Covid19

  • Le Maroc s’attend à un pic de corona cette semaine

    Le Maroc s’attend à un pic de corona cette semaine

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    La deuxième vague corona de la variante Omicron devrait culminer cette semaine.

    Mouad Lamrabet, coordinateur du centre d’urgence du ministère de la Santé, le rapporte dans une interview à la chaîne de télévision 2M mercredi.

    La variante Omicron du coronavirus est actuellement dominante au Maroc. Le sous-mutant BA.5 est le plus courant et le sous-mutant BA.2 est en voie de disparition. « Nous sommes au sommet, ou nous nous en approchons », a déclaré Lamrabet.

    Le taux de positivité d’environ 25% est comparable à la première vague Omicron qui a eu lieu en janvier, avec des valeurs aberrantes régionales allant jusqu’à 40% cette fois. Pourtant, le chiffre ne donne pas une image complète car il y a tout simplement moins de tests maintenant qu’avec les précédentes vagues de corona. Reste que le taux de positivité reste « le meilleur indicateur », a déclaré Lamrabet.

    Dans les grandes villes, la part des tests positifs commence à stagner, ce qui, selon Lamrabet, est « rassurant ». En revanche, les cas d’infections graves à Covid sont en augmentation, a-t-il noté.

    Pour le moment, le nombre de décès et de cas critiques est « gérable », mais compte tenu de la fête du sacrifice de l’Aïd al-Adha et des vacances d’été, il est sage de reprendre la réglementation corona au sérieux, conseille Lamrabet.

    Nieuws Marokko, 30 juin 2022

    #Maroc #Covid19 #Coronavirus #Omicron #Pandémie #Contaminations

  • La Chine dans le collimateur?

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    Avec la guerre en Ukraine, plusieurs puissances voudraient «impliquer» la Chine dans le conflit et la «rallier» au clan de l’Occident contre la Russie. C’est ainsi que la Chine se retrouve de nouveau dans le collimateur en l’accusant d’avoir «provoqué» la fuite du virus Covid 19 sans avancer la moindre preuve. Après plus de deux ans de pandémie, l’enquête autour de l’origine du Covid-19 n’a toujours pas été résolue. L’Organisation mondiale de la Santé a toutefois demandé à un groupe de vingt-sept experts, d’approfondir la thèse d’une fuite de laboratoire.

    La Chine dit que la théorie des fuites de laboratoire est un mensonge. D’abord attribué au pangolin, le scénario de l’animal intermédiaire et d’un départ sur un marché de Wuhan en Chine semblait être privilégié. Pourtant, pour l’heure, aucune preuve définitive ne justifierait l’origine de la pandémie, selon les vingt-sept experts du Groupe consultatif scientifique sur l’origine des nouveaux pathogènes (SAGO).

    Alors que des progrès ont été réalisés notamment sur l’identification des animaux intermédiaires, le SAGO a dénoncé un manque de « données clés pour comprendre comment la pandémie de Covid-19 a commencé », relayées par «cnews». Par ailleurs, le groupe a reconnu qu’il n’a eu accès à aucune donnée brute, mais seulement «à des informations mises à sa disposition dans des documents publiés ou des présentations» de scientifiques invités, pour la plupart chinois. Les experts ont ainsi dressé une liste de vœux détaillant les études essentielles pour tenter d’avancer dans l’enquête. Pour un bon nombre de ces requêtes, la collaboration des autorités chinoises sera nécessaire, y compris sur le volet laboratoire, un sujet ultra-sensible.

    L’année dernière encore, l’OMS a déclaré qu’il était “extrêmement improbable” que le COVID provienne d’un laboratoire, et plus probablement qu’il soit passé aux humains par un animal comme une chauve-souris. En mars 2021, l’OMS a publié un rapport sur les origines du COVID-19 à la suite d’une visite hautement chorégraphiée de scientifiques internationaux en Chine. Jean-Claude Manuguerra, coprésident du groupe consultatif international des 27 membres, a reconnu que certains scientifiques pourraient être «allergiques» à l’idée d’enquêter sur la théorie des fuites de laboratoire, mais a déclaré qu’ils devaient être suffisamment «ouverts d’esprit» pour l’examiner.

    Les enquêtes de l’Associated Press ont révélé que certains hauts responsables de l’OMS étaient frustrés par la Chine lors de l’épidémie initiale, alors même que l’OMS faisait l’éloge du président chinois Xi Jinping. Ils étaient également contrariés par la façon dont la Chine a cherché à réprimer la recherche sur les origines du COVID-I9.

    La Chine a répondu vendredi en qualifiant la théorie des fuites de laboratoire de mensonge à motivation politique, a rapporté l’AP. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Zhao Lijian, a également rejeté les accusations selon lesquelles la Chine n’avait pas pleinement coopéré avec les enquêteurs, affirmant qu’elle se félicitait d’une enquête scientifique mais rejetait toute manipulation politique.

    Zhao a également appelé à une enquête sur «des laboratoires hautement suspects tels que Fort Detrick et l’Université de Caroline du Nord» aux États-Unis où la Chine a suggéré, sans preuves, que les États-Unis développaient le coronavirus comme arme biologique.

    B. Nadir

    Le Carrefour d’Algérie, 11/06/2022

    #Pandémie #Coronavirus #Chine #OMS #Occidental #Ukraine #Russie



  • La France, l’échec

    La France, l’échec

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    La liste des échecs de la France est longue. Le dernier en date est son incapacité d’organiser une rencontre footballistique d’un jour dans une capitale envahie par la saleté, les rats et les drogués. Mais avant cet échec frappant, il y’avait d’autres: la corruption des institutions, la montée des extrêmes, le déclin de la démocratie, la perte de l’influence dans le monde et en Afrique en particulier, les sous-marins australiens, la Libye, les gilets jaunes, les violences policières, la gestion de l’épidémie COVID-19, les masques, le vaccin qu’elle est la seule parmi les grands à ne pas su trouver, le Mali…etc.

    Mais de tous ses échecs le plus grave est son incapacité avérée à gérer ses contradictions. À force de vouloir être originale, elle devient banale, voir menacée dans son existence. Elle a si profondément perverti la notion de laïcité que celle-ci s’assimile désormais chez elle à l’islamophobie. Elle veut une “laïcité à la française” qui n’est plus la laïcité universelle. Elle veut un “Islam de France” qui n’est plus l’Islam universel. Elle veut un traitement de l’immigration par l’intégration qui efface les diversités culturelles. Elle veut tout mais elle n’a rien. Le résultat : le face-à-face prédit par le ministère de l’intérieur Gérard Collomb avant son départ devient une réalité et la guerre civile n’est plus une simple vue de l’esprit, elle est une menace réelle.

    Elle peine à regarder sa réalité en face et à se remettre en cause. Elle s’entête, malgré tout, à croire qu’elle est le meilleur modèle de gouvernance au monde. Elle croit encore à ses lumières qui n’illuminent même pas chez elle.

    Ses malins génies, les Sarkozy, les Zemmour, les Marine le Pen, les Devillier, les Dupont-Aignan, et les Darmanin, ont trouvé la cause de ses déboires: l’ensauvagement et les sauvages. Ils entendent par là que le mal vient des immigrés maghrébins et africains noirs qui polluent la vie tranquille et policée de français de souche, blancs et chrétiens.Il se peut qu’il y’ai une part de vérité dans cette justification malgré son absurdité patente. Mais qui en assume la responsabilité ? Ces immigrés, ces habitants des zones déshéritées, ses “sauvages” dont on rappelle à chaque fois les origines pour s’en dédouaner, ne sont pas venus d’ailleurs, ils sont, en très grande majorité, des natifs de la France, des enfants de la France, formés à l’école républicaine française, par la société française, par la politique française, dans le cadre de l’économie française, qui évoluent dans les villes et les cartiers français et qui ont complètement coupé les liens avec les pays de leurs parents et leurs cultures. Ils sont les victimes de l’intégration et donc les victimes de la France et non de l’Algérie, de la Tunisie, du Cameroun où du Niger. Elle les a adopté en leur accordant la nationalité, elle en a par conséquence la garde. C’est elle qui a pris la charge de les former et de les ” civiliser”. Elle n’a pas su le faire. Et pour celà, telle un mère indigne, elle est la seule à blâmer.

    Ces enfants qui râlent et qui cassent ne sont pas des sauvages, ils sont des laissés pour compte, des révoltés. Désormais la France ne peut plus s’en débarrasser, ils font partie d’elle. Ils ne sont pas SON problème, ils ne sont qu’une petite partie de SON problème.

    Mekideche A.

    Bel-Abbès Info, 31 mai 2022

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    #France #Extrêmedroite #Discrimination #Laïcité #Immigration

  • Corée: Kim dénonce « l’immaturité » dans la réponse à la COVID

    Corée: Kim dénonce « l’immaturité » dans la réponse à la COVID

    Corée du Nord, Kim Jong Un, pandémie, covid 19, coronavirus,

    SEOUL, 18 mai (Reuters) – Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a qualifié d’immature la réponse de son pays à sa première épidémie confirmée de COVID-19, accusant les responsables gouvernementaux d’insuffisances et d’inertie alors que des cas de fièvre balayaient le pays, ont rapporté mercredi les médias officiels.

    La Corée du Nord a signalé 232 880 personnes supplémentaires présentant des symptômes de fièvre et six décès supplémentaires après que le pays a révélé l’épidémie de COVID la semaine dernière. Il n’a pas précisé combien de personnes avaient été testées positives pour COVID-19.

    Présidant mardi une réunion du bureau politique du Parti des travailleurs au pouvoir, Kim a déclaré que « l’immaturité de la capacité de l’État à faire face à la crise » augmentait la « complexité et les difficultés » dans la lutte contre la pandémie, selon KCNA.

    Depuis sa première reconnaissance de l’épidémie de COVID-19, le Nord a signalé 1,72 million de patients présentant des symptômes de fièvre, dont 62 décès mardi soir.

    Pourtant, le Nord a également déclaré que la situation virale du pays prenait une « tournante favorable », ajoutant que la réunion du parti avait discuté du « maintien de bonnes chances sur le front global de la prévention de l’épidémie ».

    Le rapport n’a pas précisé sur quels motifs le Nord est parvenu à une évaluation aussi positive. Le pays n’a pas commencé les vaccinations de masse et dispose de capacités de test limitées, laissant de nombreux experts inquiets, il peut être difficile d’évaluer l’ampleur et la rapidité de propagation de la maladie. Lire la suite

    Selon KCNA, la Corée du Nord a fait pression pour mieux gérer « la collecte, le transport et le test des échantillons de ces personnes souffrant de fièvre, tout en installant des installations de quarantaine supplémentaires ».

    KCNA a également déclaré que les responsables de la santé ont élaboré un guide de traitement COVID-19 visant à prévenir les surdoses de drogue et d’autres problèmes.

    Les responsables et les chercheurs ont intensifié leurs efforts pour « développer et produire massivement des médicaments efficaces dans le traitement de l’infection virale maligne et établir des méthodes de diagnostic et de traitement plus rationnelles », mais KCNA n’a pas donné de détails sur les médicaments impliqués.

    Face à une épidémie « explosive » de COVID-19, la Corée du Nord a mobilisé ses forces armées, dont 3 000 membres du personnel médical militaire, pour un système de livraison de médicaments 24 heures sur 24, avec 500 groupes d’intervention pour confirmer et traiter les patients infectés, ont déclaré les médias d’État.

    La télévision d’État a montré un grand nombre de soldats rassemblés sur une place pour soutenir le travail anti-virus.

    Un porte-parole du bureau des droits de l’homme de l’ONU a déclaré mardi que les mesures prises par Pyongyang pour lutter contre le COVID-19 pourraient avoir des conséquences « dévastatrices » pour les droits de l’homme dans le pays, car les restrictions visant à lutter contre le virus pourraient empêcher les gens d’obtenir suffisamment de nourriture et de rencontrer d’autres besoins de base.

    La Corée du Sud a proposé d’envoyer des fournitures médicales, notamment des vaccins, des masques et des kits de test, ainsi qu’une coopération technique, au Nord, mais Pyongyang n’a pas encore répondu.

    Reuters, 18 mai 2022

    #Corée #KimJingUn #Covid

  • Algérie : Le métro d’Alger prêt à circuler de nouveau

    Algérie : Le métro d’Alger prêt à circuler de nouveau – Métro El Djazaïr, coronavirus, pandémie, covid 19,

    Dans l’attente d’un feu vert qui pourrait intervenir dans les prochains jours, le métro d’Alger est prêt à recevoir ses usagers.

    La société d’exploitation de l’entreprise « Métro El Djazaïr », s’est adaptée au protocole sanitaire et au respect des mesures barrières pour une reprise malgré l’épidémie de coronavirus.

    Dans des photos postées par la même société, on y voit les premiers autocollants installés au niveau des stations, à l’intérieur des rames dans les ascenseurs. Sur le sol, des cercles colorés ont été placés devant les guichets et les distributeurs de tickets, de façon à ce que les voyageurs respectent au moins un mètre de distance dans la file d’attente.

    A l’intérieur des rames, des autocollants rappellent « le port obligatoire du masque ». Tandis que d’autres placés sur des sièges sur lesquels il est indiqué « Ne pas s’asseoir ».

    Les ascenseurs ne devraient être utilisés que par « deux personnes » en même temps.

    D’autres autocollants sont placés juste devant les quais de façon à séparer les voyageurs qui descendent de ceux qui montent.

    Les photos publiées par la société d’exploitation du métro reflètent « les préparatifs », « en attendant le feu vert des autorités pour la réouverture », a-t-elle précisé.

    Invité, lundi dernier, à s’exprimer sur la reprise du transport ferroviaire et du métro, le ministre des Transports, Lazhar Hani, a déclaré à la radio que la décision de la reprise des trains et du métro «dépend des hautes autorités du pays ».

    Aziz.T.

    AB News, 29/04/2022

    #Algérie #Métrol