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  • Los civiles son el « centro de gravedad » en la guerra de Gaza (Lloyd Austin)

    Etiquetas : Palestina, Israel, Gaza, Hamás, población civil, crimen de guerre, Estados Unidos, Lloyd Austin,

    El Secretario de Defensa de los Estados Unidos, Lloyd Austin, hizo quizás sus comentarios más firmes hasta la fecha el sábado, respecto a la necesidad de Israel de proteger a los civiles en Gaza. Austin calificó a los civiles como el « centro de gravedad » en la guerra de Israel con Hamas, advirtiendo sobre los riesgos de su radicalización.

    Austin, durante sus declaraciones en el Foro Nacional de Defensa Reagan en Simi Valley, California, mencionó que ha instado personalmente a los líderes israelíes a evitar bajas civiles, a rechazar la « retórica irresponsable » y a prevenir la violencia por parte de colonos en Cisjordania.

    También expresó que ha presionado a Israel para que amplíe significativamente el acceso de Gaza a la ayuda humanitaria, y anticipó la llegada de más entregas de ayuda « en los próximos días ».

    « En este tipo de enfrentamiento, el centro de gravedad es la población civil. Y si los llevas a los brazos del enemigo, reemplazas una victoria táctica con una derrota estratégica », dijo Austin, basándose en su experiencia como general de cuatro estrellas supervisando la batalla contra los militantes del Estado Islámico.

    « Así que he dejado en claro en repetidas ocasiones a los líderes de Israel que proteger a los civiles palestinos en Gaza es tanto una responsabilidad moral como un imperativo estratégico. »

    L’Etat hébreu ha jurado aniquilar al grupo militante palestino Hamas después del ataque de Hamas el 7 de octubre en el sur de Israel, en el que Tel Aviv afirma que murieron 1,200 personas y más de 200 fueron tomadas como rehenes.

    El Ministerio de Salud de Gaza afirma que más de 15000 palestinos han muerto desde el inicio de la guerra, con al menos 193 palestinos muertos solo desde el colapso de un alto el fuego entre Israel y Hamas el viernes pasado.

    Las declaraciones de Austin se produjeron mientras aviones de guerra y artillería israelíes bombardeaban la franja el sábado.

    Estados Unidos ha enviado asistencia militar a Israel, incluyendo defensas aéreas y otras municiones.

    Austin prometió que Estados Unidos estaría al lado de Israel, destacando la obligación de Israel de responder tras el ataque de Hamas el 7 de octubre y calificando al grupo militante palestino como un « enemigo cruel ».

    « Estados Unidos seguirá siendo el amigo más cercano de Israel en el mundo. Nuestro apoyo a la seguridad de Israel es innegociable », dijo a una audiencia de destacados diputados estadounidenses, funcionarios de seguridad nacional y ejecutivos de la industria de defensa.

    Austin también renovó el llamado de Estados Unidos a una solución de dos estados para resolver el conflicto israelí-palestino.

    « Sin un horizonte de esperanza, el conflicto israelí-palestino seguirá siendo un motor de inestabilidad e inseguridad y sufrimiento humano », afirmó.

    A medida que la guerra entre Israel y Hamas aumenta las tensiones en la región, el Pentágono ha estado lidiando con oleadas de ataques contra las tropas estadounidenses por parte de grupos respaldados por Irán, quienes culpan a Estados Unidos por las acciones de Israel en Gaza. Austin acusó a Irán de « aumentar las tensiones » y mencionó recientes ataques aéreos estadounidenses en respuesta.

    « No toleraremos ataques contra el personal estadounidense. Y por lo tanto, estos ataques deben cesar », declaró.

    #Gaza #Population #civile #Israël #Palestine #Hamas #bombardements #israéliens #crimes #guerre

  • USA : Lloyd Austin s’inquiète pour la démocratie en Tunisie

    USA : Lloyd Austin s’inquiète pour la démocratie en Tunisie

    Etats-Unis, Lloyd Austin, Tunisie, Kaïs Saïed,

    TUNIS, 9 août (Reuters) – Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a déclaré mardi que le « rêve d’autonomie » de la Tunisie était en danger, ajoutant aux critiques américaines sur l’expansion des pouvoirs du président qui a déjà suscité des accusations d’ »ingérence inacceptable ».

    Le mois dernier, le président tunisien Kais Saied a fait adopter une nouvelle constitution lui conférant une autorité quasi incontrôlée lors d’un référendum qui, selon la commission électorale, a enregistré une participation de 30 %, bien que certains groupes d’opposition affirment que ce chiffre a été gonflé.

    Après le référendum, le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le nouvel ambassadeur américain à Tunis Joey Hood ont exprimé leur inquiétude pour la démocratie tunisienne, et les autorités tunisiennes ont convoqué le chargé d’affaires américain par intérim pour se plaindre.

    Washington est un important donateur d’aide au développement et à la sécurité pour la Tunisie depuis sa révolution de 2011 qui a chassé le dirigeant autocratique Zine al-Abidine Ben Ali et introduit un système de gouvernement démocratique.

    La Tunisie cherche maintenant à obtenir un plan de sauvetage du Fonds monétaire international pour éviter un effondrement des finances publiques.

    S’exprimant mardi lors d’une cérémonie du commandement américain pour l’Afrique, M. Austin a réitéré ces critiques.

    « Dans toute l’Afrique, ceux qui soutiennent la démocratie, la liberté et l’État de droit luttent contre les forces de l’autocratie, du chaos et de la corruption », a-t-il déclaré.

    « Nous pouvons sentir ces vents contraires en Tunisie, où les gens ont inspiré le monde entier avec leurs demandes de démocratie », a-t-il ajouté.

    « Les États-Unis s’engagent à soutenir nos amis en Tunisie – et partout en Afrique – qui tentent de forger des démocraties ouvertes, responsables et inclusives », a déclaré M. Austin.

    Le Commandement des États-Unis pour l’Afrique, dont le siège est en Allemagne, est responsable de toutes les opérations, de tous les exercices et de la coopération en matière de sécurité du ministère américain de la défense en Afrique et dans les eaux environnantes.

    Reuters

    #Tunisie #Kaïs_Saïed #Etats_Unis

  • USA-Arabie Saoudite: Une funeste querelle de famille

    Etats-Unis, Arabie Saoudite, Lloyd Austin, missiles patriotes, houthies, Yémen,

    Mohamed Habili

    On se demandait hier de quoi donc étaient malades les relations entre ces deux vieux alliés que sont les Etats-Unis et l’Arabie saoudite, pour qu’il ne soit pas facile de leur imputer une ou plusieurs causes, d’autant que les déclarations d’amitié, à vrai dire davantage du côté américain, n’ont pas manqué ces derniers temps. Un exemple récent montre toute la complexité de ce dont il est question en l’occurrence.

    Le secrétaire d’Etat à la défense, Lloyd Austin, était la semaine passée en tournée dans les monarchies du Golfe, dans l’intention entre autres de remercier ces pays de leur aide dans les opérations de retrait d’Afghanistan. L’une d’entre elles, le Qatar, y a particulièrement contribué, dans le prolongement d’ailleurs du rôle qui avait été le sien dans les négociations avec les Talibans, et qui ont conduit à l’accord de Doha de février 2020.

    Le responsable américain devait terminer son périple par un saut en Arabie saoudite. Cette visite n’a pas eu lieu, les Saoudiens l’ayant annulée, alléguant on ne sait trop quelle excuse, pour autant qu’ils se soient donné cette peine. Tout ce qu’il est possible de supposer raisonnablement, c’est que cette décision n’était pas sans lien avec la récupération par les Américains de leurs batteries antimissiles implantées en Arabie saoudite au lendemain de l’attaque houthie, ou iranienne à en croire certains, de Abqaïq et Khurais de septembre 2019, contre des installations d’Aramco.

    Si en même temps qu’ils se donnaient un mal fou pour se désengluer d’Afghanistan, les Américains avaient quand même trouvé le loisir de reprendre une arme défensive installée sur le sol d’un pays ami, auquel elle allait manquer, le danger n’étant pas passé, alors il est facile de comprendre que cet ami l’ait mal pris, et qu’il ait exprimé son mécontentement en annulant la visite de courtoisie du secrétaire à la Défense.

    La plus simple explication à ce genre d’amabilités, celle qui en tout cas vient en premier à l’esprit, c’est qu’elles ressortent à une querelle de famille. Les causes immédiates en semblent microscopiques pour un observateur extérieur, sans commune mesure avec leurs conséquences, qui elles par contre peuvent être gigantesques.

    Il faut commencer par relever que ce n’est pas avec les Etats-Unis que l’Arabie saoudite est sur la voie de la rupture, mais avec son pouvoir actuel, avec l’administration Biden, même si ses relations n’étaient pas les meilleures avec l’administration Trump.

    Du temps de Trump, les Américains installent les batteries patriot, et ils les reprennent du temps de Biden. C’est toute la différence, mais elle est conséquente. Elle peut même bouleverser la relation.

    Dans le contexte actuel de forte polarisation de la scène politique américaine, les Saoudiens, aux yeux de l’administration Biden, ont commis deux erreurs impardonnables : d’une part d’avoir affiché leur soutien à Trump au temps où celui-ci dirigeait leur pays, et de l’autre d’avoir en quelque sorte voté pour un deuxième mandat en sa faveur.

    Si cela s’était effectivement produit, pour eux, c’était le pire qui serait advenu. Pour eux donc, ce sont les Saoudiens qui les premiers avaient manqué à leur devoir d’amitié envers les Etats-Unis. Leur préférer Trump, c’est parier sur le côté le plus sombre des Etats-Unis. Et par là espérer leur perte. Leur préférer Trump, c’est se placer dans le même camp que les Russes et les Chinois, qui eux du moins ne se considéraient pas comme leurs amis.

    Le Jour d’Algérie, 15/09/2021

  • Sahara Occidental : La RASD attend de Biden redresser « le tort de Trump »

    LA RASD ATTEND CECI DE BIDEN : Redresser « le tort de Trump »

    Le représentant du Front Polisario aux Nations unies (ONU), Sidi Mohamed Amar, a affirmé que la cause sahraouie avait pris un nouveau tournant depuis le 13 novembre en poursuivant la lutte armée, ajoutant que l’adhésion à toute opération de négociation était tributaire des développements sur le terrain et du sérieux du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale (AG) de l’ONU.
    Pour sa part l’ambassadeur sahraoui au Botswana, Malainine Lakhal, a affirmé que « la guerre au Saraha occidental est ouverte à toutes les possibilités », à la suite de la violation de l’accord de cessez-le-feu, qui date de 30 ans, par le Maroc après l’agression militaire contre les civils sahraouis au niveau de la brèche illégale d’El-Guerguerat. Mettant en avant la détermination du peuple sahraoui à poursuivre la résistance jusqu’au « dernier souffle », pour l’indépendance, le diplomate a déclaré : « Celui qui connaît le peuple sahraoui saura sûrement qu’il tient toujours parole. Le Maroc doit se tenir prêt car nous sommes prêt à léguer la résistance à nos enfants et petits-enfants ». « La lutte armée se poursuivra avec tous les moyens légaux jusqu’à la libération de tous les territoires sahraouis », a-t-il poursuivi.
    Concernant la tentative du Maroc d’imposer « un gouvernement autonome » en vue du règlement du conflit entre lui et le Front Polisario, unique représentant légitime du peuple sahraoui, le même intervenant a estimé que cela « ne signifie rien pour les Sahraouis. Le régime marocain semble avoir oublié qu’il n’est pas en mesure d’octroyer l’autonomie à un pays dont il ne dispose d’aucune souveraineté », a-t-il dit.
    Pour ce qui est de la prétendue reconnaissance par le président américain sortant, Donald Trump, de la présumée souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental en contrepartie de la normalisation par le Maroc avec l’entité sioniste, M. Malainine a pointé les similitudes entre le Makhzen et l’entité sioniste. «Nous attendons de l’Administration du président américain élu Joe Biden de redresser ce tort juridique et diplomatique…le deal honteux entre le Maroc, Donald Trump et l’entité sioniste est une violation du droit international et du droit des peuples à l’autodétermination», a-t-il dit.
    M. B.
    Tags : #SaharaOccidental #WesternSahara #Maroc #Morocco #Espagne #JoeBiden #USA 
  • Sahara occidental : vers un réexamen du dossier par le Pentagone

    Par Mohamed Kouini

    Le futur ministre américain de la Défense, Lloyd Austin, a promis devant le Sénat de réexaminer la question du Sahara occidental. ” C’est une question que je voudrais certainement examiner de plus près, Monsieur le président, avant que je vous donne une réponse détaillée “, a déclaré le futur chef du Pentagone lors de son audition au Sénat.
    Lloyd Austin a été interrogé par le Sénateur, James Inhofe, président de la commission défense du Sénat américain sur sa position concernant l’organisation d’un référendum d’autodétermination dans ce territoire occupé par le Maroc depuis 1975.
    Dans son intervention mardi au Sénat, James Inhofe, fervent défenseur de la cause sahraouie, a rappelé l’avis de la Cour international de justice rendu en 1975 qui a confirmé l’absence de souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental et appuyé la nécessité pour le peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination.
    Le Sénateur a relevé que les Etats-Unis, l’ONU et l’Union africaine ont tous soutenu le droit des Sahraouis à s’autodéterminer et à accéder à l’indépendance.
    Le sénateur d’Oklahoma a émis le souhait que la nouvelle administration américaine préserve la cohérence observée depuis trois décennies sur ce dossier.
    “L’annonce de la Maison Blanche d’aujourd’hui alléguant la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental est choquante et profondément décevante. Je suis attristé que les droits du peuple du Sahara occidental aient été troqués”, avait, alors, regretté l’influent sénateur républicain.
    Inscrit depuis 1966 à la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc, soutenu par la France.
    Sur le terrain militaire, le Polisario fait état, comme premier bilan, de l’exécution de 510 opérations militaires contre les positions de l’armée marocaine, en 67 jours de combat, soit huit opérations par jour. Des opérations diverses dominées par des bombardements et des attaques, faisant subir aux FAR des pertes considérables dans ses rangs et des dégâts matériels, selon des sources sahraouies.
    On explique la raison de la discrétion du Maroc à l’égard des batailles en cours sur le terrain par le fait que la reconnaissance de l’existence d’une guerre signifie la reconnaissance de l’autre partie et les implications juridiques et économiques qui en résultent”.
    Sahara Occidental, Front Polisario, Maroc, Espagne,  Western Sahara, Lloyd Austin, USA, Joe Biden, 
  • Sahara Occidental : Annonce d’un prochain examen du dossier au Pentagone

    Le nouveau ministre américain à la Défense, Lloyd Austin, a indiqué, avant-hier mardi, qu’il allait examiner de près la question du Sahara Occidental, territoire proclamé «marocain» par le président sortant, Donald Trump, en violation du droit international. Selon une information rapportée par l’APS, le désormais chef du Pentagone a déclaré, lors de son audition au sénat, que «c’est une question que je voudrais certainement examiner de plus près, Monsieur le président, avant que je vous donne une réponse détaillée».

    Lloyd Austin a été interrogé par le sénateur James Inhofe, président de la commission défense du Sénat américain, sur sa position concernant l’organisation d’un référendum d’autodétermination dans ce territoire occupé par le Maroc depuis 1975. Il a affirmé que le dossier du Sahara Occidental sera «l’une des questions qu’il allait examiner», juste après sa confirmation au poste de secrétaire à la défense des Etats-Unis. James Inhofe, considéré comme un fervent défenseur de la cause sahraouie, a rappelé l’avis de la Cour internationale de justice rendu en 1975, qui a confirmé l’absence de souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental et appuyé la nécessité pour le peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination.
    Le sénateur a émis le souhait que la nouvelle administration américaine préserve la cohérence observée depuis trois décennies sur ce dossier. James Inhofe, qui avait dénoncé dans les termes les plus forts la proclamation de Trump sur le Sahara Occidental, avait indiqué en décembre que le président sortant a été «mal conseillé par son équipe», soutenant que l’accord de normalisation israélo-marocain pouvait être conclu sans hypothéquer les droits d’«un peuple sans voix».
    James Inhofe a été jusqu’à récemment un proche conseiller du président sortant, Donald Trump, avant de s’en séparer après une brouille au sujet d’amendements à apporter au budget américain de la Défense.
    ReportersDZ, 21 jan 2021
    Tags : Sahara Occidental, Front Polisario, Maroc, Espagne,  Western Sahara, Lloyd Austin, USA, Joe Biden,