Gérard Fauré confirme qu’un ancien ministre français s’est fait poisser au Maroc dans une partouze avec des petits garçons
Étiquette : Jack Lang
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Quand Gérard Fauré confirmait les rumeurs sur Jack Lang au Maroc
Le prince de la cocaïne, Gérard Fauré, revient en force sur la scène médiatique. D’après ses propres mots, il veut vider ses entrailles, « vomir » tout ce qu’il sait sur les pratiques perverses des élites françaises.Suite au succès retentissant de son premier livre, « Le dealer du tout Paris » , il vient de publier « Le prince de la coke ». Si dans le premier il raconte son enfance au Maroc, comment il est devenu délinquant en Espagne, ses braquages de banques… dans le dernier il apporte de nouveaux détails sur les réseaux pédophiles juste au moment où la justice prépare le procès de Gabriel Matzneff, l’écrivain dont les ouvrages contiennent de nombreuses histoires de relations sexuelles avec des mineurs.Pour lui, toute l’élite parisienne est corrompue et le prétendue philosophe et penseur BHL est « le Jeffrey Epstein français ». A cela s’ajoute s’ajoute les policiers et douaniers qui protègent les réseaux mafieux moyennant des belles sommes d’argent.Dans son nouveau livre, il revient sur des faits déjà connus du public français, tel que l’histoire de Frédéric Mittérand et son prétendu tourisme sexuel et il confirme les propos de Luc Ferry, le ministre de l’Education nationale, à propos d’un « ancien ministre » français qui « s’est fait poisser » à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons ». Il fait allusion aux accusations dont Jack Lang a fait l’objet et qui ont déclenché une enquête judiciaire sans résultat.Le Maroc est citée dans tous les scandales sexuels : Jeffery Epstein, Pierre Bergé, Yves Saint-Laurent, Gérard Fauré…. Non sans raison, il a décroche le titre de « La Thaïlande d’Afrique du Nord ».Tags : Maroc, tourisme sexuel, pédophilie, cocaïne, élite française, Gérard Fauré, Jack Lang, Luc Ferry, Jeffery Epstein, Pierre Bergé, Yves Saint-Laurent, Bernard Henry Lévy, BHL, -
Giflés, enfarinés, insultés… La série des politiciens français
Macron giflé, de Rugy et Melenchon enfarinés, Dupont- Moretti Dupond-Moretti s’est fait malmener verbalement par des opposants politiques sur un marché… Une semaine d’enfer, c’est le moins que l’on puisse dire ! Et pour couronner le tout, le directeur de l’Institut du Monde Arabe, Jack Lang est pris à partie en pleine rue par deux dames qui le traitent de « pedophile » et de « pédocriminel » alors qu’il se baladait avec sa femme sans masque dans les rues de Montpellier.
Pourquoi Jack Lang?
L’ancien ministre de la culture de François Mittérand traîne de nombreuses accusations qui n’ont jamais été prouvées, mais qui ont été alimentées par des vérités :
-En 1977, Jack Lang signait une pétition publiée dans Le Monde appelant à libérer trois hommes ayant eu des relations sexuelles avec des mineurs.
-En 1991, il déclarait à Gai Pied : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. »
-En 1995 pendant des primaires socialistes pour la présidentielle, des soutiens de Lionel Jospin répandent les rumeurs sur ses prétendus penchants pédophiles.
-En 2002, des rumeurs auraient été véhiculées par des partisans de Jacques Chirac. Ceux-ci lieraient Jack Lang à une affaire de tourisme sexuel avec des mineurs au Maroc.
-En 2010, il prend la défense de Roman Polanski, poursuivi pour crime sexuel sur une mineure de 13 ans.
– En 2020, il est cité dans une affaire de financement d’une association par Jeffery Epstein.
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«Pédophile», «pédocriminel» : Jack Lang insulté en pleine rue
Alors qu’il était venu assister au festival du Printemps des comédiens avec son épouse, l’ancien ministre de la Culture, Jack Lang, s’est fait prendre à partie par deux femmes qui l’ont traité de «pédophile» et de «pédocriminel». L’ancien ministre de la Culture Jack Lang a été houspillé en pleine rue dans la ville de Montpellier (Hérault) comme le rapporte le Midi Libre. L’actuel président de l’Institut du monde arabe était venu assister au festival du Printemps des comédiens.
Alors qu’il déambulait près du quartier Gambetta, il a été soudainement pris à parti par deux jeunes femmes, l’une d’entre elles prenant soin de filmer la scène relayée le 13 juin sur les réseaux sociaux. «Vous êtes mariée avec le diable», s’est alors écriée l’une des jeunes femmes auprès de Monique Lang, l’épouse de Jack Lang, après avoir insulté l’ancien ministre en le traitant de «pédophile» et de «pédocriminel».
https://platform.twitter.com/widgets.jsL’ancien ministre Jack #Lang insulté de pédocriminel par deux femmes dans les rues de #Montpellier. (via @vecumedia) pic.twitter.com/56RRbS4pu7
— Anonyme Citoyen (@AnonymeCitoyen) June 13, 2021D’après le quotidien régional, les deux femmes faisaient référence à une rumeur qui circule depuis des années sur la supposée participation de Jack Lang à une orgie pédophile à Marrakech durant laquelle il aurait été arrêté par les forces de l’ordre.
S’exprimant fin mai 2011 sur le plateau du Grand Journal (Canal +), le philosophe Luc Ferry avait confirmé l’existence de ce récit mais le nom de l’ancien ministre en question n’avait jamais été révélé. Le mois suivant, Jack Lang avait annoncé au Figaro qu’il entendait poursuivre pénalement ceux «qui mettront [son] honneur en cause».
Selon RTL, Jack Lang avait été entendu en novembre 2012 lors d’une audition «ultra-discrète» par la brigade de protection des mineurs de la police parisienne dans le cadre d’une enquête lancée après les propos tenus par Luc Ferry. L’affaire a été classée sans suite.
RT, 15 juin 2021
Etiquettes : Jack Lang, Maroc, Marrakech, pédophilie, pédocriminalité, orgie, mineurs, Luc Ferry,
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Jack Lang: De Marrakech à Epstein
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Décidement, l’ancien ministre socialiste et directeur de l’Insititut du Monde Arabe arrive toujours à s’en tirer d’affaire. Des rumeurs de partouze pédophile à Marrakech, signataire de la pétition de 1977 et grand ami de Woody Allen, Jack Lang n’est pas sorti de l’auberge. Les détails dans cet article de The Daily Beast
Epstein a financé une fondation étrange liée à un célèbre politicien français, Jack Lang.
Le Daily Beast a appris qu’Epstein a financé une organisation française dont les dirigeants ont des liens avec Jack Lang, qui a défendu des pédophiles il y a plusieurs décennies et qui est un ami de Woody Allen.
Kate Briquelet, Erin Zaleski, William Bredderman
Au printemps 2019, Jeffrey Epstein était persona non grata en Amérique. Le Miami Herald avait publié un exposé sur les abus du financier sur des mineures, le ministère de la Justice avait ouvert une enquête sur son accord de plaidoyer secret de 2008, et les procureurs fédéraux de Manhattan construisaient discrètement de nouvelles charges criminelles contre lui.
C’est peut-être pour cette raison qu’Epstein s’est réfugié à Paris, où tout le monde ne fuyait pas le riche délinquant sexuel. Le politicien français Jack Lang, ancien ministre de la culture et ministre de l’éducation du pays, a déclaré au média Franceinfo basé à Paris que lui et Epstein ont assisté à une fête pour le 30e anniversaire de la pyramide du Louvre en mars 2019 – environ quatre mois avant que le FBI n’arrête Epstein. Lang aurait invité le trafiquant sexuel, qu’il a décrit comme « une personne charmante, courtoise et agréable. »
Maintenant, le Daily Beast a appris qu’Epstein a financé une organisation française dont les dirigeants ont des liens avec Lang, qui, il y a des décennies, a approuvé une opinion dérangeante concernant le sexe avec des enfants de 13 ans et, comme Epstein, est ami avec le réalisateur en difficulté Woody Allen.
Le nom du groupe, L’Association Pour La Promotion De La Politique Culturelle Nationale Menée Dans Les Années 80 Et 90 Du Xxème Siècle, se traduit par « Association pour la promotion de la politique culturelle nationale menée dans les années 80 et 90 du vingtième siècle ». La mission du groupe, énumérée dans les documents d’incorporation français, est aussi vague que son titre : promouvoir les principaux leaders et les réalisations de la politique culturelle de ces décennies.
Pourtant, Lang est réputé pour son influence culturelle à cette époque. Un profil publié en 2016 dans Apollo notait : « La nomination de Jack Lang en 1981 est, avec le recul, la plus déterminante dans l’élaboration de la forme que prend aujourd’hui le ministère de la culture. Les années de Lang à la tête du ministère ont été mémorables, colorées et source de divisions. » Les politiques de Lang « ont également donné un véritable coup de fouet à la créativité et à sa libre expression », note le magazine. Un article du New York Times de 1985 a salué Lang comme une « superstar de la culture française » pour son attrait auprès des jeunes électeurs.
Avant son arrestation en juillet 2019, l’association à but non lucratif Gratitude America Ltd. d’Epstein a versé des fonds à cet obscur projet parisien et à deux autres groupes internationaux : une clinique sexuelle à Rome et une compagnie de ballet lituanienne.
L’organisation française, qui n’a pas de site Web ou de présence sur les médias sociaux, a été lancée en 2018 – la même année où elle a reçu 57 897 dollars de Gratitude America. Deux des anciens assistants de Lang sont des dirigeants de l’association, tandis qu’un employé actuel du bureau de Lang est un représentant du groupe.
Jacques Renard, le trésorier du groupe, était directeur adjoint et chef de cabinet du ministère de la culture de Lang dans les années 1980 et au début des années 1990. Christophe Degruelle, président de l’association, est un conseiller municipal de Blois qui a été chef de cabinet de Lang au ministère de l’éducation de 2000 à 2002.
En 1977, il a signé une lettre publiée dans Le Monde pour défendre trois hommes emprisonnés pour avoir abusé sexuellement d’enfants de 12 et 13 ans.
Degruelle et Lang ont été photographiés ensemble pas plus tard qu’en 2018, et dans une interview de 2016, Degruelle a déclaré avoir passé les trois dernières années à conseiller Lang en tant que président de l’Institut du monde arabe. « J’ai deux passions dans la vie : la politique et la culture. J’ai la chance d’avoir un équilibre entre l’action publique locale et une activité avec Jack Lang qui répond à mes attentes », a déclaré Degruelle.
Pendant ce temps, Fabrice Parsy est nommé comme agent du groupe dans un document signé par Renard, selon les dossiers. Parsy travaille actuellement dans le bureau de Lang.
Sylvie Aubry, fleuriste et propriétaire de boutique, est la secrétaire de l’association, qui partage son adresse professionnelle dans le 14e arrondissement de Paris. On ne sait pas si elle est liée à Lang ou Epstein, ni comment elle est liée aux autres hommes.
Aucun des responsables de l’association n’a répondu aux messages demandant un commentaire.
Lang n’a pas répondu lorsqu’un journaliste du Beast lui a envoyé un courriel pour obtenir un commentaire ; à la place, Parsy a répondu en tant que membre du personnel du bureau de Lang, disant que Lang était occupé à planifier un événement pour l’Institut du monde arabe et n’était pas disponible.
Parsy n’a pas répondu aux messages de suivi du Daily Beast.
Epstein était un habitué des voyages à Paris. Lorsque le FBI lui a passé les menottes sur un tarmac du New Jersey l’année dernière, il revenait d’un voyage dans la capitale française.
Les autorités françaises ont commencé à enquêter sur Epstein en août 2019, après qu’il se soit suicidé dans une prison fédérale américaine. L’enquête française « se concentrera sur les crimes potentiels contre des victimes françaises commis sur le territoire national ainsi qu’à l’étranger », avait alors déclaré le procureur de Paris Rémy Heitz, « et sur les auteurs qui sont des citoyens français. »
Le petit livre noir d’Epstein contenait plusieurs numéros de téléphone français, notamment celui de l’architecte d’intérieur Alberto Pinto-, qui a décoré l’hôtel particulier d’Epstein à New York et a rencontré l’une des victimes d’Epstein à Paris, et celui de l’Hôtel de Crillon, où Aubry est le fleuriste officiel. Le rolodex contenait également une section intitulée « Massage – Paris ».
La police a perquisitionné l’appartement d’Epstein, d’une valeur de 8,6 millions de dollars, avenue Foch, ainsi que les bureaux de l’agent de mannequins français Jean-Luc Brunel, que les avocats des victimes (et même son propre ancien comptable) ont accusé de procurer des filles à Epstein et qui a déjà été accusé de viol lui-même. En 1988, l’émission 60 Minutes a révélé que Brunel avait drogué des mannequins et qu’il avait violé une femme alors qu’elle était inconsciente. (Brunel a nié toutes ces allégations).
Le parquet de Paris a déclaré au Daily Beast qu’il enquêtait également sur la complice présumée d’Epstein, Ghislaine Maxwell, dans le cadre de l’enquête sur les viols et abus présumés de mineurs en France. Maxwell est une citoyenne française, où elle est née et où sa famille possède des maisons. Elle possède également la nationalité britannique et américaine.
Après la mort d’Epstein, l’attention des médias s’est portée sur Maxwell et ses allées et venues, et certains tabloïds ont émis l’hypothèse qu’elle se terrait à Paris.
Maxwell est détenue dans un centre de détention fédéral à New York dans l’attente de son procès pour des accusations liées au réseau sexuel d’Epstein. La mondaine britannique a longtemps nié toute implication dans les crimes sexuels d’Epstein et s’est opposée aux poursuites des victimes qui l’accusaient d’abus.
Virginia Roberts Giuffre, une survivante du réseau de traite d’Epstein, a affirmé qu’Epstein et Maxwell l’ont emmenée à Paris et l’ont forcée à avoir des relations sexuelles avec eux et d’autres personnes, y compris le propriétaire non identifié d’une grande chaîne d’hôtels.
Pour sa part, M. Lang a affirmé qu’il ne savait rien de l’histoire peu glorieuse d’Epstein.
Il a déclaré à Franceinfo qu’il avait rencontré Epstein il y a quelques années, lorsque la princesse Camilla de Bourbon-Two Sicilies, la duchesse de Castro, aurait fêté le réalisateur Woody Allen – également un ami de longue date d’Epstein – dans sa maison à Paris.
M. Lang, 81 ans, a défendu M. Allen à la suite des accusations d’abus sur sa fille, Dylan Farrow, lorsqu’elle avait 7 ans. Le jour où Farrow a fondu en larmes lors d’une interview de janvier 2018 avec CBS This Morning, Lang a tweeté pour soutenir Allen, écrivant « #WoodyAllenforever » et (la faute de frappe, la sienne) « Il t’aime ».
« Pourquoi, dans cette étrange époque, devrions-nous jeter le mépris sur Woody ? Cela aboutit à la pire des choses : une censure économique, un interdit professionnel sur un grand maître du cinéma mondial », a déclaré Lang à Franceinfo, interrogé sur ces tweets. Il a ajouté : « Je ne m’érige pas en juge ou en Cour suprême des mœurs, mais à cette époque, aux États-Unis, il y a eu une sorte de chasse aux sorcières dans la presse, dans certains médias. »
Lang n’est pas étranger à la défense des pédophiles accusés. En 1977, il a signé une lettre publiée dans Le Monde pour défendre trois hommes emprisonnés pour avoir abusé sexuellement d’enfants de 12 et 13 ans. (Selon certains rapports, les victimes avaient 13 et 14 ans). « Trois ans de prison pour des câlins et des baisers, c’est suffisant », peut-on lire dans la lettre du scribe français Gabriel Matzneff, connu pour avoir écrit sur son penchant pour les relations sexuelles avec des enfants. Parmi les autres signataires figurent les intellectuels français Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Les médias ont récemment appelé Matzneff « le Jeffrey Epstein de Paris », après la publication des mémoires de Vanessa Springora, Consentement, qui affirme que Matzneff a commencé à la violer lorsqu’elle avait 14 ans. La police française a demandé à d’autres témoins et victimes des abus de Matzneff de se manifester.
A propos d’Epstein, Lang a déclaré à Franceinfo : « Je ne suis allée qu’une seule fois chez lui, avenue Foch, pour un déjeuner. Il est vrai qu’il était souvent accompagné de plusieurs jolies femmes, mais qui n’étaient manifestement pas mineures. » Il se dit très surpris d’apprendre les accusations portées contre Epstein.
Je ne m’érige pas en juge ou en Cour suprême des mœurs, mais à cette époque, aux États-Unis, il y a eu une sorte de chasse aux sorcières dans la presse, dans certains médias.
– Jack Lang, défendant Woody Allen
Interrogé sur Maxwell, Lang a affirmé qu’il ne se souvenait pas de l’avoir rencontrée mais qu’il connaissait son père, le défunt magnat de l’édition Robert Maxwell. « Robert Maxwell est quelqu’un que tout le monde a rencontré dans les années 1985-1986, pendant le maelström autour de la privatisation de TF1 », a déclaré Jack Lang, en référence à la chaîne de télévision nationale française.
L’homme politique n’était pas le seul visiteur de marque du pied-à-terre d’Epstein.
Le magnat du cinéma en disgrâce Harvey Weinstein a séjourné chez Epstein à Paris et aurait tenté d’agresser sexuellement l’une des femmes du financier lors d’un massage non sexuel.
Pendant ce temps, le majordome français d’Epstein a affirmé que Steve Bannon, l’ancien stratège en chef du président Trump, a fait appel à Epstein à l’automne 2018. (Bannon a également été repéré entrant dans le manoir d’Epstein à Manhattan pour ce que Page Six a décrit comme une « réunion secrète »). L’employé a dit à Franceinfo que le prince Andrew, le magnat de Microsoft Bill Gates et sa femme Melinda, et l’ancien Premier ministre israélien Ehud Barak ont également rendu visite à Epstein à Paris.
Plusieurs survivantes du trafic d’Epstein disent qu’il a abusé d’elles à Paris.
Juliette Bryant avait 20 ans et était une aspirante mannequin quand Epstein l’a attirée d’Afrique du Sud en 2002 en lui promettant des emplois de mannequin à New York. Dans un procès, Mme Bryant affirme qu’Epstein l’a exploitée pendant des années, qu’il l’a violée à plusieurs reprises dans son complexe des Caraïbes et qu’il a abusé d’elle dans ses résidences à travers le monde, y compris à Paris.
Juliette Bryant a été « forcée de se rendre au domicile d’Epstein à Paris, où elle a été hébergée par Ghislaine Maxwell, l’un des principaux recruteurs de jeunes femmes d’Epstein, et où [l’assistante et co-conspiratrice d’Epstein] Sarah Kellen l’a forcée à se faire photographier nue pour Epstein », peut-on lire dans sa plainte. « Au cours de ce voyage, Juliette a été témoin du fait que des jeunes femelles étaient sur appel pour donner du plaisir sexuel à Epstein ».
Une plainte déposée par Teala Davies indique qu’elle avait 17 ans lorsque le financier s’est « glissé dans la chambre de Teala » à Paris et l’a violée en 2003. Une autre plainte déposée par une femme dénommée Mary Doe affirme que le trafiquant l’a invitée « à séjourner chez lui à Paris et s’est arrangé pour qu’elle assiste à un concert en compagnie d’un top model mondialement connu ».
Anouska De Georgiou, mannequin et actrice britannique, a déclaré à la NBC qu’Epstein a abusé d’elle à ses domiciles de Paris, New York et des îles Vierges américaines. Et dans chaque endroit, il y avait ce microcosme d’acceptation, de gens qui disaient « oui », qui agissaient comme si c’était normal », a déclaré Mme De Georgiou.
Giuffre, qui a été victime de la traite des êtres humains par Epstein de 1999 à 2002, a déclaré que lui et Maxwell l’ont abusée sexuellement en France à plusieurs reprises.
Dans une déposition de 2016, Giuffre a déclaré avoir eu des contacts sexuels avec Maxwell, Epstein et une troisième personne (dont le nom a été caviardé) dans un hôtel donnant sur les Champs-Élysées. Par la suite, Maxwell se serait rendu en ville pour recruter une fille pour Epstein.
Maxwell « s’est approché de cette fille française pour me montrer combien il était facile pour elle de se procurer des filles », a témoigné Giuffre. « Je n’étais pas très doué pour ça. Et, vous savez… une partie de ma formation consistait à amener d’autres filles. Alors elle s’est approchée d’elle. En cinq minutes, elle avait son numéro et cette fille est venue plus tard cette nuit-là à l’hôtel et a servi Jeffrey. »
« Je n’ai pas vu Ghislaine avec elle », a ajouté Giuffre. « Je sais juste qu’elle m’a raconté ce qui s’est passé et que Jeffrey m’a raconté ce qui s’est passé. »
Giuffre a déclaré qu’elle avait également été contrainte d’avoir des relations sexuelles avec Maxwell, Epstein et une troisième personne dans une résidence du sud de la France avant une fête d’anniversaire.
Plus tard dans la déposition, Giuffre a déclaré que Maxwell l’avait envoyée chez le propriétaire d’une grande chaîne d’hôtels à l’époque de la fête d’anniversaire du top model Naomi Campbell. « Ghislaine m’a demandé d’aller lui faire un massage érotique », a déclaré Giuffre.
Les relevés de vol du jet privé d’Epstein indiquent qu’il s’est souvent rendu à Paris ces dernières années, y compris juste avant son arrestation. Le 19 mars 2019, son avion a voyagé de New York à Paris, et de là, a fait des escapades à Nice et à Vienne, en Autriche, révèlent les carnets de vol publiés par Business Insider.
Le 2 avril 2019, l’avion d’Epstein s’est rendu de Paris à New York, avant de revenir à Paris le 19 avril. De là, Epstein s’est rendu à Rabat, au Maroc, pendant une journée le 25 avril. Il s’est envolé pour New York trois jours plus tard. Son dernier voyage à Paris a eu lieu le 14 juin.
La « petite amie » d’Epstein, Karyna Shuliak, était à Paris avec lui avant son retour le 6 juillet et son arrestation à l’aéroport de Teterboro, selon le New York Daily News. Shuliak, 31 ans, aurait été la dernière personne à parler à Epstein dans un appel téléphonique enregistré depuis la prison.
Les voyages à l’étranger ont été mentionnés dans un procès que le procureur général des îles Vierges américaines a intenté contre la succession d’Epstein, d’une valeur de 634 millions de dollars.
« La surveillance d’un délinquant sexuel disposant de ses propres îles privées et des ressources nécessaires pour faire entrer et sortir les victimes dans des avions et des hélicoptères privés a présenté des défis uniques et a permis à l’entreprise Epstein de limiter l’examen par le gouvernement des îles Vierges », indique la plainte.
Epstein, un délinquant sexuel enregistré dans le territoire des Caraïbes, « a trompé le gouvernement concernant ses plans de voyage » avant de s’envoler pour Paris.
« Le 19 mars 2019, les îles Vierges ont été informées qu’Epstein se rendrait en France pour 10 jours […]. Son formulaire de notification ne divulguait pas de voyage dans d’autres pays », indique la poursuite. « Il a ensuite été découvert par les autorités chargées de l’application de la loi qu’Epstein s’était également rendu à Vienne et à Monaco au cours de ce voyage. »
Le U.S. Marshals Service enquêtait sur le voyage non déclaré d’Epstein en Europe quelques semaines avant son suicide et a demandé l’aide des autorités en France, à Monaco, en Autriche et au Maroc, selon les documents obtenus par Muckrock.
Selon les documents expurgés, un contrôleur aérien des îles Vierges américaines a affirmé avoir vu Epstein débarquer de son avion avec des jeunes filles à plusieurs reprises entre juin 2018 et novembre 2018. Le contrôleur a déclaré avoir vu des filles qui semblaient avoir 11 ou 12 ans avec Epstein, et dans un autre cas, une fille qui semblait avoir 16 à 18 ans.
Mais deux jours après la mort d’Epstein, le service des maréchaux américains a fermé l’enquête et annulé les demandes d’assistance de la France et des autres pays.
The Daily Beast, 06 oct 2020
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Jack Lang fréauente une personnalité trouble au Maroc
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Jack Lang : cette personnalité trouble qu’il continue de fréquenter au Maroc
Dans les colonnes de Paris Match, en kiosque jeudi 29 avril, on apprend que Jack Lang continue de fréquenter une personnalité très controversée dans le milieu politique, et à qui il a toujours apporté son soutien.
Jack Lang n’a que faire des polémiques. En mai 2011, Dominique Strauss-Kahn était accusé par Nafissatou Diallo, une femme de chambre du Sofitel de New York, d’agression sexuelle. Une affaire qui avait contraint l’ancien ministre de l’Economie à renoncer à son éventuelle course à la présidentielle de 2012, lui valant également de nombreux désolidarisations au sein de la classe politique. Et si nombreux ont été ceux qui lui ont tourné le dos pour éviter le scandale, il y en a un qui lui a toujours été fidèle : Jack Lang. En effet, Paris Match précise que l’ancien ministre de la Culture l’a « toujours souvenu, même pendant le scandale su Sofitel », durant lequel il avait notamment dénoncé un « lynchage médiatique ».
Et tandis que Dominique Strauss-Kahn vit désormais bien loin des ores du pouvoir, il se trouve que Jack Lang et lui se voient régulièrement à Marrakech, où il vit avec son épouse Myriam L’Aouffir. Une amitié quelque peu polémique, mais fidèle entre les deux hommes qui se soutiennent depuis plusieurs années. L’ancien ministre de la Culture avait d’ailleurs été l’un des premiers à défendre l’ancien directeur du FMI accusé d’agression sexuelle, qui avait dénoncé à l’époque un « acharnement » de « la part du système juridictionnel américain et du système médiatique en général ». « A aucun moment, il n’a été possible pour la défense de répondre et il faut encore attendre de nombreux jours avant que DSK soit en état de répondre dans des conditions d’équité », avait-il à l’époque expliqué, estimant même qu’il n’y avait « pas mort d’homme ». Mais une accusation d’agression sexuelle tout de même…
Le frère de Jack Lang coupable d’avoir tué un homme
Une polémique que Jack Lang se fiche bien d’éviter ou non en continuant de fréquenter Dominique Strauss-Kahn, lui qui avait par ailleurs été beaucoup plus prudent lorsqu’en juin 1981, son frère Claude avait été accusé d’avoir tué un homme dans un bar de Nancy. Alcoolisé, il avait attaqué mortellement un homme, plaidant ensuite la légitime défense avant que les médecins ne lui diagnostiquent de lourds problèmes psychiatriques. Au lendemain de cette affaire, le ministre de la Culture avait alors présenté sa démission à François Mitterrand, que celui-ci avait refusé avant de gracier quelques années plus tard Claude Lang.Closermag, 29 avr 2021
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«L’un des plus jeunes dirigeants du monde» : Jack Lang chante les louanges de Joe Biden
Avant de vanter la «jeunesse d’esprit» du président américain, l’ancien ministre de la Culture a déclaré «se sentir un peu Joe Biden» et comparé son action à celle menée par le gouvernement socialiste de François Mitterrand en 1981. Interrogé le 23 avril sur France Inter, l’ex-ministre de la Culture de François Mitterrand Jack Lang n’a pas tari d’éloges à l’égard du président américain Joe Biden.
Après avoir appelé les pouvoirs publics «à renouer avec les années Roosevelt, en France aussi», en référence au plan d’investissements massifs de l’administration démocrate, l’actuel président de l’Institut du monde arabe s’est exprimé en s’adressant au chef d’Etat américain en ces termes : «Biden soyez aussi parmi nous ! Parce que vous êtes certainement l’un des plus jeunes dirigeants du monde par la rapidité avec laquelle vous agissez».
«Oui, je me sens un peu Joe Biden !», a ensuite déclaré l’ancien ministre de la culture socialiste, avant de tenter une comparaison avec le gouvernement dont il fut membre : «Comme nous en 1981, il agit vite et fort et direct, comme nous l’avions fait pour inverser la hiérarchie des valeurs». «Joe Biden nous offre un exemple extraordinaire de jeunesse d’esprit, d’audace d’imagination… Vive Biden !», a-t-il conclu.
RT France, 23 avr 2021Etiquettes : France, Jack Lang, Joe Biden,
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Maroc :Les mystères du Jardin Majorelle de Marrakech
Par S. C. DJAZAIRIA : Un lieu mystérieux où se sont déroulées des partouzes pédophiles comme un must-see !!C’est ce qui continue de se faire avec le Jardin Majorelle qui, malgré la sombre affaire de pédophilie dans laquelle il a été impliqué, l’ex-ministre français de la culture, Jack Lang, n’a pas perdu en popularité. Bien au contraire, le site est un des lieux les plus visités de Marrakech, au Maroc, avec plus de 600.000 visites par an, faisant de cet endroit un des lieux « incontournables » de la ville.Avant de rentrer dans le vif du sujet, résumons, rapidement, le cadre de la pédophilie et de la prostitution de mineurs au Maroc.La Coalition contre les Abus Sexuels sur les Enfants a enregistré 70 victimes de pédophilie, par jour, âgées entre 10 ans et 15 ans, si ce n’est plus vue la réticence qu’ont les victimes d’agressions sexuelles à porter plainte. Ces crimes sont plus rencontrés dans les grandes villes touristiques : Marrakech, Essaouira, Tanger, Tetouan, 70 Soixante-dix,par jour. Prenons le temps de réaliser ces chiffres avec un peu de recul, et lisons-les en prenant conscience de la gravité de la chose, que ces 70 enfants existent bel et bien et ne sont pas que des statistiques répertoriées dans une liste.La pédophilie dans les pays non-occidentaux : plus tolérée ?Pascal Blanchard, historien spécialiste de l’empire colonial français, s’était exprimé à l’occasion de la sortie du film Gauguin – Voyage de Tahiti sur la pédophilie dans les colonies.Le raisonnement est applicable au cas marocain, du fait que la pédophilie, lorsqu’elle est commise au Maroc, ne fait pas rougir autant qu’en France, et que les touristes occidentaux se permettent des choses au Maroc qu’ils ne feraient pas autre part !!.Est-ce que l’innocence, le droit à une enfance heureuse, le droit à la protection contre ce genre de crimes et trafics ne vaut que pour les enfants ressortissants de pays occidentaux ? Les enfants issus de milieux pauvres dans les pays non-occidentaux sont aujourd’hui traités comme des enfants de « seconde zone », à qui l’on peut arracher l’innocence et la candeur, en échange de quelques billets. Il semblerait que les êtres humains sont tous d’accords pour considérer qu’un enfant, quelle que soit sa nationalité, son origine ethnique, son lieu de résidence, sa classe sociale, doit être protégé de la même manière, et que profiter d’un enfant est d’une monstruosité sans nom.Alors pourquoi l’affaire Majorelle, et plus largement la prostitution infantile, n’émeuvent pas de la même manière que les affaires de pédophilie en Occident ?Cette question soulève un problème beaucoup plus large dans le monde d’aujourd’hui, mais on se limitera ici à l’affaire Majorelle pour ne pas se disperser.« Là-bas tout est autorisé, toutes les violences, tous les plaisirs, toute la prostitution ». Plusieurs affaires de pédophilie au Maroc, comme dans d’autres pays non-occidentaux où existe la prostitution infantile répondant aux faveurs des touristes, illustre la manière dont est plus timidement condamnée et diabolisée la prostitution de mineurs en dehors de l’Occident.Complicité des autorités et laisser-faire du MakhzenEn 2013, la grâce royale a été accordée à 48 ressortissants espagnols dont Daniel GalvanViña, surnommé le « violeur de Kénitra », un pédophile ayant non seulement commis 11 viols sur des mineurs âgés entre 4 à 15 ans, mais filmé les actes.Résultat : ce geste injustement favorable au pédophile espagnol a provoqué un tollé au Maroc. Suites aux manifestations et au mécontentement traversant le royaume, et les esprits dénonçant de plus en plus la prostitution infantile, Mohamed VI est revenu sur sa décision.Au Maroc d’une prétendue complicité des policiers marocains, leur silence volontaire en échange de rchwa (pot-de-vin) face à certains touristes qui prendraient part à des rapports sexuels tarifés avec des mineurs marocains. L’avocat de Touche pas à mon enfant, association fondée en 2004 pour combattre la pédophilie, a pu déclarer « le problème, c’est qu’au nom de l’argent, ce pays ne contrôle pas son tourisme. Ce qui ouvre la porte à toutes les dérives. Et notre Code pénal n’est pas adapté. La parole de l’enfant n’est pas écoutée, les accusés sont souvent graciés. »L’affaire Majorelle : un scandale passé sous silenceL’affaire Majorelle éclate en mai 2011, dans un climat propice aux révélations choc, suite à l’affaire du Sofitel avec Dominique Strauss-Kahn. Luc Ferry accusait un ministre français —sans citer de nom— d’avoir commis des actes de pédophilie au Maroc : « un ancien ministre s’est fait poisser à Marrakech lors d’une partouze avec des petits garçons ».Pour beaucoup, le doute porte sur Jack Lang, ancien ministre de la culture. Ce dernier répond subito presto afin de « casser » l’ambiguïté autour de lui et déclare à la presse que « seront poursuivis pénalement tous ceux (journaux et personnes) qui mettront mon honneur en cause ».Cependant, la déclaration de Luc Ferry réveille les souvenirs d’un journaliste de France Télévisions remontant aux « années 2000 ». Il déclare alors aux enquêteurs avoir vu dans le passé une dépêche annonçant l’arrestation de Jack Lang dans un commissariat de Marrakech. Toutefois, un obstacle apparaît : la dépêche en question aurait subitement disparu, ce qui surprend le journaliste qui jure l’avoir lue. À l’issue de l’enquête, plus d’un an plus tard, Pierre Bergé, Yves Saint Laurent et la villa Majorelle, apparaissent dans un rapport publié par le journal VSD. On peut alors lire les propos d’un prêtre français qui prévient de cas de « prostitution de mineurs à la villa Majorelle » et que « dans la Médina, des parents de jeunes victimes se sont confiés à [lui] ».Bergé nie, catégoriquement, ces allégations, pourtant une de ses déclarations reste très ambigüe « Les mœurs étaient plus libres qu’aujourd’hui, spécialement au Maroc. À l’époque, la sexualité était plus débridée, on n’y faisait moins attention » dans l’émission Stupéfiant!.Un livre paraît, écrit par Fabrice Thomas raconte une histoire intime, et relate le passé sulfureux qu’il a partagé dans ce lieu avec des noms célébres. Ce livre est passé complètement inaperçu. On y découvre pourtant des détails sordides et des révélations aussi claires.Est-ce que l’on imagine deux minutes que si l’affaire Majorelle s’était produite en ailleurs, dans un pays occidental, elle aurait été aussi rapidement dissipée ? Le scandale a été étouffé à tel point qu’encore beaucoup de touristes (y compris marocains!) visitent et se pavanent au Jardin Majorelle, en n’ayant nul doute des pratiques sadiques auxquelles s’y sont adonnées des hauts-placés et personnalités importantes.La grossière indulgence envers des célébrités accusées de pédophilie, prime au MarocMalgré les lourdes accusations et témoignages, rapportaient dans ce livre, Yves Saint Laurent et Pierre Bergé jouissent toujours d’une grande notoriété posthume tant en France qu’au Maroc.La rue où se situe le jardin à Marrakech porte le nom du couturier, et la fondation Pierre Bergé ne s’était pas gêné pour exposer et célébrer la culture berbère au sein du musée Yves Saint Laurent, et dans de nombreuses expositions. Profiter du Maroc à tous les niveaux. Quant à Jack Lang, il peut se consoler des rumeurs à son sujet dans sa fonction de président de l’Institut du monde arabe (très malvenu étant donné que les faits dont il est accusé se sont déroulés dans un pays considéré comme étant dans le monde arabe). Il entretient d’ailleurs de très bonnes relations avec la famille royale marocaine.Mais peut-on réellement attendre d’un gouvernement qui gracie des pédophiles sans renom, d’incriminer et punir des personnes avec une telle notoriété ? La grossière indulgence envers ces célébrités accusées de pédophilie prime clairement sur l’honneur et la dignité des Marocains. S.C.DJAZAIRIAEtiquettes : Maroc, Jardin Majorelle, Marrakech, pédophilie, Jack Lang, Institut du Monde Arabe, Luc Ferry, Yves Saint-Laurent, Pierre Bergé, -
Nathalie Bondil, directrice évincée du musée de Montréal, rejoint l’Institut du Monde Arabe à Paris
Sa première tâche au sein de l’institution française sera de développer la programmation et les partenariats internationaux.
Nathalie Bondil, l’ancienne directrice du Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM), évincée l’été dernier à la suite d’une dispute avec le président du conseil d’administration, a été nommée à la tête de la division des musées et des expositions de l’Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris.
Géré par la France et 23 États arabes, l’IMA a ouvert ses portes en 1987 sur la rive gauche de la Seine dans un bâtiment conçu par Jean Nouvel. La conservatrice française a été choisie pour y remplir un mandat de trois ans par un jury présidé par Yannick Lintz, directeur du département islamique du musée du Louvre, et composé de Leila Shahid, ancienne ambassadrice de la Palestine à l’Unesco, de l’architecte libanaise Hala Warde et de Laurent Le Bon, directeur du musée Picasso à Paris. Sa nomination à Paris intervient moins d’un an après son licenciement du MMFA, qu’elle poursuit pour licenciement abusif.
« Nous avons choisi Nathalie Bondil en raison de son profil personnel et professionnel, et du travail remarquable qu’elle avait accompli en 13 ans pour élever le statut international du MMFA », explique Claude Mollard, un proche conseiller de Jack Lang, l’ancien ministre français de la culture qui préside l’IMA. L’institut « entend élargir sa présence en France et à l’étranger », ajoute M. Mollard, « et Mme Bondil devra construire les partenariats et le financement de ces projets, ainsi que leur contenu. »
Sa première tâche à l’IMA sera d’étendre et de remodeler le musée et les galeries qui présentent sa collection d’art arabe historique et moderne. Celle-ci comprend les 1 500 œuvres offertes à l’IMA en 2018 par les collectionneurs Claude et France Lemand, ainsi que les nouvelles acquisitions financées par les deux mécènes et les 700 tableaux déjà présents dans la collection du musée. « Le musée pourra alors présenter la plus riche collection d’art arabe moderne et contemporain au monde après Doha », précise Mollard.
L’IMA a intensifié sa programmation internationale ces dernières années, en envoyant l’exposition archéologique Age Old Cities : A Virtual Journey From Palmyra To Mosul, à Bonn, en Allemagne, à Riyad, en Arabie Saoudite et à Washington, DC, ainsi qu’une autre exposition de photographie libanaise à São Paulo. Il y a trois semaines, elle a inauguré une exposition sur l’histoire du train Orient Express aux Gardens by the Bay, le jardin botanique de Singapour, où Lang a signé un accord pour un programme d’expositions de quatre ans. L’IMA prévoit d’ouvrir un hall d’exposition de 2 000 m² dans le parc de Singapour, conçu par Nouvel, et travaille également avec des partenaires arabes sur un projet d’Institut du monde arabe à New York.
Le licenciement de M. Bondil du MMFA en juillet dernier a provoqué un tollé au Canada et en France. Dans la foulée, le président du conseil d’administration du musée a démissionné et, suite à la recommandation d’un audit indépendant, le ministre de la culture du Québec a promis une révision de la gouvernance du musée. M. Bondil a également poursuivi le conseil d’administration du musée pour licenciement abusif et diffamation, et réclame 1,3 million d’euros de dommages et intérêts. Les premières audiences de l’affaire ont eu lieu au début du mois.The Art Newspaper, 23 avr 2021
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France : Quand la presse se déchaînait contre Luc Ferry pour étouffer un scandale de pédophilie
Un ancien ministre pédophile selon Luc Ferry et Le Figaro Magazine : “Ce n’est pas Jack Lang” selon JF Kahn
– Luc Ferry entendu par la Brigade de protection des mineurs Le Figaro
Addendum 2 juin :
– “Entre sarcasmes et mépris, la presse française se déchaîne contre Luc Ferry.” France 24
– Alain Duhamel : “Une campagne présidentielle nauséabonde”. RTL (vidéo)
– Sur son blog, Jean-Michel Aphatie (RTL) imagine la convocation par la police (BPM) d’Etienne Mougeotte, directeur de la rédaction du Figaro Magazine, du Consul de France à Marrakech et de l’Ambassadeur de France au Maroc à l’époque des faits. RTL
– Dominique Cantien, productrice de télévision et ancienne compagne de Philippe Douste-Blazy, a pris la parole sur sa page Facebook. «A la suite des déclarations de Luc Ferry, j’ai vu que certains d’entre vous, journalistes ou pas, faisaient un amalgame avec ce qui fut uniquement une dispute de couple à la Mamounia avec mon ancien compagnon, Philippe Douste-Blazy. Ceci est d’autant plus ridicule que cet épisode s’est déroulé dans la soirée du 31 décembre 2005 et le 1er janvier 2006… Luc Ferry soulignant qu’il était au courant de cette affaire pendant qu’il était ministre, c’est-à-dire entre 2002 et 2004 ! Je tenais à écrire et préciser ceci afin de faire cesser cet amalgame purement odieux.» Le Parisien
– La presse unanime contre Luc Ferry. AFP
– L’avocat Thierry Lévy dénonce sur RMC le “comportement antipathique” de Luc Ferry (vidéo RMC)
– Causeur.fr : “On le croyait philosophe, on le retrouve concierge”
– L’article de Thierry Desjardins (ancien directeur adjoint du Figaro) mettant en cause Philippe Douste-Blazy a disparu du blog. Dans un nouvel article, Thierry Desjardins explique avoir reçu une mise en demeure de l’avocat de l’ancien ministre.Source : FdeSouche.com
Scandale : Jack Lang accusé de pédophilie par Luc Ferry
C’est une véritable bombe que Luc Ferry a lâché sur un plateau de télévision. Il accuse un ancien ministre de s’être fait prendre en flagrant délit de crimes pédophiles au Maroc.
L’information avait déjà circulé il y a quelques années, notamment sur les ondes de RMC comme le rappel Fdesouche :
Au cours de l’émission « Les Grandes Gueules » diffusée sur RMC les 27 novembre 2008 et 9 septembre 2009, Yves Bertrand, l’ancien directeur central des Renseignements généraux, évoquait aussi un ministre soupçonné de pédophilie dans les années 80. Celui-ci n’aurait jamais été inquiété.
C’est arrêt sur image qui ose lâcher le nom : Jack Lang. Extraits : De quoi, ou de qui, parle-t-on ? Jusqu’ici, ni Le Figaro Magazine ni Ferry n’ont cité de nom. Voici donc le troisième temps: comme le souligne sur Twitter Guy Birenbaum, ces rumeurs avaient été évoquées, et « évacuées », par L’Express en 2005, dans un article entièrement consacré aux rumeurs sur la vie privée de Lang. Il s’annonçait alors comme candidat potentiel à la présidentielle, et le magazine s’était employé à tester la solidité des rumeurs traînant sur son compte, en démontant la plupart et dénonçant les « calomnies » . Lang lui-même y rapportait qu’en 1995, des jospinistes l’ont traité de « pédophile » : « C’était immonde. J’ai trouvé les deux personnages qui racontaient cela. Le premier a fait amende honorable. Le second, je ne lui parle plus. » Au paragraphe suivant, L’Express citait la fameuse rumeur du Figaro et de Ferry. En la faisant démentir par un proche anonyme, de façon très générale : « A l’approche de la présidentielle de 2002, quelques chiraquiens racontent une arrestation de Jack Lang au Maroc, dans une affaire de mœurs, suivie d’une exfiltration discrète organisée par l’Elysée. Pas la moindre preuve, mais les missiles anti-Jospin se préparent, que le 21 avril rendra caducs. «Le plaisir est important dans sa vie privée, conclut un proche, mais il est trop soucieux de la liberté d’autrui pour se livrer à quoi que ce soit d’illégal en la matière.» La capacité de Jack Lang à endurer ces rumeurs et à en parler lui-même, comme il l’a fait avec L’Express, témoigne en tout cas de sa détermination à aller au bout de l’aventure présidentielle. »
Si Jack Lang est véritablement impliqué dans une partouse pédomane au Maroc, l’Elysée et les journalistes seraient complices des crimes pédophiles commis par cette ordure. Le pouvoir politique pour avoir exfiltré Lang du Maroc et étouffé l’affaire, et les journalistes pour n’avoir rien dit au nom de la liberté de la vie privée.
Source : Contre-Info
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Natalie Bondel nommée à l’Institut du monde arabe à Paris
Natalie Bondel, ancienne directrice générale et chef du conseil d’administration du Musée des Beaux-Arts de Montréal, est devenue directrice de la division Musées et Expositions de l’Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris.
Natalie Bondel dirigera un nouveau département à l’Institut du monde arabe, en s’appuyant sur les responsables de chacun des départements du musée, notamment Eric Delpont, directeur du musée, se référant à un communiqué de presse de l’Institut du monde arabe qu’il a obtenu Journalisme.
« Avec leur aide et celle d’experts, il sera chargé de la conception et de la mise en œuvre du nouveau musée de l’IMA, du développement de ses collections et de l’impact de ses expositions, en plus de leurs déplacements dans le monde avec les musées, les institutions et les partenaires. Le communiqué précise que les institutions culturelles des pays arabes soutiennent l’institut depuis sa création. L’IMA vise également à développer ses partenariats en dehors de l’Amérique du Nord et en Asie, notamment à Singapour. «
C’est l’Institut du monde arabe (IMA) qui a contacté le docteur de musée franco-canadien. Elle a déclaré : » Je suis tellement heureuse. » Journalisme vendredi matin.
C’est un projet qui correspond tout à fait à l’ensemble des valeurs que je défends, notamment le multiculturalisme. Un projet avec une réelle volonté de développement international. Avec un élément lié à la rénovation du nouveau musée, grâce à la donation un peu exceptionnelle à l’art moderne et contemporain, la collection Claude et France Lemand, acquise par le président de l’IMA, Jack Lang.
Natalie Bondel mettra à profit son expérience acquise au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) de 1999 à 2020 pour opérer un virage important à l’IMA, qui se tournera plus que jamais vers l’étranger dans les années à venir. « Ce serait un grand changement dans la vie de l’organisation », a-t-elle déclaré. L’Institut du Monde Arabe a besoin de cimenter la place des musées et des collections dans le bâtiment parisien de l’architecte Jean Nouvel, mais aussi à l’étranger. «
Lancé par le conseil d’administration du MMFA en juillet 2020, pour la Fondation du musée de la rue Sherbrooke, l’historienne de l’art a créé une collaboration avec des musées de tous les continents, notamment avec le monde arabe. Parmi eux, le Louvre Abu Dhabi et la Fondation royale des musées marocains, et des artistes contemporains comme Adel Abdel Samad, Arwa Abu Aoun, Layla Al-Alawi, Yasmina Bouziane, et Lalla Al-Sayed ou encore Magda Khattari.
Quelques-uns des avis de l’Institut du monde arabe
L’ancienne présidente du Conseil des Arts du Canada se réjouit de poursuivre le même travail de proximité qu’elle a insufflé au MBAM à Paris.
L’Institut du Monde Arabe a des valeurs très fortes d’engagement social et c’est aussi ce qui me fascine. Je suis très heureuse de travailler avec Jack Lang et son équipe. Toujours aussi cool.
« Par sa stature, Natalie Bondel contribuera à renforcer notre dimension internationale », a déclaré Jack Lang dans le communiqué de presse. Sous sa direction, le musée de l’IMA, dit « musée de France » depuis 2011, renforcera ses liens avec le ministère de la Culture, ses réseaux et institutions, notamment les musées de France et les fonds d’art régionaux. contemporain (FRAC). En suivant l’exemple des actions mises en œuvre par l’IMA avec IMA-Tourcoing, Nathalie Bondil, personnalité très attachée à la mission civique et sociale des musées, contribuera à amplifier nos actions dans la sphère de l’inclusion et de l’éducation artistique et culturelle, notamment dans les quartiers prioritaires de la ville. «
La nomination de Natalie Bondel a été proposée à l’unanimité à l’IMA par un jury réunissant des personnalités indépendantes telles que Laurent Le Bon, président du Musée national Picasso-Paris, Sylvain Amic, directeur du Musée des beaux-Arts de Rouen, Yannick Lintz, conservateur du patrimoine public et directeur du département des arts de l’Islam au Musée du Louvre, et Leila Shahid, ancienne ambassadrice de Palestine auprès de l’UNESCO.Awani Review, 24 avr 2021
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