Pour faire dans la manipulation de l’opinion publique internationale et retarder par la même occasion le referendum de l’autodétermination du peuple Sahraoui qui lutte pour son indépendance depuis 1975, le Makhzen fait dans la provocation comme d’habitude contre l’Algérie qui ne partage pas les même visions et stratégie politique.
Étiquette : Kabylie
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Le Maroc provoque l’Algérie: Qui sème le vent récolte sa tempête
Le Maroc s’en prend encore une fois contre l’Algérie. L’Algérie répond avec sagesse politique et diplomatique sans failles. Se trompant souvent de cibles, le royaume marocain qui vie dans le désespoir distribue des tracts clandestinement ou de manière informelle dans une institution international qui a dit son mot depuis longtemps sur la justesse de la cause du peuple Sahraoui.Le makhzen, ne sait pas que le mouvement autonome MAK est prêt à même se dissoudre pour répondre au makhzen qui réprime la région du RIF. Le RIF aussi est un mouvement populaire Marocain qui veut son autonomie et détachement du makhzen et du Royaume injuste et colonialiste. Le makhzen doit compter le nombre des prisonniers du RIF et du peuple Sahraoui avant de soutenir tel ou tel mouvement.Le makhzen doit répondre au RIF qui réclame la démocratie dans un Royaume colonialiste et dictateur jusqu’aux dents. Surtout après avoir établi des rapports secrets entre les services et marocain avec des éléments du MAK. Eh bien, les éléments du MAK ne sont pas des boucs émissaires marocains pour se soumettre à votre ordre. L’adage populaire algérien le dit si bien « Je déteste mon frère, mais, je déteste beaucoup plus celui qui le frappe».Il suffit de connaitre le terrain et nous sommes sur le terrain pour répondre au makhzen que votre soutien à tel ou tel mouvement est caduc d’avance. Ce n’est pas la première fois que le makhzen fait dans la provocation. Le makhzen ne sait plus à quel sain se vouer ni à quelle institution internationale se plaindre en raison de l’avancement de la cause du peuple Sahraoui.Le Maroc fait face à une double pression interne et externe depuis son rapprochement avec l’entité sioniste, un autre colonisateur de la Palestine et qui se sème la mort et la honte dans le moyen orient dévasté par les guerres entre les pays de la région.Le Maroc se trouve et se retrouve victime de la politique du makhzen qui exploite les richesses d’un autre pays voisions d’une part et d’autres part, alimente le marché mondiale de la drogue via les frontières algérienne, un autre pays voisin qui lutte pour le droit des peuples dans le cadre la légalité internationale. Ce sont deux politiques et deux pays incomparables.L’Algérie active dans la transparence et la légalité internationale. Le Maroc, fait dans le chantage et la nuisance régionale et internationale. Il y a des limites à tout.A. C.Algérie62, 18/07/2021Etiquettes : Maroc, Algérie, Kabylie, Rif, Makhzen, répression, Sahara Occidental, autodétermination, -
Maroc : L’Algérie passe à l’offensive
Maroc, Algérie, Kabylie, Omar Hilale,
SILENCE RADIO DU ROYAUME DU MAROC SUR L’INCIDENT EXTREMEMENT GRAVE DE SON AMBASSADEUR : L’Algérie passe à l’offensive
Non seulement il est coupable d’un incident diplomatique d’une extrême gravité qu’il soutient un invraisemblable « droit à l’autodétermination du peuple kabyle », le royaume du Maroc entretient un silence assourdissant alors que l’Algérie attend officiellement à ce qu’il clarifie sa position sur la dérive dangereuse de son ambassadeur à New-York.
Si cela nous rappelle les propos grossiers, hostiles et provocateurs, du consul de Rabat à Oran, lequel avait qualifié en juin 2020 notre pays d’ « ennemi », ce qui lui avait valu alors une expulsion du sol algérien, en 2021 nous assistons à une attaque encore plus féroce, de façon officielle et assumée devant la communauté internationale.
En osant saisir les pays membres du Mouvement des non-alignés, lors de leur rencontre la semaine dernière, d’une note officielle portant soutien et défense à un « peuple Kabyle » qui « aspire à l’autodétermination » et qui subirait « la plus longue occupation étrangère », l’ambassadeur Omar Hilale s’est jeté en plein dans la gueule du loup. S’il est bien maintenant que le royaume marocain a été officiellement interpellé par l’Algérie pour clarifier sa position sur cette dérive inacceptable est contraire aux mœurs diplomatiques régissant les relations entre pays, voire même rectifier probablement ce qui serait « un mauvais tir » de la part de son diplomate, il s’est imposé jusque-là un silence inexplicable que l’on pourrait assimiler à une attitude assumée en haut lieu dans le palais de Rabat.
En conséquence de quoi, l’Algérie, qui est dans son droit absolu de passer à un autre stade, venait de rappeler immédiatement son ambassadeur de Rabat pour le besoin de consultations sur la question. Mais ce n’est là qu’une première mesure de la part de la diplomatie algérienne qui a pris cette mesure faute d’avoir une réponse de la part de son homologue de l’Ouest. Pas que, la procédure d’usage n’exclut pas en effet pour Alger de procéder à la convocation de l’ambassadeur marocain en vue de s’expliquer sur l’incident à l’origine des propos de Omar Hilale.
Isolé sur les plans régional et international depuis qu’il a violé le cessez-le-feu avec le Front Polisario, en sus d’une répression féroce des Sahraouis dans leurs territoires occupés, le tout « couronné » du fameux deal triangulaire conclu avec Trump et l’État sioniste, le Maroc croit, depuis lors, pouvoir tout se permettre jusqu’à fourrer son nez dans les affaires internes à l’Algérie.Un pays auquel il voue toute l’hostilité et la haine du monde non seulement parce qu’il soutient le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination pour une question d’occupation-la dernière en Afrique-reconnue comme telle par la communauté internationale, mais aussi parce que le grand retour de la diplomatie algérienne aux devants de la scène remet de facto le Makhzen à sa place.
Ainsi, en exhibant ce qu’il croit pouvoir passer pour « la question kabyle », histoire de prétendre tenir tête à la diplomatie algérienne, le royaume du Maroc a tenté, dans son entreprise désespérée, le tout pour le tout. Mais l’offensive diplomatique de l’Algérie ne fait que commencer d’autant plus que notre voisin de l’Ouest s’est imposé le black-out !
Farid GuellilL’Algérie rappelle immédiatement son ambassadeur à Rabat pour consultations
L’Algérie a décidé de rappeler son ambassadeur à Rabat pour consultation avec effet immédiat, suite à la dérive de la représentation diplomatique marocaine à New York qui a distribué une note officielle aux pays membres du mouvement Non-alignés dans laquelle le Maroc « soutient publiquement et explicitement un prétendu droit à l’autodétermination du peuple kabyle », a indiqué, hier, un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, repris par l’APS, dont le texte intégral suivant :« Dans la déclaration du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, rendue publique le 16 juillet 2021, il a été indiqué que l’Algérie attendait du royaume du Maroc qu’il clarifie sa position définitive sur la situation d’une extrême gravité créée par les propos inadmissibles de son ambassadeur à New York. Depuis lors, et en l’absence de tout écho positif et approprié de la partie marocaine, il a été décidé aujourd’hui, le rappel, avec effet immédiat, pour consultations, de l’Ambassadeur d’Algérie à Rabat, sans préjudice d’autres mesures éventuelles en fonction de l’évolution de cette affaire ».
R. N.Le Courrier d’Algérie, 19/07/2021
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Provocation du Maroc à l’ONU : Un acte hostile et insensé
Provocation du représentant du Maroc à l’ONU : Un acte hostile et insensé
Pour tenter de déstabiliser l’Algérie en ces temps sévères, la diplomatie marocaine n’a pas trouvé mieux que d’utiliser des méthodes très éloignées de l’esprit chevaleresque au risque d’allumer un nouvel incendie dans la région.
Le représentant permanent du Maroc aux Nations-Unies, Omar Hilal, a commis une erreur de débutant en croyant souffler sur les braises de la discorde en Algérie. Le document qu’il a distribué aux Etats membres du Mouvement des Non-alignés sur une prétendue revendication séparatiste en Kabylie, inventée par lui, ressemble au geste d’un enfant qui n’a pas encore appris les règles de la bienséance et du bon voisinage.
Diplomate, pourtant, il doit en principe savoir que son acte dépasse les usages des relations entre les nations, même en cas de conflit. Il a préféré volontairement blesser la sensibilité de tout le peuple algérien, en premier lieu les habitants de la Kabylie qui ne transigent pas sur le nationalisme surtout lorsque leur pays, l’Algérie avec ses 2,5 kilomètres carrés, subit une agression même symbolique.
Il est vrai qu’il existe un mouvement qui prêche l’indépendance de la région, mais il ne représente qu’une infime minorité dont la plupart des membres, en commençant par son chef autoproclamé, se trouvent à l’étranger. On est donc loin d’un ersatz de Kurdistan qui n’existe que dans les fantasmes du responsable marocain qu’il invoque par on ne sait quelle pensée qu’il voudrait autoréalisatrice.
Il est à parier que les enfants de la région ne vont pas tarder à s’exprimer avec force et intelligence leur dégoût de cette instrumentalisation paternaliste que le Makhzen voudrait leur faire endosser. L’Etat algérien a, pour sa part, remis les choses à leur juste dimension. ‘’Cette communication, a déclaré le ministère des Affaires étrangère, constitue un aveu de culpabilité concernant le soutien marocain multiforme actuellement apporté à un groupe terroriste connu, comme ce fut le cas avec le soutien aux groupes terroristes qui ont causé l’effusion de sang les algériens au cours de la décennie noire.’’
Il s’agit là, ajoute le MAE, d’une déclaration ‘’risquée, irresponsable et manipulatrice’’ qui ‘’s’inscrit dans une tentative à courte vue, réductrice et vaine visant à créer une confusion honteuse entre le question de la décolonisation ainsi reconnue par le communauté internationale et ce qui est un complot contre l’unité de la nation algérienne’’.
En un mot, celui qui habite dans une maison en verre doit se garder de lancer des pierres aux autres, comme le proclame l’adage.
A.T
La Nation, 18/07/2021
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Après l’ultime acte belliqueux du Maroc : la fermeté d’Alger
Par Nadji Azouz
Par la voie de son loustic diplomatique aux Nations Unies à New-York, le Maroc a reconnu son ingérence directe dans les affaires souveraines de l’Algérie, et annoncé, du même coup, sa volonté d’agir contre son unité territoriale. Dans une note officielle, Rabat consacre donc, formellement et officiellement, son engagement dans une énième campagne d’hostilité contre l’Algérie. A travers, cette fois-ci, un soutien public et clair à un mouvement déclaré terroriste, et précisément à un présumé « droit à l’autodétermination du peuple kabyle » qui subirait « la plus longue occupation étrangère », selon les termes de la note en question.
Cet ultime acte de la stratégie de la tension belliqueuse du Makhzen, est une nouvelle provocation diplomatique, une de trop, qui a suscité une réaction rapide, énergique, posée, pesée et ferme du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, sous la conduite de M. Ramtane Lamamra.
Changement de titulaire du poste, changement de style, changement de substance, et déjà les prémices d’une diplomatie de fermeté, de la raison et de la sagesse en devenir. On en prend en tout cas les bons augures.Dans ce qui apparait comme une riposte graduée, la diplomatie algérienne a d’abord « condamné énergiquement cette dérive particulièrement dangereuse, y compris pour le royaume du Maroc lui-même dans ses frontières internationalement reconnues ». Il a indiqué, dans un second temps, que « l’Algérie, république souveraine et indivisible, est en droit d’attendre une clarification de la position définitive du Maroc sur cet incident d’une gravité extrême ». En troisième lieu, le ministère a rappelé dimanche en fin d’après-midi l’ambassadeur d’Algérie à Rabat, conséquence logique de la nouvelle dérive de la diplomatie marocaine qui est au fond un implicite casus belli. La convocation rapide du représentant diplomatique chérifien à Alger laisse entendre que la réplique proportionnée aurait vraisemblablement d’autres formes d’expression appropriées.
Au-delà des incartades et des dérapages contrôlés ou incontrôlés de son olibrius diplomatique à l’ONU, le Makhzen pratique depuis longtemps à l’endroit de l’Algérie une stratégie de la tension perpétuelle qui ne dit pas son nom, mais qui se vêt des habits de la guerre froide. Le MAE a raison de dire en effet que cette dernière attitude de la diplomatie marocaine est « aventuriste, irresponsable et manipulatrice ».
Et qu’elle « relève d’une tentative à courte vue, simpliste et vaine, destinée à cultiver un amalgame outrancier entre une question de décolonisation dûment reconnue comme telle par la communauté internationale et ce qui n’est qu’un complot dirigé contre l’unité de la nation algérienne ». Autrement dit, les apprentis-sorciers d’une diplomatie marocaine arrogante et impulsive, veulent opposer au soutien de principe indéfectible de l’Algérie à la décolonisation du Sahara occidental, depuis 1973, l’aide active à un mouvement séparatiste et factieux en Kabylie. Quand bien même cette organisation basée à l’étranger serait minoritaire et faiblement représentative dans la région-cible en Algérie.
Le MAE ne se trompe pas lorsqu’il souligne par ailleurs que cette dangereuse fuite en avant « heurte frontalement les principes et les accords qui structurent et inspirent les relations algéro-marocaines ». De même qu’elle « constitue une violation flagrante du droit international et de l’Acte Constitutif de l’Union Africaine ». Toutes choses que l’Algérie se garde de fouler aux pieds, respectant scrupuleusement les principes et les accords à la base des relations bilatérales, l’Acte Constitutif de l’Union Africaine et, de manière plus large, le droit international.
Une inacceptable escalade
Dans le cas contraire, elle aurait soutenu activement l’Amussu Ayerfan n Arrif, le mouvement contestataire berbère du Rif déclenché en 2016 dans les régions de Nador, El Hoceima, Berkane et dans la diaspora rifaine en Belgique et aux Pays-Bas notamment. Et elle aurait usé alors de tous les moyens pour favoriser les germes de la subversion, la sédition et le séparatisme. Elle n’a donc jamais milité pour le droit à l’autodétermination d’une région subissant « la plus longue occupation étrangère », celle du Makhzen.
Cette inacceptable escalade belliciste du Makhzen, est manifestement encouragée par la reconnaissance par l’Administration Trump du fait accompli annexionniste du Sahara Occidental. Elle est boostée également par l’alliance stratégique concomitante avec l’Etat sioniste d’Israël, sur les plans diplomatique, commercial, culturel et militaire, ainsi que dans les domaines du renseignement et de l’espionnage sous toutes ses formes, classiques et numériques à proprement dire.
Elle a surtout eu un effet hautement bénéfique pour l’Algérie, et nettement contreproductif pour le Maroc : le renforcement considérable de l’esprit unitaire en Kabylie et la consolidation politique du front intérieur en Algérie. On a alors observé que les Algériens prennent de plus en plus conscience des menaces stratégiques à ses frontières, dont celle qui émane de l’Etat d’Israël désormais présente le long des 1559 kilomètres de frontière avec le Maroc.
Prise de conscience aussi à l’égard des grands défis de la crise économique amplifiée, à grande échelle, par les effets pandémiques du Covid 19 mutant. On en juge particulièrement par certaines positions politiques et par certaines réactions sur les réseaux sociaux, fort nombreuses au demeurant, qui soulignent, à l’unisson, que le Makhzen a franchi désormais une ligne rouge et qu’il n’a pas intérêt à aller au-delà.
A quelque chose algérienne, malheur marocain est donc bon ! Car la diplomatie de la morgue et de l’outrecuidance makhzenienne a révélé très vite en Ramtane Lamamra un penchant naturel pour une diplomatie de l’intelligence, la fermeté, la raison et la sagesse. « C’est dans la rigueur de l’hiver qu’on voit la qualité du pin », disait Confucius.
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Manœuvres marocaines contre l’Algérie: Condamnations unanimes
Suite à la grossière provocation marocaine au niveau de l’ONU où un diplomate du Royaume a distribué un document portant sur le prétendu «droit de la Kabylie à l’autodétermination», une vague de condamnations unanimes répond à la manœuvre hostile du Makhzen. Du ministère des Affaires étrangères à la société civile, en passant par les partis politiques, les Algériens mettent en garde les autorités marocaines quant à cette «dérive» de trop.
L’incident s’est produit vendredi lorsque la représentation diplomatique marocaine a distribué, dans les couloirs de la maison onusienne, à New York, un document subversif contre l’unité et l’intégrité territoriales de l’Algérie remis aux pays membres du Mouvement des Non-Alignés. Un torchon portant sur le prétendu «droit à l’autodétermination de la Kabylie qui subit la plus longue occupation étrangère». Cette offense à l’Histoire de l’Algérie et à l’unité de son peuple voudrait s’imposer fallacieusement comme une riposte au soutien indéfectible d’Alger à la cause sahraouie selon les résolutions de l’ONU en faveur de l’organisation d’un référendum d’autodétermination. La réaction de la diplomatie algérienne ne s’est pas faite attendre : «L’Algérie condamne énergiquement cette dérive particulièrement dangereuse, y compris pour le Royaume du Maroc lui-même dans ses frontières internationalement reconnues. Dans la situation ainsi créée par un acte diplomatique douteux commis par un ambassadeur, l’Algérie, République souveraine et indivisible, est en droit d’attendre une clarification de la position définitive du Royaume du Maroc sur cet incident d’une gravité extrême.»Sang-froid algérienFermeté et retenue cependant de la part du MAE algérien parce que ce diplomate marocain a agi sans mesurer les conséquences d’une pareille initiative toxique et hostile à l’Algérie qui n’a jamais attisé aucun conflit interne au Royaume chérifien comme les révoltes du Rif, celle de la petite ville côtière d’El Hoceima. En effet, l’Algérie prônant la non-ingérence à l’échelle internationale, n’acceptera jamais qu’un pays tiers ne vienne tenter de monter des Algériens contre les autres à travers des groupuscules d’individus, désormais répertoriés comme des activistes d’une organisation classée terroriste -le MAK- dont les commanditaires ne cachent pas leurs accointances avec des parties ennemies de l’Algérie. D’ailleurs, l’affront marocain a provoqué une vague d’indignation dans la société algérienne et de nombreuses voix ont condamné cet acte irresponsable.Réactions en cascadeL’’Organisation nationale des enfants de Chouhada (Onec) a «vigoureusement» condamné l’action entreprise par la représentation marocaine à New York, selon un communiqué qui rappelle un fait historique très significatif en matière d’unité nationale rappelant «La Guerre des sables de 1963, lorsque le colonel Mohand Oulhadj, commandant de la Wilaya III historique (région de la Grande Kabylie) a rejoint les cinq autres wilayas et rallié le front du combat pour affronter le Makhzen marocain qui a tenté de s’infiltrer dans le territoire algérien, après que les forces coloniales françaises s’étaient retirées.»Le Rassemblement national démocratique dénonce «un acte qui dénote clairement le soutien actuel du Maroc à un groupe terroriste connu et met à nu le plan caché derrière la normalisation des relations avec l’entité sioniste, dont le but est d’ébranler la stabilité de l’Algérie et de consacrer officiellement l’engagement du Royaume du Maroc dans une campagne hostile à l’Algérie», le Parti de la Liberté et la Justice (PLJ) condamne «une action terroriste et une agression éhontée exercée par le régime du Makhzen sioniste haineux envers l’Algérie, par procuration au nom de ses seigneurs». Le Mouvement El Bina, pour sa part s’est dit, samedi, «profondément choqué». Le Front de Libération Nationale, quant à lui, rappelle que «la Kabylie est indissociable de l’Algérie, une et indivisible.» Ajoutant «L’annonce du soutien du régime marocain, vassal et collabo du sionisme, à un mouvement terroriste et à une prétendue indépendance d’une région très chère du territoire national est une agression contre l’Algérie, une et indivisible, dont la moindre parcelle de terre s’est abreuvée du sang des Chouhada». D’autres voix, parmi la société civile, se sont élevées contre la manœuvre marocaine. Ainsi, le militant des droits de l’Homme, Mahrez Lamari, s’est indigné face à «la politique haineuse d’obstruction du Maroc, hostile à l’Algérie subversive (…) une dérive irresponsable, immorale et provocatrice» et de déclarer que «le peuple algérien restera, mobilisé, déterminé et agira dans l’union et l’unité pour faire face à toutes les manœuvres rétrogrades.» Pas de réaction publique pour l’instant du côté des partis de l’opposition mais sur les réseaux sociaux, les condamnations sont unanimes déplorant une hostilité qui ne sert pas les peuples frères marocain et algérien qui ne cautionnent pas la division ni ces complots orchestrés par des officines étrangères et exécutés par un Makhzen qui préfère la diversion à la sérénité et au respect des résolutions onusiennes contre l’occupation du Sahara Occidental.Nordine MzalaCrésus, 18/07/2021Etiquettes : Algérie, Maroc, Kabylie, Omar Hilale, -
Provocation marocaine : Les concernés doivent y répondre
Par S. Méhalla
«Une nation sans richesse est une nation pauvre, une nation sans patriote est une pauvre nation». Je ne saurai convoquer ma mémoire quant à l’auteur de cette sentence méditée, par contre il en conviendrait de l’évaluer opportune avec la conjoncture que nous, Algériens, vivons. Gouvernement aux apparences exclusivement administratives, crises, tentatives de manipulations, slogans provocateurs incitant à la division à l’affiche, travestissements virtuelles sur les réseaux sociaux de félons de tout bord, sans pudeur aucune, et à visage découvert…
Que se passe-t-il donc dans un pays dont l’existence se confond avec la parution de l’homme sur terre ? Rien que ça…
Nous nous tourmentons à assumer qui nous sommes et d’où nous venons même si le contexte culturel, social et politique des années 70 a évolué depuis longtemps.
Il nous faut délivrer notre histoire de l’obscurantisme idéologique, politique soit-il ou religieux, afin de nous estampiller des diverses fourberies des cocus à la Nation et à la République. Nous devons, un jour ou l’autre, adhérer à ce que nous sommes, arabo-berbère. Voire un métissage beaucoup plus complexe. Laissons l’histoire nous identifier. Nous parler. Nous réconcilier peut être si besoin. Pourquoi ressentons-nous la nécessité de maquiller notre ADN ? À quel dessein répond l’idéologisation du fait historique alors que nous existons sur cette terre en tribus et nomades unis depuis le néolithique ?
À-t-on besoin de l’élan hypocrite d’un vassal marocain, ridicule bonimenteur s’il en est, pour gratouiller un bout notre institution diplomatique en postillonnant notre histoire, notre intraitable unité ?
À quel moment de notre histoire, aussi lointaine soit-elle, les Algériens étaient divisés ? Salluste et Herodote en parlent de cette caractéristique d’Ikosim toujours unie avant l’histoire même si les berbères eux même parlent plusieurs langues. Offrons la parole à l’histoire afin que nous enfants ne soient pas dupes des vents contraires.
Quant à l’ambassadeur du makhzen, c’est aux Kabyles de ce pays de riposter en premier lieu. L’occasion leur est offerte de stopper les tentatives de cet avocat du diable, de la main étrangère qui est aujourd’hui prouvée.
Sur un autre plan, notre pays dispose d’importants moyens pour répliquer à ce genre de mesquinerie. Utiliser les intellectuels binationaux, les fervents attachés et amoureux du pays d’origine. Les encourager. Lancer, à travers eux, des campagnes via les médias étrangers, influencer via les réseaux français notamment. Plus de six millions de binationaux en France est un potentiel humain en veilleuse qui peut, en un sursaut patriotique, imposer le respect vis à vis du pays d’origine. Il faut inspirer le déclic. Faire peur pour se faire respecter. Nous n’inventons rien. Marocains, eux même, Arméniens, juifs sioniste, Chinois utilisent ces porte-flingues intellectuels, leur savoir, leurs réseaux d’amis… pour éveiller el ihtiram, être une inestimable force au service du pays d’origine et un relais international influent. Le patriote reste patriote là où il se trouve…
Pourquoi notre pays a perdu sa poigne et sa main de fer des années 70 ?
Chenapans et gigolettes tels ce loser de Aboud Hicham et ses acolytes, il y a longtemps qu’ils auraient été…
Crésus, 17/07/2021
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Algérie : « Le Maroc joue avec le feu et il va se brûler »
Benzaïm: « Le Maroc joue avec le feu et je pense que cette fois, il va se brûler »
Le sénateur du Front de libération nationale (FLN), Abdelouahab Benzaïm, s’est exprimé concernant la polémique entourant les agissements des représentants diplomatiques marocains à New York.
En effet, le politicien a exprimé son indignation, hier 17 juillet 2021, face au comportement de l’ambassadeur du Maroc au RoyaumeUni, qui a distribué une note officielle contenant le soutien du Rabat « à l’autodétermination de la Kabylie ».
Dans une publication postée sur son compte personnel Facebook, le sénateur a déclaré : « Le Maroc joue avec le feu et je pense que cette fois, il va se brûler. »
Ce dernier a surenchéri en exhortant les autorités compétentes à « convoquer notre ambassadeur au Maroc et à expulser au plus vite l’ambassadeur du Maroc en Algérie ».
Toujours selon ce dernier, le Maroc a franchi une ligne rouge.
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Algérie: Rahabi appelle à une action ferme contre le Maroc
Le diplomate et ancien ministre, Abdelaziz Rahabi, a qualifié samedi d’acte “hostile” le soutien au sein de l’ONU du Maroc au mouvement séparatiste le MAK, appelant les autorités du pays à réagir avec fermeté contre “l’escalade programmée” du voisin de l’Ouest.
« L’appel du Maroc à la sédition en Algérie ne relève pas d’un simple acte diplomatique mais d’une action hostile à son unité et une escalade programmée dans la stratégie de la tension permanente dans la région » , a écrit Abdelaziz Rahabi sur sa page Facebook.
Pour l’ancien ambassadeur et ancien ministre de la communication “l’Algérie, peuple et État, doit réagir avec force et fermeté ” contre la posture marocaine.
Vendredi, le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger a condamné “énergiquement” ce qu’il a qualifié de “dérive particulièrement dangereuse ” de la représentation diplomatique marocaine à New York, qui a distribué, récemment, au pays membres du Mouvement des Non-Alignés une note officielle dont laquelle le Maroc soutient publiquement et explicitement un prétendu “droit à l’autodétermination du peuple kabyle “.
Le Jeune Indépendant, 17/07/2021
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Nouveau coup de poignard du Maroc dans le dos de l’Algérie
Le Makhzen marocain a poignardé l’Algérie dans le dos après que le plan agressif qui se prépare dans les coulisses ait éclaté au grand jour avec la reconnaissance d’un témoin de son peuple ayant rang d’ambassadeur auprès des Nations Unies nommé Omar Hilale, qui a appelé publiquement à l’indépendance de la région de Kabylie de l’Algérie.
Contrairement à toutes les attentes du Makhzen, la tentative de déstabilisation de l’Algérie à travers le projet de division de la nation, a contribué à unir les Algériens et à renforcer plus que jamais leur unité, tout comme ce fut le cas lorsque le Maroc a tenté d’exploiter les divergences des Moudjahidines et a lancé une attaque contre l’Algérie lors de la guerre des Sables en 1963.
Les rêves du royaume se sont évaporés, et la manœuvre de partition s’est transformée en un motif de réunification des partis algériens qui, malgré leurs divergences politiques internes, n’ont pas hésité à rejoindre le front de bataille sur les frontières occidentales, comme les soldats du FFS.
Les poisons que le Maroc veut planter en Algérie pour diviser le pays peuvent renverser le trône du royaume car le peuple algérien, qui est considéré par le Makhzen « sous occupation en Algérie », est le même peuple qui constitue un grand pourcentage de la société marocaine qui souffre d’abus et de toutes les formes d’oppression dans la région du RIF. Comme à Al Hoceima, où plusieurs militants amazighs sont détenus dans les prisons marocaines, comme le leader du mouvement du Rif, Nasser Zefzafi, qui a été condamné à 20 ans de prison.
La tentative de Rabat de promouvoir un projet séparatiste en Algérie, pourrait d’abord prendre d’assaut les frontières internationalement reconnues du Royaume du Maroc et faire renaître le projet de République du Rif fondé par Abdelkrim el-Khattabi sous le nom de République fédérale des tribus du Rif.
La machination malveillante qui se préparait contre l’Algérie, dénoncée par les autorités civiles et militaires, s’est avérée ne plus être des mots visant à intimider les Algériens, mais un véritable projet qui s’inscrit dans un agenda étranger, surtout après la normalisation sioniste-marocaine.
Echourouk online, 17/07/2021
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Maroc-Algérie: Loi du talion
Omar Hilal qui représentant du Maroc auprès de l’ONU, pratique l’art subtile et raffiné de la diplomatie comme le ferait un éléphant perdu dans un magasin de porcelaine. Ce faisant, il prend modèle et exemple sur son « mentor » Nacer Bourita, le ministre des Affaires Etrangères du royaume chérifien. Pour ce tandem de choc, l’idée de mettre les pieds dans le plat est une règle de base et non plus une exception. Pour eux, même le sacrifice (publiquement assumé) de 10.000 sujets marocains doit être mené à son terme si la finalité consiste à faire mal au voisin du nord espagnol. Le Maroc, depuis des lustres, n’est mu que par une haine viscérale envers les autres, et une féroce envie d’accaparer ce qui ne vous appartient pas. De trahir aussi.La coalition arabe a perdu en un temps record sa « guerre de six jours » à cause de la collaboration étroite du défunt roi Hassan II avec les services secrets sionistes du Mossad. Son rejeton, ne pouvait certes pas s’arrêter en si… mauvais chemin. C’est avec des armes sionistes qu’il réprime son propre peuple, et poursuit sa guerre d’occupation coloniale du Sahara Occidental. Sa normalisation publique avec l’entité sioniste n’est que le voile levé sur des relations secrètes, incestueuses et honteuses entre ces monstres colonialistes et expansionnistes. Les uns occupent et oppriment la Palestine tan disque les autres en font autant avec les Sahraouis. Les deux peuples sont arabes et musulmans.Ramtane Lamamra, notre chef de la diplomatie, dont chaque mot et chaque geste donne des sueurs froides au roi Mohamed VI, avait très certainement raison de soulever la problématique de l’occupation illégale du Sahara Occidental a sein des Etats non-alignés, au risque de froisser la fausse sensibilité de notre trublion voisin de l’ouest. Ne as le faire aurait consisté à tourner le dos aux principes mêmes qui constitue le creuset de la grande nation algérienne. La Mecque des révolutionnaires n’aura jamais de cesse de demeurer au chevet des peuples qui souffrent, et qui luttent pour leur indépendance et leur émancipation. Nos amis et frères Palestiniens, et Sahraouis aussi, savent qu’ils peuvent compter sur nous en tous lieus, et en toutes circonstances.Parler du Sahara Occidental, cette ultime colonie infamante pour notre cher et beau continent, ne relève dès lors pas de la provocation comme a tendu à l’accroire le Maroc. Le Sahara Occidental en effet est un territoire non-autonome au regard du droit international. Son administration relève des instances onusiennes en attendant que le peuple sahraoui décide librement et souverainement de son destin via la voie référendaire.En revanche, parler du Mak, ce mouvement terroriste, c’est mettre les pieds dans le plat, commettre une incommensurable maladresse, franchir le Rubicon et trahir son extrême fébrilité. C’est également avouer que ce mouvement indépendantiste, que le peuple algérien rejette et dénonce de tout son être, bénéficie bel et bien de larges soutiens financiers, matériels et armés de la part du Makhzen. Cela s’était déjà produit quand le criminel et sanguinaire GIA se servait du Maroc comme base de repli arrière et que Hassan II voulait faire de l’Algérie un « laboratoire à ciel ouvert ».L’hystérie marocaine, qui ne semble décidemment pas connaitre de limites, a poussé Omar Hilal à ouvrir la boite de Pandore. Son suicidaire aveuglement lui a fait perdre de vue de quelle manière les populations de Sidi Ifini, dans le sud du royaume chérifien, se battent pour leur indépendance et leur émancipation depuis au moins 2004, et comment les populations de ces régions, réfugiées dans les montagnes avoisinantes, subissent vols, viols, mises à sac, justice sommaire et arbitraire structurel et institutionnalisé. Le cas Nasser Zefzafi n’en est que l’infime partie émergée d’un incommensurable iceberg. Ce soulèvement populaire qui perdure depuis une bonne vingtaine d’années cristallise les effets pervers de la politique makhzenienne basée sur le colonialisme de population qui, doit-on encore le rappeler ici, incarne bel et bien un crime contre l’humanité.Voilà la vérité toute crue. Plus besoin de faire montre de doigté pour évoquer publiquement les trop nombreuses dérives que commet le Maroc envers ses propres sujets. Dans ce cas d’espèce, il serait effectivement question de non-assistance à personnes en danger Rabat a tort de se risquer à ce type d’escarmouches. Ma réserve de banderilles me suffirait à ensanglanter totalement les flancs découverts de la diplomatie marocaine. Or, la magnanimité n’est plus de mise désormais. Place à la loi du talion. Avis !M.A.La Patrie News, 17/07/2021Etiquettes : Algérie, Maroc, Kabylie, Sahara Occidental,