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  • Le Maroc exportera jusqu’à 63 000 tonnes d’agrumes

    Le Maroc exportera jusqu’à 63 000 tonnes d’agrumes – Etats-Unis, agrumes, fruits, légumes, exportation,

    Selon le Département américain de l’agriculture (USDA), le Maroc exportera environ 630 000 tonnes d’agrumes au cours de la saison 2021/22, soit 10 % de plus que la saison précédente.

    L’USDA indique que les exportations d’oranges devraient augmenter de 20%, atteignant environ 120 000 tonnes. L’exportation de mandarines augmentera de 7,4% à quelque 500 000 tonnes et le volume d’exportation de citrons restera le même que celui de l’année dernière à environ 10 000 tonnes, selon les estimations de l’USDA.

    Grâce à des conditions climatiques favorables, le rendement total d’agrumes devrait augmenter de 12% par an et atteindra à terme 2,55 millions de tonnes en 2021/2022. De plus, une superficie de 129 350 hectares devrait être plantée dans ce cadre.

    La culture des agrumes au Maroc est principalement concentrée dans les régions du Souss Massa, du Gharb et de la Moulouya. Le Maroc exporte principalement les agrumes vers la Russie, l’Europe et le Canada.

    Source : agenceecofin.com

    AGF, 22 déc. 2021

    #Maroc #Agrumes #Exportations #EtatsUnis

  • Complot de Daech déjoué au Maroc à l’aide des Etats-Unis

    Complot de Daech déjoué au Maroc à l’aide des Etats-Unis

    Complot de Daech déjoué au Maroc à l’aide des Etats-Unis – Etat Islamique, terrorisme

    Fonctionnaires : un complot du groupe État islamique au Maroc déjoué avec l’aide des États-Unis
    Les forces de sécurité marocaines, avec le soutien des États-Unis, ont déjoué un complot présumé à la bombe perpétré par le soi-disant groupe État islamique et arrêté un partisan présumé de l’organisation interdite, a annoncé vendredi la police antiterroriste.

    « Cette arrestation est l’aboutissement d’une étroite collaboration entre (les forces de sécurité marocaines) et les forces de l’ordre américaines », a déclaré le Bureau central des enquêtes judiciaires du Maroc (BCIJ) dans un communiqué sans donner plus de détails sur l’opération conjointe.

    Le suspect arrêté était « un extrémiste appartenant au soi-disant État islamique » et originaire de la région de Sala Al-Jadida au nord de Rabat, ajoute le communiqué.

    Selon les enquêtes préliminaires, l’homme aurait prêté allégeance au groupe.

    Il avait prévu de rejoindre des camps d’entraînement de jihadistes étrangers « avant de décider d’exécuter un complot terroriste au Maroc utilisant des engins explosifs », ajoute le communiqué.

    La police a par la suite saisi des appareils électroniques et du matériel utilisé pour la préparation d’explosifs.

    « Cette opération de sécurité souligne l’importance et l’efficacité de la coopération bilatérale entre (les services de sécurité marocains) et les agences de renseignement et de sécurité américaines dans la lutte contre la violence extrémiste et la menace du terrorisme international », a déclaré le BCIJ.

    Les médias marocains ont signalé une vaste opération antiterroriste à l’échelle nationale le 8 décembre, mais les sources officielles n’ont pas confirmé la répression.

    Le 6 octobre, la police antiterroriste a annoncé le démantèlement d’une « cellule terroriste » à Tanger et l’arrestation de cinq suspects accusés d’avoir fomenté des attentats à la bombe.

    En septembre, une cellule affiliée au groupe État islamique a été démantelée dans le sud du Maroc et sept personnes ont été arrêtées.

    Depuis 2002, la police marocaine affirme avoir démantelé 2.000 « cellules terroristes » et arrêté quelque 3.500 personnes dans des affaires liées au terrorisme, selon les données du BCIJ publiées en février.

    VOA, 17/12/2021

    #Maroc #EtatsUnis #Etat_Islamique #Daech #Terrorisme

  • Stratégie du Maroc aux Etats-Unis – note confidentielle-

    Stratégie du Maroc aux Etats-Unis – note confidentielle-

    Stratégie du Maroc aux Etats-Unis – note confidentielle- Etats-Unis, Parti Démocrate, Administration Obama,

    Dans cette note du 15/10/2013, le Maroc souligne les conséquences du départ de Hillary Clinton sur les relations avec les Etats-Unis, notamment avec le Parti Démocrate. Il remarque aussi l’importance des visites au Maroc des responsables américains.

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    L’établissement du dialogue stratégique, le 13 septembre 2012, entre le Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, a permis de donner une nouvelle dynamique aux relations bilatérales, concrétisée par le renforcement de la coordination entre les deux pays sur de nombreuses questions régionales d’intérêt commun. Ce dialogue couvrant tous les aspects des relations bilatérales historiques et profondes, est décliné en quatre axes mejeures de coopération, politique, sécuritaire, économique et culturel, a également permis le raffermissement des relations économiques à travers la tenue de la première Conférence maroco-américaine sur le Développement des Affaires.

    Or, les changements qu’a connus l’administration américaine, notamment le départ de l’ancienne Secrétaire d’Etat, Hillary Clinton, allié important du Royaume au sein de l’administration Obama, et le nomination de John Kerry, qui n’a jamais visité le Maroc, et a tenu à certaines occasions des positions qui n’étaient pas toujours favorables à notre pays, a eu une certaine incidence sur le développement des relations bilatérales, notamment en ce qui concerne notre cause nationale.

    La suite:

    Source : Marocleaks, 16/12/2021

    #Maroc #Amérique_Latine #EtatsUnis #HillaryClinton

  • Maroc, le refuge du rabbin Yoshiyanu Pinto

    Maroc, le refuge du rabbin Yoshiyanu Pinto

    Maroc, le refuge du rabbin Yoshiyanu Pinto – Lobby juif, looby israélite, Etats-Unis, Israël, Mohammed VI,

    Il était une fois le rabbin Pinto
    Les images des réseaux sociaux, montrant, à Rabat, le ministre de la Défense sioniste, tanguant au milieu de juifs marocains en incantations pour «protéger l’Etat hébreu», ont choqué beaucoup de monde. Pourtant, de notoriété «biblique», le royaume du Maroc est le char d’un puissant lobby israélite et ses relations avec l’entité sioniste ne datent nullement de la «normalisation». Du temps de Hassan II, André Azoulay, son conseiller, faisait et défaisait, à sa guise, la politique du royaume. Il poursuit son oeuvre, à ce jour. Il n’y a pas que lui. Yoshiyanu Pinto, un rabbin superstar, a atteint les sommets, dans son «second pays».

    En avril dernier, il déclarait à un média sur Mohamed VI. «En le voyant, j’ai vu une lumière divine sur son visage. Je n’ai jamais ressenti cette lumière divine, jusque-là. Je n’ai jamais vécu un moment spirituel aussi intense.» Et Mohamed VI qui perçoit la même lumière céleste sur le visage de Pinto l’a investi «chef de la communauté juive marocaine» (4000 fidèles), sans compter l’importante diaspora bi-nationale en Israël, et Guide du culte du Makhzen. Il se murmure que Mohamed VI, malade et sujet à une mélancolie dépressive (le spleen du «hacic», tant pleuré par Baudelaire), trouve dans les talismans du rabbin Pinto un remède plus efficace que la médecine ordinaire.

    Prêtre et mage, Pinto est le chef d’une puissante loge de 1500 personnalités dans le monde, depuis le Congrès US au…Kremlin, en passant par la Commission européenne. Dans son carnet d’adresses éclectique, figure le milliardaire franco-maroco-israélien, Patrick Drahi, propriétaire de SFR, Libération, l’Express etc, dont le groupe Alice avoue 5 milliards d’euros en Bourse. Idem pour le n°1 de l’immobilier en Argentine, Eduardo Elsztain, qui traverse les océans pour recevoir la bénédiction de son «rab».

    Les élus américains, démocrates et républicains, se bousculent. Toute cette agitation finit, bien sûr, par des donations conséquentes qui profitent, en proportions inégales, au Makhzen et à Israël. Car Pinto ne «choisit pas» entre ses deux «patries»: «Israël, tout comme le Maroc, sont des terres saintes qui sont incomparables», assure-t-il.

    Depuis 2010, ils sont plusieurs rabbins, appelés «babas» par les adeptes, à rejeter l’austérité et séduire les foules, non par l’interprétation de la Torah mais par des «pouvoirs» censés guérir les misères psychophysiologiques et par un rôle de «conseillers», au plus haut niveau des États.

    Puissants et redoutés, leur marché, estimé par Forbes à des centaines de millions de dollars, cachés mais cashers, a alerté le FBI, au point de pousser Pinto, réfugié aux Etats-Unis en 2014, à courir, toutes voiles dehors, vers la «terre sainte» de Mohamed VI dont il est, depuis, le père très spirituel…

    Chaabane BENSACI

    L’Expression, 09/12/2021

    #Maroc #Israël #Lobby_juif #lobby_israélite #MohammedVI #André_Azoulay # Yoshiyanu_Pinto

  • Sahara Occidental: Les 3 « non » américains au Maroc

    Sahara Occidental: Les 3 « non » américains au Maroc

    Sahara Occidental: Les 3 « non » américains au Maroc – Etats-Unis, Front Polisario, ONU, processus de paix, normalisation, Israël,

    Lors de la visite du ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, à Washington, le mois dernier, il a demandé à Anthony Blinken trois cas, qui ont tous été démentis, a rapporté le site d’information espagnol « El Confidencial », sous la plume du spécialiste Maghreb, Ignacio Cambrero.

    Bourita a demandé à Blinken de consolider la reconnaissance par les Allaouites de l’annexion du Sahara occidental en ouvrant un consulat américain à Dakhla. Anthony Blinken a déclaré à Bourita que les États-Unis n’annuleraient pas la décision de Trump, mais qu’il n’y aurait pas non plus de consulat américain au Sahara occidental.

    La deuxième demande de Bourita était la pression américaine sur ses partenaires, notamment européens, pour qu’ils reconnaissent l’annexion du Sahara occidental par les Allaouites. Cette demande a également été refusée par Anthony Blinken, écrit El Confidencial.

    Le troisième non que Nasser Bourita a entendu d’Anthony Blinken était après sa demande d’inviter le Maroc au Sommet virtuel des démocraties qui se tiendra les 9 et 10 décembre.

    Ainsi, comme on le vérifie jour après jour, Rabat ne s’encombre pas de préjugés pour faire entendre sa voix plus haut que celle de la logique politique. Sous les « influences toxiques » de son mauvais génie, Israël, le Maroc se fourvoie dans des impasses qui, à la longue vont lui coûter cher, tant sur le plan politique, militaire et économique que sur le plan social, spirituelle et religieux. Les turbulences qui agitent le Maroc risquent encore de grossir. Le temps ne joue pas en faveur du Palis : on sait que la lame de fond peut prendre des mois pour se former, mais quand elle est là, on ne pourra que constater l’étendue de ses dégâts.

    Ancien spécialiste du Maghreb, polémiste reconnu, Ignacio Cembrero, est devenu depuis quelques années la « bête noire » du Maroc, qu’il épingle très souvent dans ses articles de presse, en s’appuyant sur des sources crédibles et sérieuses, de quoi soulever la colère des officiels marocains plus que de mesure, allant jusqu’à chercher comment lui interdire de publier dans la presse espagnole.

    L’Express, 07/12/2021

    #Maroc #EtatsUnis #Sahara_Occidental #Front_Polisario #ONU #Processus_de_paix

  • Discours de Kennedy sur l’Algérie: Un coup fatal au système colonial

    Discours de Kennedy sur l’Algérie: Un coup fatal au système colonial

    Discours de Kennedy sur l’Algérie: Un coup fatal au système colonial – Etats-Unis, Afrique, colonialisme,

    Une conférence historique sur le soutien de l’ancien sénateur de l’État du Massachussetts et ancien Président des États-Unis d’Amérique, John Fitzgerald Kennedy, au combat du peuple algérien a été animée, samedi à Alger, par Daho Ould Kablia et Mohamed Khelladi.

    De l’avis de tous, la révolution algérienne a été incontestablement l’événement qui a porté le coup fatal au système colonialiste et poussé l’inversion des nouvelles visions américaines. Ould Kablia précisera que dès son déclenchement, la lutte de libération nationale a suscité les intérêts des uns et la curiosité des autres, le FLN ayant lancé le processus d’internationalisation de la cause algérienne afin de donner le meilleur éclairage sur la légitimité de son combat. «La guerre d’Algérie a soulevé l’intérêt de la presse du monde entier et plusieurs pays ont marqué leur sympathie à la cause algérienne». Le célèbre discours de John Fitzgerald Kennedy en 1957 devant le Sénat américain sur le droit du peuple algérien à l’indépendance a «ébranlé» la politique de la France coloniale. «Un long discours dans lequel il dresse un réquisitoire sans équivoque et sans concession sur la position de son propre pays en faveur de la France qui mène une guerre injuste contre le peuple algérien. Il fustige cette position qui nuit au prestige de son pays porte-parole du monde libre».

    Il proclame, dira le conférencier, son attachement à la doctrine du président Roosevelt qui souhaitait à l’apogée de la Deuxième guerre mondiale la fin des dominations coloniales à travers le monde, pour instaurer un climat de paix et de stabilité et une coopération loyale entre les peuples.

    La déclaration de l’ancien président américain était comme un «grand mirage et un séisme planétaire» qui ouvrait une voie nouvelle pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, dont celui de l’Algérie, sujet principal de son discours. Pour démontrer l’importance des mots employés par JFK, Ould Kablia a lu à l’assistance quelques passages du long discours du président américain assassiné. Il a rappelé que le nom de l’Algérie était écrit en lettres d’or dans les tablettes de l’histoire du pays de JFK, dont l’indépendance a été reconnue par la régence d’Alger et, en 1860, le président des Etats-Unis fut sensible au geste courageux de l’Emir Abdelkader qui avait défendu les populations chrétiennes de Damas contre les menaces d’élimination des groupes hostiles fanatisés.

    De son côté, Mohamed Khelladi, ancien responsable de la Direction de documentation et du renseignement (DDR) du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (MALG) a relaté l’importance du rôle joué par Joseph Kraft, éditorialiste du New York Times, dans la déclaration de JFK en 1957. Il a souligné que la déclaration de Kennedy a été provoquée par Joe Kraft, invité en 1956 par le président du Conseil, Guy Mollet, à passer un mois au sein de l’armée française et qui a été, par la suite, approché par le MALG pour accompagner un mois également les moudjahidine. Pour renverser la vapeur, j’ai pu prendre attache avec le journaliste américain qui a accepté de faire un reportage sur les combattants algériens. Pour l’ancien chef du service de renseignement politico-militaire du MALG, l’histoire racontée par Joe Kraft «a complètement chamboulé les relations franco-américaines». L’éditorialiste est reparti aux Etats-Unis avec un autre reportage présentant une «facette positive» de la Révolution algérienne, donc contradictoire avec ses précédents articles, de faits impubliables par le New York Times qui ne pouvait écrire une chose et son contraire.

    Khelladi a expliqué, en outre, que cette déclaration qui a «envenimé» les relations entre Washington et Paris, a amené, par la suite, Charles de Gaulle à quitter l’OTA». Pour sa part, le représentant de l’ambassade des Etats-Unis à Alger a rappelé le célèbre discours de JFK dans lequel il avait dénoncé l’impérialisme et le colonialisme français.
    Mohamed Mendaci

    El Moudjahid, 05/12/2021

    #Algérie #Etats_Unis #Kennedy #JFK #Colonialisme

  • USA: Un panel soutient la première pilule COVID-19 de Merck

    USA: Un panel soutient la première pilule COVID-19 de Merck – coronavirus, pandémie, médicament

    WASHINGTON (AP) – Un panel de conseillers en santé américains a soutenu de peu mardi une pilule COVID-19 étroitement surveillée de Merck, ouvrant la voie à une autorisation probable du premier médicament que les Américains pourraient prendre à la maison pour traiter le coronavirus.

    Le panel de la Food and Drug Administration a voté 13 à 10 que les avantages du médicament antiviral l’emportent sur ses risques, y compris les malformations congénitales potentielles s’il est utilisé pendant la grossesse.

    « Je considère cela comme une décision incroyablement difficile avec beaucoup plus de questions que de réponses », a déclaré le président du panel, le Dr Lindsey Baden de la Harvard Medical School, qui a voté en faveur du médicament. Il a déclaré que la FDA devrait soigneusement adapter l’utilisation du médicament aux patients qui en bénéficieraient le plus.

    La recommandation est intervenue après des heures de débat sur les avantages modestes du médicament et les problèmes de sécurité potentiels. La plupart des experts soutenant le traitement ont souligné qu’il ne devrait pas être utilisé par toute personne enceinte et ont demandé à la FDA de recommander des précautions supplémentaires avant que le médicament ne soit prescrit, comme des tests de grossesse pour les femmes en âge de procréer.

    Le vote a spécifiquement soutenu le médicament pour les adultes atteints de COVID-19 léger à modéré qui sont confrontés aux plus grands risques, y compris les personnes âgées et celles souffrant d’affections telles que l’obésité et l’asthme. La plupart des experts ont également déclaré que le médicament ne devrait pas être utilisé chez les personnes vaccinées, qui ne faisaient pas partie des recherches de Merck et dont il n’a pas été démontré qu’il en bénéficiait.

    La FDA n’est pas liée par la recommandation du panel et devrait prendre sa propre décision avant la fin de l’année. L’antiviral est déjà autorisé au Royaume-Uni

    Le médicament, le molnupiravir, pourrait fournir une arme indispensable contre le virus alors que le temps plus froid augmente le nombre de cas et que les responsables américains se préparent à l’arrivée de la nouvelle variante omicron.

    Merck n’a pas spécifiquement testé son médicament contre la nouvelle variante, mais a déclaré qu’il devrait avoir une certaine puissance en fonction de son efficacité contre d’autres souches de coronavirus.

    Cette incertitude a frustré de nombreux panélistes alors qu’ils se demandaient s’il fallait soutenir le traitement pour des millions d’Américains.

    « En l’absence de données indiquant que cela fonctionne avec de nouvelles variantes, je pense vraiment que nous devons faire attention à ne pas dire que c’est la voie à suivre », a déclaré le Dr David Hardy de la Charles Drew University School of Medicine and Science, qui a finalement voté pour la drogue.

    Vendredi, Merck a publié des données mises à jour qui brossent un tableau moins convaincant de l’efficacité du médicament que quelques semaines plus tôt.

    Merck a déclaré que les résultats finaux de l’étude ont montré que le molnupiravir réduisait les hospitalisations et les décès de 30% chez les adultes infectés par le coronavirus, par rapport aux adultes prenant un placebo. Cet effet était nettement inférieur à la réduction de 50 % annoncée initialement sur la base de résultats incomplets.

    Pour de nombreux panélistes, l’effet modeste n’était pas suffisant pour contrebalancer la toxicité potentielle du médicament pour les fœtus humains.

    « Compte tenu de l’importante population potentielle touchée, le risque d’effets généralisés sur les malformations congénitales potentielles n’a pas été suffisamment étudié », a déclaré le Dr Sankar Swaminathan de la faculté de médecine de l’Université de l’Utah, qui a voté contre le médicament.

    Des scientifiques de la FDA ont déclaré mardi aux panélistes que des études de l’entreprise sur des rats avaient montré que le médicament provoquait des malformations congénitales lorsqu’il était administré à des doses très élevées. Les membres du personnel de la FDA ont conclu que les données « suggèrent que le molnupiravir peut causer des dommages au fœtus lorsqu’il est administré à des personnes enceintes ».

    L’agence pèse une restriction générale contre toute utilisation chez les femmes enceintes ou autorise les médecins à utiliser le médicament dans de rares cas. Certains panélistes ont déclaré que cette option devrait être laissée ouverte aux femmes enceintes qui ont un COVID-19 à haut risque et peuvent avoir peu d’autres options de traitement.

    Le Dr Janet Cragan, qui a soutenu le médicament, a déclaré que même avec des restrictions strictes, certaines femmes enceintes prendraient inévitablement l’antiviral.

    « Je ne pense pas que vous puissiez moralement dire à une femme atteinte de COVID-19 qu’elle ne peut pas avoir le médicament si elle décide que c’est ce dont elle a besoin », a déclaré Cragan, membre du panel et membre du personnel des Centers for Disease Control and Prevention. « Je pense que la décision finale doit revenir à la femme et à son prestataire. »

    Le médicament de Merck utilise une nouvelle approche pour lutter contre le COVID-19 : il insère de minuscules erreurs dans le code génétique du coronavirus pour l’empêcher de se reproduire. Cet effet génétique a fait craindre que le médicament ne stimule des souches plus virulentes du virus. Les régulateurs de la FDA ont déclaré mardi que le risque était théorique, mais de nombreux panélistes ont déclaré qu’il devrait être soigneusement suivi dans les études de suivi.

    Les pilules antivirales ont longtemps été considérées comme une avancée clé au-delà des médicaments à base d’anticorps actuellement utilisés, qui doivent être injectés ou perfusés par des professionnels de la santé. Mais étant donné les lacunes des données de Merck, plusieurs experts ont déclaré qu’ils donneraient la priorité aux patients pour recevoir les médicaments plus anciens.

    Alors que Merck et son partenaire Ridgeback Biotherapeutics ont été les premiers à soumettre leur pilule COVID-19 à la FDA, le fabricant de médicaments rival Pfizer est de près derrière avec sa propre pilule en cours d’examen.

    Le médicament de Pfizer fait partie d’une famille de pilules antivirales vieille de plusieurs décennies connues sous le nom d’inhibiteurs de la protéase, un traitement standard pour le VIH et l’hépatite C. Ils fonctionnent différemment de la pilule de Merck et n’ont pas été liés au type de problèmes de mutation soulevés avec le médicament de Merck.

    Pfizer a déclaré cette semaine que son médicament ne devrait pas être affecté par les mutations de la variante omicron.

    Les deux médicaments obligent les patients à prendre plusieurs comprimés, deux fois par jour pendant cinq jours.

    Le gouvernement américain a accepté d’acheter 10 millions de traitements du médicament de Pfizer, s’il est autorisé. C’est plus de trois fois l’accord d’achat du gouvernement avec Merck pour 3,1 millions de cours de molnupiravir.

    Associated Press, 01/12/2021

    #Covid19 #Merck #Médicament #Coronavirus #Pandémie #Traitement

  • Emhoff: « Les valeurs juives sont des valeurs américaines »

    Emhoff: « Les valeurs juives sont des valeurs américaines »

    Emhoff: « Les valeurs juives sont des valeurs américaines » – Joe Biden, Doug Emhoff, Kamala Harris

    Bidens, Harris et Emhoff célèbrent Hanoucca à la Maison Blanche
    WASHINGTON (AP) – Le président Joe Biden, le vice-président Kamala Harris et leurs épouses ont organisé une célébration « familiale » de Hanoucca à la Maison Blanche mercredi, avec la première épouse juive d’un vice-président, le deuxième gentleman Doug Emhoff, se joignant à l’allumage de la menorah .

    S’adressant à plus de 150 invités, dont des dirigeants de la communauté juive, des membres du Cabinet, des législateurs et le nouvel ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Michael Herzog, Biden a cherché à établir des parallèles entre sa présidence et les huit jours de commémoration de la consécration du temple à Jérusalem par les Maccabées.

    « Que ce soit dans le temple de Jérusalem ou le temple de notre démocratie, rien de cassé ou de profane n’est irréparable, rien », a déclaré Biden. « Nous pouvons toujours reconstruire mieux, peut-être reconstruire plus brillant. »

    Reconnaissant son rôle historique alors qu’il rejoignait le chef de la majorité au Sénat Chuck Schumer et les dirigeants juifs pour allumer la menorah marquant la quatrième nuit de Hanoucca, Emhoff a déclaré : « Les valeurs juives sont des valeurs américaines.

    L’événement a fourni un premier avant-goût des plans de vacances épurés de l’administration au milieu de la pandémie de COVID-19 en cours et de la nouvelle menace de la variante omicron. Les invités, tous portant des masques, se sont assis côte à côte dans la salle Est pour l’événement, qui n’incluait pas la réception habituelle de nourriture et de boissons par la suite.

    Au lieu de cela, les invités ont reçu des biscuits décorés et emballés individuellement préparés par la cuisine de la Maison Blanche pour marquer les vacances alors qu’ils quittaient la résidence ornée.

    La menorah choisie pour l’occasion était la menorah Liberty Bell, conçue par le survivant de l’Holocauste Manfred Anson. Il est prêté à la Maison Blanche par le National Museum of American Jewish History.

    Associate Press, 02/12/2021

    #EtatsUnis #JoeBiden #Hannouca #LobbyJuif #Israël

  • La Russie déploie des missiles côtiers Bastion près du Japon

    La Russie déploie des missiles côtiers Bastion près du Japon – Etats-Unis,Îles Kouriles,

    MOSCOU, 2 décembre (Reuters) – La Russie a déployé son système de défense antimissile côtier Bastion dans une partie éloignée de la chaîne des îles Kouriles, dans le Pacifique, près du Japon, a déclaré jeudi la chaîne de télévision Zvezda du ministère de la Défense.

    Le Japon revendique les îles Kouriles méridionales contrôlées par la Russie, que Tokyo appelle les Territoires du Nord, une dispute territoriale qui remonte à la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les troupes soviétiques les ont prises au Japon.

    Ce différend les a empêchés de signer un traité de paix officiel.

    La Russie a utilisé de grands navires de débarquement pour livrer du matériel et du personnel sur l’île isolée de Matua, dans la partie centrale de la chaîne d’îles, a indiqué Zvezda.

    La Russie tente de renforcer son infrastructure militaire sur la chaîne d’îles, a annoncé le ministère de la défense en août.

    Reuters, 02/12/2021

    #Russie #Japon #Iles_kouriles #Pacifique #Missiles #Bastion

  • Un « sommet pour la démocratie » ou pour la dicature?

    Joe Biden, Etats-Unis, Russie – Un « sommet pour la démocratie » ou pour la dicature?

    Lavrov dénonce le « Sommet pour la démocratie » de Biden, stratagème pour remplacer la démocratie par la dictature
    Les 9 et 10 décembre, Washington a l’intention d’accueillir le Sommet pour la démocratie, qui réunira les dirigeants des pays, les militants des droits et les hommes d’affaires

    MOSCOU, 30 novembre. /TASS/. L’initiative des États-Unis d’organiser le Sommet pour la démocratie implique le droit de Washington d’imposer sa vision de la démocratie aux autres et sa réticence à accepter l’égalité souveraine de tous les pays, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors de l’événement Dialogue au nom du futur. , organisé mardi par le Fonds de diplomatie publique Gorchakov.

    « Le président américain Joe Biden, qui convoque un sommet pour la démocratie, a dressé une liste de 110 pays de manière totalement arbitraire. La liste soulève de nombreuses questions, tout comme l’idée même du sommet pour la démocratie, qui implique les États-Unis  » droit – un droit revendiqué par Washington – de décider qui est une démocratie et qui ne l’est pas. Et d’ailleurs, pourquoi la notion américaine de démocratie devrait-elle être considérée comme l’organisation parfaite de la société ? » Lavrov songea.

    Le haut diplomate russe a souligné que la politique américaine visait à promouvoir le point de vue de Washington sur la démocratie tout en rejetant « toute forme de coopération internationale qui serait vraiment démocratique signifie le mépris des engagements du pays en vertu de la Charte des Nations Unies, qui consacre l’égalité souveraine des pays comme l’un de ses grands principes. » « Alors, avant d’enseigner aux autres comment organiser leurs démocraties, parlons de démocratie dans les relations internationales. L’Occident hésite à l’accepter et cherche à la remplacer par sa dictature », a conclu le ministre russe des Affaires étrangères.

    Les 9 et 10 décembre, Washington a l’intention d’accueillir le Sommet pour la démocratie, qui réunira des dirigeants de pays, des militants des droits et des hommes d’affaires. Au total, 110 pays et territoires ont été invités à participer à l’événement, dont Taïwan. Cependant, ni la Chine ni la Russie ne figurent sur la liste. Lavrov a déclaré plus tôt que l’objectif du sommet « est de diviser les peuples et les pays en [un] démocratique et un non-démocratique ».

    Tass, 30/11/2021

    #Etats_Unis #Joe_Biden #Sommet_démocratie #Russie #Sergueï_Lavrov