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  • L’Algérie abritera le 1er Congrès africain des start-up

    L’Algérie abritera le 1er Congrès africain des start-up

    Tags : Algérie, start-up, Afrique, micro-entreprises, innovation, éco-système africain,

    L’Algérie abritera le 1er Congrès africain des start-up du 5 au 7 décembre, a indiqué, mercredi, un communiqué du ministère de l’Economie de la connaissance, des start-up et des micro-entreprises.

    Organisé par le ministère au Centre international des conférences (CIC) « Abdellatif Rahal », le 1e Congrès africain des start-up verra la participation de ministres africains, de représentants d’instances internationales et continentales concernées par le développement des start-up et l’innovation, ainsi que des experts et des acteurs dans l’écosystème africain, ajoute le communiqué.

    Première du genre, cette manifestation tend à « unifier les efforts gouvernementaux visant à renforcer le rôle des start-up en Afrique et à consacrer leur contribution au développement économique, à travers l’échange d’expertises entre pays autour des politiques générales élaborés à cet effet, ou en facilitant le déploiement des start-up pour favoriser l’accès aux sources de financement régionaux et investir davantage dans l’espace africain ».

    Le Congrès africain sera ponctué par une réunion des ministres africains concernés par l’Innovation et les start-up devant être sanctionnée par une déclaration qui servira de feuille de route aux pays africains participant à ce rendez-vous, en sus d’instaurer une dynamique de coopération entre écosystèmes d’innovation au niveau du continent, précise la même source.

    Il est prévu aussi l’organisation d’une exposition des start-up des différents pays africains, et des assises thématiques animées par des experts internationaux autour de plusieurs questions relatives aux problèmes rencontrés par les jeunes africains innovateurs et les moyens du continent dans le domaine numérique et l’avenir des affaires en Afrique, conclut le document.

    Fil d’Algérie, 30/11/2022

    #Algérie #Afrique #Start_up

  • L’Algérie établit une feuille de route pour une économie fondée sur la connaissance

    Le gouvernement algérien a établi une feuille de route claire pour une transition rapide vers une économie de la connaissance, a déclaré le Premier ministre Abdelaziz Djerad.

    Lors de la conférence Oran Disrupt 2021 sur les startups, il a souligné la nécessité d’intensifier les efforts et d’impliquer tous les acteurs, basés en Algérie ou à l’étranger, pour atteindre cet objectif.

    L’économie nationale a actuellement besoin d’entreprises qui offrent une réelle valeur ajoutée et s’appuient sur la recherche et le développement pour fournir des services et des produits innovants, a-t-il expliqué.

    Le gouvernement a décidé de soutenir les innovateurs où qu’ils se trouvent, a-t-il souligné, citant la mise en place d’un cadre réglementaire pour les startups et d’un fonds d’investissement qui assure un financement fluide des projets innovants, ainsi que des incitations fiscales importantes conformément à la loi de finances pour 2021.

    Djerad a révélé le lancement du premier projet pour les startups, qui aura des branches à travers le pays.

    Pendant ce temps, les réserves de change du pays ont atteint 42 milliards de dollars, contre 60 milliards de dollars au premier trimestre 2020.

    Au début du mois, le président Abdelmadjid Tebboune a souligné qu’en calculant les recettes pétrolières de l’année dernière, qui s’élevaient à 24 milliards de dollars, les réserves de change du pays sont passées de 60 milliards de dollars à 42 milliards de dollars, et elles évoluent chaque semaine.

    La chute des prix mondiaux du pétrole a gravement affecté l’Algérie, membre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), où les exportations de pétrole et de gaz représentent 60 % du budget de l’État et 94 % du total des recettes d’exportation.

    En avril 2019, les réserves ont atteint 72,6 milliards de dollars, contre 79,88 milliards de dollars en décembre 2018 et 97,33 milliards de dollars fin 2017.

    L’Algérie utilise ses réserves de change pour acheter des biens et services d’importation, pour un montant de 45 milliards de dollars par an.

    Le gouvernement a tenté de réduire les dépenses d’importation pour alléger la pression financière causée par la baisse des revenus du pétrole et du gaz.

    Tebboune soulignait alors que « la nouvelle tendance économique est de permettre l’importation de seulement ce dont l’économie nationale a besoin ».

    Asharq Al-awsat, 21 mars 2021

    Tags : Algérie, économie, Algeria Disrupt, startups, innovation, investissement,