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  • Cybersécurité: Cadre de coopération entre le Maroc et la France

    Cybersécurité: Cadre de coopération entre le Maroc et la France

    France, Maroc, cybersécurité, coopération,

    ROYAUME DU MAROC Rabat, le 15 Février 2012
    ADMINISTRATION
    DE LA DEFENSE NATIONALE


    CADRE DE COOPERATION ENTRE LE MAROC ET LA FRANCE DANS LE DOMAINE DE LA CYBESECURITE

    Basé sur le constat que la France et le Maroc sont susceptibles de faire face aux mêmes menaces et aux mêmes crises, il est préconisé de saisir l’opportunité offerte par la visite de M. Le Ministre français de la défense pour discuter d’une éventuelle coopération dans l’objectif de formaliser, entre les deux parties, le partage d’information et d’expérience entre leurs autorités de cybersécurité respectives.

    Cet accord traitera des aspects suivants :

    -Assistance et accompagnement de la partie marocaine dans l’élaboration de la PSSI au niveau national ;

    -Echange d’expertise entre le centre marocain de veille, de détection et de réponse aux attaques informatiques (ma-CERT) et les organismes français similaires de la défense nationale ;

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    #Maroc #Brésil #Cybersécurité

  • Cybersécurité: Cadre de coopération entre le Maroc et la France

    Cybersécurité: Cadre de coopération entre le Maroc et la France

    France, Maroc, cybersécurité, coopération,

    ROYAUME DU MAROC Rabat, le 15 Février 2012
    ADMINISTRATION
    DE LA DEFENSE NATIONALE


    CADRE DE COOPERATION ENTRE LE MAROC ET LA FRANCE DANS LE DOMAINE DE LA CYBESECURITE

    Basé sur le constat que la France et le Maroc sont susceptibles de faire face aux mêmes menaces et aux mêmes crises, il est préconisé de saisir l’opportunité offerte par la visite de M. Le Ministre français de la défense pour discuter d’une éventuelle coopération dans l’objectif de formaliser, entre les deux parties, le partage d’information et d’expérience entre leurs autorités de cybersécurité respectives.

    Cet accord traitera des aspects suivants :

    -Assistance et accompagnement de la partie marocaine dans l’élaboration de la PSSI au niveau national ;

    -Echange d’expertise entre le centre marocain de veille, de détection et de réponse aux attaques informatiques (ma-CERT) et les organismes français similaires de la défense nationale ;

    -Transfert de compétence notamment dans les domaines :

    -D’analyse des attaques informatiques ;

    -d’infrastructure à clé publique et cryptographie ;

    -d’octroi des labels aux produits de sécurité ;

    -de la certification électronique ;

    -de l’audit des systèmes d’information.

    -Parrainage du ma-CERT pour adhérer au « Forum of Incident Response and Security Team » (FIRST) ;

    -Participation aux stages et aux programmes de formation dispensés par l’ANSSI ;

    -Participation aux exercices de réponse à des crises majeures d’origine informatique (exercices de simulation pratique).

    #Maroc #France #Cybersécurité #Informatique

  • Voyous et logiciels espions : Pegasus frappe en Espagne

    Voyous et logiciels espions : Pegasus frappe en Espagne -CNI, espionnage, Maroc, Pedro Sanchez, Margarita Robles, cybersécurité, NSO Group,

    Les armes, dépourvues de sensibilité et d’orientation morale, sont là pour être utilisées par tous. Une fois sorties, ces créations ne pourront jamais être reconditionnées. Un logiciel espion efficace, le plus malveillant des outils de surveillance, est l’une de ces créations, disponible pour les entités et les gouvernements de tous bords. Les cibles sont standards : dissidents, journalistes, législateurs, militants, voire quelques juristes.

    Le logiciel espion Pegasus, la création diaboliquement efficace du groupe israélien sans scrupules NSO, est devenu un habitué des cycles d’information sur la cybersécurité. Créé en 2010, il est l’idée de trois ingénieurs qui avaient fait leurs premières armes au sein de l’unité cybernétique Unit 8200 des Forces de défense israéliennes : Niv Carmi, Shalev Hulio et Omri Lavie.

    NSO s’est retrouvé à l’avant-garde d’une offensive de charme israélienne, accueillant régulièrement des responsables du Mossad à son siège à Herzliya en compagnie de délégations de pays africains et arabes. Les cybercapacités seraient un moyen d’entrer dans leurs bons livres.

    Le bilan de l’entreprise était de nature à piquer l’intérêt du département américain du Commerce, qui a annoncé en novembre dernier qu’il ajouterait NSO Group et une autre cyberentreprise israélienne Candiru (désormais renommée Saito Tech) à sa liste d’entités « sur la base de preuves ». que ces entités ont développé et fourni des logiciels espions à des gouvernements étrangers qui ont utilisé ces outils pour cibler de manière malveillante des responsables gouvernementaux, des journalistes, des hommes d’affaires, des militants, des universitaires et des employés d’ambassade.

    En juillet 2021, le projet Pegasus , une initiative de 17 médias et groupes de la société civile, a révélé que 50 000 numéros de téléphone intéressant un certain nombre de gouvernements figuraient sur une liste de cibles piratables. Tous avaient été des cibles de Pegasus.

    Les clients gouvernementaux du groupe NSO sont nombreux et couvrent le spectre démocratique autoritaire et libéral. Plus notoirement, Pegasus a trouvé son chemin dans l’arsenal de surveillance du Royaume d’Arabie saoudite, qui aurait surveillé les appels passés par le journaliste saoudien assassiné Jamal Khashoggi et un autre dissident, Omar Abdulaziz. En octobre 2018, Khashoggi, sur ordre du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, a été massacré sur le terrain du consulat saoudien à Istanbul par un commando. NSO a ensuite fait l’objet d’une action en justice, les avocats d’Abdulaziz faisant valoir que le piratage de son téléphone « a contribué de manière significative à la décision d’assassiner M. Khashoggi ».

    Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, la ministre de la Défense Margarita Robles, le ministre de l’Intérieur Fernando Grande-Marlaska et 18 séparatistes catalans sont les dernières cibles de premier plan à figurer dans le canon Pegasus. Le téléphone de Sánchez a été piraté deux fois en mai 2021, des responsables affirmant qu’il y avait au moins une fuite de données. Ceci était le résultat, selon le gouvernement, d’une opération « illicite et externe », menée par des organismes sans autorisation de l’État.

    Assez ironiquement, Robles elle-même avait défendu le ciblage des 18 séparatistes catalans, affirmant que la surveillance avait été menée avec l’approbation du tribunal. « Dans ce pays », a-t-elle insisté lors d’une conférence de presse, « personne ne fait l’objet d’enquêtes pour ses idéaux politiques ».

    La toile de fond de tout le scandale est encore plus sinistre, avec Citizen Lab révélant le mois dernier que plus de 60 législateurs catalans, juristes, membres du Parlement européen, journalistes et membres de la famille ont été ciblés par le logiciel espion Pegasus entre 2015 et 2020. (Citizen Lab trouvé que 63 personnes avaient été ciblées ou infectées par Pegasus, dont quatre autres victimes du logiciel espion Candiru.) Parmi les cibles confirmées figurent Elisenda Paluzie et Sònia Urpí Garcia, qui travaillent toutes deux pour l’Assemblea Nacional Catalana, une organisation qui milite pour l’indépendance de Catalogne.

    Le téléphone de la journaliste catalane Meritxell Bonet a également été piraté en juin 2019 lors des derniers jours d’une affaire devant la Cour suprême contre son mari Jordi Cuixart. Cuixart, ancien président de l’association catalane Òmnium Cultural, a été inculpé et condamné pour sédition.

    L’ enquête de Citizen Lab n’a pas attribué de manière concluante « les opérations à une entité spécifique, mais des preuves circonstancielles solides suggèrent un lien avec les autorités espagnoles ». Likhita Banerji, chercheuse à Amnesty International dans le domaine de la technologie et des droits de l’homme, explique simplement le cas . « Le gouvernement espagnol doit dire clairement s’il est ou non un client du groupe NSO. Il doit également mener une enquête approfondie et indépendante sur l’utilisation du logiciel espion Pegasus contre les Catalans identifiés dans cette enquête.

    Des têtes devaient tomber et la principale victime de cette affaire était la première femme à diriger l’agence de renseignement espagnole CNI, Paz Esteban. La défense d’Esteban des piratages catalans s’est avérée identique à celle de Robles : ils avaient été faits avec l’approbation judiciaire et légale. Mais elle avait besoin d’un cuir chevelu pour une situation de plus en plus embarrassante et n’avait aucune envie de se faire répéter ses raisons. « Vous parlez de licenciement », a-t-elle déclaré laconiquement, « je parle de remplacement. »

    Alors que les implications pour le gouvernement espagnol sont nettement malodorantes, il ne faut pas oublier qui est le Victor Frankenstein ici. NSO a eu quelques égratignures en Israël même. Il a survécu à un procès d’Amnesty International en 2020 pour revoir sa licence d’exportation de sécurité. Mais il y a peu de danger que cette entreprise perde le soutien du ministère israélien de la Défense. En Israël, la cybersécurité continue d’être la tête d’affiche des prouesses technologiques, lucrative, opaque et clairement irresponsable devant les parlementaires et les tribunaux.

    Dr Binoy Kampmark, boursier du Commonwealth au Selwyn College de Cambridge. Il enseigne actuellement à l’Université RMIT. Courriel : bkampmark@admin

    Source : South Front, 15 mai 2022

    #Maroc #Espagne #CNI #Pegasus #Espionnage #PedroSanchez #MargaritaRobles #SNOGroup

  • Des magistrats engagés dans la lutte contre la cybercriminalité

    Des magistrats engagés dans la lutte contre la cybercriminalité – Algérie, système informatique, piratage, hacking, cyberattaque, cybersécurité,

    Le risque de la cyberattaque est devenu majeur de par le monde. L’Algérie s’est dotée de moyens technologiques lui permettant de protéger son système informatique.

    Hocine NEFFAH

    Des magistrats vont bénéficier de formation poussée dans le domaine de la cybercriminalité. Cette formation qui vient à point nommé, permettra à l’institution judiciaire de revoir son regard sur ce créneau délicat et ses retombées sur la sécurité des personnes et du pays.

    À ce propos, le ministère de la Justice a jugé utile, voire nécessaire de s’arrimer à cette nouvelle donne qui s’est imposée dans le domaine des affaires judiciaires et d’autres dont le caractère politique est déterminant.

    La formation en question tourne autour du «rôle du cyber-environnement dans la stabilité de la cybersécurité internationale». La formation se fera en coordination avec les cadres en la matière qui appartiennent à la sphère occidentale en termes d’expérience au plan juridique ou au plan de la pratique relevant de la cyberattaque et des «rançongiciels».

    C’est dire que le volet de la cybercriminalité est tellement complexe et profond que l’enjeu est très important et sensible dans la perspective de parer aux menaces et dangers qui affectent et touchent le monde numérique et la Toile en général.

    L’Algérie n’est pas en reste de ces menaces. Elle fait face à plusieurs formes de la cybercriminalité. C’est ce qui a poussé les pouvoirs publics à prendre au sérieux ce phénomène qui menace le monde entier en se dotant de moyens de lutte qui,au plan des textes de lois qui au plan des techniques et des moyens de dissuasion des plus sophistiqués pour se protéger et épargner les institutions et les entreprises de cette menace du siècle.

    La formation qui concerne le corps des magistrats aura comme objectif de «mettre en place les principaux fondements du cyberenvironnement de l’UE et à examiner la capacité de ces fondements à consolider la stabilité de la sécurité internationale à travers le renforcement de la flexibilité électronique, l’instauration de la confiance et le développement de la coopération entre les acteurs». Et d’ajouter: «La nécessité de la coopération internationale pour la prévention contre la cybercriminalité, l’investigation et le suivi des actions liées à la cybercriminalité via les techniques modernes: défis et opportunités», annonce-t-on.

    Il faut dire que cette formation sera spécifique et particulière, puisque elle portera sur la cybercriminalité liée au secteur de la santé publique, la propriété intellectuelle pour des magistrats exerçant à la Cour constitutionnelle.
    Le risque de la cyberattaque est devenu majeur de par le monde. L’Algérie s’est dotée de moyens technologiques lui permettant de protéger son système informatique. Mais cela ne suffit pas, il faut arriver à mettre en oeuvre une nouvelle stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité et ses multiples menaces. Des experts en la matière soulèvent le principe de la lutte contre ce phénomène international en s’assurant que le principe de l’éthique et de la liberté soit garantis.

    Les spécialistes de ce domaine sensible reconnaissent la complexité de l’activité relevant de la cybercriminalité et les dangers multiples qu’elle peut provoquer de par le monde. D’ailleurs, un de ces illustres spécialistes de la sécurité contre la cybercriminalité, Lars Weber, souligne à ce propos que «les personnes à l’origine des cyberattaques sont aussi diverses que les attaques. À l’une des extrémités de la chaîne alimentaire cybernétique, vous avez l’apprenti pirate informatique peu qualifié qui a du mal à faire fonctionner correctement son logiciel malveillant. À l’autre bout, vous pouvez être confronté à des organisations parrainées par un État et disposant de ressources de pointe. Dans son essence, la cybercriminalité n’est pas différente de la criminalité traditionnelle, où l’on trouve toute la gamme des criminels: du voyou de la rue à une organisation terroriste mondiale», précise-t-il.

    C’est dire que le monde du numérique n’est pas aussi simple que cela est appréhendé par ceux qui s’adonnent à l’aspect ludique de cette Toile sans avoir la moindre idée des dangers dont elle fait l’objet.

    L’Algérie est déterminée à lutter contre ce fléau du siècle, mais aussi d’avoir toute l’expertise technologique et de maîtrise pour parer surtout à la cyberattaque des plus nuisibles et néfastes, à savoir l’attaque aux fondements de l’Etat et ses institutions dans le cadre de la guerre hybride de quatrième génération.

    L’Expression, 28/04/2022

    #Algérie #Cybercriminalité #cyberguerre #cybersécurité #Piratage #Hacking

  • Algérie. La cybersécurité dans l’espace 5+5

    Tags : Algérie, cybersécurité, 5+5 – Algérie. La cybersécurité dans l’espace 5+5

    Dans le cadre du Plan d’Action de l’Initiative «5+5 Défense» au titre de l’année 2021, l’Algérie abrite les 15 et 16 novembre 2021, au niveau du Cercle National de l’Armée, le Premier Module de Haut Niveau de la 12e session de formation du Collège «5+5 Défense», sous le thème « La question cybersécurité dans l’espace 5+5», organisé par le Département Emploi-Préparation de l’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, indique un communiqué du ministère de la défense nationale.

    L’ouverture des travaux de ce Module, à laquelle ont pris part des officiers Généraux et des cadres du Ministère de la Défense Nationale en plus de spécialistes et chercheurs universitaires, a été supervisée par le Général-Major HASNAT Belkacem, Chef du Département Emploi-Préparation/EM-ANP par intérim, qui a souligné dans son allocution d’ouverture que l’organisation de ce Module revêt une très grande importance, notamment au regard de la recrudescence actuelle des cyber-attaques d’un côté, leur développement rapide et la difficulté d’identifier les parties qui les commettent d’un autre, ce qui constitue un défi de taille pour nos Forces Armées, auquel nous devons faire face afin de garantir la protection et la sécurisation des systèmes opérationnels contre les différentes menaces et dangers cybernétiques que connait le monde, ajoute la même source.

    Cette session de formation qui se déroule en Algérie sous forme de conférences, animées par des cadres algériens militaires et civils, spécialistes dans la cybersécurité et la cyber-défense, et qui regroupe les représentants des pays membres de l’initiative «5+5 Défense», mettra la lumière sur des sujets techniques et opérationnels, à l’instar des mécanismes de coopération et de coordination entre les pays de la région pour une prise en charge conjointe des défis soulevés par la cybersécurité et des enjeux d’une concrétisation effective d’organisme juridique cohérent et adapté au domaine de la cybersécurité.

    Cette occasion permettra également de mettre en exergue les capacités et les expertises opérationnelles de notre pays et de renforcer l’échange de connaissances et le partage d’expériences dans le domaine cybernétique entre les armées des pays membres, conclut le communiqué.

    Ali B.

    L’Espoir libéré, 15/11/2021

    #Algérie #5+5 #Cybersécurité #Internet #Informatique

  • La cyber-sécurité consciente : l’avenir de la sécurité

    Cybersécurité, hacking, piratage, informatique, #Cybersécurité,

    Il est devenu essentiel de gérer le pare-feu humain pour minimiser les risques et améliorer la posture de sécurité d’une organisation
    JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 29 septembre 2021/ — C’est le mois de la sensibilisation à la cyber-sécurité par un moment où la sensibilisation à la cybersécurité devrait être à l’esprit de tous. Le risque d’attaque a grimpé en flèche, selon Atlas VPN. En effet, 45 % des organisations dans le monde ont été touchées par des cyber-attaques récurrentes, des logiciels malveillants en hausse de 358 % et des ransomwares de 435 %. Anna Collard, évangéliste et Vice Présidente Sénior de la supervision chez KnowBe4 Africa (https://KnowBe4.com), avertit que l’ingénierie sociale demeure la cause principale utilisée par les ransomwares et autres attaques de logiciels malveillants pour obtenir un accès initial.

    Il est devenu absolument essentiel de gérer les risques humains efficacement étant le vecteur d’attaque le plus utilisé par les cybercriminels.

    « Il y a des façons d’atténuer le facteur de risque humain et de communiquer plus en profondeur avec vos employés », ajoute-t-elle. « Abordez la formation avec sensibilité, assurez-vous que vos employés sont engagés et que leurs préoccupations sont reconnues. »

    Bien que les campagnes d’hameçonnage simulées soient très efficaces pour éduquer le personnel à ce sujet, une erreur courante commise par les entreprises lorsqu’elles se lancent dans ces campagnes est d’utiliser des sujets qui sont sensibles ou qui peuvent causer des bouleversements. Même si les escrocs utilisent des sujets tels qu’un faux bonus ou des mises à pied avec beaucoup de succès dans leurs campagnes, il n’est pas conseillé de les utiliser dans le cadre de la formation.

    « Les gens ne réagissent pas bien à ce genre de campagne et cela peut souvent se retourner contre l’entreprise », déclare Anna Collard. « La meilleure façon d’aborder les sujets sensibles de l’hameçonnage est de fournir aux gens les outils dont ils ont besoin pour reconnaître les attaques potentielles et, ce qui est peut-être le plus important, de s’assurer que vos employés soient heureux. Les personnes heureuses et responsables sont la meilleure protection, alors travaillez à créer ce genre de culture pour réussir à long terme en matière de sécurité. »

    Une autre approche clé consiste à demander de la rétroaction aux gens après les séances de formation et à l’utiliser. Préférez le bâton et la méthode de la carotte, plutôt qu’une méthode terrifiante et tourmentante. Si vous combinez des incitations négatives et positives, alors les gens seront plus enclins à travailler vers une culture de la sécurité. Le leadership en est un autre exemple. Il est important d’obtenir une participation de la direction qui va au-delà du parrainage. Faites en sorte que vos dirigeants deviennent les visages de vos campagnes de cyber-sécurité et qu’ils emboîtent le pas.

    «Les gens sont attentifs à ce que font leurs leaders, alors pourquoi ne pas réaliser un clip vidéo de vos chefs d’équipe principaux afin d’expliquer aux employés, pourquoi ils sont, plus que quiconque, engagés à cet égard. », affirme Anna Collard. « Ajoutez à cet engagement personnel en vous assurant d’intégrer toutes les équipes et tous les silos. Travaillez avec le marketing, les équipes des

    communications internes, les RH et tous les autres services opérationnels pour créer une culture de sécurité complète et holistique. »

    Un autre point critique est de s’assurer que vous commencez votre campagne avec une base de référence claire. Vous ne pouvez pas gérer ce que vous ne pouvez pas mesurer, alors créez une vue de base de votre statu quo actuel en matière de sécurité en effectuant une évaluation des compétences ou de la culture de sécurité et faites en le suivi chaque année. Cela vous aidera à présenter les améliorations et à gérer la formation plus efficacement. Enfin, rendez tout amusant, particulièrement en cette période de crise sanitaire.

    « Les gens sont fatigués, épuisés et vivent en ligne, alors ne rendez pas votre campagne de sensibilisation à la cyber-sécurité ennuyeuse, fastidieuse et chronophage », conclut Anna Collard. « Rendez-le magnifique. Veillez à ce que les communications soient transparentes, à ce que le contenu soit significatif et à ce que chaque partie de la campagne mérite un engagement. Et soyez humain. Les émotions sont une technique d’engagement puissante, alors utilisez-les dans votre contenu. Racontez des histoires, faites preuve d’humour et n’oubliez pas que, par-dessus tout, vos employés sont d’abord des personnes. »

  • Orange: lancement d’une solution de cybersécurité au Maroc

    Orange: lancement d’une solution de cybersécurité au Maroc

    Maroc, cybersécurité, #maroc,

    (CercleFinance.com) – Orange Cyberdefense, spécialiste européen des prestations de services de cybersécurité, annonce le lancement au Maroc de ‘MicroSOC’, une solution à destinations des organisations et entreprises de toutes tailles qui propose surveillance, confinement, investigation et remédiation des cyberattaques.

    ‘ Cette offre est basée sur les technologies EDR (Endpoint Dectection & Response) couplées avec la surveillance de nos analystes de détection et les données issues de notre base de Threat Intelligence’, précise Orange.

    Copyright (c) 2021 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

    Tradingsat

  • Le Makhzen et ses larbins et la guerre de la propagande contre l’Algérie

    Le soutien financier, médiatique et politique du Maroc pour les deux organisations terroristes à savoir le Rachad et MAK, n’est plus un secret de polichinelle, et la dernière sortie du représentant de Rabat à l’ONU, Omar Hilale risque d’envenimer la situation davantage pour atteindre la rupture plus envisageable qu’un apaisement des tensions.

    La sortie d’Omar Hilale est loin d’être fortuite, puisque le Makhzen, isolé sur la scène internationale dans le sillage de la surenchère de bas étage, exercée sur deux membres influents de l’Union Européenne à savoir l’Espagne et l’Allemagne, jouera son va-tout diplomatique incendiaire, en appelant à la division de l’Algérie, dont la liberté de son peuple et l’indépendance ont été chèrement payés par le sang versé de ses glorieux martyrs dans chaque coin de son territoire uni et indivisible.
    Le Makhzen a déjà joué la carte du terrorisme avec le parti dissous et a échoué, provoquant la fermeture des frontières terrestres entre les deux pays, avant de pleurnicher sur le sort de ses ressortissants de l’Est du Royaume, qui survivaient grâce à la contrebande et de quémander la réouverture des frontières au nom de la fraternité et la solidarité humanitaire.
    Même ton chez le propagandiste de la subversive chaîne Al Magharibia,Djamaleddine Benchenouf, qui appellera à la sagesse, au moment où toutes ses émissions diffusées sur la chaîne du fils d’Abassi Madani appelaient au chaos, et à l’affrontement entre les fils de l’Algérie, sans parler de son programme allant dans le démantèlement des institutions de l’État-nation, et sa colonne vertébrale l’ANP, digne héritière de l’ALN.
    A l’instar de Benchennouf, le fugitif, et ancien bénéficiaire des largesses d’El Isaba, via ses deux journaux, Hichem Abboud portera secours à Omar Hilale, en s’autoproclamant intellectuel jamais invité des médias publics, sans révéler au grand public l’argent généré par les dividendes de l’ANEP, où même ses poursuites en France pour évasion et fraudes fiscales, dans le sillage de la création de la chaîne Amel TV, en partenariat avec son compagnon de la trahison Abdou Semmar.
    Ces trois employés de la propagande ont un point en commun, faire l’éloge du régime du Makhzen et dénigrer les institutions de l’État, en véhiculant une image sombre de la situation en Algérie, après avoir échoué dans leur mission propagandiste du Hirak au profit de Rachad et le MAK.Ces propagandistes n’ont jamais évoqué les femmes-mulets au Maroc, symbole de l’humiliation humaine, ou de ce jeune migrant qui suppliait la police espagnole pour ne pas l’expulser, mais ont rapidement diffusé la désinformation sur la prétendue mort du président Tebboune, ou l’arrestation du président sahraoui Brahim Ghali.
    Ces ploucs de la propagande ignorent certainement que la doctrine du régime du Makhzen taxe l’Algérie d’État ennemi depuis 1960, avant même l’indépendance .
    La guerre marocaine des réseaux sociaux
    Face au déficit flagrant des médias algériens à contrecarrer les desseins machiavéliques du Makhzen, il est impératif aux algériens soucieux de l’indépendance de leurs pays et l’unité de leur territoire, de redoubler de la vigilance, en matière des informations généralement des Fakenews, qui circulent sur les réseaux sociaux, véhiculées par une armée au service du Makhzen.
    Ainsi, la quasi-totalité des comptes et pages qui traitent l’actualité algérienne sont infiltrées par des marocains, bien formés pour ce genre d’activité.
    Ces comptent donnent une image « brillante » de la situation au Maroc et diffusent une image noire de la situation en Algérie, dans le cadre de la guerre psychologique visant à instaurer le doute chez l’algérien et assoir la rupture entre le citoyen algérien et les institutions de son pays.
    Ces réseaux se joignent aux milliers de sites électroniques créés par le Makhzen pour le même objectif. A titre d’exemple, aucun commentaire d’insultes ou d’invectives n’est recensé au niveau du site marocain 360.ma, au sujet de l’actualité marocaine, par contre, des milliers de commentaires négatifs et insultes accompagnaient des informations concernant l’Algérie.
    Dans le même sillage, il faut noter le silence de certains médias algériens au sujet de dérive du diplomate marocain, des médias qui bénéficient des largesses du Makhzen, dont nous révélerons l’identité prochainement.
    L’accord que vient de signer le Maroc avec l’entité sioniste, en matière de cybersécurité, vise en premier lieu l’Algérie, car l’ennemi sioniste n’a jamais digéré les positions constantes de l’Algérie en faveur du droit du peuple palestinien à récupérer leurs terres. Les algériens sont avertis.
    Algérie54, 17/07/2021
    Etiquettes : Maroc, Algérie, Israël, cybersécurité, cyberguerre, piratage, hacking,
  • Le Maroc, cheval de Troie israélien contre l’Algérie

    Par Mahmoud Benmostefa

    L’information ne risque pas de passer inaperçue. Le Maroc et Israël signent un accord dans le domaine de la guerre électronique. Signé jeudi 15 juillet, cet accord transforme de facto le Makhzen en cheval de Troie en Afrique du Nord.
    Si la lutte antiterroriste est évoquée comme motif principal de ce énième rapprochement entre le Makhzen et l’entité sioniste, il est clair que deux cibles sont dans le viseur des Israéliens : l’Algérie et le front Polisario. Et qui mieux qu’un Maroc complétement «sionisé» pour servir de base arrière pour accomplir la sale besogne.

    L’annonce a été faite par David Govrin, ambassadeur, chargé d’affaire israélien à Rabat sur son compte Twitter. Photo à l’appui, le diplomate, ancien ambassadeur en Egypte entre 2016 et 2020, a twitté l’accord, signé par le responsable du Cyber Directorat israélien, Yigal Unna, et son homologue marocain, le général Mustapha Rubai. Le tout sous l’œil bienveillant du ministre délégué auprès du chef de gouvernement, chargé de l’Administration de la Défense nationale, Abdellatif Loudiyi.

    La bienveillance marocaine semble se justifier, et pour cause. Le Makhzen bénéficiera de la technologie israélienne en matière de cyberguerre. Tout sera bon pour noyer son voisin de l’Est, l’Algérie, en Fake News, désinformation, rumeurs, guerre psychologique, mais aussi le piratage soit le saint Graal dans la guerre à peine voilée contre une Algérie qui dérange et le Makhzen et l’entité sioniste à cause de ses positions de principe de soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui et à la libération de la Palestine.

    Il faut dire que depuis l’affaire d’El-Guerguerat et la rupture du cessez-le-feu entre le Maroc et le front Polisario le 13 novembre 2020, le Makhzen emploi tous les moyens pour déstabiliser son voisin oriental. Rabat n’a jamais pardonné à l’Algérie son soutien indéfectible au combat du peuple sahraoui. D’ailleurs, l’une des cibles de cet accord maroco-israélien est le Polisario. Ainsi, le journaliste israélien Yossi Melman, commentateur spécialiste de la sécurité et du renseignement israélien, et auteur du livre Spies Against Armaggedon, est allé droit au but dans son tweet : «Israël aidera le Maroc à augmenter ses cyber-capacités dans la lutte contre le terrorisme et le Polisario».

    Pour ce commentateur avisé, collaborateur au Jérusalem Post et à Maariv, deux quotidiens proches de la droite israélienne, la seule mention du Polisario comme cible de cet accord équivaut au début d’une guerre totale contre le peuple sahraoui et surtout contre son principal soutien politique et diplomatique, l’Algérie. Et même si cette dernière n’est citée nulle part officiellement, officieusement, c’est la puissance militaire algérienne, démontrée depuis des mois à travers des manœuvres grandioses, qui est la cible non dite de ce rapprochement entre deux régimes coloniaux.

    Pour Ryma Rouibi, enseignante-chercheure à l’Ecole de Journalisme d’Alger (ENSJSI), «Israël est une puissance en terme de cyberdéfense, elle se place en deuxième position après les Etats Unis. Contrairement au Maroc, la cyber-sécurité pour Israël n’est pas uniquement une stratégie de solutions (solution aux problèmes de sécurité et de défense, ndlr). Lors de la 7ème conférence annuelle sur la cyber-sécurité à l’université de Tel Aviv en 2017, l’ex-Premier ministre Benyamin Netanyahu avait déclarait ‘la cyber-sécurité n’est jamais une solution permanente mais un business sans limite».

    Pour cette chercheure, «en 2016, Israël détenait 20 % de l’investissement mondial de la cyber-sécurité privée, ce qui signifie que l’accord de jeudi dernier n’est pas uniquement d’ordre politique pour les Israéliens mais aussi éminemment économique». Une affirmation confirmée par le tweet de Yossi Melman : «il (l’accord, ndlr) aidera les entreprises israéliennes à vendre leur savoir-faire et leur technologie».

    Le ministère israélien des Affaires étrangères a, pour sa part, indiqué que l’accord maroco-israélien «porte sur la coopération opérationnelle, la recherche et le développement et le partage d’informations et de connaissances», dans une information publiée par le site du quotidien The Jerusalem Post dans son édition de vendredi 16 juillet 2021.

    Israël, puissance en termes de cyber-sécurité, mais surtout, première menace contre la cyber-sécurité mondiale. Les logiciels malveillants développés par les chercheurs israéliens ont été à la pointe de la guerre non déclarée entre l’entité sioniste et l’Iran par exemple. Le ver informatique israélien Stuxnet a permis le sabotage de centaines de centrifugeuses utilisées dans l’enrichissement de l’uranium dans la centrale de Natanz en Iran en 2005. Fin 2020, un mystérieux virus informatique a provoqué la paralysie pendant plusieurs jours d’un terminal du plus grand port iranien de Badar Abbas. Son origine ? Israël.

    Plus grave, le NSO Group, une firme israélienne de cyber-sécurité a développé un malware, Pegasus, initialement déployé pour collecter des données sur des smartphones de cibles précises. Depuis, Pegasus a évolué pour devenir un outil beaucoup plus puissant. En effet, ce cheval de Troie en question serait désormais capable de subtiliser la data stockée dans les serveurs des géants de la technologie représentés par Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.

    Si les GAFAM sont désormais à la merci des Israéliens, quid des entités ou Etats ne disposant pas ou disposant insuffisamment de technologies pour contrer Pegasus ? Pour Ryma Rouibi, «Benyamin Netanyahu a demandé en 2010 l’aide de professeurs israéliens et en particulier au chercheur Isaac Ben-Israel pour trouver une structuration adéquate face aux risque cybernétique. Aujourd’hui, l’Algérie doit impérativement maintenant et plus que jamais trouver la version algérienne de Ben-Israel. La diaspora algérienne pourra contribuer davantage à une véritable structuration de son Cyberespace et la sécurisation de ses frontières digitales».

    Côté israélien comme côté marocain, la diversion est de mise. Selon le journaliste Amitai Ziv, du quotidien Haaretz «Israël a aidé le Maroc pour espionner les journalistes marocains». Même son de cloche chez ‘l’opposant’ Ali Lmrabet qui a tweeté «Ils utiliseront la technologie israélienne pour espionner et persécuter les journalistes marocains indépendants et les défenseurs des droits humains. Merci Israël !». Comme quoi, le Makhzen n’a pas fini de vendre son âme au diable.

    Le Jeune Indépendant, 17/04/2021

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  • Pour attaquer l'Algérie et le Polisario: Le Maroc et Israël signent un accord de coopération en cybersécurité

    La coopération bilatérale entre le Maroc et Israël passe à la vitesse supérieure qu’elles atteignent le très sensible domaine de la guerre électronique.

    C’est ce qu’a balancé dans un tweet le chargé d’affaires du Bureau de liaison israélien, David Govrin, lequel a annoncé que son pays a signé, jeudi à Rabat, avec le Maroc, « le premier accord dans le domaine de la guerre électronique « Cybersécurité » ». Les clauses de cet accord prévoient « l’établissement d’une coopération » dans les domaines de la recherche et du développement et des opérations cybernétiques. Selon la même source, cette cérémonie faite sous les auspices de « Sa majesté » Mohammed VI, a vu la participation du chef de la direction israélienne de la cybersécurité, Yigal Una, avec son homologue marocain, le général El Mostafa Rabii.
    L’accord a été signé à Rabat cette semaine en présence de Yigal Unna, le directeur général de la cyberdirection israélienne, de son homologue marocain le général El Mostafa Rabii et du ministre délégué auprès du chef de gouvernement, chargé de l’Administration de la Défense nationale, Abdellatif Loudiyi.
    Ainsi, pour le besoin de renforcer sa propagande médiatique contre le voisinage immédiat, le Maroc a sollicité l’expertise de son allié au grand jour, comme on pouvait le constater dans des déclarations récentes tenues par le général El Mostafa Rabii lui-même. Celui-ci a exprimé récemment le souhait de « renforcer les liens politiques entre Israël et le Maroc et construire une coopération économique, technologique, culturelle et touristique entre les deux pays ».
    En tout état de cause, après l’officialisation publique et assumée de ses relations avec l’Etat sioniste comme acte de trahison à l’égard de la Palestine, le Makhzen obéit au doigt et à l’œil du Mossad désormais auquel il soumit le Royaume à l’agenda de chao concocté pour la région.
    F. Guellil
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