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  • Maroc. Hassan III, un successeur contesté

    Maroc. Hassan III, un successeur contesté

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    L’imperméabilité légendaire des murs du palais royal de Rabat est mise à rude épreuve à mesure que s’esquissent les éléments du crucial débat sur la désignation du futur héritier d’un trône auquel ne doit pas accéder le fils de Mohammed VI, selon les membres de la famille royale.

    Des influenceurs marocains, en exil, activant sur les réseaux sociaux, évoquent d’ailleurs à présent la question ouvertement et décrivent toute l’hostilité des princesses à l’encontre de l’héritier…

    Abla Chérif – Alger (Le Soir) .- Les informations foisonnent à souhait à travers le Maroc et bien au-delà des frontières où la contestation que mènent les sœurs de Mohammed VI pour empêcher l’accession de Hassan III au titre de roi devient presque sujet public. Des influenceurs marocains, en exil, activant sur les réseaux sociaux, évoquent d’ailleurs à présent la question ouvertement et décrivent toute l’hostilité des princesses à l’encontre de l’héritier, sur la question de la succession principalement.

    Les fins connaisseurs du dossier marocain hésitent à expliquer cette attitude par une quelconque relation avec leur animosité à l’encontre de la princesse Lalla Selma, séparée du roi depuis 2019. Cette situation est davantage mise sur le compte de la personnalité de Hassan III et son aptitude à prendre les rênes du pays. À dix-neuf ans, le fils unique de Mohammed VI a déjà alimenté de nombreuses polémiques sur sa manière de percevoir les us et coutumes de la royauté en se montrant notamment réfractaire au sacro-saint baisemain. À quatorze ans, des photos et vidéos le montrant retirer sa main ou refuser de la tendre aux ministres et membres de la cour lors de cérémonies officielles ont fait le tour du monde. Elles ont été surtout commentées et perçues comme étant le reflet évident de la personnalité que dégage un « enfant gâté, secoué par le divorce de ses parents et surtout projeté dans les milieux officiels sans avoir montré sa disposition ou prédisposition à se plier aux règles royales comme l’ont fait son père et les autres rois avant lui », explique-t-on.

    À dix-neuf ans, Hassan III se trouve déjà doté de la somme de… 1,4 milliard d’euros. À travers le monde, il est présenté comme étant «l’enfant le plus riche».

    Mais c’est surtout sa fortune qui focalise l’attention des sœurs de Mohammed VI. À dix-neuf ans, Hassan III se trouve déjà doté de la somme de… 1,4 milliard d’euros. À travers le monde, il est présenté comme étant « l’enfant le plus riche ». Une fortune enviée, contestée par ses tantes qui voient d’un mauvais œil un prince de cet âge à la tête d’un tel magot, une situation qui, selon elles, ne fait qu’accentuer, aggraver la légèreté et l’insouciance de celui qui est légalement désigné pour la succession au trône.

    Le sujet est aujourd’hui aussi lié de manière directe à une guerre d’héritage, expliquent des diplomates arabes très au fait de l’évolution de la situation au Maroc, « car les sœurs estiment avoir été lésées dans le partage, au même titre que leur frère le prince Rachid, second prétendant au trône en cas de disparition du fils du roi ». À l’inverse de ses sœurs, ce dernier ne prend pas part à la contestation que mènent les princesses. Inhibé par la personnalité de Mohammed VI, écarté du monde politique (les spécialistes utilisent le terme de castration politique), il est relégué aux activités associatives et sportives et se tient à l’écart de tout ce qui peut faire du bruit. Son attitude ne lui permet pas non plus de faire corps avec le roi en s’opposant à ses sœurs entrées de plain pied dans « une révolution de palais ».

    Si le débat autour de la personnalité de Hassan III est aujourd’hui accentué, et que le sujet de l’hostilité des princesses dépasse à présent les murs du palais royal, c’est qu’ils interviennent à un moment où la question de la succession est d’une certaine manière déjà là. Elle est naturellement suscitée par la santé de Mohammed VI, qui apparaît de plus en plus fragilisé, fatigué, au point de ne pouvoir mener au bout un discours sans interruption et sans essoufflement surtout. Le nombre de personnes habilitées à être présentes lors de ses activités officielles est très réduit et se résume en général à son frère, Moulay Rachid, ou ses ministres les plus fidèles. On a vu aussi le roi annuler toutes les festivités devant célébrer la fête du trône en imputant cette décision au Covid avant de s’envoler le soir de cette date symbolique pour Paris. C’est la troisième fois qu’il se rend en France depuis le mois de juin dernier en justifiant ses déplacements par la présence de sa mère hospitalisée sur le sol français.

    En réalité, la France est sa principale destination depuis l’acquisition de son château de Betz, au nord-est de Paris, un pied-à-terre royal qui lui permet la proximité avec les centres de décision de l’Hexagone où devra aussi être tranchée l’épineuse question de la succession. « Azoulay (l’homme le plus influent du palais royal) y travaile, ce n’est un secret pour personne, le trône est entre ses mains», confirme un diplomate arabe.

    Le Soir d’Algérie, 14/08/2022

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  • Maroc : La mainmise des sœurs de Mohamed VI sur les affaires

    Maroc : La mainmise des sœurs de Mohamed VI sur les affaires

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    Alors qu’il est de notoriété publique que la holding privée de Mohammed VI, Al Mada s’octroie allégrement des revenus astronomiques en contrôlant prés de deux tiers de l’économie marocaine, d’autres membres de la famille royale partent eux aussi à la conquête de créneaux toujours plus diversifiés : immobilier, tourisme, enseignement supérieur et même industrie aéronautique.

    C’est d’ailleurs de cette manière que les sœurs et les proches du roi ont bâti un petit empire dans lequel, même les grandes entreprises du pays sont contenues. Il s’agit aussi bien des télécoms, ou encore le BTP et même la sécurité. Des secteurs investis en forme de sous-traitants des sociétés royales.

    Aussi, il ne se passe pas de jour sans que celui-ci apporte son lot de scandales.

    Après la fameuse affaire d’espionnage avec le logiciel israélien Pegasus qui a fait couler beaucoup d’encre, celui-là, le royaume chérifien est en proie à un autre scandale, d’évasion fiscale. En effet, selon l’agence d’information russe Sputnik, qui a eu accès à une partie des 11,9 millions de documents financiers, de courriels et d’images etc. fuités et révélés au grand jour par l’enquête dite « Pandora Papers » -menée par un consortium mondial de journalistes d’investigation- la famille royale marocaine est impliquée à travers la sœur cadette de Mohammed VI, la princesse Lalla Hasna.

    Sœur du roi Mohammed VI, la princesse Lalla Hasna vient de créer une fondation aux Pays-Bas pour y transférer une partie de ses actifs détenus à l’étranger. Sa sœur ainée Lalla Asma dispose d’une structure similaire depuis 2019.

    La nouvelle enquête implique directement la sœur de « Sa Majesté » parmi les centaines de personnes qui auraient recouru à des sociétés-écrans pour s’offrir à coup de millions de dollars des biens immobiliers en Europe.

    Ainsi, selon les documents secrets fuités, Lalla Hasna est accusée d’être la propriétaire de la société-écran « Oumaila Ltd. » localisée dans les îles Vierges britanniques. Une société qui a servi à l’achat, en 2002 d’un manoir à 11 millions de dollars (9,5 millions d’euros) dans un quartier huppé de la capitale du Royaume-Uni, situé près du palais de Kensington. Le comble du scandale c’est que l’enquête a révélé que le montant déboursé pour la transaction est prélevé dans les fonds de la famille royale marocaine.

    Il faut dire que de par ses liens étroits avec son frère, la princesse est connue pour avoir un accès direct à ses fonds personnels. Quand on aime on ne compte pas, apparemment, puisque justement le roi du Maroc est considéré comme l’un des plus riches monarques du monde, cumulant une fortune personnelle estimée à 5,7 milliards de dollars américains en 2015, selon le magazine Forbes.

    En 2010, les fuites Wikileaks ont révélé que le roi chérifien et son entourage seraient impliqués dans une corruption jugée répandue « à tous les niveaux de la société marocaine ».

    Pour sa part, Lalla Hasna est connue de notoriété publique pour avoir le contrôle sur des sociétés immobilières et des fonds d’investissements au Maroc. La sœur du roi est aussi la présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement. Agée de 55 ans, elle est la fille du roi Hassan II et de sa seconde femme, Lalla Latifa Hammou. La sœur de Mohammed VI multiplie les moyens de dissimuler ses avoirs en ayant recours à des achats via des sociétés offshore.

    Il convient de souligner que le scandale Pandora Papers a été révélé le 3 octobre 2021. Les investigations sont le fruit de travail d’environ 600 journalistes issus de 117 pays qui ont eu accès à environ 11,9 millions de documents provenant de 14 sociétés de services financiers. Le rapport de l’enquête concerne plus de 29 000 sociétés-écrans.

    Pour rappel, depuis la disparition mystérieuse de sons épouse Lalla Salma, Mohammed VI est étroitement entouré de ses trois sœurs. A tel point que l’une semble avoir pris la place de première dame : Lalla Hasna. Les deux autres, Meryem et Asma sont plus discrètes, mais ne président pas moins d’une trentaine de fondations et sociétés dites, «caritatives».

    Amira Mey

    Fil d’Algérie, 05/08/2022

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  • Une sœur du roi Mohammed VI du Maroc impliquée dans le scandale des Pandora Papers

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    La princesse marocaine Lalla Hasnaa a acquis une maison dans un quartier huppé de Londres, affirme la nouvelle enquête retentissante sur l’évasion fiscale réalisée par le Consortium international des journalistes d’investigation.
    Avec le roi de Jordanie, la nouvelle investigation à scandale connue sous le nom de Pandora Papers mentionne un autre membre d’une famille royale parmi les personnes qui auraient recouru à des sociétés-écrans pour acheter des biens immobiliers. Il s’agit de la princesse marocaine Lalla Hasnaa, sœur cadette du roi Mohammed VI du Maroc, au pouvoir depuis 1999.
    Les documents secrets l’ont démasquée en tant que propriétaire d’une société de ce type qui a acquis une maison à 11 millions de dollars (9,5 millions d’euros) dans un quartier huppé de Londres, situé près du palais de Kensington.
    La princesse aurait effectué cet achat en 2002 en recourant aux fonds de la famille royale marocaine via une société-écran dans les îles Vierges britanniques, Oumaila Ltd., selon les documents révélés par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ).
    Le roi du Maroc est l’un des monarques les plus riches du monde avec une fortune personnelle qui était estimée par le magazine Forbesà 5,7 milliards de dollars (près de 5 milliards d’euros) en 2015. La princesse contrôle des sociétés immobilières et des fonds d’investissements au Maroc et est également connue comme la présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement. Aucune réaction du monarque ou de sa sœur sur ces révélations ne s’est pour l’instant faite entendre.
    L’investigation
    Les Pandora Papers, révélés le 3 octobre, sont le résultat du travail d’environ 600 journalistes internationaux dans 117 pays qui ont analysé quelque 11,9 millions de documents provenant de 14 sociétés de services financiers. Le rapport met au jour plus de 29.000 sociétés-écrans.
    Ces sociétés offshore ont été utilisées par 300 responsables publics, 35 hommes politiques et 130 milliardaires, dont le roi de Jordanie, le Président équatorien, la chanteuse colombienne Shakira ou le Premier ministre tchèque, selon l’enquête. Ce dernier aurait acheté un somptueux château et un terrain de plusieurs hectares en France moyennant 22 millions de dollars (19 millions d’euros).
    De « l’imprudence »
    Le fameux lanceur d’alerte américain Edward Snowden, qui avait provoqué en 2013 un scandale international avec la fuite de documents confidentiels, a tourné en dérision l’imprudence des organisateurs des paradis fiscaux. « Même après deux fuites apocalyptiques de sociétés d’avocats/financiers offshore, ces industries continuent de compiler de vastes bases de données en ruine, et les sécurisent toujours avec un post-it « ne pas fuiter » », a-t-il ironisé.
    Les Pandora Papers paraissent cinq ans après la révélation des Panama Papers, concernant la fuite de plus de 11,5 millions de documents confidentiels issus du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca avec des informations sur plus de 214.000 sociétés offshore. Il y a un peu moins de quatre ans, un autre dossier, les Paradise Papers, avait vu le jour, avec plus de 13,5 millions de documents confidentiels issus notamment du cabinet d’avocats Appleby domicilié aux Bermudes.
    Sputnik, 04/10/2021
  • Pandora Papers: La famille royale marocaine au cœur du scandale

    Pandora Papers: La famille royale marocaine au cœur du scandale

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    Citée dans la nouvelle enquête mondiale d’évasion fiscale dite « Pandora Papers », la sœur cadette du roi marocain Mohammed VI, Lalla Hasnaa, est accusée d’avoir acheté, en 2002, une villa dans un quartier chic à Londres. Un bien acquis à 11 millions USD, via une société-écran, grâce aux fonds de la famille royale. L’affaire a de quoi provoquer un séisme dans le palais de Rabat.

    Le régime marocain n’en finit pas avec les scandales. A peine arrive-t-il à faire oublier- en vain -l’affaire bruyante d’espionnage avec le logiciel israélien Pegasus, le royaume chérifien est noyé dans un autre scandale, d’évasion fiscale, cette fois-ci. En effet, selon l’agence d’information russe Sputnik, qui a eu accès à une partie des 11,9 millions de documents financiers, de courriels et d’images etc. fuités et révélés au grand jour par l’enquête dite « Pandora Papers » -menée par un consortium mondial de journalistes d’investigation- la famille royale marocaine est impliquée à travers la sœur cadette de Mohammed VI, la princesse Lalla Hasnaa.

    La nouvelle enquête cite la frangine de « Sa Majesté » parmi les centaines de personnes qui auraient recouru à des sociétés-écrans pour s’offrir à coup de millions de dollars des biens immobiliers en Europe. Ainsi, selon les documents secrets fuités ont démasqué Lalla Hasnaa pour s’être propriétaire de la société-écran « Oumaila Ltd. » localisée dans les îles Vierges britanniques. Laquelle société-écran lui a servi à l’achat, en 2002, soit trois ans après l’accès au trône de M6, d’un manoir à 11 millions de dollars (9,5 millions d’euros) dans un quartier huppé de la capitale du Royaume-Uni, situé près du palais de Kensington.

    Le comble du scandale c’est que l’enquête a révélé que le montant déboursé pour la transaction est prélevé dans les fonds de la famille royale marocaine.

    L’un des plus riches monarques du monde, M6 cumule une fortune personnelle estimée à 5,7 milliards de dollars américains en 2015, selon le magazine Forbes. Ayant accès directement ou indirectement aux fonds de son frère roi, Lalla Hasnaa est connue de notoriété publique pour avoir le contrôle sur des sociétés immobilières et des fonds d’investissements au Maroc. La sœur de M6 est aussi la présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement.

    Il convient de souligner que le scandale Pandora Papers a été révélé le 3 octobre dernier. Les investigations sont le fruit de travail d’environ 600 journalistes issus de 117 pays qui ont accès et analysé environ 11,9 millions de documents provenant de 14 sociétés de services financiers. Le rapport de l’enquête concerne plus de 29 000 sociétés-écrans.

    F. Guellil

    Le Courrier d’Algérie, 06/10/2021

  • Pandora Papers : Lalla Hasna a utilisé une société écran

    Pandora Papers : Lalla Hasna a utilisé une société écran

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    La princesse Lalla et l’homme politique français en disgrâce Dominique Strauss-Kahn faisaient partie de ceux ayant des liens avec Rabat nommés dans les fuites.

    Des documents financiers récemment divulgués ont révélé les transactions financières douteuses de plusieurs personnalités ayant des liens avec le Maroc , dont la sœur du roi Mohammed VI et l’homme politique français en disgrâce Dominique Strauss-Kahn.

    Les Pandora papers, une mine de 11,9 millions de dossiers rendus publics ce week-end par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont dévoilé la propriété de la princesse Lalla Hasnaa d’une société écran dans les îles Vierges britanniques, un paradis fiscal notoire.

    Hasnaa, qui dirige la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, aurait utilisé la société écran pour acheter une maison au Royaume-Uni d’une valeur estimée à 11 millions de dollars en utilisant des fonds répertoriés comme appartenant à la « famille royale marocaine ».

    Mohammed VI est le monarque le plus riche d’Afrique, avec une valeur nette estimée à 5,7 milliards de dollars. En 2010, des documents de Wikileaks alléguaient que le roi et son entourage étaient impliqués dans une corruption jugée répandue « à tous les niveaux de la société marocaine ».

    Strauss-Kahn – qui devait autrefois devenir un candidat de premier plan à la présidence française avant d’être accusé d’agression sexuelle en 2011 et de démissionner de son poste de directeur général du Fonds monétaire international (FMI) – a quant à lui été répertorié comme ayant créé une société de conseil en économie au Maroc après sa chute politique.

    La société, Parnasse International Sarlau, aurait encaissé des millions de dollars de bénéfices, dont une grande partie en franchise d’impôt selon les Pandora Papers. Il a créé un autre cabinet de conseil en 2018, basé cette fois aux Émirats arabes unis après que les exonérations fiscales pour son autre société ont expiré au Maroc.

    Strauss-Kahn aurait également conseillé des responsables de Rabat sur la manière de créer un centre d’affaires à faible taux d’imposition à Casablanca. L’ICIJ a déclaré que Hasnaa et Strauss-Kahn n’avaient pas répondu aux demandes répétées de commentaires.

    Les articles de Pandora sont les derniers d’une série de fuites massives ces dernières années, révélant l’utilisation par d’innombrables dirigeants mondiaux et magnats des affaires de comptes offshore et de sociétés écrans pour échapper à l’impôt ou masquer l’étendue de leur richesse.

    Middle East Eye, 04/10/2021

  • Maroc: Lalla Hasna et les Pandora Papers dans la presse

    Maroc: Lalla Hasna et les Pandora Papers dans la presse

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    Deutsche Welle : Les documents secrets ont également démasqué la princesse marocaine, Lalla Hasnaa, en tant que propriétaire d’une société écran qui a acheté une maison de 11 millions de dollars dans le quartier chic de Londres, près du palais de Kensington.

    Hasnaa a effectué l’achat en utilisant des fonds de la famille royale marocaine, selon les documents qui énuméraient sa fonction comme étant « Princesse ».

    L’Espresso (Italie): Papiers de Pandore, Lalla Hasnaa princesse du Maroc. Offshore et une résidence de 11 millions de dollars à Londres

    Les documents de l’enquête internationale de l’ICIJ révèlent les secrets et la richesse des puissants de ce monde.

    La princesse Lalla Hasnaa est la plus jeune sœur du roi du Maroc, Mohammed VI, qui est au pouvoir depuis 1999. Le roi est crédité d’une fortune personnelle de 5,7 milliards de dollars, ce qui fait de lui le monarque le plus riche d’Afrique. Il possède des mines, des industries alimentaires et des banques. En tant qu’entrepreneur, la princesse contrôle des sociétés immobilières et des fonds d’investissement au Maroc, mais elle est surtout connue en tant que présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, avec laquelle elle a participé à divers événements internationaux aux côtés de dirigeants politiques du monde entier.

    Les documents Pandora montrent que la princesse Lalla Hasnaa possède une société offshore dans les îles Vierges britanniques appelée Oumaila Ltd. Elle a été constituée en société en 2002 et, peu après, elle a acheté une résidence de luxe de cinq chambres à Londres, près du palais de Kensington, estimée à 11 millions de dollars. Selon les documents, la société offshore a payé le prix avec des fonds provenant de la « famille royale du Maroc ». Dans les actes de fiducie, parmi les données personnelles de la propriétaire réelle de la société (et donc de la propriété londonienne), sa profession est également enregistrée : « Princesse ».

    The Media Line (Etats-Unis) :

    Parmi les autres dirigeants mondiaux sur la liste figurent le Premier ministre tchèque Andrej Babis, le président kenyan Uhuru Kenyatta, le Premier ministre libanais Najib Mikati, l’émir du Qatar Cheikh Tamim bun Hamad Al Thani, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, la princesse marocaine Lalla Hasnaa. et l’ancien Premier ministre de Bahreïn Cheikh Khalifa bin Salman Al Khalifa.

    Les comptes et les sociétés offshore ne sont pas en eux-mêmes illégaux, bien que leur détention puisse être illégale dans certains pays.

  • Pandora Papers: Lalla Hasna en la prensa internacional

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    Deutsche Welle (Alemania): 
    Los documentos secretos también desenmascaran a la princesa marroquí, Lalla Hasnaa, como propietaria de una empresa fantasma que compró una casa de 11 millones de dólares en la lujosa zona del Palacio de Kensington en Londres.
    Hasnaa realizó la compra con fondos de la familia real marroquí, según los documentos, en los que figura su función como « princesa ».
    L’Espresso (Italia): Los papeles de Pandora, Lalla Hasnaa Princesa de Marruecos. Offshore y una residencia de 11 millones de dólares en Londres
    Los documentos de la investigación internacional del ICIJ revelan los secretos y la riqueza de los poderosos del mundo.
    La princesa Lalla Hasnaa es la hermana menor del rey Mohamed VI de Marruecos, en el poder desde 1999. Al rey se le atribuye una fortuna personal de 5.700 millones de dólares, lo que le convierte en el monarca más rico de África. Posee minas, industrias alimentarias y bancos. Como empresaria, la princesa controla empresas inmobiliarias y fondos de inversión en Marruecos, pero es más conocida como presidenta de la Fundación Mohammed VI para la Protección del Medio Ambiente, con la que ha participado en diversos actos internacionales junto a líderes políticos de todo el mundo.
    Los documentos de Pandora muestran que la princesa Lalla Hasnaa posee una empresa offshore en las Islas Vírgenes Británicas llamada Oumaila Ltd. Se constituyó en 2002 y poco después compró una residencia de lujo de cinco dormitorios en Londres, cerca del Palacio de Kensington, valorada en 11 millones de dólares. Según los documentos, la empresa offshore pagó el precio con fondos de la « Familia Real de Marruecos ». En las escrituras de fideicomiso, entre los datos personales de la verdadera propietaria de la empresa (y, por tanto, del inmueble londinense), también consta su profesión: « Princesa ».
    The Media Line (EEUU) :
    Otros líderes mundiales incluidos en la lista son el primer ministro checo Andrej Babis, el presidente keniano Uhuru Kenyatta, el primer ministro libanés Najib Mikati, el emir qatarí Sheikh Tamim bun Hamad Al Thani, el presidente ucraniano Volodymyr Zelensky, el ex primer ministro británico Tony Blair, la princesa marroquí Lalla Hasnaa y el ex primer ministro bahreiní Sheikh Khalifa bin Salman Al Khalifa.
    Las cuentas y sociedades offshore no son ilegales en sí mismas, aunque su tenencia puede ser ilegal en algunos países.
  • Maroc : Lalla Hasnaa citée dans Pandora Papers !

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    Des millions de documents divulgués révèlent les secrets financiers et comment les dirigeants mondiaux, les milliardaires et les célébrités utilisent les paradis fiscaux.

    L’enquête de Pandora Papers a révélé que 35 dirigeants mondiaux actuels et passés – dont l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, le roi de Jordanie et le président kenyan Uhuru Kenyatta – ainsi que de puissants milliardaires étaient liés à des sociétés de boîtes aux lettres utilisant des paradis fiscaux offshore.

    Les sociétés de boîtes aux lettres sont souvent utilisées pour gérer et déplacer secrètement de grosses sommes d’argent afin de cacher une véritable richesse.

    L’enquête, menée par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et une équipe de 150 sociétés de médias, a également révélé que plus de 330 hauts responsables politiques et responsables du monde entier ont des liens avec des sociétés de boîtes aux lettres.

    Les millions de documents divulgués examinés par le plus grand partenariat journalistique de l’histoire montrent à quel point les opérations offshore secrètes sont empêtrées dans la politique financière mondiale.

    Les documents secrets ont également révélé que la princesse Alaouite Hasnaa était propriétaire d’une société de boîtes aux lettres qui a acheté une maison de 11 millions de dollars dans un luxueux quartier de Londres près du palais de Kensington. Hasnaa a effectué l’achat avec de l’argent de la « famille royale marocaine », selon des documents divulgués qui énuméraient sa profession en tant que « princesse », écrit Deutsche Welle . Hasna est la sœur du « roi des pauvres » Mohamed VI, l’un des monarques les plus riches et le plus grand propriétaire terrien du monde.

    Le nom de Yassir Znagui a également été mentionné dans les révélations de Pandora. Selon Le Desk , cinq mois après avoir été nommé conseiller royal en 2012, il a créé une société de boîtes aux lettres aux Seychelles en utilisant son passeport français. Selon Le Desk, une source proche de Yassir Znagui, qui était également ministre du Tourisme, confirme l’existence de la société de boîtes aux lettres et qu’elle est toujours restée « inactive ».

    Riftime, 03/10/2021

  • Maroc : Média évoque la liaison de Lalla Hasna avec un torero

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    Selon El Español, « Lalla Hasna a eu une liaison avec le torero espagnol Miguel Báez Spínola (852), plus connu sous le nom de « El Litri », qui était le mari d’Adriana Carolina Herrera (51), fille du célèbre designer vénézuélien ».

    « Bien que la date exacte de cette idylle ne soit pas connue, les informations publiées par des journaux renommés tels que ¡HOLA! indiquent qu’elle a eu lieu dans les années 90. La princesse et le torero, comme cela a été révélé à l’occasion, n’étaient pas seulement ensemble pour une simple attirance physique, mais aussi pour partager des hobbies. Tous deux avaient le même goût pour la nature et les activités qui s’y déroulent ».

    Le média espagnol indique que « il existe plusieurs versions de leur première rencontre. L’une d’elles affirme que les faits ont eu lieu dans une propriété privée en Espagne, où « El Litri » a été invité à participer à un tentadero (enceinte où l’on essaye les jeunes taureaux). Une autre indique que c’était à l’Expo et au Pavillon du Maroc ».

    « La langue n’était pas un obstacle, car Lalla Hasna et ses frères ont appris l’espagnol dès leur plus jeune âge, ayant grandi avec des nounous espagnoles », ajout-t-il.

    « Mais la romance entre Lalla et Miguel Baez n’était qu’une idylle de jeunesse. Leur histoire était vouée à se terminer pour plusieurs raisons. En plus de leur différence sociale, l’actuelle première dame du Maroc a dû se plier à la volonté de son père, le roi Hassan, qui insistait pour qu’elle suive les règles du Coran et épouse une personne égale à elle. Ainsi, elle a fini par officialiser une relation – qui s’est soldée par un divorce – avec le cardiologue Khalid Benharbit, avec lequel elle a eu deux filles : Lalla Oumaima Benharbit (25 ans), Lalla Oulaya Benharbit (23 ans) », ajoute le journal espagnol.

    « Bien qu’au début des années 2000, leur relation semblait appartenir au passé, le magazine susmentionné a affirmé que Lalla Hasna et « El Litri » se sont retrouvés après le divorce de la princesse. Selon la publication, elle a eu lieu à La Aliseda, une propriété du torero située à Cáceres », ajoute-t-il.

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