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Étiquette : Gazoduc Maghreb-Europe
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L'Algérie, se dirige-t-elle vers la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe ?
Algérie/Maroc : Qui en pâtira le plus du non renouvellement du gazoduc Maghreb-Europe ?Par Ouramdane MehenniLes relations entre l’Algérie et le Maroc se compliquent de plus en plus, malgré la main tendue du roi Mohammed VI. Un réchauffement des relations avec le royaume chérifien s’éloigne.Après la crise diplomatique qui s’est exacerbée ces dernières semaines, une autre crise pourrait surgir. Cette fois, elle sera énergétique et c’est le voisin de l’Ouest qui risque d’en pâtir le plus.Il s’agit du renouvellement du contrat de passage du gazoduc Maghreb-Europe, reliant l’Algérie à l’Espagne. Le contrat devant arriver à terme en octobre prochain. Jeudi dernier, le Maroc a clarifié sa position en se disant favorable au maintien du gazoduc Maghreb – Europe, mais le gouvernement algérien n’a pas encore tranché.« La volonté du Maroc de maintenir cette voie d’exportation a été clairement affirmée de manière constante, à tous les niveaux, depuis plus de trois ans », a déclaré jeudi à Maroc le Jour, le quotidien francophone de l’Agence marocaine de presse (MAP), la Directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines, Amina Benkhadra.Par cette déclaration, Mme Benkhadra a mis fin à plusieurs mois de suspense quant au renouvellement par le Maroc du gazoduc, considéré du côté algérien comme un pas vers l’édification du Grand Maghreb, et du côté marocain comme une arme diplomatique qu’il brandit au nez de ses adversaires l’Algérie et l’Espagne.Cette déclaration intervient dans un contexte marqué par un imbroglio diplomatique suite aux déclarations du ministre israélien des affaires étrangères Yaïr Lapid, à Rabat, où il a évoqué avec son homologue marocain Nasser Bourita, les inquiétudes de son pays au sujet du rôle de l’Algérie en Afrique, et par le rappel de l’Algérie de son ambassadeur à Rabat pour consultation à la suite du soutien marocain à un prétendu droit du peuple Kabyle à l’autodétermination.L’Algérie a pris ses dispositionsQuoi qu’il en soit, l’Algérie semble avoir anticipé une position défavorable de la part du Maroc quant au renouvellement du gazoduc Maghreb-Europe comme l’atteste l’annonce d’une extension de 2 milliards de mètres cubes/an du gazoduc Medgaz reliant l’Algérie et l’Espagne.A ce propos, la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach et son partenaire espagnol dans le gazoduc Medgaz, Naturgy, ont annoncé, le 13 juillet dernier, l’entrée en service au quatrième trimestre 2021 de l’expansion du Medgaz, un gazoduc de 210 km reliant la ville de Beni-Saf à Almeria.L’accord verra le gazoduc augmenter sa capacité de 2 milliards m3/an, soit une augmentation de 25 %, pour atteindre 10 milliards m3/an à partir du quatrième trimestre.Le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar a déclaré, le 29 juin dernier, que « même en cas de non renouvellement de ce contrat qui prend fin en octobre prochain, l’Algérie pourra fournir l’Espagne, mais également répondre à une éventuelle demande supplémentaire du marché espagnol sans aucun problème ».« Nous avons pris toutes les dispositions nécessaires en cas de non renouvellement du contrat d’excellence du gazoduc concerné », a assuré le même responsable qui a affirmé auparavant que « l’Algérie pourra fournir l’Espagne, mais également répondre à une éventuelle demande supplémentaire du marché espagnol sans aucun problème ».Pour rappel, le gouvernement espagnol a donné, le 4 août dernier, son feu vert et sous conditions à l’OPA partielle lancée par le fonds australien IFM sur le groupe énergétique Naturgy qui détient 49% du gazoduc Medgaz et Sonatrach qui possède 51% depuis mai 2020, suite à l’acquisition des parts de Cepsa). Sonatrach possède par ailleurs 4% des parts de Naturgy.En se disant favorable au renouvellement du contrat du gazoduc Maghreb-Europe, le Maroc semble avoir compris que l’Algérie et l’Espagne ne comptent pas trop sur ce gazoduc qui traverse le territoire marocain.Et bien évidemment c’est le Maroc qui en pâtirait le plus si l’Algérie venait à ne pas renouveler le contrat, puisque le Maroc touche des « royalties » du passage du gazoduc et bénéficie également de quantités de gaz.Algérie Eco, 22/08/2021 -
Maroc-Algérie: Le gazoduc ou l’affaire Figuig bis
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RECONDUCTION DU CONTRAT DU GAZODUC MAGHREB EUROPE : Le nouveau mensonge du Makhzen
Après la «main tendue» de Mohammed VI, le Makhzen tente de «forcer la main» à l’Algérie dans le dossier du Gazoduc Maghreb Europe (GME). Jeudi 19 août, dans une déclaration à l’agence de presse marocaine, la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines, Amina Benkhadra, avait déclaré que le Maroc était favorable à la reconduction du contrat de ce gazoduc qui traverse le territoire de ce pays depuis 1996.
Tarek Hafid Alger (Le Soir) – «La volonté du Maroc de maintenir cette voie d’exportation a été clairement affirmée de manière constante, à tous les niveaux, depuis plus de trois ans.
Nous l’avons exprimée verbalement et par écrit, publiquement et dans les discussions privées, toujours avec la même clarté et la même constance», a-t-elle déclaré. Une déclaration sans fondement puisque l’Algérie n’a pris aucune décision dans ce sens.
Une source officielle, qui a requis l’anonymat, a indiqué au Soir d’Algérie «que toute reconduction doit avoir l’aval du gouvernement algérien» et qualifiant ainsi la sortie médiatique de la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines de «nouveau mensonge». «Le Maroc parle publiquement d’une affaire réglée alors que ce n’est pas le cas. Actuellement, le GME n’est utilisé qu’au profit de ce pays qui lui permet d’importer des centaines de milliers de m3 de gaz naturel pour les besoins de sa consommation interne», indique notre source.
Un démenti confirmé également par l’APS. «L’Algérie, en toute souveraineté et autonomie de décision, n’a toujours pas décidé de le reconduire à l’expiration du contrat qui encadre son économie en octobre 2021. Le Maroc pompe 800 millions de m3 de gaz pour ses besoins qui viennent s’ajouter aux royalties qu’il prélève au titre du droit de passage du gazoduc. On comprend ainsi son insistance à accroître ses capacités», analysent les experts, tout en rappelant que «l’Algérie exporte également du gaz par un autre canal totalement nouveau, à savoir le gazoduc Medgaz à partir de Beni-Saf», précisent des experts contactés par l’agence de presse officielle. En clair : la version présentée par le Maroc selon laquelle il autorise la poursuite des exportations de gaz naturel vers l’Espagne à travers le GME n’est une supercherie.
L’essentiel du gaz exporté vers l’Espagne puis vers l’Europe est injecté via l’autre gazoduc, le Medgaz, qui relie le port de Beni-Saf à celui d’Almeria. La non-reconduction de ce contrat par l’Algérie serait une véritable catastrophe pour le Maroc puisque l’énergie électrique est produite à partir du gaz naturel issu des champs de Hassi R’mel.
En effet, 93% de ce gaz servent à produire de l’électricité et 7% sont utilisés dans l’industrie. Même si le Maroc refuse de le reconnaître, sa sécurité énergétique dépend en grande partie de son voisin de l’Est.
Son hostilité envers l’Algérie, notamment depuis son alliance stratégique avec Israël, ne plaide pas pour une reconduction du contrat du GME. À trop insulter l’avenir, le roi du Maroc a fini par mettre l’économie de son pays en difficulté.
T. H.
Le Soir d’Algérie, 22/08/2021
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Maroc : Panique au palais royal à l'approche de l'expiration du contrat du GME,
Maroc, Algérie, gazoduc, gazoduc Maghreb-Europe, Medgaz,A l’approche de l’expiration du contrat du GME, panique au palais royalLe supposé soutien du Maroc au maintien du Gazoduc Maghreb Europe (GME), exprimé récemment par le Makhzen via un haut responsable marocain, relève du «pur mensonge», par ailleurs partagé par le souverain Alaouite, ont estimé des experts dans une déclaration à l’APS.Mis en exploitation en 1996, le GME achemine du gaz à partir de Hassi R’mel vers l’Espagne, en traversant le détroit de Gibraltar. «Même s’il n’en est pas à son premier mensonge, en s’aventurant sur le terrain économique, en général, et gazier, en particulier, qui semblent lui être méconnus, le Makhzen commet deux autres mensonges», ont relevé ces experts, en s’interrogeant : «Sur quoi reposent ses déclarations mensongères ?».D’abord, soutiennent-ils, s’agissant du gazoduc GME, «l’Algérie, en toute souveraineté et autonomie de décision, n’a toujours pas décidé de le reconduire à l’expiration du contrat qui encadre son économie en octobre 2021», ont-ils souligné.Ensuite, les experts relèvent avec force «l’intérêt quasi exclusif» que tire le Maroc du passage de ce gazoduc vers l’Europe, sachant qu’il «pompe 800 millions de m3 de gaz pour ses besoins qui viennent s’ajouter aux royalties qu’il prélève au titre du +droit de passage+ du gazoduc», ont-ils soutenu.«On comprend ainsi son insistance à accroître ses capacités», analysent les experts, tout en rappelant que l’Algérie exporte également du gaz par un autre canal totalement nouveau, à savoir le gazoduc Medgaz à partir de Beni Saf.APS -
Maroc, Algérie, gazoduc et désinformation
Maroc, Algérie, gazoduc Maghreb-Europe, #Maroc, #Algérie,Les mensonges du Makhzen sur le contrat gazier avec l’Algérie, dévoilésLe mensonge, le bluff et la désinformation, au sujet du renouvèlement du contrat de livraison du gaz algérien au Maroc, via le gazoduc Maghreb Europe,véhiculés durant de longues mois ont eu raison du régime du Makhzen.Algérie54 a déjà mis l’accent sur les élucubrations marocaines, via des articles publiés précédemment et les arguments très fiables de l’expert algérien en énergie et analyste international en bourse, établi en Suède, Nouredine Leghliel , qui éclaireront sur les intentions marocaines d’exercer des pressions sur les autorités algériennes, en vue de céder au diktat marocain. Le Makhzen faisait appel à des sites sans envergure internationale dans le domaine de la finance internationale et de l’énergie, acquis à la cause de la monarchie pour diffuser des fakenews en vue de piéger les autorités algériennes, l’incitant à renouveler le contrat gazier qui expire le 31 octobre prochain.Les mensonges du Makhzen sur le renouvèlement du contrat gazierAinsi, après plusieurs mois de mensonges, le Makhzen revient à la raison, en reconnaissant le besoin du royaume de renouveler le contrat gazier qui le lie à l’Algérie.Sur ce registre, des médias marocains comme l’économiste.com, qui diffuseront, il y a si peu de temps des Fakenews, indiqueront que le Maroc est pour le maintien du Gazoduc Maghreb Europe (GME), dont le contrat arrive à son terme le 31 octobre 2021, citant la Directrice générale de l’Office marocain des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra.Cette dernière démentira sur les colonnes du média marocain, Maroc Le Jour, quotidien francophone de la MAP, les fake news affirmant que le Maroc aurait décidé d’empêcher l’approvisionnement de l’Espagne à la fin du contrat.Benkhadra ajoutera que la volonté du Maroc de maintenir cette voie d’exportation a été clairement affirmée de manière constante, à tous les niveaux, depuis plus de trois ans. “C’est notre volonté, telle que nous l’avons exprimée verbalement et par écrit, publiquement et dans les discussions privées, toujours avec la même clarté et la même constance”. La patronne de l’ONHYM a par ailleurs rappelé que ce gazoduc a été construit par l’Espagne afin de permettre au gaz algérien de rejoindre l’Europe à travers le Maroc, “dans des conditions de sécurité optimales”. ce service est assuré par les personnels et le management marocains de la société Metragaz.Les déclarations de la responsable marocaine, mettent à nu les manœuvres sournoises et belliqueuses du Makhzen, pour avoir un approvisionnement gazier à un prix bas, loin des cours sur le marché international.Les propagandistes du Makhzen avaient tenté de piéger les responsables algérien en été 2020, en diffusant des informations via des sites et des larbins, que le royaume ne va pas renouveler son contrat avec Alger, se référant à un prix de gaz de 1,55 dollar, dans le but d’exercer la surenchère pour contraindre l’Algérie à revoir sa position sur le dossier sahraoui.Cette manœuvre tombera à l’eau avec une hausse de 640% du prix du gaz passant de 1,55 à 13 dollars, et la machine propagandiste du Makhzen balancera une nouvelle fakenew, à savoir que le Maroc avait enregistré une basse de la consommation énergétique de 36%.Les propagandistes du Makhzen avaient saisi la conjoncture de la baisse du prix du gaz pour souligner que l’Espagne compte changer de partenaire en optant pour le gaz américain, ou le projet fictif de réalisation d’un gazoduc reliant le Nigeria à l’Espagne via le sol marocain.La hausse du prix du gaz n’a pas arrangé les choses pour le Makhzen, contraint de recourir une nouvelle fois au mensonge, à savoir le début d’exploitation d’un nouveau site forage situé dans le bassin d’Agadir, avec une capacité de deux milliards de barils de pétrole. Cette fausse « exploitation » est l’œuvre d’une société britannique d’exploration de pétrole portant le nom de Europa Oil & Gas, sachant que le chiffre d’affaires de cette fameuse entité est d’environ 250000 dollars, ce qui laisser les experts deviner l’impasse du régime marocain, et sa stratégie basée sur la gabegie et le mensonge.Les hautes autorités algériennes sont avertis sur le sujet, et le non reconduction du contrat gazier doit accompagner les dernières mesures prises par le Haut Conseil de SécuritéLe ministre de l’énergie et des mines Mohamed Arkab et le PDG de Sonatrach Tewfik Hakkar sont-t-ils bien informés des intentions réelles du Makhzen, car une précédente déclaration du PDG de la Sonatrach entretenait la confusion sur cette question“Même en cas de non renouvellement de ce contrat qui prend fin en octobre prochain, l’Algérie pourra fournir l’Espagne, mais également répondre à une éventuelle demande supplémentaire du marché espagnol sans aucun problème”, avait dit le PDG de Sonatrach,, laissant entrevoir la possibilité de reconduction du contrat gazier avec le Maroc . Aujourd’hui, la tendance haussière des prix du gaz, est au profit de l’Algérie et nos responsables doivent tenir compte de cet atout pour défendre les intérêts de l’Algérie, avant toute considération.Le Maroc, asphyxié économiquement.Vers le non renouvèlement du contratSelon des informations en notre possession, les autorités algériennes auraient décidé de ne pas renouveler le contrat d’exploitation du gazoduc Maghreb-Europe sur une longueur de 1400 kilomètres, dont 540 kilomètres traversent le Maroc, en partant du gisement algérien de Hassi R’mel dans le sud du pays.Cette décision liée à des raisons économiques et à un contexte géopolitique, serait prise après la mise en service, par l’Algérie, de l’extension du gazoduc Egpdf, entre El Kasdir-El Aricha (Naâma) et Beni Saf (Aïn Témouchent) et aux derniers développements des relations algéro-marocaines, conjuguées à la brouille entre Madrid et Rabat au sujet de l’hospitalisation du président sahraoui Brahim Ghali et la surenchère marocaine des migrants envoyés vers l’enclave espagnole de Ceuta. Ce gazoduc, long de 197 kilomètres (diamètre 48») et d’un coût de 32 milliards de dinars, s’inscrit dans le cadre du renforcement des capacités d’exportation du gaz algérien via le gazoduc Medgaz.Depuis 2011, le gazoduc Medgaz relie directement les installations algériennes de Béni Saf au port d’Almeria en Andalousie et 60% du gaz qui y transite est destiné au marché espagnol. Cette réalisation renforcerait les capacités de l’Algérie, dont celle de Sonatrach, à commercialiser du gaz naturel vers l’Europe, via ce gazoduc reliant Beni-Saf à l’Espagne, avait affirmé, à l’occasion, Mohamed Arkab, ministre de l’Energie et des Mines.En effet, l’Algérie mise beaucoup sur le gazoduc Medgaz pour pouvoir pallier la fin du contrat Maghreb-Europe.La fausse main tendueLe monarque marocain, soutenu par l’entité sioniste mène une guerre contre l’Algérie via le trafic de drogue et son soutien aux organisations terroristes et de Rachad et du MAK, à l’origine des feux de forêts criminels qui ont ravagé plusieurs wilayas d’Oran, ne lésinent pas sur les moyens pour détruite l’État-nation d’Algérie, au profit du néocolonialisme, dont il joue l’instrument pour protéger son trône, au détriment également du peuple marocain.A l’occasion de la fête du Trône Mohamed VI a brandi la carte de la fraternité algéro-marocaine et le destin commun, en vue de mettre les responsables algériens sur la défensive.Cette fausse main tendue et cette manœuvre belliqueuse ont été rapidement mises à nu, par l’implication du Makhzen dans les feux de forêts criminels et l’espionnage d’algériens via le logiciel espion sioniste Pegasus.Le fardeau de la dette marocaineAujourd’hui, le royaume est étranglé économiquement, suite au fardeau de la dette étrangère, qui ne cesse de grimper, et qui enregistre une hausse de 10%en 2020, et passe de 29,5% du PIB en 2019 à 34,9% en 2020 ; soutenue par l’impact du Covid-19, la faiblesse des rentrées en Tourisme, et les brouilles avec deux principaux partenaires européens à savoir l’Espagne et l’AllemagneSelon des autorités financières marocaines, le déficit budgétaire du Maroc a quasiment doublé en 2020, passant de 46,5 milliards de dirhams à 82 milliards de dirhams, pesant désormais près de 7,6% du PIB. Le taux d’endettement public global au Maroc est, quant à lui, passé de 80,4% du PIB en 2019, à plus de 94% du PIB en 2020La hausse du taux de l’endettement public du Maroc inquiète par voie de conséquence les agences de notation internationales, notamment les trois principales agences américaines : Standard&Poors, Fitch et Moody’s.Après s’être vu sa note baisser chez Standard&Poors et avoir perdu son investment grade chez Fitch, le Maroc reçoit récemment un troisième coup dur de Moody’s : la troisième plus grande agence de notation internationale a révisé la perspective de la note du Maroc en négative. Moody’s souligne son inquiétude quant à la forte hausse de la dette du pays.Étranglé économiquement, le Makhzen tente d’exporter sa crise socioéconomique, qui menace la pérennités de la monarchie le royaume , vers l’Algérie, en créant des tensions avec ses voisins comme l’Algérie, l’Espagne. Et la violation du cessez-Le Feu avec la RASD, le 13 novembre dernier, en est une parfaite illustration de l’aventurisme d’un régime aux abois. La normalisation avec l’entité sioniste, pour sauver le trône n’arrange nullement les choses sur le plan intérieur, car le peuple marocain a tout le temps exprimé son soutien indéfectible à la cause palestinienne et ne digérera nullement l’abandon de la cause palestinien et le diktat sionisteAlgérie54, 20/08/2021 -
Le Maroc soupçonne l’Algérie de vouloir fermer le gazoduc
Maroc, Algérie, gazoduc Maghreb-Europe, Sahara Occidental, #Maroc, #Algérie, #SaharaOccidental,
Le Maroc souhaite maintenir ouvert un gazoduc qui fournit du gaz algérien aux consommateurs européens via le royaume, a déclaré un haut fonctionnaire, malgré la détérioration des relations entre les rivaux nord-africains.
Le contrat d’exploitation de la section marocaine du gazoduc Maghreb-Europe, qui relie les gisements algériens à l’Espagne, expire en octobre.
On craignait que son renouvellement ne soit compromis par l’escalade récente entre les deux pays.
« La volonté du Maroc de conserver cette voie d’exportation a été exprimée de manière claire et cohérente à tous les niveaux depuis plus de trois ans », a déclaré la directrice de l’Office national des hydrocarbures et des mines, Amina Benkhadra, aux médias d’État.
« Nous l’avons dit verbalement et par écrit, publiquement et dans des discussions privées, toujours avec la même clarté et la même cohérence », a-t-elle déclaré mercredi.
Les relations entre Rabat et Alger sont tendues depuis des décennies en raison de profondes divergences sur le Sahara occidental, un territoire contesté mais largement contrôlé par le Maroc, où Alger soutient un mouvement indépendantiste de longue date.
La frontière entre les deux pays est fermée depuis 1994.
La situation s’est encore détériorée cette semaine lorsque l’Algérie a déclaré qu’elle allait « revoir » ses relations après avoir accusé le Maroc de complicité dans des incendies de forêt meurtriers qui ont tué au moins 90 personnes.
Les autorités algériennes ont imputé ces incendies à des actes criminels généralisés, pointant du doigt des organisations soutenues par Rabat.
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Le Maroc et son bluff de découvertes de gaz et pétrole
A l’approche de l’expiration de l’accord gazier avec Alger: Le Maroc et son bluff de découvertesEn dépit du scandale de l’espionnage du logiciel israélien Pegasus, et les brouilles avec certaines capitales européennes comme Berlin et Madrid, la machine propagandiste du Makhzen ne semble point être affectée. Pour détourner l’opinion publique marocaine, le monarque Mohamed VI a joué la carte de la fibre sentimentale de la fraternité algéro-marocaine, mais sans résultat, puisque les causes de la fermeture des frontières terrestres entre l’Algérie et le Maroc, demeurent inchangées, à savoir que Rabat n’a pas encore présenté des excuses à l’Algérie, pour l’avoir accusé injustement des attentats terroristes de Marrakech.Le regretté Hassan II a emboîté le pas à la France et ses alliés pour asphyxier l’Algérie, placée sous embargo non déclaré. Aujourd’hui, la situation est plus pire, car la prétendue main tendue vers Alger, ne colle nullement avec les actes de la normalisation avec l’entité sioniste, la reprise des hostilités au Sahara Occidental, la campagne de dénigrement et de déstabilisation menée contre l’Algérie, illustrée par cette hostilité avérée et affichée d’Omar Hilale qui osera porter atteinte à l’unité et la souveraineté de l’Algérie, en soutenant le mouvement séparatiste et terroriste du MAK du maître-chanteur Ferhat M’henni.Les mensonges économiquesÉtranglé économiquement, le royaume tente d’impressionner Alger, en vue de contraindre et convaincre les autorités algériennes à reconduire l’accord d’approvisionnement le Maroc, via le gazoduc Maghreb, qui arrive à échéance le mois de novembre prochain. Un avis que partage l’expert algérien et analyste international Nouredine Leghliel, qui estimera sur les colonnes d’Algérie 54, que l’année dernière, Rabat s’est illustré par une surenchère machiavélique et sournoise à l’égard d’Alger, lorsque le prix du gaz était de 1,55 dollar / MBTU.L’expert algérien en énergie et en bourse, établi en Suède, notera que le Makhzen via sa machine propagandiste et ses larbins algériens, diffusaient des Fakenews, sur l’intention de l’Espagne de changer de partenaire en optant pour le gaz américain, ou le projet fictif de réalisation d’un gazoduc reliant le Nigeria à l’Espagne via le sol marocain.Aujourd’hui, avec une hausse du prix du gaz, atteignant les 640%, passant de 1,55 dollars à 13 dollars, le régime marocain appréhende la non reconduction du contrat gazier avec l’Algérie, et joue la carte des Fakenews, en vue de persuader les algériens . Il y a quelques jours, les autorités marocaines via leurs canards propagandistes ont annoncé une réduction de la consommation énergétique de 36%, sui vie d’un grand mensonge sur le début d’exploitation d’un nouveau site forage situé dans le bassin d’Agadir, avec une capacité de deux milliards de barils de pétrole. Cela nous mène à cette fausse « exploitation » est l’œuvre d’une société britannique d’exploration de pétrole portant le nom de Europa Oil & Gas, sachant que le chiffre d’affaires de cette fameuse entité est d’environ 250000 dollars, ce qui pue le mensonge et la Fakenews.Sur le registre des mensonges du régime marocain, Nouredine Leghliel est catégorique, les manchettes de certains médias inféodés à la propagande du Makhzen, sont loin d’être des arguments économiques fiables et dignes d’être analysés ou prendre en considération. Pour Nouredine Leghliel, nos responsables ne doivent nullement être impressionnés par les bluffs en provenance de ces sulfureux médias.Les responsables algériens du secteur de l’Énergie, sont-t-il au courant de la gabegie marocaine pour ne pas être roulés dans la farine du mensonge du Makhzen ? Sont-t-ils armés pour mieux défendre les intérêts suprêmes de l’ Algérie, sans brader nos revenus au nom de la fictive fraternité algéro-marocaine chantée par Mohamed VI ?Le PDG de Sonatrach Tewfik Hakkar est-t-il bien informé des intentions réelles du Makhzen, car une précédente déclaration qu’il a faite laisse le doute sur cette question de renouvellement du contrat gazier avec le Maroc. “Même en cas de non renouvellement de ce contrat qui prend fin en octobre prochain, l’Algérie pourra fournir l’Espagne, mais également répondre à une éventuelle demande supplémentaire du marché espagnol sans aucun problème”, avait dit le PDG de Sonatrach,, laissant entrevoir la possibilité de reconduction du contrat gazier avec le Maroc .Aujourd’hui, la tendance haussière des prix du gaz, est au profit de l’Algérie et nos responsables doivent tenir compte de cet atout pour défendre les intérêts de l’Algérie, avant toute considération.Algérie54, 07/08/2021 -
Transport du gaz algérien vers l’Europe : Les revenus du Maroc ont baissé de 55% en 2020
En 2020, le Maroc a vu ses revenus tirés du transport du gaz algérien via le gazoduc Maghreb-Europe, traversant le territoire du royaume, baisser de 55%.
Selon les chiffres contenus dans un rapport pour l’année 2020 de la direction des douanes et des impôts marocaine, les revenus du Maroc ont atteint 51 millions de dollars l’année écoulée, rapporte le journal El Khabar.
Le Maroc a lié la baisse de ses revenus tirés du transport de gaz via le gazoduc Maghreb-Europe à la baisse des ventes de gaz naturel du fait de la pandémie de Covid-19, la baisse des prix des hydrocarbures ainsi que l’offre abondante sur le marché mondial et la baisse de la demande.
Le gazoduc Maghreb-Europe, mis en service en 2002, transporte chaque année près de 12 milliards de mètres cubes de gaz algérien vers l’Europe via le Maroc. L’année dernière, du fait de la crise sanitaire, les exportations de gaz algériennes s’étaient contractées en raison de la baisse de la demande notamment des principaux clients de l’Algérie qui sont l’Espagne et l’Italie.
Le contrat qui régule le gazoduc prendra fin en 2021. l’Algérie et les parties concernées devront négocier le renouvellement ou non de ce contrat.Algérieeco, 05 mai 2021
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Le Maroc pourrait venger la population de Figuig en coupant le « Gazoduc Maghreb-Europe »
Suite à l’expulsion des agriculteurs marocains de la localité de Laaroda par les autorités algériennes, l’affrontement est à son comble entre les deux voisins maghrébins. Dans cet affrontement, toutes les armes sont, apparemment, valables.
Selon un média marocain, les autorités marocaines auraient l’intention de mettre fin aux revenus souttirés du Gazoduc Maghreb-Europe par la non reconduction des accords signés entre le Maroc et l’Algérie à ce sujet. Ces accords prendront fin en 2021 après 25 ans d’exploitation permettant à Alger d’acheminer son gaz vers le contienent européen.
D’une longueur de plus de 1300 km, dont 540 km sur le territoire marocain, le Gazoduc Maghreb-Europe permet le transit d’un volume annuel de plus de 10 milliards de m³ de gaz naturel.Tags : Algérie, Maroc, Gazoduc Maghreb-Europe, exportations de gaz, Figuig, El Arja, Laaroda,