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  • Mais que devient donc la princesse Lalla Salma du Maroc?

    Mais que devient donc la princesse Lalla Salma du Maroc?

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    Au Maroc, dans les quartiers populaires des grandes villes, comme dans les zones rurales, les questions et les rumeurs s’entremêlent autour du dénouement de l’histoire de Lalla Salma. Certains prétendent que l’épouse du roi du Maroc a eu recours au divorce, une rupture qui aurait été secrète. D’autres sont allés beaucoup plus loin pour penser à la possibilité qu’à la suite de certains conflits à l’intérieur du palais royal, Lalla Salma du Maroc aurait été assassinée. En effet, la disparition de la princesse avait inquiété plusieurs personnes. La dangereuse accusation disant que les bourreaux du Makhzen ont dissout le corps de la princesse dans de l’acide ne vient pas de nulle part. Certaines personnes s’appuient sur l’hypothèse concernant le sort du célèbre opposant marocain disparu en 1965 à Fontenay-le-Vicomte, Mehdi Ben Barka. Pourquoi Lalla Salma s’est-elle éclipsée au loin? Peut-on facilement discerner la réalité de toutes les rumeurs et que devient vraiment Lalla Salma aujourd’hui? Trouvez les réponses dans notre portrait de la princesse avec les photos les plus récentes de Lalla Selma.

    Entre le massif du Rif et le Moyen Atlas, se situe la ville de Fès, connue pour être la capitale culturelle et spirituelle du royaume. Il s’agit de la ville natale de Salma Bennani, là, où la petite sœur de Lalla Salma peut être reconnue par les habitants quand elle est déposée par son chauffeur à la porte du lycée. En effet, l’épouse du roi du Maroc a une sœur aînée, Meryem, en plus de trois autres petites sœurs qui sont issues du second mariage de Abdelhamid Bennani, le père de Lalla Salma.

    Présentation de Lalla Selma
    Nom de naissance: Salma Bennani
    Titulature: Lalla Salma du Maroc; Son Altesse Royale La Princesse
    Genre: femme
    Date de naissance: le 10 mai 1978
    Lieu de naissance: Fès, au Maroc
    Résidence actuelle: inconnue
    Signe astrologique: Taureau
    Âge de Lalla Salma: 43 ans
    Couleur des cheveux: roux
    Couleur des yeux: marron clair
    Mère: Naima Bensouda
    Père: Al-Haj Abdel Hamid Bennani
    Soeur de Lalla Salma: Meryem Bennani
    Époux: Mohamed VI
    Enfants: Princesse Lalla Khadija; Hassan du Maroc
    Religion: Islam sunnite malékite

    Mohamed VI et Lalla Salma: le divorce est absent dans la presse marocaine

    En dehors du pays nord-africain qui est le second pays de Badr Hari, et là où les index de la liberté d’expression sont plus favorables aux investigations, la presse a pu parler d’un divorce du roi du Maroc et de la Première Dame. Des magazines espagnols ont été les premiers a relaté l’histoire d’un point de vue critique envers la monarchie. Quelle que soit la vraie histoire, le peuple marocain sait bien que Lalla Salma n’a pas assisté au mariage récent de Lalla Nouhaila, l’une des nièces du souverain. Pourtant, la princesse avait représenté le Maroc durant plusieurs cérémonies, dont le mariage remarquablement médiatisé, en 2011, du Prince William, neveu de la princesse Anne, et de Catherine Middleton à l’abbaye de Westminster.

    Celle qui avait obtenu son diplôme d’ingénieur d’État en génie informatique en 2000 avait travaillé, l’année suivante, dans le groupe ONA, premier groupe privé marocain de la famille royale. Elle a épousé le roi du Maroc l’année d’après, et ensemble, ils ont eu deux enfants en 2003 et en 2007. La disparition de Lalla Salma a été relaté par plusieurs magazines people partout dans le monde, cela a été le cas depuis la remarque de son absence en 2018. Son éloignement a laissé un vide dans le palais, et à cause de cela, les rumeurs ont été impossibles à arrêter.

    Est-ce que le retrait de l’image de Lalla Salma, présidente d’une fondation de lutte contre le cancer, est aussi un retour en arrière dans la stratégie des relations publiques du palais royal? Peu de politologues peuvent nous donner une réponse exacte aujourd’hui. Pourtant, quelques-uns d’entre nous se rappellent encore d’un incident qui s’est produit durant le règne d’Hassan II. L’épouse du roi, Lalla Latifa, totalement absente de la scène médiatique, a été photographiée par un journal français. Le résultat était une querelle diplomatique entre les deux nations et la photo n’a jamais été publiée par la presse de l’empire chérifien.

    Mohamed VI et Lalla Salma: les rumeurs causent la colère dans le palais

    Celle qui est de 15 ans plus jeune que son époux, le roi Mohamed VI, a reçu le titre de princesse en 2002 suivant le mariage qui l’a lié au souverain. La question qui intéresse des milliers de personnes est que, si Selma Bennani est à l’origine de sa disparition et si elle a volontairement quitté le palais, est-elle prête à renoncer à son titre de princesse? Comme on dit au Maroc, l’accès au bain maure n’est jamais comme la sortie. Mais quoi qu’il en soit, l’image de Lalla Salma garde toujours son poids dans cette conscience collective des Marocains qui relatent l’histoire dans les cafés, chacun à sa manière.

    Cette image que les Marocains se font de Lalla Salma a été le fruit d’un travail de longue haleine de la part des médias du royaume. Sauf pour quelques exceptions, comme un article paru sur TelQuel en 2014 décrivant la princesse de la Cendrillon du Makhzen, la plupart des médias voyaient un brillant avenir avec la nouvelle stratégie médiatique du palais royal. Il est utile de savoir que Lalla Salma est la première épouse d’un monarque marocain à être visible pour les citoyens, elle avait même des rôles sur la scène internationale.

    L’ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé depuis 2006 et le roi du Maroc ne sont pas officiellement séparés. Aucun document officiel ne prouve cela, et plus, l’avocat du couple royal, Me Eric Dupond-Moretti, avait annoncé que ces derniers étaient en colère à cause de la circulation des rumeurs. Certaines expliquent que le divorce est dû à une supposée jalousie des sœurs du roi, et d’autres mentionnent même des conflits à cause des orientations sexuelles. Il est certain que ces accusations manquent de preuves concrètes, mais pour plusieurs personnes, il serait normal que l’absence de la princesse fasse couler de l’encre.

    Lalla Salma du Maroc : où est la princesse est une question récurrente

    La mère des princes est disparue pour 17 mois, et cela a été suffisant pour déclencher des rumeurs qui continuent à circuler jusqu’à aujourd’hui. Pour une partie des Marocains, l’éloignement de Lalla Salma est toujours visible malgré son apparition, qui n’a pas été la première de son genre, dans un centre d’oncologie en 2019. Cela est notamment le cas comparativement avec les années précédentes. Lalla Salma était un peu partout et faisait la une des journaux localement et mondialement. Elle avait représenté, pour une autre partie des Marocains, une image de l’évolution des droits de la femme au Maroc

    La visite de Selma Bennani au centre d’oncologie de Béni Mellal, à 200 km au nord-est de Marrakech, n’avait rien d’une visite officielle. Une seule photo de la princesse avec l’équipe médicale a été autorisée, et après cela, Lalla Salma s’éclipse au loin à nouveau. Cette apparition de la princesse, bien qu’elle ne soit pas d’un caractère officiel, avait pu baisser la quantité des rumeurs et leur caractère sarcastique et parfois acerbe.

    Ces échos sont, depuis temps, moins répandus et moins répétés par les citoyens dans les rues, mais il reste tout de même quelques jugements de la part du public. La rumeur qui domine partout laisse entendre que Lalla Salma serait dans une île grecque où ses enfants, les princes, partent pour lui rendre visite d’un moment à un autre. Avant, des personnes parlaient de séquestration d’enfants. Peut-être qu’avec une future apparition de Lalla Salma du Maroc, toutes ces rumeurs qui touchent à l’image de la monarchie deviendront moins intensives qu’elles ne le sont aujourd’hui.

    Source : Legit, 27/11/2021

    #Maroc #MohammedVI #LallaSalma

  • Succession et sécurité: Le tutorat sioniste sur le Maroc

    Succession et sécurité: Le tutorat sioniste sur le Maroc

    Maroc, Israël, succession, Mohammed VI, Moulay Rachid, Lalla Salma,

    En politique, on ne parle jamais de coïncidences, le conflit ukrainien aura son impact géopolitique sur plusieurs régions du monde comme le Sud-est asiatique(Taiwan) l’Antarctique, le Proche-Orient, la région du Sahel et bien entendu la région du Maghreb et la question du Sahara Occidental. Bien entendu, l’Après conflit ukrainien, sera la reconstruction d’un nouveau monde multipolaire, au détriment de la doctrine de l’hégémonie américano-sioniste, bien soutenue par l’Union Européenne, devenue une girouette et une colonie étatsunienne.

    African Lion 2022 et la visite Ayelet Shaked

    Le coup d’envoi des manœuvres militaires appelées African Lion 2022, tenues conjointement par l’armée du Commandeur les FAR, avec l’Africom ( participation de certains pays de l’OTAN, le Sénégal, le Ghana, la Tunisie et l’entité sioniste comme observateur) coïncide avec l’arrivée à Rabat de la ministre sioniste de l’Intérieur Ayelet Shaked.

    Reconnaissance de la » marocanité ‘ » des territoires sahraouis occupés

    Reçu par le chef de la diplomatie du Commandeur, Nasser Bourita, la ministre sioniste de l’Intérieur venue à Rabat pour conclure un contrat de main-d’œuvre, bon marché au Maroc, pour consoler les signataires de la normalisation, annonça la reconnaissance de l’occupation des territoires sahraouis. Une première intervenant dans un timing marqué par une surenchère sioniste et une guerre sans merci pour la succession de Mohamed VI. Cette reconnaissance annoncée par Ayelet Shaked est intervenue dans un contexte confirmant la pression et la surenchère des lobbys sionistes sur une dynastie destinée à la disparition, mais qui se heurte à une résistance représentée par tenants du réel pouvoir à savoir les Abdelatif Hammouchi et André Azoulay, revendiquant un gage d’assurance pour faire face au vent du changement qui menace la monarchie alaouite. L’annonce de la « marocanisation » des territoires sahraouis occupés, par Ayelet Shaked, au lieu du chef de la diplomatie sioniste Yair Lapid, ou le génocidaire et ministre sioniste de Benny Gantz qui avaient séjourné récemment au Maroc, ou même le premier ministre sioniste Naftali Bennett qui avait présidé le Sommet de Néguev en présence de Nasser Bourita illustre bien les nouvelles donnes concernant la situation au Maroc, marquée par une guerre pour la succession de Mohamed VI, la dégradation du pouvoir d’achat des marocains très affecté par les effets néfastes du Covid-19 sur les secteurs-clés de l’économie marocaine, la rupture de l’approvisionnement du Maroc en gaz algérien, la hausse des prix des produits alimentaires et énergétiques., l’imminence d’une faillite financière, soutenue par le taux de la dette extérieure qui vient de dépasser le PIB marocain, et surtout le refus du Peuple Marocain de cette normalisation avec l’entité sioniste, permettant à leur Etat de devenir sous tutorat sioniste.

    Ayelet Shaked avait appelé à l’extermination des tunisiens, algériens et marocains

    Devant les membres du lobby sioniste aux USA, l’ancienne ministre sioniste de la justice sous le gouvernement de Benjamin Netanyahou, l’invitée de marque du Makhzen avait plaidé pour l’extermination des maghrébins.

    « Les Marocains, les Algériens et les Tunisiens, sont des ignorants …et méritent la mort », a-t-elle déclaré, ajoutant qu’Israël avait un « plan pour détruire ces pays, dans un temps proche où personne ne pourra survivre ».

    Les pièces du puzzle du plan sioniste

    Tous les ingrédients sont là pour confirmer que l’entité sioniste a décidé de faire du Maroc une terre de rechange, au cas où elle sera chassée de la Palestine. Aujourd’hui, le plan sioniste consiste à sauver le régime du Makhzen, en intronisant un « souverain » faible aux ordres du Mossad, tout en évitant l’effondrement d’un régime féodal au profit d’une république qui ne tardera pas à revendiquer les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, procéder au retrait des territoires sahraouis, en vue de permettre au Peuple Sahraoui de s’arroger le droit à l’autodétermination, conformément aux résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU et l’application du droit international, ouvrant la voie à l’édification d’un Maghreb Uni, et complémentaire, débarrassé du tutorat occidental et sioniste.
    Le revirement de la position de l’Espagne dirigé par le socialiste Pedro Sanchez, en est une pièce du puzzle de ce plan, et revêt un caractère symbolique, dans la mesure où l’ancienne colonisatrice et ancienne puissance administrante des territoires sahraouis ne fera que renforcer le statuquo autour de cette question ce que cherchent les sionistes. Mais, la nouvelle position sioniste exprimée par Ayelet Shaked, revêt un caractère politique, imposé par la nouvelle géopolitique et un gage d’assurance à Abdelatif Hammouchi, l’employé des émiratis et mentor de Moulay Rachid donné comme futur successeur de Mohamed VI, dans les prochains jours avant la célébration de la Fête du Trône.

    Pour ce qui est de la France, son silence révèle son adoption du plan sioniste, dans la mesure où elle vient d’accueillir le « roi mourant » Mohamed VI, sachant que ami Mohamed Yassine Mansouri, patron de la DGED s’est vu signifier un non-recevoir pour avoir formulé une demande d’audience à l’Elysée .

    La France demeure un acteur clé dans le devenir de la royauté au même titre que l’OTAN, et son statut de membre permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU, lui permet de bloquer toutes les résolutions allant dans le sens de l’indépendance des territoires sahraouis. Le scandale du logiciel espion, infiltrant les téléphones de hauts responsables français dont le locataire de l’Elysée ne fera que renforcer le tutorat sioniste sur l’entité créée par Lyautey .

    La succession génitale

    Les bébés pleuvent chez la famille royale

    Tout indiquerait que la succession de Mohamed VI a été tranchée en faveur de son frère Moulay Rachid et au détriment du prince héritier Hassan III, dont les apparitions se font rares depuis plusieurs semaines au même titre que sa sœur. Les informations sur la liquidation de la divorcée de Mohamed VI, n’ont jamais été démenties par la Cour royale. Des informations consolidées par le suicide mystère du consul de la France à Tanger Denis François, retrouvé mort le 19 novembre, dans sa résidence au Consulat de France, quelques jours après sa nomination par le président français Emmanuel Macron.

    Moulay Rachid, soutenu par l’agent de la coalition israélo-émiratie, en l’occurrence Abdelatif Hammouchi, qui vient de séjourner aux USA, où il avait rencontré les patrons de la CIA et le FBI, serait bien parti pour succéder à son frère, et devenir un » roi » au service du tutorat sioniste, en vue de maintenir en vie le Makhzen, de plus en plus menacé par une révolution du Peuple Marocain qui se dessine, pour l’instauration d’une république démocratique, répondant aux aspirations d’une société marocaine qui refuse d’abdiquer à la fatalité de la résignation. Pour concrétiser cette intronisation de Moulay Rachid, qui ne va pas tarder à être annoncée, les chaînes marocaines préparent déjà le terrain depuis plusieurs jours en diffusant des émissions et reportages sur le « futur » détenteur de la couronne royale. A la surprise générale, on annonce même la naissance d’un second fils, Moulay Abdeslam, en date du premier juin 2022.

    Déjà parent de Moulay Ahmed, âgé de 5 ans, le frère de Mohammed VI et son épouse Lalla Oum ont donné naissance à une petite fille, Khansa, le 25 janvier 2022. Le futur « roi » devient père en une période de 6 mois, une première dans les annales des naissances destinées à l’intronisation au trône au nom la validation de la succession génétique.

    Par Mehdi Messaoudi

    Algérie54, 22 juin 2022

    #Maroc #MohammedVI #MonarchieMarocaine #MoulayRachid #Succession

  • Maroc : La monarchie tient à un fils

    Maroc, Mohammed VI, Prince Moulay El Hassan, Lalla Salma, Lalla Meryem,

    Il n’y a pas qu’au Japon que la monarchie tient à un fils.

    Nous avions laissé Salma du Maroc, mise au placard par un roi Mohammed VI malade, mais que s’est-il passé depuis dans la Firme marocaine ?

    Les préoccupations et jeux de pouvoir se cristallisent autour de la succession au trône et la préparation du jeune prince héritier, Moulay el Hassan, 17 ans. Le jeune homme , brillant bachelier, a récemment fait parler de lui en refusant de faire les études universitaires qu’on avait prévues pour lui.

    La presse espagnole voisine est souvent fort bien renseignée sur ce qui se passe à la Cour du Maroc. Voyons ce qui s’y raconte.

    Après avoir réussi avec mention Très Bien un bac ES ( économie) option internationale préparé au Collège Royal ( basé au Palais royal de Rabat mais lié à l’Académie de Bordeaux) et effectué quelques cours au sein de l ’Ecole préparatoire aux techniques aéronautiques de Marrakech, le prince héritier, Moulay el Hassan, fils et aîné de Salma et de Mohammed du Maroc devait entamer des études dans la petite ville de 90.000 habitants de Benguerir dans le sud du pays.

    Une villa écolo était prête à l’accueillir , et il devait faire sa rentrée en Faculté de Sciences Sociales et d’Administration Publique, fac appartenant à l Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P). Cette université d’élite a été financée par l Office Chérifien des Phosphates, compagnie publique qui veut également développer un projet urbain vert dans la » première ville verte ( durable) du continent africain ». La présence princière au coeur de cette Ville Verte Mohammed VI devait en être un emblème. Tout ceci aurait été arrangé par un natif du coin, Fouad el Himma, très proche conseiller et ami du roi.

    Avant cela, le prince passa quelques jours de vacances d’été auprès de son père, dans la Baie de Al Hoceïma, dans le nord, sur la Méditerranée. Le climat chaud et sec de cette zone sied bien aux soucis de santé bronchique du roi.

    Mais à la rentrée, coup de théâtre, le prince refusa de s’installer à Benguerir, et fit fi des projets de son père. Il s’en retourna à Rabat pour démarrer des études de droit ( qu’il suit à distance pour le moment, en raison du Covid), et être auprès de sa maman.

    Que s’est –il donc passé ?

    Cherchez la mère diront certaines sources proches du Palais, prompts à y voir la main mise de Salma, l’ex épouse du roi. Souvenez- vous qu’elle était passée à la trappe brutalement, sans crier gare, quittant rapidement ses fonctions caritatives et publiques.

    Salma, 42 ans, vivrait actuellement à Rabat justement. C’est elle qui a élevé Hassan et Khadija la petite sœur. Un trio uni que Moulay Hassan n’aura pas voulu quitter.

    Coïncidence, Fouad Ali el Himma ne serait pas le meilleur ami de Salma, et on le soupçonne d’avoir appuyé une disgrâce radicale et une surveillance draconienne de l’ex- épouse consort qu’on dit divorcée officiellement depuis 2018. On avait parlé de contrôles de ses mouvements, et même de ses appels téléphoniques, certaines dames royales étrangères s’étonnant de ne plus pouvoir la joindre ( dont une épouse du Cheikh du Qatar).

    On l’ a sortie comme une voleuse et ses propres enfants l’auront remarqué. D’un point de vue psy systémique, ce n’est jamais bon de bannir ainsi les gens ( employés, parents) car c’est créer une sorte de secret de famille qui rebondit à la gueule par la suite…Un autre membre du système pourrait vouloir compenser ce vide.

    Parallèlement, le mystérieux blog web « Crapouillot Marocain », qu’on dit téléguidé par les services secrets royaux, entachait son image en évoquant une femme dédaigneuse et caractérielle, expliquant ainsi la disgrâce de la mère du futur roi.

    Néanmoins, on la reverrait désormais de nouveau à sa Fondation contre le Cancer, organisation mise au ralenti depuis sa disgrâce. La mise au placard n’est plus totale, mais le Tout Rabat ne se précipite pas pour manifester son amitié , hormis quelques rebelles marginaux du clan royal.

    Moulay el Hassan est très attaché à celle qui l’a élevée. Il préfèrerait rester près d’elle. Il s’est inquiété pour elle lors du divorce, la voyant déchue, ostracisée du jour au lendemain. Ce pouvoir maternel sur le future roi inquièterait le roi et ses sœurs ( qui n’ont jamais adoré Salma). En effet, la succession de M6 devient une question potentiellement imminente. Il pourrait avoir besoin de passer le flambeau rapidement à son fils et le prépare, l’emmenant aux cérémonies internationales, lui présentant des visiteurs de marque dès que possible. Le prince assure aussi des sorties en solo, chose rare pour un ado , signe que le roi a de sérieux soucis.

    La santé de M6 est inquiétante. Il a encore été opéré en juin pour arythmie cardiaque et il souffre d’une maladie chronique pulmonaire grave.

    Il souffre d’une bronchopneumopathie chronique obstruante très invalidante qui obstrue ses bronches ( BPOC ou MPOC au Canada), et ralentit les flux d’air dans les poumons. Respiration difficile, essouflement, toux, activités de plus en plus pénibles. On est entre emphysème et bronchite chronique asthmatique. Cette maladie serait causée à 80-90% par le tabagisme mais je crois que lui avait parlé d’une cause génétique. Le roi suit un traitement pour ralentir la maladie mais on n’attend pas qu’il en guérisse. Cela ne peut qu’aller en empirant. A la fin,un BPCO va passer sous assistance oxygène presque toute la journée, devenant de moins en moins autonome.

    Les BPCO débouchent sur des insuffisances cardiaques par manque de souffle. En plus, comme le roi avait une certaine obésité, cela n’aidait pas. Il a minci récemment. Mieux vaut lui éviter de choper le Covid-19 en prime.

    Une autre personnalité royale malade des poumons de façon chronique, c’est Mette Marrit de Norvège, atteinte de fibrose pulmonaire idiopathique ou FPI ( tissu fibreux qui se développe dans les poumons les obstruant et les durcissant), une maladie grave qui l’oblige souvent à se porter pâle lors de sorties officielles. Je pense qu’elle doit éviter les lieux poussiéreux, pollués et enfumés.

    Ces fibroses pulmonaires peuvent être causées par la respiration continue de poussières ou de fumée ( tabac, pollution), ou des virus ( style Covid ? ) . Il y a aussi des facteurs génétiques. La FPI est également irréversible comme la BPCO, mais on peut la ralentir.

    A côté en Suède, Daniel de Suède a subi une greffe du rein ( rein donné par son père…) et a également une santé fragile.

    Bref, la succession de M6 devient une question sérieuse même si le roi n’a que 57 ans. Il se bat pour tenir le plus longtemps possible et retarder le passage de flambeau à son fils, encore mineur. Il aura 18 ans seulement le 8 mai 2021. On vroudrait éviter au maximum un conseil de régence et les soeurs du roi n’ont pas envie de voir l’ex pièce rapportée Salma revenir sur scène en mode douairière.

    L’EFFET COLIBRI, THE HUMMINGBIRD EFFECT, 08 déc 2020

    #Maroc #MohammedVI #LallaSalma

  • Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

    Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

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    Fin 2017, la prince Lalla Salma, l’épouse du roi du Maroc, Mohammed VI, a subitement disparu de la vie publique. La mère du prince héritier, Moulay El Hassan, a cessé de participer aux événements caritatifs, activité dont elle est pourtant coutumière, elle qui dirige une fondation consacrée à la lutte contre le cancer. Du jour au lendemain, Salma Bennani, de son nom de jeune fille, s’est éclipsée de la scène publique. Près de 4 ans après, son nom apparaît dans les listes des victimes du programme d’espionnage Pegasus. La question est alors sur tous les lèvres: Mohammed VI a-t-il fait espionner son épouse? Nous savons que pour Mohammed VI la famille royale est une ligne rouge. Son beau-père, Mohamed Mediouri en sait quelque chose. Il a été agressé en plein cœur de la ville de Rabat pour avoir osé se rendre au Maroc. Mohammed VI n’a jamais avalé la pilule du mariage de sa mère avec le garde du corps de son père, Hassan II.

    Le 6 octobre 2019, le New Zealand Herald évoquait, dans un article détaillé, l’histoire de sa disparition dont voici le texte intégral:



    Une « princesse fantôme » : le mystère de l’épouse disparue du roi du Maroc

    C’est une princesse et une mère qui a défié le statu quo royal depuis qu’elle est tombée amoureuse d’un membre riche d’une famille royale. Avec son style caractéristique et son esprit indépendant, l’humanitaire déclarée a entrepris de moderniser le rôle des femmes à la cour royale.

    Vous pensez que je parle de Meghan, duchesse de Sussex ? Détrompez-vous. Rencontrez la princesse Lalla Salma, épouse du roi du Maroc et mère du prince héritier qui est aimé dans son pays.

    Cependant, le mystère l’entoure, ayant été surnommée la « princesse fantôme » après avoir disparu de la vue du public il y a près de deux ans, rapporte news.com.au.

    Il y a des photos Instagram floues, des rumeurs tourbillonnantes et des théories concurrentes. La question persistante est, où est la princesse « disparue » du Maroc ?

    Tradition bloquante

    C’est une histoire aussi ancienne que le temps : un garçon rencontre une fille, le garçon se révèle être le futur roi, le couple tombe amoureux et se marie avec le mariage massif requis. La Salma Bennani de l’époque a rencontré son futur mari, le roi Mohammed, en 1999 lors d’une fête. Elle était une étudiante en génie informatique qui avait été élevée par sa grand-mère. Il avait été couronné après avoir succédé à son père autocratique après un règne despotique de 38 ans.

    Après s’être mariés en 2002, la nouvelle princesse Lalla Salma et son mari ont rompu avec la tradition marocaine de longue date qui excluait les épouses royales de la vue du public. (Leurs photographies et même leurs noms n’avaient jamais été révélés publiquement auparavant.)

    Au lieu de cela, Lalla Salma a adopté une approche beaucoup plus moderne de la vie, œuvrant pour la prévention du VIH/sida en Afrique, fondant sa propre association caritative contre le cancer et devenant ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé. En 2016, lorsque Michelle Obama s’est rendue en Afrique, elle a rencontré Lalla Salma pour discuter de l’éducation des femmes.

    En cours de route, elle a également rempli le devoir d’épouse royale requis de fournir un héritier et un remplaçant, à savoir le fils du prince héritier Moulay et sa fille la princesse Lalla.

    Selon certaines informations, la famille de Mohammed n’a pas été impressionnée par son approche beaucoup plus libérale de la vie royale, notamment en portant des pantalons en public et en évitant le foulard dans le pays musulman.

    Palaces et 2 millions de dollars en nourriture pour animaux

    Bien que la famille royale marocaine ne reçoive pas le même niveau d’attention en Occident que, disons, ses homologues britanniques, elle profite d’une vie beaucoup plus luxueuse. Les estimations placent la valeur nette du roi Mohammed entre 5 milliards de dollars et 29 milliards de dollars, il suffit donc de dire qu’ils jouissent d’une existence décadente.

    En 2005, il a été révélé que le roi et sa famille coûtaient au peuple marocain la somme étonnante de 263 millions de dollars par an, dont 1,8 million de dollars dépensés en nourriture pour animaux de compagnie. Il possède 12 palais à travers le monde, tous perpétuellement maintenus à 17 degrés et entièrement dotés en personnel, et il en visite rarement beaucoup. On pense que sa propriété préférée est un immense château français, et son amour des voitures de luxe est bien connu. (Il a été rapporté qu’il a piloté une fois son Aston Martin de Rabat à Londres, et certains matins, il a une douzaine de ses véhicules les plus chers devant lui afin qu’il puisse choisir celui qu’il veut pour la journée.)

    La dame disparaît

    La princesse Lalla Salma était fréquemment présente sur la scène royale internationale, notamment en assistant au mariage du duc et de la duchesse de Cambridge en 2011. Bien qu’elle soit une figure très populaire dans son pays d’origine et qu’elle voyage régulièrement à l’étranger, la dernière fois qu’elle a été vue en public, c’était fin 2017.

    Et puis… plus rien.

    Pendant près de deux ans, la localisation et le statut de la princesse ont été vivement débattus. Avait-elle bouleversé le roi et était-elle cachée derrière les portes du palais ? Le couple avait-il divorcé ? Vivait-elle en exil aux États-Unis ?

    Même les diplomates étrangers auraient été laissés dans l’ignorance de la situation.

    Lorsque Harry et Meghan, le duc et la duchesse de Sussex, ont visité la nation nord-africaine en février de cette année, ils ont rencontré le roi Mohammed, aujourd’hui âgé de 56 ans, et le prince héritier Moulay. Il n’y avait aucun signe de Lalla Salma, aujourd’hui âgée de 41 ans.

    La belle-mère

    Si Mohammed avait été mécontent de sa femme et avait agi en l’enfermant, il y avait un précédent. Selon un rapport du Times, on pense que le roi a gardé sa mère dans un palais, bien que plus tard, il aurait cédé et lui aurait donné la permission de vivre en exil en France.

    Silence des médias

    Le black-out de la presse s’ajoute au mystère entourant la disparition de Lalla Salma. Contrairement au Royaume-Uni où la couverture du clan Windsor domine les tabloïds, la presse marocaine est impitoyablement réglementée. (Il se classe actuellement au 135e rang mondial pour la liberté de la presse.) Alors qu’il y a eu des murmures sur la disparition notable de Lalla Salma de la vie publique, le palais a refusé de commenter.

    Lorsqu’un site Web marocain a publié un article réprimandant Lalla Salma, l’accusant d’avoir une « attitude trompeuse » et un « ego démesuré », il a été largement admis qu’il l’avait fait avec l’approbation du roi.

    Observations européennes

    Au cours des mois et des années qui ont suivi, la princesse a été aperçue en dehors de son pays d’origine, y compris des informations selon lesquelles elle s’était rendue à Portofino avec sa fille en 2018 et avait navigué autour des îles grecques avec son fils en juillet de cette année dans un yacht qui coûte 1 million de dollars. -par semaine.

    Une théorie qui a fait l’objet de rumeurs est que le couple s’est séparé et se dispute la garde et qu’elle n’a pas été autorisée à voyager avec ses deux enfants, bien que cela ait été réfuté lorsqu’elle a été aperçue avec le jeune prince et la princesse à New York.

    En avril, une image floue prétendant être celle de Lalla Salma et de sa fille en train de dîner à Marrakech a fait surface, bien qu’il n’ait, encore une fois, jamais été confirmé qu’il s’agissait bien d’elle.

    Rumeurs de divorce

    Plus tôt cette année, le magazine espagnol Hola! a affirmé que Lalla Salma et le roi avaient divorcé discrètement, mais toute la situation reste entourée de mystère. Malgré des rapports similaires, sa page Wikipedia la répertorie toujours comme la « princesse consort du Maroc » et comme l’épouse du roi Mohammed.

    Le King est un utilisateur dévoué de Facebook. Bien que son flux soit parsemé de photos franches de lui en train de manger, de travailler et de ses enfants, Lalla Salma est introuvable. Pour une femme qui a résisté à la tradition et tracé sa propre voie, sa disparition dramatique de la vie publique est surprenante, et ce mystère est loin d’être résolu.

    #Maroc #LallaSalma #MohammedVI #Pegasus #Espionnage

  • Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage – Mohammed VI, Makhzen, prince héritier, Lalla Salma, Sahara Occidental,

    Le brouhaha diplomatique que connaît depuis des mois le régime marocain du Makhzen cache l’une des plus grandes menaces à la stabilité du trône dans le royaume alaouite, qui est le problème de la succession du roi Mohammed VI, qui souffre de nombreuses maladies et est devenu moins visible dans les scènes officielles et les forums.

    Les scènes qui ont été filmées récemment ont montré qu’il était dans un état de santé grave, car il semblait avoir un visage pâle, des mouvements lents et des signes de maladie plus visibles que jamais sur son visage.

    La présence du roi du Maroc dans les réunions et activités officielles de la période récente n’était pas par désir ou conformément aux protocoles royaux habituels, mais plutôt sous la pression qui lui était imposée par le biais des réseaux sociaux, qui n’ont cessé de divulguer des informations graves sur sa santé, ce qui l’a forcé à sortir pour démentir ces rumeurs.

    Cependant, sa sortie n’a pas éliminé ces rumeurs autant qu’elle les a renforcées en raison de la situation fragile dans laquelle il est apparu devant les caméras et les objectifs des caméras.
    Mohammed VI n’apparaissait pas sur la photo qui rassemblait les participants à ce dernier forum de Marrakech sur le terrorisme, tandis que des militants sur les réseaux sociaux rapportaient que le roi n’arrivait plus à respirer, ce qui confirme les scènes fragiles sur lesquelles il est récemment apparu, sachant que le Le roi du Maroc avait auparavant subi une chirurgie complexe au cœur, en raison d’une arythmie.

    Les sources ont évoqué le retour de la princesse Lalla Salma (Benani), l’ex-épouse du monarque marocain, et la mère du prince héritier Moulay El Hassan, au premier plan après sa disparition de la scène en 2018, suite à des fuites sur sa séparation du roi, avant d’être confirmée plus tard par l’avocat de la famille alaouite en France.
    Les sources liaient le retour de « Lalla Salma » sur le devant de la scène au conflit autour du trône, compte tenu de l’état de santé du roi malade du Makhzen.

    Lalla Salma pourrait bientôt devenir la mère du prochain roi du Maroc, selon les modalités de passation de pouvoir au sein de la famille royale, après que Mohammed VI a renversé son frère Moulay Rachid, qui était prince héritier dans un premier temps, lorsque Mohammed VI a succédé à son père décédé. , Hassan II, en 1999.

    Le régime marocain du Makhzen tente d’occulter l’état de doute qui domine les rouages ​​du trône à Rabat, en occupant l’attention de l’opinion publique marocaine avec des victoires fictives de la diplomatie makhzen dans certains dossiers comme celui du Sahara occidental récemment, et en organisant des manifestations internationales, comme cela s’est produit récemment dans la ville de Marrakech, auxquelles ont participé des ministres des affaires étrangères de pays connus pour leur proximité avec le système marocain du makhzen.

    Tout cela arrive à un moment où l’influence sioniste pénètre et envahit les leviers de décision chez le voisin occidental. Les sionistes ont pris le contrôle des dotations dans le secteur des affaires religieuses, censé être loin de tels comptes, selon des témoignages d’activistes marocains sur les réseaux sociaux.
    Parmi les traits les plus saillants de cette infiltration, le régime marocain du Makhzen a ignoré l’assassinat hideux de la journaliste palestinienne, Sherine Abu Aqleh, en Palestine par les balles de l’occupation sioniste, alors que Rabat n’a pas été en mesure de publier un communiqué condamnant ce lâche assassinat, alors que les symboles du Makhzen sortent de temps en temps, pour confirmer que le « Royaume des Normalisateurs » soutient la cause palestinienne et se tient aux côtés du peuple palestinien dans sa lutte pour l’indépendance, sachant que son représentant aux Nations Unies, Omar Hilale, avait avait auparavant fait obstruction à une liste condamnant la profanation des lieux saints de Jérusalem par des soldats sionistes.

    Plus dangereux que tout cela, c’est la récurrence des fuites sur la possibilité qu’Audrey Azoulay, l’actuelle patronne de l’UNESCO, et la fille du juif André Azoulay, conseiller au Palais Royal, prennent la tête du gouvernement marocain dans le prochain amendement, succédant à son président actuel, Aziz Akhannouch, une fuite devenue plus crédible à la lumière du contrôle rampant des Juifs sur le pays.

    Sofiane. A.

    Echouroukonline, 15 mai 2022

    LIRE AUSSI : Presse espagnole / Maroc : Où est Lalla Salma?

    LIRE AUSSI : El Español : « Inquiétude au Maroc quant à l’influence de Lalla Salma sur le prince héritier Moulay Hassan »

    LIRE AUSSI : Maroc/Lalla Salma : séparation conjugale ou fin de contrat? (Média espagnol)

    #Maroc #MohammedVI #Maladie #Makhzen #Prince_héritier #LallaSalma

  • La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

    La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

    La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique – Maroc, Lalla Salma, prince héritier, Moulay El Hassan,

    La multiplication des manifestations de contestation contre le régime du makhzen, tant au Maroc qu’à l’étranger suscitent des rumeurs de plus en plus insistantes sur un éventuel changement à la tête du pouvoir marocain.

    Il ya a d’abord la gravité réelle ou supposée de la maladie du roi, que l’on aperçoit de plus en plus affaibli à chacune de ses rares apparitions en public, et la situation sociopolitique qui prévaut au Maroc, la cherté de la vie, les relations tendues avec les voisins (Espagne et Algérie) mais surtout le rejet de la normalisation et le renforcement effréné des relations géostratégiques avec le gouvernement sioniste qui risque de déstabiliser la région. La succession s’est désormais invitée à la table des Marocains qui ont commencé à s’interroger, discrètement, par crainte d’être épinglés par les services de renseignement, sur l’avenir du règne de Mohammed VI. Et ce n’est certainement pas le directeur de l’hebdomadaire arabophone al-Michaal qui dira le contraire.

    En 2009, il avait déjà été emprisonné pour avoir publié un dossier sur la maladie du souverain. Depuis, il est devenu patron d’une chaîne de télévision digitale, une véritable machine à buzz au service du pouvoir. C’est dire toute la sensibilité qui entoure la santé du roi, une question publiquement taboue qui continue de déchaîner les passions et nourrir les scénarios les plus extravagants.

    Par le passé, la succession au sultan alaouite relevait d’une tradition mythique presque archaïque (elle se limitait à une réunion dans la grande mosquée de Fès en présence des oulémas qui approuvaient l’acte d’allégeance). Aujourd’hui, elle est devenue une entreprise sophistiquée visant à pérenniser le pouvoir absolu de l’ombre de Dieu sur terre. Pour cela, les fervents défenseurs de cette monarchie tentaculaire tentent de forger une image humaniste du futur roi, Moulay Hassan, car c’est de lui qu’il s’agit, mais semblent préoccupés par le risque d’un virage à 180 degrés, tant son attachement à sa mère, la princesse Lalla Salma dont personne au Maroc ne doute de sa proximité avec le peuple et aussi son allergie présumée au baisemain. Plus que jamais au centre de l’attention médiatique, le prince héritier du Maroc, est l’une des préoccupations majeures des chancelleries européennes et à leur tète la France qui souhaiteraient jouer les tuteurs.

    L’état de santé du roi du Maroc, Mohammed VI, qui suscite de nouveau des interrogations dans le royaume chérifien, pose plus que jamais le problème de sa succession par son fils Moulay Hassan. Le souci majeur du régime, c’est qu’en cas de disparition du roi avant que son successeur atteigne la majorité, ce dernier puisse avoir la détermination d’un homme de pouvoir disposé à affronter ses adversaires pour défendre la monarchie. En attendant qu’il devienne chef suprême des Forces armées royales (FAR), comme le prévoit l’article 53 de la Constitution, le prince héritier a été initié au maniement des armes légères et aux dispositifs sécuritaires à suivre lors de ses déplacements ; seul ou en compagnie de son père.

    Plusieurs voix marocaines s’interrogent aujourd’hui l’ état de santé réel de leur roi, et d’autres sont allées jusqu’à se demander s’il pourrait tenir jusqu’à l’arrivée du prince héritier à la majorité pour être couronné ». Leur crainte est que le futur roi soit influencé dans sa gouvernance par sa mère dont il est très proche, la princesse Lalla Salma. Bien qu’elle ait été zappée par une bonne partie de la presse marocaine, depuis notamment son divorce avec le roi Mohammed VI, elle vient de refaire la Une de l’actualité au royaume. En effet, discrète depuis son divorce avec le roi Mohammed VI du Maroc, il y a trois ans, Lalla Salma fait à nouveau parler d’elle, non pas pour évoquer son ancienne vie au palais royal, mais à travers le sujet de la lutte contre le cancer. L’ex-épouse du roi Mohammed VI, s’implique d’avantage dans l’humanitaire.

    Très discrète, Lalla Salma, 43 ans, avait été prise en photo, en 2019, lors de la visite d’un centre de cancérologie. En parallèle, elle continue à garder un œil sur ses deux enfants, Moulay El Hassan et Lalla Khadija. Son fils Moulay El Hassan, héritier au trône du Maroc, semble de plus en plus promis à un brillant avenir, et elle pourrait y prendre un rôle actif. Certains journaux qui n’avaient pas hésité à déverser des insanités sur la mère de Moulay El Hassan, traitée de tous les noms d’oiseaux, tentent de réparer les dégâts maintenant que la roue risque de tourner, avec un pouvoir qui pourrait à tout moment se retrouver entre les mains du fils de son fils.

    Ces médias savent aujourd’hui que ces positions pourraient en effet bien changer. Une situation à donner le frisson au souverain. Et rien qu’à l’idée de voir ce dirigeant quitter les commandes, c’est l’inquiétude la plus totale dans l’entourage immédiat et les rentiers du gouvernent marocain. Même la diplomatie de ce pays est en perte de vitesse, si bien que ses relations avec son voisin espagnole est de plus en plus compliquée ces derniers temps. Mercredi passé, 2 500 migrants avaient fait de même lors de la tentative de passage la plus massive jamais enregistrée dans cette enclave, qui constitue, avec Ceuta, la seule frontière terrestre de l’UE avec l’Afrique. Près de 500 y étaient parvenus.

    À environ 6 h aujourd’hui mercredi 03 mars, le commandement de la Garde civile a vu un groupe d’environ 1 200 migrants s’approcher de la clôture, a indiqué la préfecture de Melilla dans un communiqué. Après avoir « débordé » sans problème les forces de sécurité marocaines, ils ont commencé, vers 7 h 25 (6 h 25 GMT), à franchir la clôture , lançant des pierres et utilisant des crochets et des bâtons contre les forces de sécurité, a-t-elle ajouté. Nous estimons qu’environ 350 sont entrés dans la ville, a poursuivi la préfecture. Melilla et l’autre enclave espagnole de Ceuta, située à près de 400 kilomètres plus à l’ouest, constituent les seules frontières terrestres de l’Union européenne en Afrique. Pour cette raison, elles font régulièrement l’objet de tentatives d’entrée de la part de migrants clandestins cherchant à rejoindre l’Europe pour fuir la guerre ou la pauvreté après avoir traversé une partie de l’Afrique jusqu’au Maroc.

    Le gouvernement espagnol a encore haussé le ton contre le Maroc, accusé d’« agression » et de « chantage ». De son côté, l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH) avait fait elle aussi état mercredi d’une trentaine de migrants blessés, dont trois ou quatre grièvement. Selon l’AMDH, 250 migrants ont été arrêtés jeudi et placés dans un centre de jeunesse, transformé en centre de détention, dans la ville marocaine de Kariat Arekmane, et seront ensuite éloignés par les autorités de la zone. En parallèle, le Maroc a exprimé sa colère, après l’annonce du G4, que forment quatre pays à savoir l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Éthiopie. Selon des journaux échos du pouvoir, ces nations seraient connues pour leurs positions hostiles vis à vis du Royaume chérifien. C’était pourtant un regroupement informel à but diplomatique, lancé à Bruxelles, en marge du dernier sommet de l’Union européenne-Afrique, le G4 devait être réactivé au sein de l’Union africaine. Il avait pour but de coordonner, analyser, concerter et trouver des solutions aux défis du continent en proposant un mécanisme stratégique qui vise à apporter des solutions pratiques et efficaces aux différents problèmes auxquels l’Afrique est confrontée. Le Nigeria, l’Afrique du Sud, l’Algérie et l’Éthiopie partagent effectivement le même point de vue sur de multiples questions concernant le continent.

    Ils partagent également la même vision de la sécurité au Sahel et surtout au Mali. Le communiqué de la présidence nigériane précise qu’un sommet officiel entre les quatre chefs d’État sera convoqué dans les mois à venir, pour tracer une feuille de route. Selon la presse proche du pouvoir, le Maroc a exprimé son mécontentement mercredi 23 février passé, car pour elle, les quatre pays formant ce groupe seraient selon ces médias, connus pour leurs positions hostiles au Royaume chérifien. Mais qu’en est-il du retour du Royaume du Maroc au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, qui s’est accompagné par la présence au sein de cette instance de l’Union Africaine de six pays, ayant déjà ouvert des consulats au Sahara ? Il s’agit du Sénégal, le Burundi, Djibouti, la République Démocratique du Congo, la Gambie et la Guinée équatoriale. Deux poids deux mesures…

    En réalité, cette diversion est faite pour détourner l’attention internationale des événements qui se déroulent dans la rue marocaine et qui demandent ni plus ni moins le départ immédiat des sbires du pouvoir. Aujourd’hui, les Marocains en pleine désobéissance civile ! Trop c’est trop ! La coupe est désormais par trop pleine dans le royaume. Depuis plusieurs jours, des centaines de milliers de sujets marocains campent nuit et jour dans toutes les villes du royaume chérifien. Comme le montrent de nombreuses vidéos mises en ligne, cette revendication, immédiate et sans appel, devrait être suivie par une autre, encore plus radicale, mais carrément salvatrice, celle du départ du roi Mohamed VI et de son régime makhzenien. Celui-ci incarne en effet la véritable source du mal.

    Ce roi prédateur et immensément riche s’empiffre de la misère et des innombrables privations de ses malheureux sujets. Au Maroc, l’heure de rendre enfin compte a enfin sonné. Ceux qui s’attendaient, à juste titre il faut le dire, à un soulèvement massif contre la trahison par Mohamed et « commandeur des croyants » sic ! de la cause palestinienne, étaient sans doute loin de se douter que c’est la situation sociale, désormais intenable, qui allait jouer le rôle de détonateur final. Dimanche 3 mars, plusieurs centaines de Marocains se sont rassemblés sur le parvis des droits de l’Homme, place du Trocadéro à Paris, pour dénoncer les agissements d’un roi prédateur contre une population victime expiatoire. Il est certain que ces manifestations appelant à jeter à terre ce régime féodal et corrompu, constituent une sérieuse alerte pour le régime de Mohamed VI.

    Selon plusieurs sources recoupées et digne de foi, d’imposantes manifestations se sont déroulées dans plusieurs villes marocaines durant la nuit de samedi à dimanche 6 mars 2022. Les préoccupations et jeux de pouvoir se cristallisent autour de la succession au trône et la préparation du jeune prince héritier, Moulay el Hassan, 17 ans. Le jeune homme a récemment fait parler de lui en refusant de faire les études universitaires qu’on avait prévues pour lui. La presse espagnole voisine est souvent fort bien renseignée sur ce qui se passe à la Cour du Maroc. Cherchez la mère diront certaines sources proches du Palais, prompts à y voir la main mise de Salma, l’ex épouse du roi. Souvenez- vous qu’elle était passée à la trappe brutalement, sans crier gare, quittant rapidement ses fonctions caritatives et publiques. On l’a sortie comme une voleuse et ses propres enfants l’auront remarqué. D’un point de vue psy systémique, ce n’est jamais bon de bannir ainsi les gens (employés, parents) car c’est créer une sorte de secret de famille qui rebondit à la gueule par la suite… Moulay el Hassan est très attaché à celle qui l’a élevée. Il préfèrerait rester près d’elle. Il s’est inquiété pour elle lors du divorce, la voyant déchue, ostracisée du jour au lendemain. Il n’est donc pas exclu que le jeune prince devenu roi tendrait une oreille attentive à celle qui l’a mis au monde, et la politique du royaume risquerait de changer et de mettre à mal certaines alliances, mais ce pouvoir maternel sur le future roi inquièterait le roi et ses sœurs (qui n’ont jamais adoré Salma). En effet, la succession de M6 devient une question potentiellement imminente. Il pourrait avoir besoin de passer le flambeau rapidement à son fils et le prépare, malgré tous les risques qu’il encoure.

    par Youcef Dris

    Le Quotidien d’Oran, 13/03/2022

    #Maroc #MohammedVI #LallaSala #PriceHéritier

  • Où est passée la reine du Maroc?

                                               Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI,

    Le roi du Maroc, Mohammed VI, est un grand adepte du selfie. Sur les réseaux sociaux, le souverain se veut très proche de ses compatriotes, alors que la contestation sociale grandit. 
    Il compte plus de 3,6millions de followers sur son compte Facebook. D’ailleurs, il semble être surtout occupé à prendre des selfies avec tout ce qui bouge. 
    Le voici dans une boutique de souvenirs en Tanzanie vêtu d’un short, de baskets et d’une chemise à imprimé «ethnique». 
    Là, il est photographié avec un groupe de rock portant un pantalon sans manches de marque. Une fois il est dans une robe marocaine traditionnelle dans une variété de couleurs et une fois dans une veste en cuir. 
    Mais ce qui n’est pas clair, c’est l’absence totale de la reine, Lalla Salma. Selon un journal israélien, Lalla Salma, Salma Bennani de son vrai nom, n’a pas été vue depuis bientôt 4 ans. De nombreuses rumeurs courent à propos de sa disparition.
    L’Expression, 14/09/2021
  • Journal israélien: Où est la Reine du Maroc?

    Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI, #Maroc, #LallaSalma,

    Roi du Maroc sur Facebook, ce qui n’est pas clair, c’est où est la reine

    Ces derniers mois Muhammad VI le roi du Maroc n’a passé que 20 jours dans son royaume, le reste passé dans le monde avec des officiels et des célébrités.

    Pendant ce temps, chez nous, la contestation sociale grandit, et au-dessus d’elle un point d’interrogation – où est la reine ?

    Muhammad VI, roi du Maroc, compte plus de 3,6 millions de followers sur son compte Facebook. Le roi aime distribuer des photos et des publications qui décrivent où il séjourne, avec qui il rencontre et surtout, il semble être surtout occupé à prendre des selfies avec tout ce qui bouge.

    Le voici dans une boutique de souvenirs en Tanzanie vêtu d’un short, de baskets et d’une chemise à imprimé « ethnique ».

    Là, il est photographié avec un groupe de rock portant un pantalon sans manches de marque.

    Une fois il est dans une robe marocaine traditionnelle dans une variété de couleurs et une fois dans une veste en cuir.

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  • Maroc: Presse israélienne parle d’un scandale de mœurs au palais royal

    Maroc, Mohammed VI, Moulay El Hassan, Lalla Salma, prince héritier, #Maroc,

    Grave scandale de mœurs au sein de la famille Moulay : Le fils de Mohamed VI serait illégitime
    Un scandale d’une gravité extrême risque d’éclater au royaume chérifien. Et c’est la presse sioniste, réputée très proche, et très complice du régime alaouite qui s’en et faite l’écho dans ses éditions de ce mercredi.
    La princesse Lala Asmaâ se serait en effet violemment opposée à ce que le fis du roi Mohamed VI, Moulay Hassan, assure la succession de son père, sachant que ce présumé bâtard en a récemment atteint l’âge légal de 18 ans depuis le mois de mai passé. Le plus poilant dans ce scandale, intrigues de palais et secrets d’alcôves si je puis dire, ce sont les raisons qui poussent l’une des trois sœurs de Mohamed VI à s’opposer frontalement à ce que son fils ainé lui succède.
    Elle argumente son veto en effet par le fait que le prince Hassan ne serait pas le fils légitime de Mohamed VI. Il serait en effet le fruit de liaisons extraconjugales qu’aurait eu l’ex-femme de Mohamed VI.
    Les soupçons sont surtout portés sur un chauffeur de la famille royale, retrouvé mort dans sa chambre, au sein-même du palais royal, et dans des circonstances particulièrement troubles et louches.
    Les faisceaux de soupçons, particulièrement nombreux, se portent également sur le défunt consul général de France Denis François, lui aussi retrouvé mort à Tanger en date du 19 novembre 2020, là encore dans des circonstances particulièrement troubles. Les mœurs peu orthodoxes de Mohamed VI, ses douteuses amitiés, son divorce et la brusque disparition de Lalla Selma sont autant d’éléments qui concourent à accréditer la thèse selon laquelle le successeur de Mohamed VI, Moulay Hassan, ne serait pas le fils légitime du roi Mohamed VI. Auquel cas, un séisme d’une magnitude incommensurable pourrait souffler sur la famille régnante au Maroc et l’emporter toute entière.
    Ce n’est pas tout. Le fait que ce soit des médias sionistes qui aient donné libre court à cette « info » c’est que Tel-Aviv semble avoir résolu de se débarrasser de Mohamed VI et de ses proches collaborateurs.
    Sur le plan international, par exemple, son ministre des Affaires Etrangères, Nacer Bourita, a accumulé les bévues en ouvrant des fronts directs avec des Etats puissants comme l’Espagne, l’Allemagne et même l’Algérie. Preuve en est que l’entité sioniste n’a même pas daigné ouvrir une représentation consulaire à Dakhla ou à Laâyoune, dans les territoires occupés sahraouis conformément au « deal du siècle », portant reconnaissance par Washington de la prétendue « marocanité du Sahara Occidental ».
    Au reste, l’enjeu principal des élections locales et législatives au royaume chérifien résidera très certainement dans le taux de participation. Les autorités marocaines seront obligées, sur ce coup, de bourrer les urnes et de frauder jusqu’à l’outrance dans les territoires occupés.
    Au Sahara Occidental, en effet, le taux de participation n’est pas loin de zéro, ce qui équivaut à un référendum décrétant le rejet officiel de l’occupation marocaine, celui-même que Rabat continue de refuser au peuple sahraoui…
    Kamel Zaidi
    La Patrie News, 08/09/2021

  • Un média français accable le roi du Maroc

    Le silence n’est plus de mise. L’affaire est grave, d’autant plus que la source de l’information est un média africain.

    En effet, le site Public, citant Afrik.com, parle de la double disparition relevée au palais royal du Maroc. Après celle de la princesse Lalla Salma, épouse du roi Mohammed VI, c’est sa fille Lalla Khadija, une adolescente de 14 ans que le public marocain et la presse people regrettent.

    Celle qui était la première dame du Maroc pendant près de 15 ans et qui a donné au souverain marocain un héritier pour le trône alaouite, s’est effacé de la scène publique fin 2017. De nombreuses dépêches font état d’activités de Lalla Salma en relation avec la fondation qui porte son nom. Cependant, aucune n’est illustrée, ce qui laisse planer beaucoup de questions sur son sort.

    Selon la presse internationale, Lalla Khadija n’a pas été vue depuis près de deux ans. Un fait particulièrement marquant, la presse locale marocaine a rapporté la célébration de son 14ème anniversaire mais, encore une fois, sans apporter des images d’un événement très cher aux marocains. Sa dernière apparition remonte au 13 décembre 2019 lors sa première sortie en solo pour inaugurer le vivarium du Jardin zoologique à Rabat.

    Y a-t-il un mystère derrière les deux disparitions ? Lalla Khadija, se serait-elle aussi disputé avec son père ? Une réponse est plus que jamais nécessaire pour éviter au palais royal un nouveau scandale politique.

    Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Lalla Khadija,