Étiquette : DGED

  • Le jour où le Maroc a été puni par la France

    Le Maroc vient de provoquer une grave crise avec l’Europe à cause de la présence du président sahraoui Brahim Ghali. Pourtant, un épisode similaire se trouve derrière une grande brouille avec la France.

    Les faits ont eu lieu le 20 février 2014. Leur acteur principal s’appelle Abdellatif El Hammouchi, le directeur de la DGSN. Il se trouvait en France dans le cadre d’une visite officielle lorsque quatre agents de la police judiciaire française, envoyés par un juge d’instruction, se sont rendus dans la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Paris pour lui remettre une convocation dans le cadre d’une plainte contre lui déposée par deux citoyens maroco-français pour des faits de torture.

    El Hammouchi a refusé de se présenter devant la justice française. Selon certaines sources, il est retourné discrètement au Maroc en passant par le territoire espagnol. Suite à cet incident, le roi Mohammed VI a ordonné la suspenstion immédiate de toute coopération judiciaire avec la France.

    Réponse du berger à la bergère, Paris frappe avec l’activation d’un hacker qui se fait appeler Chris Coleman. Des milliers de documents de documents confidentiels de la diplomatie marocaine sont étayés sur la toile.

    L’affaire est devenu un véritable scandale qui a secoué l’Etat marocain. Depuis un compte Twitter, Coleman a frappé là où ça fait mal au Maroc : la question du Sahara Occidental en révélant les pratiques de la diplomatie marocaine basées sur la corruption, les pots-de-vin. Des journalistes français et américains avaient été généreusement payés pour s’en prendre au Front Polisario et l’Algérie et édulcorer le royaume dans leurs écrits.

    Parmi les personnalités visées se trouve particulièrement le ministre marocain des affaires étrangères, Salaheddine Mezouar et son aide de camp la ministre déléguée Mbarka Bouaida. Pour le premier, le public marocain a appris qu’il avait demandé à son homologue français, Laurent Fabius, d’intervenir pour que sa fille de ce dernier reçoive un permis de travail, afin de rejoindre l’équipe de Mckinsey France qui l’avait embauchée. Coleman apporte une lettre dans laquelle Fabius assurait à Mezouar que des ordres ont été donnés dans ce sillage. Il s’agit d’un « trafic d’influence » car il aurait « engagé la société McKinsey pour réaliser une étude destinée à relancer l’économie marocaine ». Le cabinet de conseil américain emploie, selon Coleman, la fille du responsable de la diplomatie marocaine, ce qui permettrait «des versements de commission» pour une étude qui « coûtera certainement aux contribuables marocains des millions de dollars ».

    Une autre lettre révèle des aspects de la vie privée de Mbarka Bouaida et ses problèmes conjugaux.

    L’affaire qualifiée de « Wikileaks marocain » a révélé au grand jours les failles de sécurité à tous les niveaux, y compris les services secrets dirigés par Yassine Mansouri, un ami d’enfance de Mohammed VI.

    Concernant le conflit du Sahara Occidental, Coleman a révélé un accord secret conclu en novembre 2013 entre Barack Obama et Mohammed VI lors de la visite de ce dernier aux Etats-Unis. A l’époque, Washington avait présenté au Conseil de Sécurité une résolution proposant l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme. Sous pression de la France, les américains ont fait marche arrière, mais Obama a imposé au roi du Maroc trois conditions : il doit arrêter de faire juger les civils par des tribunaux militaires ; faciliter ensuite les visites au Sahara des fonctionnaires du Haut Commissariat aux droits de l’homme et légaliser les associations sahraouies indépendantistes comme le Collectif sahraoui des défenseurs des droits de l’homme (CODESA) et ASVDH.

    Le compte publie également des écrits et des lettres de hauts fonctionnaires étrangers, d’ambassadeurs à Washington, à Genève ou à l’ONU qui font leur travail, c’est-à-dire rassembler des soutiens pour défendre la position du Maroc, notamment sur le Sahara et contre l’Algérie et le Polisario. Cependant, le ton de certains de ces entretiens est incisif et dénigrant, par exemple à l’encontre de Christopher Ross, l’envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara, qui est qualifié d’alcoolique

    Un autre aspect macabre du scandale est celui des pots-de-vin versés à des journalistes internationaux pour qu’ils écrivent en faveur de la thèse marocaine sur le Sahara. L’intermédiaire de ces pots-de-vin n’est autre que le journaliste marocain Ahmed Charai, directeur de l’hebdomadaire L’Observateur, une personnalité influente liée aux services secrets marocains, ayant une affinité non dissimulée avec le roi, le gouvernement et des contacts dans des think tanks américains et juifs. Il a payé jusqu’à 20000 dollars pour un article de presse publié dans un média américain.

    Source : Marocleaks, 06 juin 2021

    Etiquettes : Maroc, France, Abdellatif El Hammouchi, DGSN, DGED, services secrets, Yassine Mansouri, Mohammed VI, Ahmed Charaï, Sahara Occidental, Algérie, Etats-Unis, ONU,

  • Sahara Occidental : Qui est Ramdane Mesaoud, l'homme derrière la plainte contre Brahim Ghali?

    1. Découverte. La photo de Ramdane Ould Messaoud.

    Le président de l’ASADEH (Association pour la défense des droits humains) qui est à l’origine de la plainte pour « génocide » contre Brahim Ghali (plainte déjà rejetée une 1ère fois en 2020), est un vieux connu.

    Le monde est petit.

    2. C’est lui, avec d’autres sahraouis à la solde de la #DST et de la #DGED, qui en 2005 avait organisé un sit-in violent à Rabat devant le siège de l’Association marocaine des droits humains, l’AMDH qui est une vraie association de défense des droits de l’homme.

    3. L’un des membres de cette structure fantôme, employé à la wilaya de Laâyoune, Ahmed Lekhra (Ahmed La Merde) avait été à l’origine de la plainte diligentée par les services secrets contre moi pour m’interdire l’exercice de la profession de journaliste pendant 10 ans.

    4. Coutumier de déclarations fracassantes, Ramdane avait accusé dans le passé le @Polisario_ de « financer Al Qaïda avec l’argent de la drogue ».

    Ce qu’aucun service secret étranger n’a jamais relevé. Pas le moindre soupçon. Comme pour l’affaire du Hezbollah

    5. Ce que peu de gens se rappellent ou ne veulent pas se rappeler c’est qu’après ses agitations patriotiques pro-marocaines, Ramdane Ould Messaoud décida un beau jour de fuir le Maroc et de s’installer en Espagne, dont il possède la nationalité.

    6. Depuis l’Espagne, il m’avait appelé pour se solidariser avec moiVisage rigolardet me raconter comment les services secrets avaient monté toute l’opération contre l’AMDH et moi en 2005.

    Il commença alors une très dure campagne de dénigrement contre le Maroc et ses institutions.

    7. En Espagne, il tenta aussi de se rapprocher des positions indépendantistes du Front Polisario qui le rejeta par crainte d’une infiltration de la #DGED. 

    Je me rappelle parfaitement que la presse marocaine l’avait accusé d’être retombé dans le « séparatisme »

    8. Puis, il se passa une chose étrange.

    Quelque temps après, Ramdane Ould Messaoud fut agressé par des inconnus dans la rue en Espagne.

    Il accusa dans un communiqué, non pas le Front Polisario mais plutôt les services secrets marocains.

    Encore une fois tout est dans la presse.

    9. Après, bizarrement, il rentra discrètement au bercail.

    Il vit actuellement à Laâyoune.

    Je connais très bien cet oiseau.

    Je peux vous assurer d’ores et déjà que sa plainte, qui émane de la DGED, terminera dans la poubelle de l’Audience nationale.

    Je prends les paris.

    Source : Compte Twitter d’Ali Lmrabet

    Etiquettes : Sahara Occidental, Front Polisario, Brahim Ghali, Ramdan Messaoud, Maroc, plainte, DGED, servicios secretos marroquíes,

  • L’Allemagne a avorté un complot ourdi par les services secrets du Maroc

    Brouille entre Berlin et Rabat : le contre-espionnage allemand évente un grave complot marocain

    Le journal EL ESPAÑOL vient de jeter un véritable pavé dans la mare. Il révèle, en effet les raisons cachées de la brouille advenue entre le Maroc et l’Allemagne. Les services du contre-espionnage berlinois ont en effet mis à jour un vaste complot ourdi par les barbouzes du roi Mohamed VI en Europe centrale, et en Allemagne notamment.

    « Le contre-espionnage allemand a obtenu des « informations secrètes et sensibles » au Maroc sur les plans organisés par Rabat pour agir dans le pays européen, comme l’ont expliqué à EL ESPAÑOL des membres du renseignement étranger.

    L’intention était de devenir un allié de l’Allemagne dans la lutte contre le crime organisé. En contrepartie, il souhaite que Berlin reconnaisse la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental », écrit notamment ce journal. Mais, l’illusion n’a pas trompé les services secrets allemands.

    Il est de notoriété publique que les éléments d’Abdellatif Hammouchi, pour faire du chiffre, et créer l’illusion qu’ils agissent efficacement contre le terrorisme islamiste, s’en prennent à de pauvres sujets marocains, qu’ils obligent à commettre les aveux les plus fous sous la pire des tortures.

    Ils essayent aussi de faire accroire aux Européens que des connexions existeraient entre le Polisario et le terrorisme islamiste armé, afin de décrédibiliser ce mouvement de résistance qui se bat pour l’indépendance et l’émancipation de son peuple. De dangereuses connexions terroristes existent en effet entre les barbouzes marocaines et les groupes criminels islamistes sévissant au Sahel.

    Le MUJAO (mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest est en effet une pure création des services marocains, comme l’a maintes fois affirmé l’actuel ambassadeur sahraoui basé à Alger, Abdelkader Taleb Omar.

    « En outre, la position ferme de l’Allemagne sur le droit international a influencé la décision des autres pays européens de prendre position sur le conflit du Sahara Occidental, selon des informations de Paris à Rabat », relève encore le même média, au grand dam de la diplomatie errante de Mohamed VI.

    De son côté, à Rabat, il n’y a pas de version officielle des raisons de cette crise, au-delà de ce qui est contenu dans le communiqué du ministère des affaires étrangères, qui fait allusion à des « malentendus profonds sur des questions fondamentales ».

    Entretemps, la presse marocaine a concentré le conflit sur plusieurs points : La non-invitation du Maroc par la chancelière Angela Merkel au sommet de la Libye à Berlin en janvier 2020, un drapeau de la République arabe sahraouie (RASD) qui a flotté sur la façade d’un bâtiment public de la ville de Brême à l’occasion du 45e anniversaire de la fondation du Front Polisario, mais aussi le positionnement de l’Allemagne contre le décret présidentiel de Donald Trump reconnaissant la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental le 10 décembre dernier.

    Pour l’instant, il y a une impasse bureaucratique à Rabat et à Berlin, qui sera suivie de discussions plus profondes qui pourraient conduire à une rupture à d’autres niveaux.

    En cherchant à jouer dans la cour des grands, le Maroc s’est littéralement grillé les ailes. Il va très certainement en payer le prix fort. Son masque est définitivement tombé. Il ne fait plus du tout illusion…

    Ali Oussi

    La Patrie News, 16 mai 2021

    Etiquettes : Maroc, Allemagne, DGED, services secrets, lutte antiterroriste,

  • Maâti Monjib accuse la « police politique » marocaine d’avoir « fabriqué » des accusations contre lui

    RABAT – « Les accusations portées contre moi sont fabriquées par la police politique », a déclaré l’historien et défenseur des droits de l’Homme marocain Maâti Monjib à sa sortie de prison après avoir bénéficié d’une mise en liberté provisoire.

    « La raison directe de mon arrestation est un article intitulé +Une structure secrète menace la sécurité des Marocains+ », a affirmé l’intellectuel emprisonné en décembre dernier pour « fraude » et « atteinte à la sûreté de l’Etat ».

    La « structure secrète » dont il est question, a-t-il expliqué, est formée « d’officiers de la sécurité, d’hommes politiques, de quelques membres du système judiciaire auquel ils sont étrangers, à l’origine, ainsi que des journalistes. Ils coordonnent leurs efforts pour terroriser la classe politique et la société civile marocaine ».

    Maâti Monjib a promis, en outre, de profiter de la période de sa mise en liberté provisoire pour « militer en vue de la libération des autres détenus d’opinion », citant les noms d’intellectuels emprisonnés récemment mais également ceux de militants du Hirak marocain.

    L’historien marocain a été jugé et condamné en même temps que six militants et journalistes. Le 4 mars courant, il avait entamé une grève de la faim exigeant sa mise en liberté, ce qui a fortement fragilisé son état de santé.

    En janvier dernier, un comité de soutien créé pour défendre Maâti Monjib avait entamé des démarches pour recruter une équipe internationale d’avocats pour appuyer la défense de l’intellectuel au Maroc, engager des procédures en France et au niveau international.

    Il y a quelques jours, Maâti Monjib qui détient également la nationalité française, avait fait déposer une plainte à Paris contre les autorités marocaines. Celles-ci sont accusées de « harcèlement moral », de « mise en danger de la vie d’autrui » et « d’atteinte à la liberté individuelle par des personnes exerçant une fonction publique ».

    L’intérieur sous la coupe de la DST et la DGED

    Les propos tenus par l’historien, à sa sortie de prison, ont fait réagir le ministère de l’Intérieur marocain qui a critiqué « les déclarations irresponsables » du dénommé Maati Monjib.

    Dans un communiqué rendu public le lendemain de la libération de Monjib, le ministère de l’Intérieur a nié catégoriquement l’existence « d’une structure secrète menaçant la sécurité des Marocains ». Le ministère s’est évertué à critiquer le militant des droits de l’Homme qu’elle a accusé de vouloir ternir l’image du Maroc au niveau international.

    De son côté, l’opposant marocain, Ali Lmrabet a vertement critiqué le communiqué du ministère de l’Intérieur aussi bien sur la forme que sur le fond.

    « Le ministère de l’Intérieur s’en prend au « dénommé » Maâti Monjib, l’accuse « d’irresponsabilité » et de porter atteinte à « l’image » du Maroc.

    Pourtant, s’il y a un « dénommé », c’est bien ce ministère qui est sous la coupe de la police politique (DST et DGED) », a-t-il affirmé jeudi dans un tweet.

    « Pourquoi la police politique s’est fâchée et a « télécommandé » le ministère de l’Intérieur? Parce que Monjib a parlé d’une structure secrète formée de flics, de juges et de journalistes qui élaborent des dossiers et des persécutions contre les dissidents », a-t-il ajouté.

    Interpellé le 29 décembre 2020 dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « blanchiment de capitaux », l’intellectuel a parallèlement été condamné à un an de prison le 27 janvier pour « fraude » et « atteinte à la sécurité de l’Etat » au terme d’un procès ouvert en 2015.

    En janvier dernier, l’ONG de défense des droits de l’Homme, Amnesty international avait appelé , à la libération « sans condition » de l’historien.

    « Les autorités marocaines doivent libérer immédiatement et sans condition le défenseur des droits humains Maâti Monjib et abandonner toutes les accusations portées contre lui, y compris celles qui découlent d’un précédent procès en cours depuis 2015, en relation avec son travail sur la liberté d’expression », avait indiqué l’ONG dans un communiqué.

    Amnesty International avait affirmé aussi que « les accusations portées contre lui sont liées à des activités protégées par le droit à la liberté d’association qui ne justifient ni poursuites ni placement en détention ».

    Maâti Monjib a également bénéficié du soutien d’une vingtaine d’ONG tunisiennes des droits de l’Homme et auxquelles il a rendu hommage à sa sortie de prison.

    Tags : Maroc, Maati Monjib, répression, presse, journalistes, Makhzen, DST, DGED, services secrets,

  • Maroc-leaks : les sulfureuses lettres de Mourad El Ghoul et Nadia Jalfi

    — En date de : Mar 22.7.08, molva canal
    a écrit :

    De: molva canal

    Objet: salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mardi 22 Juillet 2008, 15h16
    Salut, j’espère que tu vas bien. Donne-moi de tes nouvelles! Appelle-moi ! Comment vont tes filles, ta maman, la balsamique aïeule  ? A plus.

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    —– Message d’origine —-
    De : Nadia Jalfi
    À : molva canal

    Envoyé le : Mardi, 22 Juillet 2008, 14h01mn
    30s
    Objet : Re : salutations

    La balsamique est complètement paumée, ma mère va très bien, la présence des filles lui fait un bien fou, moi je fais une cure de sommeil et de outlets en Virginie. J’ai satisfait tes tocs mais en apportant des petites variantes, tees shirts imprimes et plus colores. je ne t’imagine pas une seconde en péripatéticienne surtout rue de la Pompe, Goasguen a interdit le racolage dans le 16eme. Tu me
    balades comme toujours. Désolée pour les filles, et Reine elle a été kidnappée par un gang? elle a
    disparu dans le Bronx?

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

    — En date de : Mar 22.7.08, molva canal
    a écrit :

    De: molva canal
    Objet: Re : Re : salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mardi 22 Juillet 2008, 16h22

    Aafrita. je suis vraiment content de te lire. Ecris-moi plus longuement, tout à l’heure et, surtout, je
    veux entendre ta voix.

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    —– Message d’origine —-
    De : Nadia Jalfi
    À : molva canal
    Envoyé le : Mardi, 22 Juillet 2008, 15h06mn 33s
    Objet : Re : Re : salutations

    Qsq je fais de Stella?
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    — En date de : Mar 22.7.08, molva canal
    a écrit :

    De: molva canal
    Objet: Re : Re : Re : salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mardi 22 Juillet 2008, 18h00

    Je te dis de m’écrire une missive à rallonge et tu me réponds que fais de Stella ? Elle peut attendre, elle est congé actuellement  et les femmes que tu veux lui faire rencontrer pareillement. C’est un monde.

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    —– Message d’origine —-
    De : Nadia Jalfi
    À : molva canal
    Envoyé le : Mardi, 22 Juillet 2008, 19h28mn 04s
    Objet : Re : Re : Re : salutations

    Oui c est un monde, tu peux le dire! Correcto fait la fête a Temara pendant que Reine se perd dans Manhattan et que l’ex cruche s’éclate a DC. Correcto est amoral, antisocial et décadent, son empire prend l eau. Sympa la visite au congres, j ai vu ton copain Mel et ta copine Nancy, ils te transmettent leur bon souvenir.

    Tu n es pas déprimé, tu dois te renouveler et tout ira bien. C est l’été, la saison s’y prête.

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    — En date de : Mer 23.7.08, molva canal
    a écrit :

    De: molva canal
    Objet: Re : Re : Re : Re : salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mercredi 23 Juillet 2008, 12h37

    Tu as mangé un hamburger enragé ou quoi ? Correcto ne fait pas la fête, contrairement à ce que pense Cruella. Correcto est, au contraire, en repli spirituel. Correcto fait son autocritique et se rend compte qu’il n’a pas eu un comportement adéquat avec Cruella et il le regrette. Mais il va réparer à son retour. N’est-il pas Correcto ? Il s’agit d’un Save Our Soul.

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    —– Message d’origine —-
    De : Nadia Jalfi
    À : molva canal
    Envoyé le : Mercredi, 23 Juillet 2008, 14h25mn 48s
    Objet : Re : Re : Re : Re : salutations

    Cruella n a jamais fait mal a Correcto, JAMAIS. Correcto ne sait pas ce qu il veut, il avance, recule, marque le pas et Cruella rit, Cruella pleure, Cruella se perd.

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    — En date de : Mer 23.7.08, molva canal a écrit :

    De: molva canal
    Objet: Re : Re : Re : Re : Re : salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mercredi 23 Juillet 2008, 18h53

    Salut,

    Correcto a fait son mea culpa. Il se bat, non, il se flagelle, la coulpe car il est conscient du fait qu’il
    n’a pas bien agi. Mais Cruella est connue pour sa clémence et son amour du prochain et lui pardonnera ses égarements !

    Au plaisir de te lire, dans l’attente de te revoir.

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –
    De : Nadia Jalfi
    Sujet : Re: Re : Re : Re : salutations
    Pour molva canal

    Point de pardon sans explication. POURQUOI?











    — En date de : Mer 23.7.08, molva canal molva_canal@yahoo.fr a écrit :

    De: molva canal molva_canal@yahoo.fr
    Objet: Re : Re : Re : Re : Re : Re : salutations
    À: nadiajalfi@yahoo.fr
    Date: Mercredi 23 Juillet 2008, 19h55
    Tu comptes vraiment pour Correcto ou Cruello. Il s’en rend compte maintenant le bougre !

    —– Message d’origine —-
    De : Nadia Jalfi nadiajalfi@yahoo.fr
    À : molva canal molva_canal@yahoo.fr
    Envoyé le : Mercredi, 24 Juillet 2008,
    Objet : Re : Re : Re : Re : Re : salutations

    Un peu court comme explication. Le bougre avance toujours masque.

    P.S. : La date de ce courrier correspond à celle du début de la relation sentimentale de Nadia Jalfi avec Gustavo de Arístegui alors porte-parole des Affaires étrangères du Groupe populaire au Congrès des députés espagno. En octobre 2010 célébreront leur mariage.

    Le 13 décembre 2015, De Arístegui démissionne de son poste d’ambassadeur de l’Espagne en Inde suite à une affaire de corruption.

    Tags : Maroc, Marocleaks, DGED, Mourad El Ghoul, Nadia Jalfi,

  • Marocleaks : Selon la DGED les méthodes de travail de Michaelle Gagnet sont « très éloignées de l’éthique journalistique »

    Les journalistes françaises, Michaelle Gagnet et son assistante Marion, sont arrivés au Maroc afin de tourner un reportage qui a été diffusé sur M6 dans le cadre de l’émission « 66 minutes » du 20 Mai 2008, consacrée à la « Femme dans l’Islam. Michaëlle Gagnet prévoyait de rencontrer certains membres de la famille El Mejjati dans le but de retracer le parcours du terroriste franco marocain Karim El Mejjati.

    Dans un email envoyé à la DGED marocaine le 11 mai 2008, Nadia Jalfi signalait « qu’il semblerait que les méthodes de travail de Michaelle Gagnet soient très éloignées de l’éthique journalistique ».

    Réalisatrice de documentaires et reportages pour Arte, France 2, France 5 et M6, Michaëlle Gagnet a vécu trois ans en Tunisie. Elle est l’auteure du documentaire « Sexe et Amour au Maghreb », diffusé sur M6 en janvier 2019, qui a inspiré son livre sur le même thème « Amour interdit ».

    L’avis de Nadia Jalfi diffère lorsqu’il s’agit de Bénédicte Delfaut. Celle-ci s’est rendu au Maroc en 2008 en vue de « tourner un reportage sur la dernière opération terroriste menée par les autorités marocaines » pour l’émission « Sept à huit » de TF-1.

    « Selon la demande formulée par Bénédicte Delfaut, réalisatrice du reportage, il s’agirait de rendre compte du mieux possible des efforts consentis afin de circonscrire la menace terroriste. La nature du projet et de son auteur, nous permet d’avancer qu’il sera possible de maîtriser l’opération de bout en bout et par la même de véhiculer le message adéquat », indique-t-elle.

    Tags : Maroc, DGED, Nadia Jalfi, Michaëlle Gagnet, Bénédicte Delfaut, journalistes français,

  • Mauritanie : Abdallahi Ould Mohamedy voyage aux frais de la DGED marocaine

    La presse française s’est fait écho, dans les derniers jours, d’un fonctionnaire français recruté par les services secrets marocains. Il s’agit d’un agent de la police aux frontières (PAF) de l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) qui a été interpelé le 29 mai 2017 pour filtration de documents confidentiels sur des fichiers « S ». En échange, la DGED marocains lui offrait de l’argent liquide et des voyages au Maroc tous frais payés. Des avantages dont profite aussi le mauritanien Abdallah Mohamdy, le patron du groupe Sahara Media.

    Selon les documents révélés par le hacker Chris Coleman, la DGED était sollicitée par ses collaborateurs en vue d’obtenir des tickets d’avions pour se déplacer au Maroc et ailleurs aux frais des services de Yassine Mansouri.

    Le 18 juin 2011, Ould Mohamdy s’est fait offrir un billet Rabat-Paris-Madrid-Casablanca réservée par Mourad Rhoul en personne, le directeur du cabinet de Yassine Mansouri, le directeur général de la DGED.

    Le nom de Abdallah Ould Mohamdy figure dans toutes les listes des relais de la DGED chargés de diffuser la propagande du Makhzen, y compris les attaques visant à diaboliser le Front Polisario et l’accuser d’organisation terroriste.

    Il a été nommé administrateur de l’agence de presse APA en guise de couverture pour justifier les paiements qu’il reçoit de la DGED.

    Tags : Mauritanie, Maroc, DGED, Abdallahi ould Mohamedy, hacker chris coleman, marocleaks,

  • Abdallahi Ould Mohamedy voyage aux frais de la DGED marocaine

    La presse française s’est fait écho, dans les derniers jours, d’un fonctionnaire français recruté par les services secrets marocains. Il s’agit d’un agent de la police aux frontières (PAF) de l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) qui a été interpelé le 29 mai 2017 pour filtration de documents confidentiels sur des fichiers « S ». En échange, la DGED marocains lui offrait de l’argent liquide et des voyages au Maroc tous frais payés. Des avantages dont profite aussi le mauritanien Abdallah Mohamdy, le patron du groupe Sahara Media.

    Selon les documents révélés par le hacker Chris Coleman, la DGED était sollicitée par ses collaborateurs en vue d’obtenir des tickets d’avions pour se déplacer au Maroc et ailleurs aux frais des services de Yassine Mansouri.

    Le 18 juin 2011, Ould Mohamdy s’est fait offrir un billet Rabat-Paris-Madrid-Casablanca réservée par Mourad Rhoul en personne, le directeur du cabinet de Yassine Mansouri, le directeur général de la DGED.

    Le nom de Abdallah Ould Mohamdy figure dans toutes les listes des relais de la DGED chargés de diffuser la propagande du Makhzen, y compris les attaques visant à diaboliser le Front Polisario et l’accuser d’organisation terroriste.

    Il a été nommé administrateur de l’agence de presse APA en guise couverture pour justifier les allocations qu’il reçoit de la DGED.

    Tags : Mauritanie, Maroc, DGED, Abdallahi ould Mohamedy, hacker chris coleman, marocleaks,

  • Un livre sur la guerre d’espionnage entre l’Espagne et le Maroc

    Une publication qui est en train de faire un tabas. Ignacio Cembrero vient de publier « El agente oscuro » (l’agent obscur. En fait, il n’a écrit que le prologue, mais c’est le seul nom que vous trouverez en couverture.

    Avec le sous-titre de « Mémoires d’un espion infiltré par le CNI », les services de renseignements espagnols.

    El Agente oscuro est un document de première importance pour comprendre les méandres de l’histoire de l’ombre mais il peut être lui aussi comme un véritanle roman. Dans un comme dans l’autres, il est à lire absolument.

    Source : RTVE

    Tags : Maroc, Espagne, DGED, services secrets, CNI,