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  • L’Algérie sait que derrière le Maroc, Israël s’agite

    L’Algérie sait que derrière le Maroc, Israël s’agite

    L’Algérie sait que derrière le Maroc, Israël s’agite – guerre électronique, hacking, piratage, Sahara Occidental,

    Face à guerre électronique que mènent ses ennemis de l’extérieur en distillant des fake-news pour nuire à sa crédibilité et en noircissant son image, l’Algérie a réussi, grâce à une stratégie judicieuse, à contrer ces attaques et mettre en échec tous les plans et complots.

    Inutile de chercher loin, le voisin de l’Ouest , avec ses sous-traitants du Makhzen, passe pour être le principal, sinon l’unique pays qui a pour mission de perturber au plus haut des sites officiels ou privés algériens dans un but de nuisance évident entrant dans le cadre de la guerre des nerfs.

    Il n y a pas si longtemps, une trentaine de missions avaient été menées et revendiquées par un groupe cybercriminel se faisant appeler « Morocco Hack Team Neige-Ma » qui marquait son empreinte d’une phrase lourde de sens : « longue vie à l’empire du Maroc. « Notre histoire parle pour nous. La Mauritanie et l’Algérie font partie de nous.»

    Ne se contentant pas de sombrer dans les sables mouvants de la méchanceté gratuite à l’égard de notre pays, ces attaques avaient ciblé, rappelons-nous, les sites internet du ministère des Finances et celui de l’Institut national de santé publique (INSP).

    En réaction à ces attaques innommables, l’Algérie, qui ne peut rester indéfiniment victime expiatoire, bloque tout accès au contenu numérique des sites rendant ainsi impossible l’accès aux données informatisées.

    « L’Algérie a de tout temps été espionnée par le Maroc », selon Touati Lahcène

    Contacté par nos soins pour davantage d’informations à ce sujet, Touati Lahcène, avocat et directeur des études juridiques, s’est montré loquace en indiquant : « Le monde n’est plus ce qu’il était en matière d’attaques. Aujourd’hui, avec l’avancée de l’internet et des réseaux sociaux, la guerre électronique avec ses fake-news et autres cyber-attaques sont légion. » Avant d’ajouter : « Il faut que vous sachiez aussi que l’Algérie a de tout temps été espionnée et attaquée par le Maroc. D’où ce recours aux réseaux sociaux pour tenter d’accéder frauduleusement aux sites officiels des institutions officielles pour travestir leurs publications. »

    Lahcène n’a pas pris de gants pour désigner nommément le voisin de l’Ouest et le traiter de principale source d’attaques cybernétique contre l’Algérie qu’il ne supporte pas de voir se construire et se développer au moment où le peuple marocain frère fait face à la misère la plus abjecte. « Le Maroc est passé pour être maitre dans ces attaques à l’encontre de notre pays. Il n y a pas si longtemps, la cyberattaque qui a visé le ministère des Finances est très grave », a-t-il indiqué.

    Le Maroc passe pour être maître dans les attaques contre l’Algérie

    Au sujet de ce pays qui a pour ambition de voir s’écrouler notre pays, notre interlocuteur a fait savoir que « 10 % du budget du Royaume est consacré aux cyber-attaques et à nourrir le phénomène des fake-news en engageant des meutes d’activistes de l’intérieur et de l’extérieur». Regrettant ainsi que ces sommes faramineuses n’aient pas été allouées aux besoins du peuple marocain englué dans des problèmes de survie au point où les jeunes, par milliers, prennent le risque au quotidien, de rallier les enclaves de Sebta et Mellila dans le menu espoir de quitter à jamais l’enfer de la terre de leurs ancêtres dirigée par un monarque qui ne semble pas en faire son souci de l’heure.

    Pour parer à ces attaques et s’en prémunir, l’Algérie, qui dispose de moyens adéquats réagit en bloquant tout accès aux sites des ministères et autres institutions officielles, rendant ainsi impossible l’accès aux données informatisées.

    Or, ce n’est pas la solution selon Lahcène Touati qui préconise plutôt d’autres initiatives allant s’il le faut à la rupture des relations économiques.

    Pas que ça, puisque notre interlocuteur affirme que l’Algérie devrait se plaindre auprès des institutions internationales et lever le voile sur ces attaques sordides, lâches et basses de la part de ce pays qui ne nous veut pas de bien.

    Des conférences de haut niveau qui ont eu lieu tout récemment à Alger sous le thème révélateur : « la sécurité de l’information et comment faire face aux fake-news et les cyber-attaques », ont permis de mettre en avant l’importance de la formation médiatique et de l’amélioration des contenus de la presse algérienne, notamment publique, ainsi que l’adaptation aux nouvelles technologies.

    A l’issue de ces rencontres organisées pour mieux connaitre le phénomène et, par ricochet, mieux l’appréhender, les intervenants ont été unanimes à indiquer que «la guerre électronique vise les esprits et non pas la terre. C’est une stratégie qui s’attaque aux idées avant les patries ».

    Il est utile de préciser que les cyber-attaques que mènent le Maroc contre l’Algérie, avec la bénédiction du Makhzen et de l’entité sioniste, a démarré de manière déclarée en 2020. Le 27 novembre de cette même année, l’APS publiait en effet une dépêche évoquant la mise en place d’une « stratégie malveillante » à déstabiliser l’Algérie sur le net par des actes de piratage mais aussi et surtout de nuire à la « crédibilité de ses voisins et entamer leur stabilité en noircissant leur image. Et depuis, ces attaques n’ont fait que s’amplifier.

    De son côté, Ali Rouina, expert en sécurité, est allé dans le même sens en indiquant que l’Algérie a de tout temps été espionnée et attaquée par le Maroc pour seul motif que notre pays se situe aux antipodes des ambitions du Makhzen de domestiquer son peuple en l’assimilant à de simples sujets de sa majesté alors que l’Algérie fait du slogan «Par le peuple et pour le peuple » un de ses plus importants écrits sur le fronton des mairies .

    L’Algérie n’ignore pas que derrière le « mauvais voisin », l’entité sioniste s’agite

    L’expert en sécurité qui maitrise le sujet n’a pas omis de nous rappeler que l’Algérie a subi tout récemment une vile campagne d’espionnage visant les téléphones de centaines de personnalités politiques et influentes algériennes, dans ce qu’on appelle l’affaire « Pegasus ».

    Face aux attaques de ce «mauvais voisin », l’Algérie qui n’ignore pas que derrière toute cette armada d’activistes marocains, l’Entité sioniste est là pour assurer la logistique, la formation, les orientations ainsi que le chemin à suivre pour nuire à l’Algérie et lui porter un coup fatal. Synonyme s’il en est, de la main mise du Maroc sur le Sahara occidental et l’appropriation de ses richesses alors que cette question relève de la décolonisation que les Nations unies ont pour tâche de résoudre dans les meilleurs délais. La dernière colonie africaine ayant trop duré.

    Pour notre interlocuteur, il est inutile de préciser que si l’Algérie a décidé de fermer le robinet de gaz du gazoduc vers l’Espagne via le Maroc, la fermeture de son espace aérien aux avions marocains ainsi que le rappel de son ambassadeur sont la conséquence directe du comportement malsain du voisin de l’Ouest et de ses tentatives de nuire à l’Algérie alors que les villages attenant à la frontière algérienne sont exclusivement nourris de produits algériens subventionnés par l’Etat algérien dans sa politique citoyenne .

    Des sources dignes de foi avancent que plus de 97 % des cyber-attaques contre l’Algérie proviennent du Maroc voisin et de ses relais à travers le monde. Et si un budget aussi colossal que celui annoncé précédemment ( 10 %) est prélevé annuellement du budget du Royaume pour financer ce comportement vil et immoral, c’est que la volonté du voisin de l’Ouest de tout faire pour arrêter la bonne marche de l’Algérie vers le progrès est aujourd’hui bien claire.

    Une des règles de la géopolitique n’indique-t- elle pas que « pour détourner l’attention du peuple, créer un climat de guerre avec le voisin en est une solution ».

    Il est, par ailleurs, clair comme l’eau de roche que le voisin marocain, englué dans des situations de crises à répétition et de cris de révolte de son peuple n’a d’autres choix que de s’inspirer de l’Entité sioniste, suite à sa normalisation opérée au grand mépris de la communauté arabe et musulmane.

    Maghreb Info, 27/03/2022

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  • Algérie : Cybermenace

    Algérie : Cybermenace

    Algérie : Cybermenace – Twitter, piratage, hacking, cyberguerre, Maroc, guerre électronique,

    L’Algérie a-t-elle vraiment tous les moyens pour faire face aux cyberattaques ? La dernière attaque contre le site officiel du ministère de la Justice (sur Twitter) sème le doute quant aux capacités techniques et humaines dont dispose le pays pour faire face aux incursions malveillantes. En vérité, aucun pays, aussi développé soit-il en matière technologique, ne peut se prémunir totalement contre les cyberattaques.

    Plusieurs experts relayés par les médias ces derniers mois ont affirmé que l’Algérie, en plus des moyens techniques à sa portée, dispose d’un potentiel humain formé pour assurer la sécurité des systèmes informatiques sensibles. Pourtant, le système de sécurité du site officiel du ministère de la Justice, l’un des plus performants et des plus usités par le public, n’a pas résisté au risque de « défiguration » par les cyber-pirates, qui ont déjoué toutes les protections des données numériques, prendre le contrôle du site et changer son contenu. Comme quoi, on n’est jamais à l’abri des cyberattaques. Une enquête a été ouverte par les services compétents, afin de déterminer les coupables de cette violation de la sécurité du site du ministère de la Justice et informer l’opinion publique à propos de cette cyberattaque, mais le mal est fait et il s’agit plutôt, surtout, de découvrir et corriger la faille qui a permis aux pirates de « défigurer » le site. Et faire en sorte que d’autres systèmes de sécurité de ministères, de grandes sociétés et banques, tiennent bon face à ce genre d’attaque.

    Actuellement, malgré des moyens énormes, techniques et humains, toute l’Europe est en état d’alerte « numérique » face aux soupçons de ripostes des Russes à travers des cyberattaques en réaction aux sanctions décidées à leur encontre par les Occidentaux à l’ombre de la guerre en Ukraine. On voit bien que les cyberattaques prennent une forme de terrorisme d’un nouveau genre. Et les Etats doivent se préparer en conséquence, H 24, pour parer à tout imprévu.

    Le Maroc a depuis longtemps déclaré la guerre électronique, ou cyber-guerre, à l’Algérie, en commençant par la désinformation et allant jusqu’à l’espionnage de personnalités politiques et de journalistes à l’aide du logiciel Pegasus, et on arrive maintenant à faire planer la menace sur les collectivités. Ces derniers jours, les opérateurs de téléphonie mobile ont multiplié les mises en garde à travers des SMS invitant leurs clients à ne pas répondre aux messages «douteux». «Les messages type mails ou SMS qui vous demandent des informations doivent vous alerter, car les cybercriminels cherchent à vous attirer sur de faux sites, qui paraissent vrais, pour vous soutirer des informations ou de l’argent, ou encore dérober vos données numériques». Ce type de mise en garde révèle une autre dimension de cette guerre électronique qui doit impliquer, non seulement des services spécialisés, mais également le citoyen, qui doit adopter les bons réflexes pour se protéger des menaces de cyberattaques. Dans ce contexte, il est très important de sensibiliser les masses sur cette réalité.

    par Abdelkrim Zerzouri

    Le Quotidien d’Oran, 13/03/2022

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  • L’Algérie, se prépare-t-elle pour attaquer le Maroc?

    L’Algérie, se prépare-t-elle pour attaquer le Maroc?

    L’Algérie, se prépare-t-elle pour attaquer le Maroc? – Israël, guerre électronique, drones, Sahara Occidental, Polisario

    Les deux voisins et ennemis de longue date ne se sont jamais affrontés militairement, terrifiés à l’idée d’y laisser chacun des plumes. En dépit de la colère d’Alger dernièrement avec la disparition de 3 de ses ressortissants, qu’elle attribue volontiers au Maroc, les Algériens se gardent de riposter militairement… pour l’instant. Car selon un journal français, les choses pourraient dégénérer…

    «L’Algérie est prête à faire la guerre au Maroc, s’il le faut…», c’est le titre d’un article publié ce mardi 30 novembre 2021 par le journal français L’Opinion. Le fait que le Maroc affiche au grand jour ses solides relations avec Israël inspirerait les pires craintes aux autorités algériennes. Malgré la puissance de l’allié de Rabat, Alger croit en ses chances de faire mordre la poussière aux Marocains grâce à sa prétendue “supériorité militaire“, rapporte Le 360 ce 1er décembre 2021… La source du journal français, qualifiée de “faucon” du régime algérien, n’est pas avare en confidences. «L’Algérie ne veut pas la guerre avec le Maroc, mais elle est prête à la faire». C’est le bruit qui court «dans certains milieux proches de l’armée algérienne», dit le journal français.

    Alors, un risque réel ou une intox pour calmer les ardeurs de Rabat, de Tel Aviv et des Américains ? En tout cas cet informateur algérien ne lésine pas : «S’il faut la faire, c’est aujourd’hui, car nous sommes militairement supérieurs à tous les niveaux et ce ne sera peut-être plus le cas dans quelques années». Ce qui empêche la junte algérienne de dormir sur ses deux oreilles, «c’est le soutien d’Israël au Maroc. Cela va changer la donne, dans un délai que l’on estime à trois ans», indique la source reprise par le journal français.

    «Pour l’instant, les Américains disent aux Israéliens de ne pas fournir de systèmes d’armes qui pourraient provoquer un déséquilibre militaire immédiat en faveur du Maroc», ajoute la source algérienne. «Les armements qui inquiètent le plus les Algériens sont ceux relevant de la guerre électronique et des drones», indique le journal français.

    Il se dit qu’à Alger plusieurs pistes sont étudiées actuellement, mais c’est une «riposte graduée» qui aurait la faveur des stratèges. On parle beaucoup d’une «no fly-zone», un espace aérien où seraient exclus les appareils marocains – notamment les drones –, surtout le survol de la zone régie par le Polisario. On évoque également un soutien aérien aux troupes sahraouies, révèle le journal français, qui écarte toutefois l’idée d’une «offensive terrestre de grand style, avec divisions d’infanterie et brigades blindées (…), le risque d’escalade” serait trop grand…

    Du côté d’Alger il y aurait «une forme d’hubris, de complexe de supériorité qui n’incite pas à la prudence (…). Militairement, nous sommes très supérieurs aux Marocains», confie une autre source algérienne. En l’état elle a raison : «Ce que l’on sait, c’est que l’Algérie consacre beaucoup plus d’argent à son armée que le Maroc. Au cours des dix dernières années, Alger a ainsi acheté deux fois plus de matériels (10,5 milliards de dollars) que le Maroc (4,5)», souligne le journal français.

    Maintenant de là à dire qu’Alger se lancera dans un face-à-face armé avec son voisin, avec tous les dangers que cela recèle, c’est un pas que nous ne franchirons pas…

    Tunisie numérique, 01/12/2021

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  • En allusion au Maroc : L’Algérie est « capable » de contrer « vos » cyberattaques (Belhimer)

    BELHIMER REPOND, SANS LE NOMMER, AU MAKHZEN : L’Algérie est « capable » de contrer « vos » cyberattaques

    Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a affirmé, jeudi, que l’Algérie, l’un des pays les plus exposés à la cybercriminalité, « est capable de faire face aux différentes formes de la cybercriminalité grâce à ses moyens juridiques et ses potentialités humaines et matérielles ». « L’Algérie est capable, grâce à ses moyens juridiques et ses potentialités humaines et matérielles, de faire face aux différentes formes de cybercriminalité. L’opérateur public “Algérie Télécom” a créé un centre opérationnel de cybersécurité visant à contrer toutes les attaques électroniques ciblant l’ensemble des structures de l’entreprise », a indiqué Belhimer dans un entretien au site électronique « Dzaïr News ». « La société Kaspersky a fait échouer 95 000 attaques électroniques contre notre pays, classé en 2018, 1er pays arabe et 14e au monde à être exposé aux attaques électroniques. Le site “Facebook” a démantelé, en novembre 2020, 7 réseaux activant en faux comptes et pages dans cinq pays dont le Maroc », a-t-il expliqué.
    Le ministre a précisé que « cette guerre électronique “malveillante”, connue de tous, est contrée au moment opportun et avec l’efficacité nécessaire par les médias nationaux publics et privés, en sus de la réponse des citoyens aux détracteurs de l’Algérie sur les réseaux sociaux ». Ce propos vise, on ne peut plus clair, la dernière attaque émanant de hackers marocains, à l’instigation du Makhzen, qui ont visé des sites algériens. Belhimer a exprimé le souhait de voir les sites électroniques, qui seront créés en vertu du décret exécutif sur l’activité des médias sur internet, participer « avec force » à la lutte contre les attaques électroniques contre l’Algérie et contre toute atteinte à la liberté et la dignité d’autrui. Répondant à une question sur les piliers de la nouvelle approche du secteur de la Communication, le porte-parole du gouvernement a fait savoir que « ces piliers sont tirés du discours du président de la République dans ses 54 engagements qui ont été confirmés par la nouvelle Constitution et qui sont fondés sur la liberté, la responsabilité et le professionnalisme de la presse, outre le respect du pluralisme médiatique et le développement du secteur des médias électroniques ». Les parties concernées œuvrent à « la mise en place d’une nouvelle réalité médiatique à travers l’amendement et le renforcement du système législatif du secteur en focalisant sur l’exploitation des médias électroniques et de proximité pour accomplir les tâches d’information, d’éducation, de divertissement, de sensibilisation et d’accompagnement des efforts visant l’édification de l’Algérie nouvelle, notamment en ce qui concerne la promotion de l’action démocratique, la réalisation de la justice sociale et la lutte contre les attaques hostiles visant l’unité, la sécurité et la stabilité de l’Algérie ».
    La nécessaire prise de conscience collective
    L’occasion était, pour le ministre, de rappeler l’éditorial de la revue El-DJEICH dans son avant-dernier numéro, dans lequel il a été souligné que pour faire face aux plans hostiles qui ciblent le pays « notre peuple doit prendre conscience de la réalité des objectifs cachés que certaines parties hostiles tendent à atteindre, et ce en s’unissant autour des dirigeants du pays pour leur mise en échec ». Face aux plans subversifs ourdis aujourd’hui contre l’Algérie, Belhimer a affirmé que l’union des rangs et la conscience du peuple demeurent « l’enjeu sur lequel nous misons pour mettre en échec toute conspiration et renforcer le front interne, à travers la vigilance, la solidarité et la cohésion pour parer à toute éventualité », lançant un appel général « à faire preuve d’un haut sens de responsabilité suite aux récents développements ayant mis à nu les plans des détracteurs de l’Algérie ». « Nous ne sommes pas face à de simples pronostics quant aux dangers potentiels, notamment le long de nos frontières, mais plutôt devant des vérités avérées, étayées de faits et de rapports spécialisés, et la guerre électronique enragée contre les institutions de l’État et le peuple ne fera que renforcer la conscience du citoyen et l’amour pour son pays ».
    Concernant la vague de réactions nationales et internationales suscitées par la position du président américain sortant Donald Trump, suite à l’annonce de la normalisation des relations entre le Maroc et l’entité sioniste, en contrepartie de la reconnaissance de la prétendue souveraineté du Maroc sur les territoires sahraouis occupés, le ministre a estimé que « le meilleur commentaire » fait à ce sujet et auquel « nous adhérons complètement », c’est la déclaration du Secrétaire général de l’ONU qui avait affirmé: « Nous l’avons dit très clairement, pour nous (ONU), en ce qui concerne le Sahara occidental, tout reste inchangé. La solution au (conflit) au Sahara occidental ne dépend pas de la reconnaissance individuelle par les États. Cela dépend de l’application des résolutions du Conseil de sécurité, dont nous sommes les gardiens ». Pour ce qui est de la situation des Algériens bloqués à l’étranger en raison de la fermeture des frontières dans le cadre de la lutte contre la pandémie du nouveau coronavirus, le ministre a affirmé que la presse nationale, publique et privée, « accomplit son rôle dans la diffusion de l’information dans ce sens, de même que nos représentations diplomatiques à l’étranger et la compagnie aérienne nationale Air Algérie veillent à la prise en charge de ces citoyens pour leur rapatriement dans les meilleures conditions », a-t-il conclu.
    H. M.
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