Étiquette : Gaza

  • 🔴¡URGENTE! Ataque con coche en Tel Aviv

    Etiquetas: Palestina, Israel, Gaza, Hamas, Tel Aviv, Raanana, ataque con coche,

    Según varias fuentes de la prensa israelí, el lunes por la tarde se informó de un ataque combinado y de un apuñalamiento en Ra’anana. Un coche embistió a peatones y se produjeron apuñalamientos en varios lugares.

    Inicialmente, dos personas resultaron levemente heridas tras ser atropelladas en la calle Haroshet, donde un hombre de 66 años también fue gravemente apuñalado.

    Posteriormente, ocho personas resultaron heridas de diversa consideración, incluida una mujer de 80 años en estado crítico, tras un ataque en la calle Achuza, la principal vía de la ciudad.

    Según los informes, cuatro de los heridos fueron trasladados al centro médico Meir en Kfar Saba.

    El paramédico de Magen David, Adom Eli Raymond, que llegó a uno de los lugares, dijo: “Llegamos al lugar con grandes fuerzas y comenzamos a realizar una clasificación inicial y a brindar tratamiento médico a unas ocho personas heridas con diferentes grados de lesión.

    « Tras un incidente inusual ocurrido actualmente en Ra’anana, las fuerzas policiales están en el lugar y las circunstancias del incidente están bajo investigación », dijo la policía israelí en un comunicado. “Se pide a la ciudadanía que esté alerta y obedezca las instrucciones de la policía. »

    #Israel #Gaza #Raanana #TelAviv #Carram #Hamas

  • Gaza : 100 jours de guerre sans perspective de paix

    Etiquettes : Israël, Gaza, Palestine, Hamas, Tsahal, Etats-Unis,

    GAZA/JÉRUSALEM, 14 janvier (Xinhua) — Des dizaines de milliers de familles en Israël et en Palestine pleurent toujours la perte de leurs proches dimanche, 100 jours après que l’attaque inattendue du Hamas contre le sud d’Israël a déclenché une campagne militaire israélienne massive dans la bande de Gaza.

    Malgré les appels répétés de la communauté internationale à la fin des violences actuelles et au retour à la paix, le conflit Israël-Hamas, qui a ébranlé le paysage géopolitique du Moyen-Orient, ne montre aucun signe de ralentissement de sitôt.

    LA NOUVELLE PHASE DE L’ARMÉE ISRAÉLIENNE

    Plus de trois mois après le début du conflit, Israël a retiré une partie de ses troupes de la bande de Gaza en réponse aux demandes américaines de réduire ses opérations terrestres et aériennes à grande échelle et de protéger les civils dans l’enclave palestinienne.

    Le 7 janvier, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a déclaré au Wall Street Journal que l’armée israélienne allait bientôt passer de « la phase de manœuvres intenses de la guerre » à « différents types d’opérations spéciales » dans le nord de Gaza.

    Les opérations terrestres et les bombardements d’Israël, bien que moins intenses qu’auparavant, se poursuivent, avec un focus sur la région sud de la bande de Gaza, où une grande partie de la population est bloquée après avoir été déplacée du nord et d’ailleurs.

    Le nombre de Palestiniens blessés a jusqu’à présent dépassé les 60 000 et le nombre de morts palestiniens dans l’enclave, déjà supérieur à 23 700, est en augmentation, selon les chiffres publiés par le ministère de la Santé basé à Gaza.

    Sous la pression américaine, l’armée israélienne cherche à réduire progressivement l’intensité des opérations militaires dans la bande de Gaza en 2024, mais la durée du conflit pourrait être allongée, a déclaré l’analyste politique palestinien basé à Jérusalem, Firas Yaghi.

    Lors d’une visite en Cisjordanie le 7 janvier, Herzi Halevi, chef d’état-major des Forces de défense israéliennes (FDI), a déclaré que le conflit à Gaza durerait probablement jusqu’en 2024.

    Il a également mis en garde contre une éventuelle recrudescence de la violence « sur d’autres fronts, en particulier en Cisjordanie », et a déclaré que Tsahal augmenterait « la pression qu’elle exerce » sur la frontière nord d’Israël avec le Liban, où elle a échangé des tirs avec le Hezbollah, un Groupe militaire chiite, ces derniers mois.

    PRESSION MONTÉE SUR ISRAËL

    Alors que la crise humanitaire dans la bande de Gaza s’aggrave, Israël subit une pression croissante tant au niveau international que national.

    Alors que des quartiers entiers de la bande de Gaza ont été rasés par les bombardements israéliens, environ 1,9 million des 2,3 millions d’habitants de Gaza sont déplacés, selon les statistiques publiées par le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires.

    Le 22 décembre, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution clé visant à accroître le flux de fournitures humanitaires vers Gaza après une semaine de négociations et d’amendements substantiels. Elle faisait suite à une résolution adoptée le 12 décembre par l’Assemblée générale de l’ONU exigeant un « cessez-le-feu humanitaire immédiat » à Gaza.

    Quant aux États-Unis, alors que l’élection présidentielle de 2024 s’annonce serrée, l’administration du président Joe Biden devrait exercer davantage de pression sur Israël pour gagner des électeurs mécontents de la position américaine sur le conflit à Gaza, a déclaré Yaghi.

    En Israël, de nombreuses personnes pensent que les efforts du Premier ministre Benjamin Netanyahu pour promouvoir une réforme judiciaire ont semé le chaos dans le pays et donné au Hamas une opportunité d’attaquer, et que la manière dont le gouvernement et l’armée ont géré des questions telles que le sauvetage des otages n’est pas satisfaisante.

    Malgré les frappes aériennes et les opérations terrestres israéliennes prolongées, 132 des 253 otages enlevés le 7 octobre par le Hamas et d’autres groupes militants palestiniens sont toujours détenus dans la bande de Gaza. Pendant ce temps, les militants palestiniens sont toujours capables de tirer des roquettes sur Israël.

    Face à la pression et aux critiques de la communauté internationale, Israël cherche des plans alternatifs pour atteindre ses objectifs en combattant dans des zones spécifiques de la bande de Gaza, a déclaré Yaghi.

    EXPANSION DU CONFLIT

    Depuis le début de cette année, les tensions au Moyen-Orient se sont intensifiées en raison des répercussions du conflit entre Israël et le Hamas.

    Le 2 janvier, une frappe de drone israélien sur la banlieue sud de Beyrouth, à Dahiyeh, un bastion du Hezbollah, a tué Saleh al-Arouri, vice-président du bureau politique du Hamas, ainsi que six autres membres du groupe militant palestinien.

    Après la frappe, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a averti le lendemain que le groupe soutenu par l’Iran « ne pouvait pas rester silencieux ». Il a dénoncé l’attaque comme « un crime dangereux », promettant de se venger et menaçant de répondre à toute opération israélienne de plus grande envergure par une guerre effrénée.

    Eyal Pinko, expert en renseignement et en sécurité nationale au Centre Begin-Sadat d’études stratégiques en Israël, a déclaré que les frappes israéliennes contre un haut dirigeant du Hamas au Liban ne peuvent pas passer sous silence. « Le Hezbollah se vengera d’une manière ou d’une autre, il le doit, il le doit, et il n’y aura pas d’autre solution », a-t-il déclaré.

    Pendant ce temps, les milices locales en Irak ont ​​intensifié leurs attaques contre les bases militaires américaines en Irak et en Syrie, déclenchant une frappe de représailles américaine à Bagdad le 4 janvier qui a tué un chef du groupe Harakat al-Nujaba opérant en Irak et en Syrie.

    Un autre développement inquiétant se produit en mer Rouge. Le groupe militaire Houthi, qui mène une guerre civile avec les forces gouvernementales du Yémen, a lancé des attaques de drones et de roquettes dans la mer Rouge contre des cargos ayant des liens avec Israël pour riposter aux attaques israéliennes sur Gaza.

    Les attaques des Houthis ont incité les États-Unis et la Grande-Bretagne à lancer des frappes aériennes sur les cibles du groupe militaire jeudi et samedi. Les dirigeants Houthis se sont engagés à lancer prochainement des attaques de représailles.

    « Nous assistons à un cycle de violence qui risque de graves répercussions politiques, sécuritaires, économiques et humanitaires au Yémen et dans la région », a déclaré Khaled Khiari, secrétaire général adjoint de l’ONU pour le Moyen-Orient, l’Asie et le Pacifique, au Conseil de sécurité. Vendredi.

    Xinhua

    Israël #Gaza #Palestine #Hamas #Tsahal

  • Le Yémen a les capacités de viser les navires américains partout au Golfe

    Etiquettes : Etats-Unis, Royaume Uni, Yémen, Gaza, Israël, Hamas,

    Les frappes de représailles lancées jeudi par les militaires américains et britanniques contre les Houthis du Yémen n’auront pas d’effet dissuasif pour le groupe soutenu par l’Iran, mais sont plutôt susceptibles d’intensifier la guerre au Moyen-Orient.

    Dans la nuit du 11 au 12 janvier, des chasseurs et des navires américains ont attaqué 60 cibles houthies sur 16 sites au Yémen avec le soutien de l’armée britannique, a indiqué le commandement de l’US Air Force Mideast.

    Selon le président américain Joe Biden, ces frappes faisaient suite à plusieurs avertissements selon lesquels les rebelles Houthis subiraient les conséquences de leurs attaques incessantes contre les cargos en mer Rouge et visaient à signaler que le pays et ses alliés « ne toléreront pas » des actions similaires.

    « Je n’hésiterai pas à prendre des mesures supplémentaires pour protéger notre population et la libre circulation du commerce international si nécessaire », a déclaré Biden dans un communiqué publié vendredi.

    C’était la première fois que l’ armée américaine répondait à la campagne croissante d’attaques de drones et de missiles contre des navires commerciaux lancée par les Houthis après le début de la guerre entre Israël et le Hamas . Depuis lors, les opérations de combat d’Israël ont entraîné la mort de plus de 20 000 Palestiniens à Gaza, pour la plupart des femmes et des enfants, selon le ministère de la Santé de Gaza.

    La réaction des Houthis aux frappes a été provocante, ils ont déclaré qu’ils répondraient avec « toute la force et la détermination » à toute frappe contre eux.

    Les grèves auront-elles un effet dissuasif ?

    Farea Al-Muslimi, chercheur au sein du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à Chatham House au Royaume-Uni, a déclaré que les frappes sont pour la plupart symboliques, car les zones ciblées par les États-Unis et le Royaume-Uni ne sont « que des cacahuètes dans le contexte plus large des armes des Houthis » et leurs capacités militaires, en particulier leurs armes maritimes. »

    Les rebelles yéménites « sont plus avisés, mieux préparés et plus équipés que quiconque ne le reconnaît réellement ». Les Houthis disposent de missiles, d’armes et de technologies qui rendent les bases militaires américaines dans le Golfe très accessibles.

    L’écrivain et chercheur d’origine yéménite a déclaré que les frappes n’empêcheront pas les Houthis de poursuivre leurs attaques dans la mer Rouge.

    « Au contraire, c’est plutôt le contraire », a-t-il déclaré. « Ils étendront probablement leurs attaques aux navires et bases américains et britanniques à travers la péninsule arabique. »

    Fawaz A. Gerges, professeur de politique du Moyen-Orient et de relations internationales à la London School of Economics and Political Science, partage cet avis, affirmant que les frappes n’empêcheront pas les Houthis d’attaquer les navires dans la mer Rouge, mais conduiront plutôt à une certaine escalade.

    À quoi ressemblerait une escalade du conflit ?

    « L’administration Biden ne cesse de dire qu’elle ne veut pas que le conflit s’intensifie au-delà de Gaza, mais le conflit s’est intensifié et continue de s’intensifier ».

    « Ce que nous avons maintenant est un conflit de faible intensité qui a le potentiel de dégénérer en un conflit régional généralisé », a déclaré le professeur – ce que Biden ne veut pas, car une guerre avec l’Iran serait « inimaginable » et mauvaise pour les démocrates en année électorale.

    Gerges a déclaré que les Houthis ont « une capacité très puissante » d’exploiter la mer Rouge, et les États-Unis le savent.

    « Lorsque la poussière retombe sur les frappes, vous assisterez à une escalade de la part des Houthis, qui pourraient exploiter les voies navales et commerciales de la mer Rouge », a-t-il déclaré. La question est de savoir ce que les États-Unis pourraient alors faire.

    L’administration Biden ne cesse de dire qu’elle ne veut pas que le conflit à Gaza s’étende. Cela a été un objectif constant de l’administration Biden. Pourtant, le conflit à Gaza s’est étendu et continue de s’étendre. Et les États-Unis se retrouvent constamment engagés et impliqués dans le conflit à plusieurs niveaux ».

    Dans cette situation, l’administration Biden a dû agir en réponse aux attaques du groupe yéménite en mer Rouge, mais elle s’est montrée réticente à le faire car elle sait, grâce aux renseignements américains, que les Houthis ne sont pas prêts à se retirer à moins d’un cessez-le-feu. à Gaza.

    « Dans les prochains jours, les prochaines semaines, les Houthis, avec le soutien de l’Iran, vont intensifier leurs attaques contre les voies de navigation de la mer Rouge », a déclaré Gerges.

    La seule façon d’éviter que le conflit ne dégénère au niveau régional serait que l’administration Biden soutienne un cessez-le-feu à Gaza. « Et c’est ce que l’administration ne veut pas vraiment faire », a-t-il déclaré. « Il veut avoir le gâteau et le manger aussi. »

    Al-Muslimi a déclaré qu’une escalade du conflit compliquerait également les efforts tant attendus des Nations Unies pour reprendre le processus de paix au Yémen.

    « Cette étape sans précédent de régionalisation de la guerre au Yémen ne fera que rendre cette tâche encore plus difficile », a-t-il déclaré. « L’Arabie saoudite a fait de son mieux pour rester en dehors du conflit, mais a néanmoins joué le rôle de première ligne de défense pour Israël contre les attaques des Houthis ces derniers mois en abattant certaines roquettes des Houthis. »

    Les grèves auront également un impact considérable sur la sécurité alimentaire et les biens au Yémen. « Une situation cauchemardesque ne fera qu’empirer », a déclaré Al-Muslimi.

    Les réactions des autres pays face à une éventuelle escalade du conflit sont moins certaines.

    « On ne sait pas exactement comment l’Iran réagira, mais il préfère définitivement garder les Houthis comme alliés utiles comme boucs émissaires tout en essayant de sauver sa carte Joker : le Hezbollah », a-t-il déclaré.

    « Depuis le 7 octobre, les Iraniens se contentent pour la plupart d’observer à distance. Si certains pensent que la Chine serait également heureuse de voir l’Occident s’entraîner dans un autre conflit sanglant, ils souffrent également de la perturbation des échanges commerciaux vitaux. Nous nous appuyons autant sur les routes de la mer Rouge que sur celles de l’Occident », a-t-il ajouté.

    « De la même manière, les pays arabes comme l’Égypte sont en conflit et liés par la nécessité de tenir tête aux Houthis, tout en ne voulant pas garder le silence sur la position d’Israël et des États-Unis à l’égard de Gaza. »

    #Israël #Gaza #EtatsUnis #RoyaumeUni #Yémen #Hamas

  • Desesperación en Gaza a medida que se intensifican los combates, a pesar de la promesa de Israel de reducirlos

    Etiquetas : Israel, Gaza, Palestina, autoridad palestina, corruption, reformas, Hamás, Anthon Blinken, Estados Unidos, EEUU,

    Los ataques israelíes en el sur y centro de Gaza se intensificaron el miércoles (hora local) a pesar de la promesa de Israel de retirar algunas tropas y pasar a una campaña más selectiva, y de la petición de su aliado Washington de reducir las bajas civiles.

    En la última señal de la extensión de la guerra que ya lleva tres meses, buques de guerra estadounidenses y británicos en el Mar Rojo defendieron el mayor ataque hasta el momento del movimiento Houthi de Yemen, que dice que está actuando para apoyar a Gaza. Washington y Londres dijeron que derribaron 21 drones y misiles dirigidos a rutas marítimas. Nadie fue lastimado.

    Israel había dicho esta semana que planeaba comenzar a retirar tropas, al menos de la parte norte de Gaza, después de semanas de presión estadounidense para reducir sus operaciones y pasar a lo que Washington dice que debería ser una campaña más selectiva.

    Pero los combates parecen ser más intensos que nunca, especialmente en las zonas del sur y el centro donde las fuerzas israelíes lanzaron avances terrestres el mes pasado.

    La Organización Mundial de la Salud canceló una misión de ayuda médica planificada a Gaza debido a preocupaciones de seguridad, la sexta cancelación de este tipo en dos semanas.

    La Media Luna Roja Palestina dijo que cuatro de sus empleados murieron cuando su ambulancia fue alcanzada por un ataque israelí en la carretera principal cerca de Deir al-Balah, en el centro de la Franja de Gaza. Dos pasajeros de la ambulancia resultaron heridos y posteriormente murieron.

    Israel ha matado a más de 23.000 palestinos en Gaza desde que lanzó su campaña para erradicar al grupo militante Hamas que dirige el enclave, después de que los combatientes de Hamas mataran a 1.200 israelíes y capturaran a 240 rehenes en un ataque el 7 de octubre.

    Las autoridades sanitarias de Gaza han estimado que alrededor del 40 por ciento de los muertos tenían menos de 18 años.

    Laila al-Sultan, de siete años, y su hermano Khaled, de cuatro, viven ahora en un barrio de chabolas en el sur de Gaza después de que su casa familiar fuera destruida en un ataque aéreo que mató a su padre.

    « La casa se derrumbó sobre nosotros y papá se fue al cielo y está muy feliz », dijo Khaled, saltando en el regazo de Laila.

    Advertencia hutí

    El secretario de Estado de Estados Unidos, Antony Blinken, en su cuarto viaje a la región desde que comenzó la guerra , fue a Ramallah el miércoles y se reunió con líderes palestinos, incluido el presidente de la Autoridad Palestina (AP), Mahmoud Abbas, en la Cisjordania ocupada por Israel.

    La Autoridad Palestina, que ejerce un autogobierno limitado en Cisjordania y acepta el derecho de Israel a existir, perdió el control de Gaza en 2007 ante Hamás, que ha jurado destruir a Israel.

    El Departamento de Estado dijo que Blinken expresó su apoyo a un Estado palestino, discutió los esfuerzos para proteger y ayudar a los civiles en Gaza y alentó las « reformas administrativas » de la Autoridad Palestina. La Autoridad Palestina dijo que Abbas le dijo a Blinken que ningún palestino debería ser desplazado de Gaza o Cisjordania.

    Blinken también se reunió con líderes israelíes y visitó estados árabes cercanos en busca de un futuro asentamiento para la Franja de Gaza y sus 2,3 millones de residentes.

    Jordania y Egipto advirtieron contra cualquier reocupación israelí de la Franja de Gaza y pidieron que se permita a los residentes desarraigados regresar a sus hogares cuando el rey Abdullah de Jordania y el presidente egipcio Abdel Fatah al-Sisi se reunieron en Aqaba el miércoles.

    Washington teme que la guerra de Gaza pueda extender la violencia a toda la región, con grupos armados respaldados por el archienemigo de Israel, Irán, lanzando ataques de solidaridad en el Líbano, Siria, Irak y Yemen.

    Los hutíes, que controlan la mayor parte de Yemen, han estado atacando una de las rutas marítimas más transitadas del mundo en la desembocadura del Mar Rojo, lo que obligó a Washington a enviar buques de guerra para su protección.

    Un portavoz militar hutí dijo que el grupo disparó una gran cantidad de misiles y drones contra un barco estadounidense que brindaba apoyo a Israel, calificándolo como una « respuesta preliminar » a un incidente de Nochevieja, cuando helicópteros estadounidenses hundieron tres barcos que transportaban combatientes hutíes que intentó abordar un barco comercial.

    Hablando en Bahréin en la siguiente etapa de su viaje, Blinken dijo que los continuos ataques al transporte marítimo comercial tendrían consecuencias.

    « También hemos tratado repetidamente de dejar claro a Irán, como lo han hecho otros países, que el apoyo que están brindando a los hutíes, incluso para estas acciones, debe cesar », dijo a los periodistas.

    Sin tregua

    A pesar de que Israel ha afirmado públicamente desde Año Nuevo que está reduciendo la guerra, los residentes de Gaza dicen que no han visto ninguna tregua. Casi toda la población ha sido expulsada de sus hogares al menos una vez, y muchos han sido desplazados varias veces a medida que avanzan las fuerzas israelíes.

    En Rafah, en el extremo sur del enclave, familiares lloraron junto a los cuerpos de 15 miembros de la familia Nofal depositados en la morgue de un hospital después de que su casa fuera destruida por un ataque aéreo israelí durante la noche.

    La mayoría de los sudarios blancos eran diminutos y tenían niños dentro.

    Um Ahmed, una madre de cinco hijos de la ciudad de Gaza que ahora se refugia en una tienda de campaña en Rafah, dijo que los habitantes de Gaza esperaban que la visita de Blinken significara que se les permitiría regresar a sus hogares.

    « Son como palabras escritas en mantequilla, pronto desaparecieron con la salida del sol. Esas fueron las palabras de Blinken, falsas », dijo.

    #Israel #Gaza #Yémen #EtatsUnis #Palestina #Blinken

  • “Existe una similitud flagrante entre Israel y el Majzén marroquí” (Said Ayachi)

    Etiquetas : Sahara Occidental, Marruecos, Israel, Palestina, Said Ayachi, Argelia, Gaza, Cisjordania,

    Todo el mundo es consciente de que el actual genocidio perpetrado por la entidad sionista contra la población civil de Gaza, pero también contra todos los palestinos, incluidos los de Cisjordania, fue alentado por la impunidad de la que se beneficia la colonización, ante los organismos internacionales.

    Este apoyo permitió al régimen sionista causar una catástrofe humanitaria al privar a los palestinos de atención, agua y alimentos.

    Sin embargo, hasta ahora no se ha registrado ninguna reacción seria contra « este régimen terrorista », afirmó el martes a Radio Nacional el activista de derechos humanos y presidente del Comité de apoyo y solidaridad con el pueblo saharaui, Saïd Ayachi.

    Este último, más precisamente, señaló con el dedo a las grandes potencias, encabezadas por los Estados Unidos de América, que, según él, « ponen el derecho internacional entre paréntesis ».

    Apoyando su argumento, Ayachi continuó : “El derecho internacional se reivindica rigurosamente cuando se trata de Ucrania, pero no existe cuando se trata de las masacres perpetradas diariamente por los sionistas en Ghaza, y ya no se refiere a la colonización del Sáhara Occidental por parte de Marruecos.”

    Porque, para el feroz activista de derechos humanos, “el derecho internacional se basa en el equilibrio y el sentido común, pero son estas injusticias y estos dobles raseros los que garantizan que las grandes potencias del mundo lo ignoren.

    “No aceptar el alto el fuego en Gaza significa que la primera potencia del mundo está dando luz verde a los sionistas para que sigan masacrando a la población civil palestina”, subrayó.

    En realidad, según el invitado de Radio Nacional, « la entidad sionista no esperó hasta el 7 de octubre para cometer este genocidio en Gaza ». “Ella lo ha estado haciendo desde que nació. Es un Estado terrorista, en esencia”, explicó.

    Por otra parte, Saïd Ayachi también se refirió a la cuestión saharaui, que sigue siendo la última colonia africana, recordando que “las resoluciones de las Naciones Unidas garantizan al pueblo saharaui su derecho a la autodeterminación, pero el régimen marroquí no se aplica a él. Llega incluso a presentarse como candidato a la presidencia del Consejo de Derechos Humanos de las Naciones Unidas”, precisando al respecto que “esta candidatura, por parte de un país colonizador, constituye una impunidad protegida por la primera potencia mundial”.

    Sin embargo, según el invitado de la radio, “Marruecos no es candidato del Grupo Africano. Porque no es signatario de la Carta Africana de Derechos Humanos y de los Pueblos. “Los abusos cometidos por Marruecos son objeto de una cincuentena de informes de ONG internacionales que defienden los derechos humanos”, recordó.

    #Marruecos #Israel #Palestina #SaharaOccidental #Gaza

  • 2023, un año crucial para la lucha del pueblo saharaui

    Etiquetas : Marruecos, Sahara occidental, Frente Polisario, Estados Unidos, Ucrania, Rusia, israel, gaza, nuevo orden mundial, orden multilateral, doble vara,

    Siguiendo la estrategia preconizada por Marruecos basada en el mantenimiento del status quo y el tiempo como instrumento de erosión para la causa saharaui, Estados Unidos, no sólamente garantiza a Marruecos una resolución tallada a la medida de sus caprichos en el Consejo de Seguridad sino que además vela para que nada cambie. Sin embargo, en 2023, Washington pareció mostrar un cierto interés por salir del callejón sin salida en el que se encuentra estancado el proceso de paz dirigido por la ONU desde hace más de 32 años, un tiempo récord.

    En efecto, en el 2023, los americanos mostraron una voluntad más evidente de sacar el congelado proceso onusino del Sáhara Occidental. Empezaron obligando Marruecos a aceptar que el Enviado Personal del Secretario General de la ONU, Staffan de Mistura, visite los territorios saharauis ocupados. Aún así, de Mistura no logró que las dos partes beligrantes vuelvan a negociar aunque sea en el marco de las famosas mesas redondas reivindicadas por Marruecos para imponer su tesis que pretende que con quien está en conflicto es con Argelia, una tesis apoyada por la Casa Blanca. En cuanto a los saharauis, tanto Washington como Rabat tienen un remedio basado en la receta utilizada por Israel en Gaza. Es decir, el exterminio de los saharauis en nombre de los intereses vitales del Tío Sam. Esto llevó Washington a decidir coger el toro por los cuernos para hacer avanzar el proceso político, pero a su manera : obligando Argelia a implicarse, no sólo aceptando participar en las mesas redondas sino aceptando también la autonomía como salida para un contencioso cuya duración coloca a EEUU en mala posición con respecto a la situación internacional vigente en este momento.

    El apoyo de Washington a la lucha de Ucrania contra la invasión rusa puso de manifiesto la política de dos varas de medir aplicada por los yankis aunque la naturaleza de los dos conflictos es la misma : una invasión militar pura y dura. Una visión que se incrementó aún más un 7 de octubre, cuando empezó la epopeya palestina de Hamás. Tanto con Ucrania como con israel, Joe Biden, y sus aliados de Occidente, no dudaron en desfilar en Kiev y Tel Aviv expresando los más nobles « sentimientos » y comprometiéndose a apoyar el horror de la guerra.

    Para los saharauis, podría ser un duro ejercicio intentar pensar que haya buena voluntad en el desplazamiento a Tinduf de Joshua Harris, el consejero para Africa del Norte y Próximo Oriente donde se entrevistó con el presidente saharaui. Era la primera vez que un alto responsable de la administración estadounidense se entrevista con los dirigentes saharauis. De ahí se dirigió a Argel donde fue recibido por el Ministro de Relaciones Exteriores argelino, Ahmed Attaf. El hecho de que no fuera recibido por el presidente argelino refleja que Argel no espera gran cosa de esta visita que, como por casualidad, viene inmediatamente después de que el BRICS negase la adhesión de Argelia. Washington saltó sobre la ocasión para sacar dividendos del sentimiento de frustración argelino generado por la actitud de Rusia. Los americanos hicieron lo mismo hace más de 35 años, en 1988 precisamente. En aquel entonces, los paises productores de petróleo que no giraban en la órbita de Occidente eran objeto de continuos ataques. En el caso de Argelia, el precio del petróleo era el arma más eficaz y cada vez que la OPEP decidía disminuir la producción para subir los precios, Arabia Saudita aumentaba la producción. De esta manera, la situación económica y social en Argelia se fue degradando poco a poco hasta que culminó con las gigantescas manifestaciones que obligaron a Chadli Bendjedid a acabar con el régimen monopartidista y celebrar elecciones que dieron lugar a la victoria de los islamistas y los dramáticos acontecimientos cuyas secuelas aún se sienten en el país. La difícil situación ataravesada por Argelia a raíz de los conflictos internos llevó los americanos a presionar a Argelia para que el Polisario retire algunas de las condiciones que había formulado para aceptar el plan de paz. La condición más importante a la que los saharauis renunciaron fue la retirada de las tropas marroquíes para la organización del referéndum de autodeterminación.

    Pero, como dijo Richard Haass, un distinguido analista global, “la coherencia en la política exterior es un lujo que los formuladores de políticas no siempre pueden permitirse”. En lugar de aferrarse a la legalidad y el derecho para salir de la encrucijada generada por la política de doble vara, Washington, continua aferrándose a sus intereses geopolíticos aunque tenga que recurrir a la mano dura como es el caso en Palestina.

    Por lo tanto, la gira de Joshua Harris no puede verse fuera de este esquema, que es el de intentar resolver el conflicto del Sahara Occidental a favor de Marruecos. Su segunda visita a Argel es más misteriosa. En diciembre, realizó otra gira en la región de la que excluyó a los saharauis, lo cual indica que esta segunda visita no está relacionada con el asunto saharaui sino con los graves sucesos que tienen lugar en Oriente Medio. Para los americanos, Argelia podría aprovechar la complicada situación de Joe Biden para aprovisionar al Frente Polisario en armas susceptibles de poner en peligro la supremacía de Marruecos en el terreno militar. En otras palabras, teme la presencia de drones en el Sahara Occidental por el riesgo de escalada que eso implica. La entrevista otorgada por Joshua Harris a un diario argelino aporta una idea de la dirección seguida por la diplomacia americana y su apoyo incondicional a Rabat en el conflicto saharaui.

    Otro factor de preocupación para el Departamento de Estado es el desarrollo de los acontecimientos en la región del Sahel donde los últimos contingentes militares franceses y europeos fueron expulsados por los militares que protagonizaron el último golpe de Estado de Níger. El nacimiento de una nueva alianza militar entre Niger, Mali y Burkina Faso respaldada por Russia incomoda en Occidente que sospecha afinidades ideológicas con Argelia basadas en el repudio de Francia y las secuelas del colonialismo en Africa.

    Como dice el refrán, cuando el río suena agua lleva y lo que los americanos llevan en esta agitación no debe ser nada bueno para los saharauis, sobre todo ahora que se sabe que el presidente Biden conspiraba en secreto para que Arabia Saudita caiga en la red de la llamada « normalización » con el Estado hebreo. Normalización que constituía, hasta el 7 de octubre, fecha de la ofensiva de Hamás, uno de los pilares del nuevo plan de Joe Biden para Oriente Medio en el que Israel sería el centro neurálgico de una alianza anti-iraní compuesta esencialmente por países árabes que sueñan con acabar con el régimen de los Ayatollahs. Por ello, Marruecos es una pieza clave para la administración Biden en la misma medida en que Palestina es hoy « una especie de avatar de una rebelión contra la hipocresía occidental, contra este orden global inaceptable y contra el orden poscolonial”, como dijo el especialista israelí Daniel Ley.

    La situación en el campo de batalla

    Desde la firma de los llamados Acuerdos de Abraham, Rabat ha establecido con Israel una asociación estratégica en materia de defensa. Desde su primera utilización en 2021 para matar al difunto jefe de la gendarnería saharaui, Dah El bendir, el uso de drones se ha convertido en una especie de videojuego para un ejército atrincherado en sus cuarteles más allá del muro de arena con el que obligó al Frente Polisario a retirar la totalidad de su armamento pesado de los territorios liberados. Desde entonces, los dirigentes de Rabat están convencidos de con su supremacía armamentística pueden invertir la balanza a su favor e imponer, militarmente, el hecho consumado colonial en el Sáhara Occidental, algo que no logró obtener por vías políticas y negociaciones que siempre saboteaba.

    En este año de 2023, los marroquíes realizaron tres ataques con drones. El primero fue el 24 de enero en la región de Zgula. Se soldó con 3 buscadores de oro mauritanos. El segundo tuvo lugar un día antes de la visita de Joshua Harris a Tinduf. El primeo de septiembre, un drón acabó con la vida del Jefe de la 6ª región, Abbaali Hamudi mientras dirigía un ataque contra posiciones marroquíes en Tueizgui, en el sur de Marruecos. El tercero fue el domingo pasado en Gleibat El Fula. Tres buscadores de oro mauritanos perdieron la vida en este ataque que tuvo lugar cerca de la frontera mauritana.

    Los drones convirtieron los territorios liberados en un infierno tanto para el ejército saharaui como para los civiles saharauis y mauritanos. Una realidad que no deja de conmover a la opinión pública saharaui que se pregunta por qué el Frente Polisario no consigue armas capaces de derribar a los drones de « majeinzu », término usado para referirse a los marroquíes.

    Los drones también juegan un importante papel en la guerra como medio para operaciones de inteligencia, vigilancia y reconocimiento. Su eficacia fue tal que Marruecos adquirió toda una colección de drones israelíes, turcos y chinos. Incluso, según un diario israelita, Rabat y Tel Aviv decidieron instalar en Casablanca una fábrica de drones en Casablanca. « Elbit Systems planea establecer dos fábricas de drones en Marruecos. Marruecos e Israel han acordado fortalecer su cooperación militar, ampliándola a la inteligencia y ciberseguridad. Esto se acordó durante una reunión bilateral de defensa en enero pasado en Rabat, reporta The Times of Israel que cita fuentes del ejército marroquí.

    En el último congreso del Polisario, el presidente saharaui Brahim Gali prometió una solución al problema de los drones marroquíes. Un año después, los drones siguen haciendo estragos tanto en las filas de los militares como en la población civil. Sin embargo, sí que se constata un ligero cambio en las capacidades militares saharauis. Desde el primer ataque de Smara, se observa una neta mejoría en la precisión de los tiros y la distancia de los objetivos puestos en la mira. Focalizando sus tiros sobre los aeropuertos de Smara y Mahbes, el ejército saharaui logró éxitos que Marruecos intenta invertir a su favor alegando que los ataques del Polisario apuntan a víctimas civiles.

    La ONU y la coyuntura internacional

    Con la explosión del conflicto palestino, la disputa entre Occidente y el llamado Sur Global aumentó en intensidad. Lo que para americanos y europeos es un orden liberal, para el resto de los países no es más que un orden americano impuesto por las armas en Irak, Siria, Libia y Afganistán. En la Asamblea General de la ONU muy pocos paises condenaron la invasión rusa de Ucrania. Un presentador pro-israelí de la cadena francesa de televisión francesa LCI se preguntaba : « por qué no nos quieren » aludiendo a los paises en desarrollo y fingiendo ignorar las causas de tal sentimiento.

    La pregunta que se plantean los presuntores defensores del orden de la « democracia » y los « derechos humanos » es por qué tantos socios naturales de Occidente se mostraron recalcitrantes a la hora de condenar la invasión rusa. La respuesta se la dió Vladimir Putin : “Este es un motín contra lo que ven como un Occidente colectivo que domina el discurso internacional e impone sus problemas a todos los demás, mientras deja de lado sus prioridades en materia de compensación por el cambio climático, desarrollo económico y alivio de la deuda. El resto se siente constantemente marginado de los asuntos mundiales”. El Ministro de Asuntos Exteriores de la India, S. Jaishankar, lo expresó sucintamente: “En algún lugar, Europa tiene que superar la mentalidad de que los problemas de Europa son los problemas del mundo, pero los problemas del mundo no son los problemas de Europa”.

    Con Gaza, el sentimiento antioccidental dió un importante salto. Los paises que ayer condenaban los presuntos « crímenes de guerra » cometidos por Rusia en Ucrania, se callaron ante las atrocidades cometidas por Israel contra la población de Gaza. Benjamín Netanyahu puede dormir tranquilo porque está seguro de no recibir el mismo mandato internacional emitido por el Tribunal Penal Internacional contra el presidente ruso. Una situación que « puede provocar el desmoronamiento del orden mundial”, dijo el lacayo egipcio de Occidente.

    Todo esto es sinónimo de configuración en el mundo. « El antiguo sistema mundial unipolar está siendo reemplazado por un nuevo orden mundial multipolar, más justo », declaró el presidente Putin. Por lo tanto, los conflictos de Ucrania y Gaza desacreditaron el concepto de orden basado en los diktats yanquis y dividieron a Occidente, debilitando a Biden y a la UE. Parece ser que la administración Biden empieza a darse cuenta de los límites de su capacidad para dirigir no sólo el resultado de la guerra de Ucrania, sino también el orden global que surgirá después de ella y que puede tener repercusiones decisivas sobre el longevo conflicto que opone el pueblo saharaui al Estado invasor de Marruecos.

    En el terreno africano se observa un importante cambio caracterizado por una tendencia de los paises africanos a distanciarse de las tramas de Occidente, y por ende, de sus lacayos, como Marruecos. Es el caso de Senegal que hasta hace poco era el principal valedor de los intereses marroquíes en la Unión Africana. Una coyuntura favorable a la presencia de la RASD en la organización panafricana que adoptó une posición firme en lo que concierne a la participación del Estado saharaui en los encuentros organizados entre la UA y diversos países ricos. En noviembre pasado, la entidad africana se negó a organizar una cumbre con la Liga Arabe en la que Arabia Saudita impedía la participación de la delegación saharaui, por lo que el encuentro fue transformado en cumbre afro-saudita.

    En medio de estos turbulentos acontecimientos, Argelia ingresó hoy en el Consejo de seguridad como miembro no permanente, un puesto que le permitirá destacarse como defensor de las causas justas y sobre todo de las causas de Africa que aspira a una silla permanente en el Consejo al mismo tiempo que intentará avanzar el expediente del Sáhara en la ONU aunque corre el riesgo de tropezar con los aliados de Marruecos a los que no agrada la presencia del viejo aliado de Rusia y defensor de un nuevo orden mundial que despojaría a los americanos de sus inmensos privilegios.

    #SaharaOccidental #Marruecos #FrentePolisario #ONU #Ucrania #Rusia #EstadosUnidos #Gaza #Israel #NuevoOrdenMundial

  • Ladrón se hace pasar por agente de Shin-Bet para infiltrarse en el ejército israelita

    Etiquetas : Israel, Tsahal, ejército israelí, Roy Yifrah, Gaza, vol d’armes, selfie avec Netanyahu, Shin-Bet,

    Un hombre habría pretendido ser un soldado, habría ingresado a Gaza, robado armas y posado con Netanyahu

    Un hombre habría pretendido ser un soldado, habría ingresado a Gaza, robado armas y posado con Netanyahu. Roi Yifrach habría robado armas y equipo haciéndose pasar, en distintas ocasiones, por un policía, un oficial de la unidad antiterrorista de élite Yamam y un agente del Shin Bet.

    Un hombre originario de Tel Aviv está acusado de haber robado armas del ejército y la policía en una zona de combate en el sur de Israel, aprovechando el caos que siguió a los ataques del Hamas el 7 de octubre, con el objetivo de venderlas en el mercado negro.

    Roi Yifrach habría robado armas y equipo en las semanas posteriores al 7 de octubre haciéndose pasar, en distintas ocasiones, por un policía, un oficial de la unidad antiterrorista de élite Yamam y un agente del Shin Bet. Se le acusa de varias infracciones relacionadas con armas, así como de robo con circunstancias agravantes.

    Según la acusación presentada por el tribunal de distrito de Tel Aviv, Yifrach, de 35 años, nunca sirvió en el ejército israelí, pero logró infiltrarse en zonas de guerra.

    Viviendo en Tel Aviv, Yifrach de 35 años recorrió durante semanas la zona cerca de la frontera con Gaza con una identificación falsa. Fue fotografiado junto al Primer Ministro Benjamin Netanyahu durante una visita a las áreas de concentración del ejército y conversó con soldados y el Ministro de Defensa Yoav Gallant, sin que nadie supiera que era un impostor.

    La acusación señala que Yifrach robó un rifle de asalto israelí, dos granadas de humo, 14 granadas aturdidoras, una pistola policial, decenas de cartuchos y tres detonadores, entre otros equipos, todo durante tiempo de guerra, lo que constituye una circunstancia agravante.

    Segev, según la Duodécima Cadena, afirmó que Yifrach llegó por sus propios medios al kibutz Kfar Aza el 7 de octubre, cuando unos 3,000 terroristas invadieron Israel desde la Franja de Gaza por tierra, aire y mar, matando a alrededor de 1,200 personas y tomando más de 240 rehenes en las comunidades fronterizas en actos de brutalidad atroz.

    El ladrón incluso se ofreció un selfi con Netanyahu en Gaza

    « Después de eso, se unió a una unidad de combate de élite dentro de Gaza y luchó contra los terroristas de Hamas cara a cara, con la aprobación del ejército y con el equipo militar proporcionado por el ejército », dijo Segev, citado por la Duodécima Cadena. « Es absurdo que el Estado de Israel, que no pudo proteger a sus ciudadanos, ahora se vuelva contra un ciudadano, mi cliente, que se ofreció como voluntario para Israel. »

    Según la acusación, Yifrach estuvo en Gaza durante varias semanas, durante las cuales robó equipo, incluyendo un rifle de asalto de las fuerzas israelíes, dos granadas de humo, 14 granadas aturdidoras, una pistola proporcionada por la policía, decenas de municiones y tres detonadores, así como un dron, cascos, equipo de comunicación y mucho más.

    La policía registró su domicilio después de ser informada y encontró material robado en su casa, en la de su madre y en su vehículo.

    Cuatro sospechosos adicionales, incluyendo a un policía, fueron arrestados para ser interrogados durante el allanamiento policial. Los cuatro sospechosos fueron puestos bajo arresto domiciliario después de la investigación y el policía fue suspendido de sus funciones.

    El robo de armas ha sido un problema persistente para el ejército. Según datos publicados por la Knesset en 2020, alrededor de 400,000 armas ilegales circulan en Israel, la gran mayoría de las cuales se habrían robado del ejército y las fuerzas de policía.

    Fuente : The Times of Israel, 31/12/2023

    #Israel #ShinBet #Tsahal #ArméeIsraelí #Gaza #RoyYifrah #armas

  • Gaza: Les deux poids, deux mesures de la CPI dénoncés

    Etiquettes : Israël, Gaza, Hamas, Palestine, Cour Pénale Internationale, CPI, crimes de guerre, génocide, Karim Khan, deux poids deux mesures,

    « La vision sélective de Karim Khan est une offense honteuse à la justice », déclare l’Euro-Mediterranean Human Rights Monitor. L’organisation indépendante de défense des droits de l’homme basée à Genève a critiqué le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour son « échec » à agir sur la situation dans les territoires palestiniens occupés, y compris la bande de Gaza.

    Dans un communiqué publié vendredi, l’organisation a accusé Karim Khan de « clairs deux poids, deux mesures » pour ne pas avoir pris « une action concrète » sur les développements dans les territoires palestiniens occupés et à Gaza.

    « Face au niveau extraordinairement élevé de documentation – sans précédent dans l’histoire – des guerres israéliennes à Gaza, qui rentrent dans la définition d’un génocide en gestation selon le droit international, la vision sélective de Khan est une offense honteuse à la justice », a-t-elle déclaré.

    Notant que le procureur avait visité Israël pour rencontrer des victimes d’une attaque transfrontalière par le groupe palestinien du Hamas basé à Gaza le 7 octobre, le groupe a déclaré qu’il n’avait pas rencontré les « victimes de l’occupation israélienne et du terrorisme des colons ou leurs familles ».

    L’armée israélienne a repris les bombardements sur la bande de Gaza tôt vendredi après avoir déclaré la fin d’une pause humanitaire d’une semaine avec le Hamas.

    Selon le ministère de la Santé de Gaza, au moins 178 Palestiniens ont été tués et 589 ont été blessés vendredi dans des frappes aériennes israéliennes.

    La pause humanitaire a débuté le 24 novembre dans le cadre d’un accord entre Israël et le Hamas visant à suspendre temporairement les combats pour permettre des échanges de prisonniers et la livraison d’aide.

    Plus de 15 000 Palestiniens, principalement des enfants et des femmes, ont été tués dans des attaques israéliennes depuis le 7 octobre.

    Selon les estimations officielles, plus de 1 200 Israéliens ont également été tués.

    Agences

    #Israël #Hamas #Gaza #Palestine #crimes #génocide #CPI #KarimKhan

  • Gaza : Ancien ministre palestinien tué dans une frappe israélienne sur sa maison

    Etiquettes : Israël, Hamas, Palestine, Gaza, Tsahal, Cabinet,

    Youssef Salama, l’ancien ministre de 68 ans des affaires religieuses de l’Autorité palestinienne, a été tué lors d’une frappe sur le camp de réfugiés d’Al-Maghazi dans la bande de Gaza centrale, ont rapporté l’agence de presse Wafa et le ministère.

    Territoires palestiniens : Un ancien ministre de l’Autorité palestinienne a été tué dimanche lors d’une frappe israélienne sur sa maison dans la bande de Gaza, ont annoncé l’agence de presse officielle palestinienne et le ministère de la Santé du Hamas.

    Youssef Salama, l’ancien ministre des affaires religieuses de 68 ans de l’Autorité palestinienne, a été tué lors d’une frappe sur le camp de réfugiés d’Al-Maghazi dans la bande de Gaza centrale, ont rapporté l’agence de presse Wafa et le ministère.

    Considéré comme proche du Fatah, le parti du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, Salama a occupé le poste de ministre entre février 2005 et mars 2006.

    Il a également été prédicateur à la mosquée Al-Aqsa dans la vieille ville de Jérusalem.

    L’armée israélienne n’a pas immédiatement commenté son assassinat.

    Israël a lancé une campagne militaire implacable contre le Hamas dans la bande de Gaza après une attaque sans précédent des militants palestiniens dans le sud d’Israël le 7 octobre.

    L’attaque des militants a fait environ 1 140 morts, principalement des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des chiffres israéliens.

    L’offensive continue d’Israël à Gaza a fait plus de 21 800 morts, principalement des femmes et des enfants, selon le ministère de la Santé dans la bande de Gaza gouvernée par le Hamas.

    #Israël #Gaza #Hamas #Palestine #Tsahal

  • Gaza: Un combatiente herido decide morir postrándose ante Dios (vídeo)

    Etiquetas : Gaza, Palestina, Hamás, Israel, Tsahal, combatientes de Al Qassam, vídeo, dron,

    Los combatientes de Al Qassam, brazo armado del movimiento palestino Hamás, siguen sorprendiendo por su firmeza, determinación y valentía frente al ejército de ocupación israelí y su brutal maquinaria de guerra. También han ganado la batalla de la comunicación, sus acciones son ilustradas y documentadas con sonido, imagen y mensaje. ¿Su inspiración? « Es una yihad de victoria o martirio ». La consgina del mártir Izzeddine Alqassam, cuyo nombre llevan los combatientes de Hamás.

    Por otro lado, Tsahal sigue mostrando vídeos poco convincentes cuyos figurantes son de los peores actores. El ejército de ocupación ha sido incapaz de aportar la mínima prueba material del supuesto éxito y heroísmo de sus soldados cuyas noches se han convertido en una pesadilla y muchos de los cuales se han visto afectados por graves enfermedades psicológicas.

    En un intento de resarcirse de casi 3 meses de guerra y derrota, el servicio de propaganda hebreo filmó a un combatiente palestino mientras caía bajo el ataque de un dron israelí. Presentado como una « victoria », el vídeo se hizo viral por la actitud del combatiente de Alqassami. Sabiendo que su recorrido había terminado debido a la gravedad de su herida, hace un último esfuerzo para sentarse, levanta el dedo índice al cielo para hacer saber a su enemigo mientras toma la foto que « no quebrantarás mi voluntad » y que « no tomarás la foto ilusoria que quieres ». Luego se postró ante Dios y se reunió con su creador. Estaba orgulloso de morir como mártir por la causa, convencido de que le esperaba la gloria eterna en el más allá.

    El enemigo quiso utilizar estas imágenes para denigrar a este combatiente, pero le salió el tiro por la culata, porque son la prueba de la tenacidad, la fuerza y la determinación de la resistencia palestina. La imagen del mártir postrado ante Dios en dirección a La Meca ha dado la vuelta al mundo y ha causado enorme emoción en el mundo árabe e islámico y pánico en Israel. Nunca en su vida ha sabido lo que significa quebrarse o caer o pensar en rendirse ante un enemigo brutal, por fuerte que sea, por injusto y tiránico que sea y sea cual sea su naturaleza. Lo que el enemigo quería vender como derrota se convirtió en símbolo de fuerza, orgullo y victoria.

    Las imágenes corrieron como la pólvora tanto entre los partidarios de Hamás como en Israel. Para los soldados israelíes, este gesto explica la determinación y valentía de los combatientes de Hamás. Para los árabes y musulmanes, permanecerá para siempre en su memoria como ejemplo de un combatiente entregado a la causa de su pueblo.



    #Israel #Gaza #Hamas #Palestina #Tsahal #AlQassam