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  • Maroc: Le prince qui brûle des billets de 500 euros en Grèce

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    Selon le média grec Flash.gr, Le prince héritier du Maroc a été vu il y a quelques jours à l’île grecque de Mykonos. « Il s’amusait à brûler des billets de 500 euros. Voici le texte intégral de l’article sur le sujet.

    Moulay Hassan : Le profil du prince du Maroc et ses vacances à Mykonos
    Moulay Hassan : Qui est l’héritier du trône du Maroc, âgé de 18 ans.

    Depuis l’âge de 10 ans, Moulay Hassan s’entraîne pour devenir un jour le roi du Maroc. Le prince, aujourd’hui âgé de 18 ans, était à Mykonos il y a quelques jours et a fait le tour d’internet car on l’a vu faire la fête avec ses amis « sur l’île où tout peut arriver » et, d’humeur… insolente, il s’amusait à brûler des billets de 500 euros.

    Moulay Hassan, 18 ans, dont l’avenir est prédéterminé, puisqu’il succédera à son père et au roi Mohammed VI du Maroc sur le trône, est encore un enfant qui, comme le veut son âge, se déchaîne dès qu’il en a l’occasion… Le fils aîné du roi Mohammed suit son père dans les événements officiels depuis quelques années déjà, afin d’être prêt à prendre la relève lorsque le moment sera venu de lui succéder. Le prince de 18 ans a même fait parler de lui il y a quelques années lorsqu’il s’est spontanément essuyé la main chaque fois que quelqu’un le saluait – la poignée de main est la salutation obligatoire parmi les membres de la haute société du pays.

    Sa mère bien-aimée, Lala Salma, du Maroc, qui est une femme très influente sur le trône, a également joué un rôle important dans l’éducation du futur roi. En témoigne d’ailleurs l’estime dont elle jouit tant auprès du roi que de la cour. En effet, Lala Salma est la première épouse d’un roi de la région à recevoir le titre de princesse, les femmes n’étant pas habituées à recevoir des titres royaux. La princesse Lala Salma a été mariée pendant 16 ans au roi du Maroc Mohammed VI et ils ont divorcé fin 2018, mais a conservé le titre d’ancienne reine-princesse, car elle est la mère de l’héritier du trône, Moulay Hassan.

    Le mariage de Mohammed VI avec une jeune informaticienne de Fès a donné au pays l’espoir qu’avec le nouveau roi, qui n’est pas seulement un laïc mais aussi un chef spirituel et un « leader des fidèles », la famille moderne apportera un renouveau. La révolution a eu lieu en 2002, lorsque sur sa photo de mariage avec Lala Salma, alors âgée de 24 ans, elle est apparue avec de longs cheveux bouclés. La mère de Mohammed VI n’était jamais apparue en public et aucune photo d’elle n’avait été autorisée à être publiée. Le couple modèle semblait apporter le changement dans le monde arabe, tout comme le roi de Jordanie et son épouse Rania, issue d’une famille palestinienne. Lala Salma a étudié et travaillé dans une entreprise appartenant à la famille royale. Elle parle anglais, français et un peu espagnol.

    Sa destination préférée est la Grèce

    Ce n’est cependant pas la première fois que le jeune prince se rend en Grèce pour des vacances et certainement pas la dernière, car lui et sa famille de sang bleu ont une préférence particulière pour ce pays. En août 2014, la famille royale s’est rendue à Corfou. En 2015, la famille a visité Mykonos et Kyllini, tandis qu’en 2019, la princesse Lala Salma et son fils Moulay Hassan ont passé des vacances à Skiathos. Cette année, c’était au tour du prince de 18 ans d’honorer seul notre pays et de se déchaîner… un peu plus que ce que le protocole impose aux sangs bleus…

    Éducation

    Moulay a montré une préférence pour l’aviation et sera le premier de la famille à suivre… cette voie. Son père a étudié le droit. Il est conscient des responsabilités qui incombent à la famille royale et apparaît souvent avec le roi lors de grands événements internationaux et au Maroc. L’année dernière, le prince a présidé la cérémonie d’ouverture du 14e Salon international de l’agriculture (SIAM) au Maroc. Moulay était le plus jeune participant au One Planet Summit en France en 2017, où il a acquis une reconnaissance internationale. À cet égard, il suit les traces de son père. En 2019, Moulay a accueilli le prince Harry et Meghan Markle au Palais royal des hôtes à Rabat.

    Luxe
    Il voyage dans le monde entier avec son avion Gulfstream G650, d’une valeur de 67,4 millions de dollars. On dit que c’est l’un des jets VIP les plus chers et les plus puissants qui existent. La plaque d’immatriculation « CN-AMH » signifie « Altesse » (ou « Majesté »), ce qui lui confère le privilège d’être désigné comme « Sa Majesté Moulay Hassan ». Il peut voler 14 000 kilomètres sans escale et peut accueillir huit passagers et quatre membres d’équipage. Le jet est équipé d’un système de défense antimissile israélien J-Music de 20 millions de dollars.

    Sports
    La popularité de Moulay au Maroc peut être appréciée par le fait que le Circuit International Automobile Moulay Hassan à Marrakech et le Stade Moulay Hassan de 12 000 places à Rabat portent tous deux son nom.

    Vacances en famille
    Le prince a des liens forts avec sa famille et les fêtes de famille semblent être plus qu’importantes pour lui. Lors d’un voyage sur l’île de Skiathos en juillet 2019, la famille royale a loué un yacht de luxe appelé Serenity, qui coûte 550 000 euros par semaine.

    Flash.gr, 05/07/2021

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  • Dupond-Moretti, l’avocat du roi du Maroc dans la tourmente

    Selon La Mare aux Canards, Eric Dupont-Moretti « se prépare à affronter les rigueurs..de la justice. Il pourrait bientôt être entendu par la justice « avec un risque sérieux de se voir mis en examen pour prise illégale d’intérêts. L’enquête pour « prise illégale d’intérêts » visant le Garde des Sceaux. Une longue perquisition des bureaux du ministre de la justice a eu lieu, jeudi 1er juillet, à la demande de la commission d’instruction de la Cour de justice de la République.

    Arrivés ce matin au ministère de la Justice pour une perquisition, des magistrats sont toujours sur place dans l’enquête qui vise Eric Dupond-Moretti sur de possibles conflits d’intérêts entre son action de garde des Sceaux et ses anciennes fonctions d’avocat, rapporte AFP.

    L’enquête concerne des conflits d’intérêt dans deux dossiers dans lesquels il aurait pris part alors qu’il était avocat. L’ancien ténor du barreau est visé par une plainte de trois syndicats de la magistratures et de l’association Anticor, qui le soupçonnent d’avoir usé de son pouvoir de ministre dans des dossiers qu’il a traité en tant qu’avocat, afin de mener des vendettas personnelles contre un magistrat, et plusieurs autres du parquet national financier (PNF).

    En 2015, Dupond-Moretti a été engagé par le roi du Maroc pour accuser les deux journalistes français Catherine Graciet et Eric Laurent de chantage contre le souverain marocain et en 2019 pour museler la presse française sur le scandale de la disparition de la princesse Lalla Salma, la mère du prince héritier Moulay El Hassan disparue des radars depuis 2017.

    Le Garde des Sceaux français partage avec son client royal le goût pour le luxe, ce qui lui a valu le surnom de « Pitbull à Rolex ». Dernièrement, en campagne pour les élections régionales à Arras, dans le Nord-Pas-de- Calais, Eric Dupond-Moretti est apparu sur une photo en train de coller des affiches électorales. Un détail n’est pas passé inaperçu auprès de certains internautes et adversaires politiques: sa montre de luxe et ses boutons de manchette.

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  • Maroc : Le Makhzen tente de se débarrasser des frères Azaitar

    Selon El Confidencial, la vie que les frères Azaitar mènent une vie pleine d’incidents, de scandales publics, d’un étalage débridé de luxe et de privilèges et ils portent atteinte à la réputation de la monarchie. C’est pourquoi les services secrets marocains ont déclaré la guerre “dans le but de les discréditer”. “Peut-être que de cette façon, le roi sera persuadé de se séparer d’eux. Les services secrets marocains sont efficaces. Preuve en est qu’en avril, ils ont rapidement appris que Brahim Ghali, le leader du Front Polisario, avec lequel le Maroc est en guerre, avait été admis, sous un autre nom, à l’hôpital San Pedro de Logroño”, indique-t-il.

    Dans ce contexe, les premiers tirs sont arrivés du quotidien Hespresse “le plus lu du Maroc, avec un article de 3 400 mots publié en français et en arabe” où “il a commencé par rappeler le casier judiciaire de deux des frères en Allemagne. Il a ensuite passé en revue leur penchant pour les voitures de luxe dans lesquelles ils roulent, d’une Mercedes Brabus 800, estimée à 200 000 euros, à une Rolls-Royce, dont le prix dépasse le demi-million”.

    D’après le journal espagnol, “les médias marocains s’abstiennent de souligner les liens entre le souverain et les Azaitars. Tout au plus, ils laissent échapper que les frères ont profité de la générosité royale. Ni les arts martiaux pratiqués par Abu Bakr et Ottman, ni les deux restaurants de hamburgers qu’Omar vient d’ouvrir ne leur permettent de s’enrichir rapidement. Les montres et les voitures sont probablement des cadeaux du monarque. Les gens du peuple marocain ignorent presque tout de cette fratrie qui gravite autour de Mohammed VI, mais pas les élites marocaines. Pour eux, les liens étroits entre les Azaitars et le chef de l’État sont un sujet de conversation récurrent. L’avis est unanime : la relation nuit à l’institution. S’ils retournent définitivement en Allemagne, la bourgeoisie marocaine l’applaudira de tout cœur”.

    El Confidencial rappelle que “un mois et deux jours après que le magazine « Hola! » ait annoncé en exclusivité le divorce de Mohammed VI et de la princesse Lalla Salma, Abou Bakr et ses deux frères, Ottman et Omar, ont été reçus au Palais Royal de Rabat par le monarque. Il a tenu à féliciter Ottman pour sa victoire dans la Brave Combat Federation et Abu Bakr pour son entrée dans l’Ultimate Fighting Championship, la ligue la plus importante de la modalité d’arts martiaux qu’il pratique (MMA)”.

    “Depuis, ajoute le média espagnol, le duo athlétique et son frère Omar, qui fait office de manager tout en travaillant comme restaurateur, sont devenus inséparables du souverain alaouite. Dans un premier temps, au printemps et à l’été 2018, une bonne poignée de photos de Mohammed VI avec ses nouveaux amis, notamment Abou Bakr, ont fait surface sur les réseaux sociaux. Ils ont été vus ensemble en train de dîner à Tanger, à bord d’un yacht ou en train de visiter la ville en voiture. D’autres rapports indiquent que le roi et le trio sont tous partis en vacances aux Seychelles ou ont navigué en Méditerranée à bord d’un yacht appartenant à l’émir du Qatar. Aujourd’hui, leur présence est devenue plus discrète, mais ils entretiennent toujours une relation étroite avec le monarque”.

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  • Maroc : Moulay Hassan, le prince qui préfère sa mère (El Correo)

    Habitué depuis son enfance à s’asseoir à la table des plus puissants de ce monde, l’héritier du royaume du Maroc atteint sa majorité en pleine crise avec l’Espagne. Le divorce traumatisant de ses parents l’a conduit à prendre parti pour elle, condamnée à l’ostracisme.

    Difficile de reconnaître dans ce jeune homme longiligne, taciturne et aux cheveux coupés, le fils de Mohammed VI, le monarque marocain, friand de papier-couche et de résidences de rêve. Ceux-là mêmes avec lesquels l’Espagne entretient des relations toujours tendues, soit à cause du conflit sahraoui, soit à cause de l’éternelle dispute sur les villes autonomes de Ceuta et Melilla, soit les deux à la fois, comme c’est le cas depuis que la frontière de Tarajal est devenue une passoire. Moulay Hassan, l’aîné et héritier du trône alaouite, vient d’atteindre sa majorité, ce qui lui donne théoriquement le droit de diriger les destinées d’un pays de 36,5 millions d’habitants qui garde la frontière sud de l’Europe et était l’un des dix premiers partenaires commerciaux de l’Espagne avant la pandémie.

    Inutile de dire que Moulay n’est pas un adolescent ordinaire. Et pas parce qu’il a 258 000 followers sur son compte Instagram, ni en raison du niveau de vie qu’il affiche lorsqu’il est en compagnie de son père. Ce jeune homme, aux traits délicats et d’une taille plus que remarquable, que l’on voit vêtu du typique tarbush (fes) et de l’impeccable djellaba qu’avec l’uniforme de l’armée ou dans un costume trois pièces, a fait son premier discours à 8 ans et est habitué à dispatcher avec les rois et les chefs d’État depuis l’âge de 11 ans. Il a même remplacé son père lors d’inaugurations comme celle de Tanger Med 2, la plus grande infrastructure portuaire du pays voisin, appelée à rivaliser dans une lutte acharnée avec Algésiras pour l’hégémonie dans le détroit.

    Moulay est le dernier maillon d’une dynastie qui remonte au 17ème siècle et lorsqu’il montera au pouvoir, il le fera sous le nom de Hassan III. Jusqu’à présent, en cas de décès de son père, il devait se soumettre aux diktats du Conseil de régence conformément à la Constitution, dont le travail n’est plus que consultatif et ce, jusqu’à ses 20 ans. Cela ne signifie pas que Moulay régnera bientôt, ni que son père pense à abdiquer, bien que la santé du monarque ne soit pas bonne et lui ait déjà valu plusieurs frayeurs, la dernière en date étant qu’il a dû subir une intervention chirurgicale au bloc opératoire du Palais royal de Rabat pour une arythmie cardiaque. Ce n’est pas son principal problème de santé. Il souffre d’une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), qui entraîne généralement un emphysème pulmonaire ou une bronchite chronique. Les sifflements et la toux qui ponctuent ses discours en sont la preuve.

    La vie de Moulay et celle de sa sœur Khadija, de quatre ans sa cadette, ont toutefois pris un tournant inattendu en mars 2018, lorsque leur père a décidé de divorcer de la princesse Lalla Salma, qu’il avait épousée en 2002 (et qui n’a jamais reçu le titre de reine). Non pas que cette nouvelle situation représente un changement substantiel du statu quo pour le couple royal, qui n’a jamais partagé un toit. Mais l’ouverture des hostilités, qui avait trouvé un écho dans les médias pro-gouvernementaux comme Le Crapouillot Marocain, ainsi que sur les réseaux sociaux, a fini par se transformer en une campagne de harcèlement et de démolition dans laquelle aucun prisonnier n’a été fait, et où les enfants ont pris parti pour celle qui avait été la seule constante dans leur vie : la mère.

    « Colérique », « agressif », « dédaigneux »… Les critiques lancées à l’encontre de la princesse, dont certaines sont signées par ses trois belles-sœurs – dont la présence est plus courante à Paris qu’à Rabat – ont réussi à véhiculer l’image d’une peste. Du jour au lendemain, Lalla est passée d’un voyage avec ses enfants à New York, Cuba ou Istanbul, à l’obligation de demander à la Maison royale la permission de les emmener au cinéma. Au cours de ces années, Moulay n’a pas été insensible au mépris dont sa mère faisait l’objet et, loin de céder, il a montré des signes d’indépendance. Le même caractère qu’il a déjà montré lorsque, à l’âge de trois ans, il a refusé de se faire baiser la main lors d’une réception royale par les militaires et les chefs militaires, conformément au protocole.

    Bien que des publications telles que Jeune Afrique s’efforcent de souligner la complicité entre le père et le fils sous la forme « d’étreintes, de regards tendres, de selfies sans cérémonie, de rires et de moments de complicité », ceux qui le connaissent s’empressent de souligner que la façon dont il traite sa mère n’a fait que renforcer leur relation et que, lorsqu’il deviendra roi, l’influence qu’elle exerce sur lui pourrait réserver des surprises au palais.

    S’il y a une chose que Moulay n’a pas négligée, c’est sa présence dans les plus hautes instances. Il a représenté son père aux funérailles de Pompidou ou à celles d’Henri d’Orléans, et a partagé une table avec le président de la Banque mondiale ou le secrétaire général des Nations unies. Sa présence est encore plus fiable que celle du monarque. Lorsqu’il y a trois ans, la France a commémoré le 100e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Moulay a suivi avec attention la cérémonie présidée par Macron, tandis que son père s’assoupissait. Sans parler de ses démonstrations d’informalité. Mike Pompeo, Erdogan ou Medvedev sont quelques-unes des personnes illustres auxquelles il a posé un lapin.

    À l’Institut Cervantes

    Comme son père, il parle arabe, français, anglais et espagnol (il a suivi des cours à l’Institut Cervantes de Rabat). Ils aiment tous deux Maître Gims, un rappeur congolais installé en France. Mais c’est là que s’arrêtent les similitudes. Alors que Mohamed VI a montré dès le début sa prédilection pour la littérature – il a choisi la littérature à l’école et le droit à l’université – son fils est plus intéressé par les sciences économiques et sociales. Si le premier a souvent été vu dans ses beaux jours sur un jet ski, le second aime le basket, l’équitation et le football, un sport dans lequel il ne cache pas sa préférence pour le Barça et Messi en particulier. Il a également fréquenté l’école aéronautique de Marrakech pendant un certain temps pour se préparer à devenir pilote, une décision que son père a respectée tant qu’elle n’interférait pas avec sa formation de roi.

    Lorsque l’été dernier, il a passé le baccalauréat international avec mention très bien, son père s’est arrangé pour l’envoyer à l’université polytechnique Mohammed VI, un centre pour l’élite avec deux campus, l’un à Rabat et l’autre à Benguerir, une ville du sud du pays où un chalet écologique a été aménagé pour lui. Après avoir passé quelques jours avec son père à Al Hoceima, le prince a de nouveau montré des signes de sa rébellion. Il a clairement indiqué qu’il étudierait dans la capitale, aux côtés de sa mère. Il n’y a qu’une seule mère pour une raison.

    El Correo, 30 mai 2021

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  • Presse espagnole / Maroc : Où est Lalla Salma?

    Où est Lalla Salma, l’ex-femme de Mohammed VI qui voulait prendre le pouvoir ?

    La figure de l’ancienne épouse du monarque alaouite refait fantomatiquement surface chaque fois que le Maroc fait la une des journaux. Une personne proche de cette maison royale le détaille

    Le 21 mars 2018, le magazine « Hello ! » annonce en couverture que le divorce du roi du Maroc et de son épouse a été consommé. Ce n’est qu’en avril 2019 que Lalla Salma est réapparue en public. Depuis, son absence a permis de découvrir toutes sortes de canulars, qui se révèlent avec les dates clés de la cour alaouite, qu’il s’agisse de la majorité du premier-né ou maintenant avec la crise migratoire. La disparition publique de la princesse a donné lieu à toutes sortes de spéculations dans les médias étrangers : d’un possible exil aux États-Unis à un possible emprisonnement sans possibilité de voir ses enfants. Lalla Salma a ensuite refait surface en avril 2019, à travers des photographies sur lesquelles elle semble dîner avec sa fille et quelques amis sur la place Jemaa el Fna à Marrakech. LA RAZÓN a pu s’entretenir avec une personne proche de la monarchie du pays voisin et cela permet de clarifier la situation de l’ancienne épouse de Mohamed VI.

    Cette personne explique qu’à partir du moment où il y a un divorce, Lalla Salma cesse d’avoir une représentation officielle et son travail public est terminé, c’est pourquoi il est normal qu’elle cesse d’apparaître dans les événements publics, puisqu’elle a cessé d’avoir cette tâche. « Dans la société marocaine, il est essentiel que toute personne qui a un statut exerce une activité sociale quelconque, à caractère caritatif, au-delà d’être une dictée du protocole, c’est un mandat de l’Islam. Elle a cessé d’être une personne publique, son travail consiste maintenant à élever ses enfants et il est normal qu’elle ne s’expose pas dans des événements publics. Il n’y a plus de mystère », dit-elle.

    Malgré cela, Lalla Salma a fait quelques apparitions, souvent motivées par la pression exercée par les médias. Avant la pandémie, elle a visité un hôpital à Beni Mellal, dans le centre du Maroc. Elle y a parlé avec l’équipe médicale et certains patients, selon le journal en ligne marocain « Goud », qui a publié une photo de la princesse entourée du personnel médical de l’hôpital. Alors que les rumeurs continuaient à se répandre et s’étendaient aux trois enfants du couple, affirmant que le père avait pris en otage la fillette de 12 ans et l’empêchait de voyager à l’étranger, l’ancien couple a publié une déclaration commune. Ils y assurent à l’unisson que « le souverain et la princesse, parents de deux adolescents (…), démentent formellement et catégoriquement ces rumeurs ». Après la déclaration, en septembre 2019, il a été facilité pour la presse d’accéder à des images même inédites jusqu’alors. Elle n’avait jamais été photographiée à l’étranger avec ses enfants. La princesse, ainsi que le prince héritier du Maroc, Moulay Hassan, alors âgé de 16 ans, et la princesse Lalla Khadija, de deux ans plus jeune que son frère, sont apparus à New York, faisant du shopping. Un mois plus tard, la princesse fait un retour surprise à l’agenda officiel, en inaugurant une exposition à Rabat, l’exposition « Trésors de l’Islam en Afrique : de Tombouctou à Zanzibar ». « Et pourtant, les rumeurs se multiplient maintenant avec l’arrivée à l’âge adulte de Moulay Hasan. Certains médias espagnols ont publié que si l’on s’inquiétait au Maroc de l’affinité de l’héritier avec sa mère. La vérité est que les trois enfants du couple royal passent plus de temps avec leur mère qu’avec leur père. Il a des obligations d’État et des engagements fréquents, tandis qu’elle se consacre aux soins des enfants et n’a pratiquement aucune projection publique. L’héritier est un jeune homme très proche de sa mère, mais pas un jeune homme « coincé » au sens péjoratif du terme », soulignent-ils.

    Loin de son mari

    Notre interlocuteur souligne que le rôle des femmes dans la haute société marocaine n’est pas relégué au second plan, comme cela « peut arriver » dans des couches sociales plus défavorisées. « Une partie du problème avec Lalla Salma venait de là, à cause du pouvoir que les femmes ont dans la société marocaine, notamment au sein de la famille. Elle a essayé de désunir une famille très unie. Elle se comportait comme une reine avec les trois sœurs du monarque et elle créait de plus en plus d’espaces indépendants qui l’éloignaient de son mari. Le résultat a été le divorce. Meriem, Hasna et Asma, dont le monarque a toujours été très proche, avaient une opinion très claire à son sujet. C’est la force du sang qui l’a emporté sur le mariage. Elles sont elles-mêmes divorcées d’hommes qui n’étaient pas non plus du cercle royal et ont toujours eu le soutien de leurs frères Mohammed (le roi) et du prince Moulay Rachid, plus qu’un frère, le bras droit du monarque alaouite ». A la question de savoir si Salma vit toujours dans la résidence de Dar es Salam, dans la banlieue de Rabat, où elle a toujours séjourné depuis son mariage avec Mohammed VI, notre interlocuteur répond : « en tant que mère des enfants du Roi, elle sera toujours dans un endroit qui convient à sa condition », conclut-il.

    La Razon, 23 mai 2021

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  • Maroc : Il y a 43 ans, la princesse Lalla Salma est née

    Le 10 mai 2021, la princesse Lalla Salma devrait fêter son 43 anniversaire. La mère du prince héritier Moulay Hassan, qui vient de souffler ses 18 ans et, par conséquent, sa majorité d’âge pour porter la couronne royale, est toujours portée disparue.

    La dernière apparition publique de la princesse Lalla Salma date de décembre 2017. Sa situation continue de susciter des interrogations et de nombreux marocains se font des soucis pour son sort qui alimente les rumeurs les plus folles au Maroc.

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  • Au Maroc, une présentatrice de TV péruvienne est confondue avec Lalla Salma

    Janet Barboza : sa fille révèle qu’ils ont pris l’hôte pour la princesse du Maroc.

    Antonella Huarac a raconté comment un voyage en famille s’est transformé en un moment de tension à cause des personnes qui voulaient monter pour saluer l’animateur d’ »America Today ».

    La fille de Janet Barboza, Antonella Huarac Barboza, a raconté sur ses réseaux sociaux le moment tendu qu’elle a passé avec sa famille au Maroc, où sa mère a été prise pour une personnalité politique importante de ce pays.

    Dans un Tiktok en quatre parties, Huarac raconte comment il est parti en voyage avec sa mère et sa grand-mère sur le territoire africain. Lors d’une promenade dans les rues de la ville, ils ont remarqué qu’on les dévisageait beaucoup.

    Au début, ils n’ont pas prêté attention aux faits, mais lorsqu’ils se sont assis dans un restaurant, ils ont réalisé que les regards vers les « Rulitos » populaires étaient très évidents. De plus, certaines personnes ont essayé de s’approcher pour dire bonjour et le guide touristique leur a demandé de partir.

    Mme Barboza, sa fille et sa mère n’ont pas compris ce qui se passait en raison de la différence de langue. C’est alors que le guide leur a expliqué qu’ils confondaient l’animatrice de « America Today » avec Lalla Salma, princesse du Maroc.

    « Le guide nous a dit, pour nous rassurer, que la princesse était très appréciée et avait fait de bonnes choses pour le pays. Il a suggéré que nous allions à la voiture et que nous continuions la visite », a-t-elle expliqué.

    Cependant, la mère de Barboza est devenue très nerveuse lorsqu’un homme l’a abordée pour lui demander si Antonella était « à vendre pour être une épouse ». Face à la proposition, la grand-mère de l’influenceur a voulu partir immédiatement.

    Mag, 10 mai 2021

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  • Maroc/Lalla Salma : séparation conjugale ou fin de contrat? (Média espagnol)

    Sous le titre de  » Secrets de la maison royale marocaine : le roi gay et la princesse invisible », le média people espagnol Monarquias.com s’est posé la question suivante au sujet de la disparition de la princesse Lalla Salma : S’agissait-il d’une séparation conjugale tout à fait normale ou d’un contrat qui a maintenant pris fin ? Mystères et révélations.

    Voici le texte intégral de l’article traduit de l’espagnol :

    Secrets de la maison royale marocaine : le roi gay et la princesse invisible

    S’agissait-il d’une séparation conjugale tout à fait normale ou d’un contrat qui a maintenant pris fin ? Mystères et révélations.

    Par Dario Silva D’Andrea

    Où se trouve la princesse marocaine Lalla Salma ? Cette question a occupé les médias européens ces derniers temps, après qu’elle ait brillé par son absence lors des visites officielles du roi et de la reine d’Espagne et du prince Harry d’Angleterre avec son épouse Meghan. Les nouvelles concernant le lieu de résidence de la princesse consort du roi du Maroc sont interdites dans tous les médias marocains, ce qui alimente encore la machine à rumeurs.

    Lalla Salma, épouse du roi Mohammed VI, n’a pas été vue depuis quelques années. Selon les rumeurs les plus fortes, le roi et la princesse sont séparés en silence, ce sur quoi la maison royale marocaine garde le silence. C’est le journaliste espagnol Ferrán Sales Aige, chroniqueur du journal El País depuis plus de trente ans, qui semble avoir trouvé les réponses à cette mystérieuse disparition de la princesse marocaine dans un livre publié il y a environ 25 ans, où il révélait que Mohammed VI, alors prince héritier de son pays, est homosexuel. Dans le livre, intitulé Le prince qui ne voulait pas être roi, plusieurs témoins racontent les aventures homosexuelles du prince pendant son séjour à Bruxelles, où il étudiait. Elle suggère également que Mohammed était un habitué de plusieurs bars et boîtes de nuit gays réputés de la capitale belge.

    Quelques années plus tard, les Mémoires d’un Soldat Marocain, écrites par Abdelilah Issou, un ancien officier de l’armée marocaine formé à l’Académie royale militaire de Meknès et qui s’est exilé en Espagne en 2000, ont été publiées en Europe. Dans ses pages, Issou pointe du doigt le monarque Mohamed VI et ses préférences sexuelles, affirmant en être l’auteur. En effet, il affirme être l’auteur d’un rapport sur les tendances sexuelles du monarque : « Pour ma part, j’ai remis à J.M. un rapport sur l’orientation sexuelle du prince héritier, l’actuel roi Mohammed VI, et son amitié avec Abderrahmane Alaoui, Bihmane pour les intimes, qui était mon camarade de classe à l’Académie royale militaire ».

    Selon son récit, Aloui, le meilleur ami de Mohammed VI, était le « petit-fils d’un esclave noir qui avait servi au palais (les descendants de ces esclaves vivent toujours, en état de semi-esclavage, dans la cité royale de Touarga, une commune à statut spécial qui fait partie de la préfecture de Rabat, située dans le Méchoaur). Abderrahmane était un ami et compagnon de jeu du jeune prince, plus tard l’un de ses confidents et compagnon de sorties nocturnes, mais nous n’en trouvons aucune trace dans les registres officiels compte tenu de la relation embarrassante pour le palais ».

    Malgré la confidentialité de son propre rapport, Issou affirme dans son manuscrit que le style de vie de l’actuel roi était bien connu de la cour et de la haute société marocaines : « C’était, depuis longtemps, un secret de polichinelle au Maroc. Dans les salons cossus de la bonne société de Rabat et de Casablanca, on en parlait ouvertement pendant les dernières années du règne de Hassan II. Les gens savaient qu’ils auraient bientôt affaire à un commandant des croyants atypique, une première au Maroc », écrit Issou.

    En juin 1999, le roi Hassan II est décédé après 38 ans de règne et son fils célibataire de 34 ans a été acclamé roi et Amir al-Mu’minin – prince des croyants – chef religieux de sa nation. Quelques heures plus tard, dans la plus stricte intimité, Mohammed VI se marie avec Lalla Amina, une jeune femme berbère d’origine saharienne, car l’une des conditions d’accès au trône, selon la traditionnelle « Alahlia », était d’être marié.

    Ce mariage secret a également nourri l’idée de maintenir et de renforcer l’unité du pays, de ses territoires et de ses tribus, mais devant l’incapacité d’Amina à produire une descendance, le souverain s’est remarié en 2002. A l’époque, les mariages des rois étaient gardés dans la confidentialité la plus absolue et jamais dans l’histoire un roi marocain n’avait fait connaître le nom ou le visage de son épouse (ou de ses épouses).

    Le nouveau statut de Mohammed VI ne l’a cependant pas fait changer ses habitudes. « Après son accession au trône, ces voyages ont continué, ou plutôt ces escapades répétées dans des endroits comme l’Amérique du Sud (Brésil, Saint-Domingue…) et les rumeurs persistantes sur l’addiction du roi… », a déclaré Issou. Toutefois, deux ans plus tard, il a choqué le monde en montrant et en présentant sa fiancée, l’ingénieur informaticien Salma Benanni, qui est devenue la première épouse d’un souverain marocain à recevoir un titre royal et qu’il a présentée sans voile couvrant son visage.

    Un autre détail qui n’est passé inaperçu pour personne est la décision du jeune roi de dissoudre le harem royal, un symbole pour le pays. Toutes les concubines de son père (qui, selon certains, étaient au nombre de 300) ont dû quitter le palais et ont été relogées dans des appartements luxueux et dotées de pensions gratifiantes à vie. Autre signe de son ouverture, Mohammed VI a confié à ses sœurs des rôles officiels dans les activités de la cour et a demandé à son épouse de l’accompagner dans ses voyages internationaux.

    Pendant 14 ans, Lalla Salma a été le visage beau et amical de la maison royale alaouite. En 2002, elle a donné naissance à son premier enfant, le prince héritier Mulay Hassan, et peu après à sa deuxième fille, la princesse Lalla Khadija. Lorsque la fillette atteint l’âge de 10 ans, sa mère disparaît du palais et de l’agenda officiel, son nom ne figure plus sur la liste des participants aux grandes pompes de la cour et les sœurs du roi la remplacent comme « premières dames ». Certains disent que Salma vit confortablement dans une villa de l’île grecque de Kea après avoir rempli la mission pour laquelle elle a été engagée : donner des héritiers à un roi gay.

    LA FIN D’UNE AMITIÉ. Dans les Mémoires d’un soldat marocain, Issou évoque la fin de la relation du roi avec son ami, Abderrahmane Alaoui. Selon son récit, en 1995, ils se trouvaient à Tanger, où Alaoui avait été affecté à la gendarmerie, mais un soir où ils avaient trop bu d’alcool, le jeune ami du prince a avoué : « Il m’a fait comprendre que ses relations avec son grand ami n’étaient plus aussi bonnes et que cela était dû à certains rapports confidentiels, dont il n’a pas expliqué la nature, que le ministre de l’intérieur de l’époque, le tout-puissant Driss Basri, avait présentés au roi Hassan II. Quelques heures plus tard, son chauffeur est venu nous chercher et m’a déposé au phare de Malabata. Je ne l’ai jamais revu. La version officielle des événements indique qu’Aloui est mort dans un accident de la circulation entre les villes de Rabat et de Kenitra. Cependant, Issou est convaincu que « Abderrahmane a été éliminé par les services spéciaux de Hassan II qui, sentant sa fin proche, et voyant le risque que cette affaire constituerait pour le trône une fois Mohamed VI couronné, a donné l’ordre de le faire disparaître ».

    Monarquias.com, 8 mars 2019

    Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Abderrahmane Alaoui, Abdelilah Issou,

  • La chaîne israélienne révèle les secrets du monarque marocain Mohammed VI!

    Le régime marocain n’interférait pas avec son audace et la normalisation des relations diplomatiques, de renseignement, économiques et médiatiques avec Israël, alors que la Douzième chaîne israélienne publiait un long reportage sur les dangereux secrets du monarque marocain, intitulé «Les neuf secrets de Mohammed VI».

    L’enquête préparée par les journalistes Shimon Avergen et Alyssa Choudev sur les secrets du roi du Maroc, Mohammed VI, a révélé les détails du versement par le monarque marocain de deux millions d’euros aux journalistes français, Eric Laurent et Catherine Gracia, pour ne pas avoir publié leurs livres, «Le roi prédateur», qui traite de la vie privée du roi.
    L’enquête israélienne pointe en particulier la tyrannie de l’influence de l’homme d’affaires qui travaillait dans le secteur bancaire juif, Andrew Ozilai, sur le roi, et qu’il était celui qui l’a poussé à apprendre le «Hajjra», c’est-à-dire le «Talmud babylonien», aux mains des rabbins juifs au Maroc.
    L’enquête a également abordé les relations étroites entre le Mossad et le régime du Makhzen pendant des décennies, et l’assistance du Maroc au Mossad pour espionner les sommets et les réunions arabes organisés au Maroc.
    L’enquête a également souligné la corruption économique du roi Mohammed VI, notant que sa richesse s’élève à 8,5 milliards de dollars et qu’il monopolise de nombreux aspects de l’investissement et des secteurs dans le Royaume et détient des parts dans des sociétés internationales.
    L’enquête de la chaîne israélienne a suivi les manifestations de l’extravagance du roi Mohammed VI, qui possède des montres « Rockless » d’une valeur de 170 millions d’euros , une flotte de yachts, et que l’année dernière il a acheté un terrain à « Emile Dachtal » à Paris pour 8 millions d’euros, à la lumière de l’effondrement de l’économie marocaine dû à l’épidémie de Corona, Et l’état de congestion sociale et économique et l’augmentation des taux de pauvreté et de chômage.
    L’enquête a également révélé que le roi Hassan II avait envoyé son ministre de l’Intérieur de l’époque, Driss Al-Basri, en France pour suivre l’actuel roi alors qu’il étudiait à l’université pour s’assurer qu’il ne provoquait pas de «scandales» qui embarrassent le roi, notamment ceux liés à son homosexualité.
    L’enquête a mis en évidence en détail la relation suspecte du roi du Maroc Mohammed VI avec son ex-épouse Lalla Salama, qu’il a épousée et divorcée dans des circonstances mystérieuses et n’a pas comparu publiquement après son divorce.
    L’enquête a conclu que le palais connaît un état de tension sans précédent, car les rapports indiquent qu’il y a un conflit entre les sœurs du roi d’une part et sa divorcée, Lalla Salamah, la mère du prince héritier, et entre son frère et lui personnellement sur qui a droit à la succession.
    source: Maghreb Part, 20 jan 2021
    #Maroc #Israël #LallaSalma
  • Télévision israélienne : Les 9 mystères du roi du Maroc Mohammed VI

    MAROC : UNE CHAÎNE DE TÉLÉVISION ISRAÉLIENNE DIVULGUE LES SECRETS DE MOHAMED VI

    La chaîne de télévision israélienne “Channel 12” a diffusé un long reportage dévoilant des secrets du roi marocain Mohamed VI sous le titre « Les 9 mystères de Mohamed VI ».
    Nonobstant l’accorde de normalisation signé, il y a environ un mois, entre Rabat et Tel-Aviv, les médias sionistes ne se sont pas empêchés de pencher sur des « intimités » de la famille royale marocaine et d’El Makhzen en général.
    «Il est assis sur le trône depuis 21 ans, mais que savons-nous vraiment du roi du Maroc? Quelle était l’histoire de l’étrange disparition de sa femme? Que s’est-il passé entre elle et sa sœur qui a engendré des rumeurs de violence à la cour royale? Pourquoi le roi a-t-il payé des millions pour mettre un livre sur les tablettes? Que fait-il dans les cours de Gemara? Et comment joue-t-il réellement sur les réseaux sociaux sans en être membre?», ont écrit les deux journalistes ayant réalisé ce reportage dans l’introduction.
    Le rapport est revenu sur l’affaire des 2 millions d’euros versés par le souverain chérifien à deux journalistes français Laurent et Catherine Graciet contre la non-publication de leur livre sur lui intitulé «Le Roi prédateur».
    Le rapport de “Channel 12” s’est attardé sur la grande influence de l’homme d’affaires André Azoulay sur le roi du Maroc.
    En outre, le document est revenu sur les liens étroits qu’entretiennent les services secrets marocains et le Mossad et la coopération de Rabat ayant permis à ce dernier d’espionner les sommets arabes tenus au Maroc, dont le sommet de la Ligue arabe en 1965.
    Le goût du luxe
    Le rapport a estimé la fortune de Mohamed VI à 8.5 milliards de dollars et qu’il détient un portefeuille d’investissement avec des parts dans des sociétés internationales dans le domaine de l’énergie et des infrastructures.
    Le roi possède, selon toujours la même source, des dizaines d’appartements et de châteaux au Maroc et en France et dispose d’une flotte de yachts, d’une collection de dizaines de voitures et d’une collection complète de montres “Rolex” d’une valeur de 170 millions de dollars. Il y a environ un an, 36 d’entre eux ont été volés dans le palais de Marrakech sous le nez des gardes.
    Le rapport est revenu également sur la vie conjugale du souverain chérifien et sa relation douteuse avec la femme qui l’a répudiée et le conflit entre cette dernière et la sœur de Mohamed VI. Certaines sources sur les réseaux sociaux auraient même relayé que cette dernière “Lala Hasna” aurait poignardé sa belle-sœur “Lalla Salma”.
    Echourouk, 17 jan 2021
    Tags : Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI, Mossad, luxe, Channel 12, Israël,