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  • Maroc : Fiche confidentielle sur l’Afrique Australe

    Maroc : Fiche confidentielle sur l’Afrique Australe

    Maroc, Afrique du Sud, Angola, Botswana, Lesotho, Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie, Zimbabwe,

    I. Analyse du contexte général :
    Cette région compte les pays suivants : Afrique du Sud ; Angola ; Botswana ; Lesotho ; Madagascar ; Malawi ; Maurice ; Mozambique ; Namibie ; Swaziland ; Zambie ; Zimbabwe.

    1. Contexte politique :

    La région de l’Afrique australe a accompli des avancées au cours de la première décennie des années 2000, en vue de la réalisation de la stabilité politique et les perspectives à moyen terme sont positives.

    Des élections démocratiques pacifiques ont eu lieu au Botswana, en Namibie, en Afrique du Sud, au Malawi, en Angola, au Mozambique et à Maurice.

    Cependant, la région compte des foyers de tensions politiques, en particulier le Zimbabwe et Madagascar.

    La SADC et l’UA collaborent avec le Zimbabwe en vue de résoudre les questions en suspens au sein du Gouvernement d’union nationale. Pour rappel, de graves incidents ont eu lieu après le 1er tour des élections présidentielles de 2009, la médiation sud africaine au nom de la SADC, a néanmoins permis la reconduite au Pouvoir de M. Mougabé malgré sa défaite au 1er tour. Le dialogue entamé devrait permettre de revoir l’actuelle constitution.

    Une médiation de la SADC collabore également avec le parti au pouvoir à Madagascar et l’opposition en vue d’élaborer une feuille de route pour la résolution du problème de leadership qui dure depuis le coup d’Etat survenu en mars 2009. Les élections présidentielles malgaches devraient avoir lieu en mai 2013.

    Plusieurs défis majeurs doivent être relevés par la classe politique, notamment une lutte efficace contre :
    La pandémie de VIH/Sida, car la région représente plus de 37 % de la population infectée à l’échelle mondiale.

    Les taux de chômage qui sont supérieurs à 20 % dans les pays de la région, et qui aggravent la pauvreté et l’inégalité des revenus.
    L’année 2012 a connu deux faits marquants sur la scène régionale :
    Le décès du Président du Malawi Bingu wa Mutharika, remplacé par sa Première Vice Présidente Joyce Banda.

    L’élection de Madame Dlamini-Zuma à la tête de la Commission de l’Union Africaine.

    2. Contexte économique :

    Les douze pays de l’Afrique australe constituent un important marché. La région compte 16,7% de la population du continent et représente plus de 40 % du produit intérieur brut du continent.

    La région de l’Afrique australe affiche une grande diversité économique, regroupant un certain nombre de pays à revenu intermédiaire (PRI), de pays à faible revenu (PFR), de pays enclavés et de petits pays insulaires.
    C’est une région plutôt bien dotée en ressources naturelles, l’Afrique australe présente de nombreuses perspectives en termes d’énergie, d’agriculture et d’agro-industrie et de bon nombre d’activités productives et à valeur ajoutée.

    Le commerce intra régional reste faible par rapport à d’autres régions en développement et il est hautement concentré par un seul pays, l’Afrique du Sud. Il représente 19.9% des exportations et 33.1% des importations.

    L’Afrique du Sud est la principale économie et la locomotive de la croissance régionale :

    Elle représentant 71,5 % du PIB régional en 2009. L’Angola, la deuxième plus grande économie, représentait 10 %, tandis que les 10 autres pays représentaient 18,5 % du PIB régional.

    Environ 70 % des flux d’investissement intra-régionaux dans la région sont le fait d’entreprises sud-africaines.

    Les investissements sud-africains ont joué un rôle important dans les pays voisins, représentant 9% à 20% du PIB du Lesotho, de Maurice, du Mozambique, de la Namibie et du Swaziland (FMI 2005).

    Hormis le Zimbabwe, le Lesotho, le Swaziland et Madagascar, les pays de la région ont affiché un taux de croissance moyen du PIB réel de 3,5 % à 4,5 % en 2000-09. En ce qui concerne les secteurs, les principaux moteurs de la croissance sont les services et l’industrie extractive.
    En 2009, Environ 45 % de la population d’Afrique australe vit en deçà du seuil de pauvreté, soit avec moins de 1 dollar par jour.

    3. Organisations régionales :

    Communauté de développement d’Afrique australe SADC :

    Créée par la Déclaration et le Traité de Windhoek du 17 août 1992, la communauté existait, depuis 1990, sous l’appellation de Conférence pour la coordination du développement de l’Afrique australe (SADCC). Elle regroupe l’ensemble des pays de la région, en plus de la RDC, la Tanzanie et les Seychelles.

    En terme d’échanges commerciaux entre les pays de la SADC, la communauté est le meilleur outil d’intégration économique du continent. Elle développe également un plan de convergence économique ambitieux.

    Elle a pour vision un avenir commun, avec une communauté régionale qui assure le bien-être, l’amélioration des conditions et de la qualité de vie, la liberté et la justice sociale, et la paix et la sécurité aux populations de l’Afrique australe.

    Common monetary Area : CMA

    Union monétaire comprend l’Afrique du Sud ; le Lesotho ; le Namibie et le Swaziland. Au sein de la CMA, le PIB sud africain représente 95.37% du PIB régional.

    La CMA, a été fondée en juillet 1986, à partir de l’Aire monétaire du Rand (anglais : Rand Monetary Area; en abrégé RMA), qui fut établie en décembre 1974.

    L’Union Douanière d’Afrique Australe (Sacu) :

    La SACU est la plus ancienne union douanière existante dans le monde. Elle fut créée en 1910 sous le nom de Customs Union Agreement.
    La Sacu dispose de plusieurs accords multilatéraux de libre échange notamment avec FTA (UE + ZELE) et les Etats-Unis, cependant les négociations avec le Mercosur n’ont toujours pas abouti.

    COMESA :

    Six des 12 pays de la région : Madagascar ; Malawi ; Maurice ; Swaziland ; Zambie ; Zimbabwe.

    II. Positionnement du Maroc dans la région :

    Le Maroc possède trois Ambassades dans la région, à Antananarivo (couvrant Madagascar, les Seychelles, le Mozambique et l’Ile Maurice), Luanda (couvrant l’Angola, la Namibie et la Zambie) et Pretoria au niveau du Chargé d’Affaire.

    Les exportations du Maroc vers l’Afrique australe ne représentent que 2,8% des exportations du Royaume vers l’Afrique Subsaharienne.
    En terme de coopération sud-sud, l’AMCI a conduit quatre au Malawi entre 2003 et 2007.

    III. Actions envisagées :

    Politiquement :

    Soutenir la dynamique positive dans les relations entre le Maroc et l’Afrique du Sud.

    Impliquer et soutenir les acteurs et les initiatives de la diplomatie parallèle de manière à influer sur les relations politiques entre le Maroc et certains pays de la région, à l’instar de la rencontre prévue entre une délégation du PJD avec des membres de l’ANC.

    Penser à ouvrir une nouvelle représentation diplomatique dans une zone où l’activisme des ennemis de notre intégrité territoriale est assez important.

    Viser la signature d’accords multilatéraux et globaux avec les organisations régionales de l’Afrique Australe.

    Travailler à une plus grande implication des pays de la région au sein de la « Conférence des Etats africains Riverains de l’Atlantique ».

    Economiquement :

    Accompagner les entreprises marocaines actives dans les domaines en développement en Afrique Australe en vue de s’implanter dans la région (Managem, Novec,…) malgré la forte domination sud-africaine.

    Mener des opérations commerciales comprenant l’ensemble des acteurs de la scène économique marocaine en vue de développer les exportations marocaines vers le sud du continent.

    Définir les axes de coopération à exploiter en collaboration avec ces pays dans des domaines clés pour le Maroc : tourisme, agriculture, secteur du bâtiment et des travaux publics…

    #AfriqueduSud #Angola #Botswana #Lesotho #Madagascar #Malawi #Maurice #Mozambique #Namibie #Swaziland #Zambie #Zimbabwe

  • Point de presse quotidien du Bureau du porte-parole du Secrétaire général

    Ce qui suit est une transcription quasi-verbatim de l’exposé d’aujourd’hui de midi par Stéphane Dujarric, porte-parole du Secrétaire général.

    ** Secrétaire général – COVID-19

    Bon jeudi à vous tous. Comme vous l’avez vu ce matin, le Secrétaire général s’est adressé à la Session extraordinaire de l’Assemblée générale en réponse à la pandémie du COVID-19. Il a déclaré que, pour la première fois depuis 1945, le monde entier est confronté à une menace commune, indépendamment de sa nationalité, de son appartenance ethnique ou de sa religion. M. [António] Guterres a noté que, bien que le COVID-19 ne fasse pas de discrimination, nos efforts pour le prévenir et le contenir le font, ajoutant qu’il a frappé durement les plus pauvres et les plus vulnérables.

    Bien qu’un vaccin soit bientôt disponible, le Secrétaire général a souligné que nous ne devons pas nous leurrer – un vaccin ne peut pas réparer les dommages qui s’étaleront sur des années, voire des décennies, à venir. Alors que cette année difficile tire à sa fin, il a déclaré que nous devons nous résoudre à prendre des décisions et des actions difficiles et ambitieuses qui mèneront à de meilleurs jours à venir. Le Secrétaire général a ajouté que, dans une crise mondiale, nous devons répondre aux attentes de ceux que nous servons avec unité, solidarité et action mondiale multilatérale coordonnée.

    **Conseil de sécurité

    Juste une mise à jour sur le Conseil de sécurité, qui a tenu ce matin une réunion sur la réforme du secteur de la sécurité. Lors d’un exposé au nom du Secrétariat de l’ONU, le Sous-Secrétaire général, Bintou Keita, a déclaré que pour les sociétés qui se remettent d’un conflit et de l’instabilité, la réforme du secteur de la sécurité est très prometteuse. Ajoutant qu’il est largement reconnu qu’il s’agit d’un élément clé du soutien de l’ONU aux efforts nationaux visant à maintenir la paix et à prévenir «l’éclatement, l’escalade, la continuation et la récurrence du conflit» dans tout le continuum de la paix.

    Mais elle a rappelé aux membres du Conseil que les attentes doivent être réalistes. La gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité est une entreprise complexe et à long terme, qui s’étend parfois sur une génération. Par conséquent, a-t-elle conclu, il est important que le soutien de l’ONU dans ce domaine reste fermement ancré et informé par les besoins de sécurité de la population, en tenant compte de chaque contexte unique et de chaque expérience historique.

    **Ethiopie

    Une note de l’Éthiopie et de la région. Nos collègues humanitaires nous disent qu’une mission est sur le terrain à Afar depuis hier pour évaluer les besoins les plus immédiats des personnes déplacées par le conflit au Tigray et guider notre réponse. Cela fait suite à l’accord dont nous vous avons parlé hier entre l’ONU en Éthiopie et le gouvernement fédéral pour faciliter l’accès des organisations humanitaires aux zones sous le contrôle du gouvernement.

    Le conflit au Tigray continue de pousser les gens au Soudan en quête de sécurité. Plus de 46 400 personnes – dont près de la moitié sont des enfants – sont maintenant arrivées au Soudan depuis le début du mois de novembre. Le HCR (Agence des Nations Unies pour les réfugiés) et ses partenaires augmentent la capacité du camp d’Um Rakuba, qui accueille déjà plus de 10 000 réfugiés éthiopiens.

    **Yémen

    En ce qui concerne le Yémen, la fenêtre pour prévenir la famine au Yémen se rétrécit alors que de nouveaux chiffres révèlent des niveaux records d’insécurité alimentaire aiguë dans le pays. C’est selon les nouvelles informations fournies aujourd’hui par l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l’enfance). L’analyse de la nouvelle classification intégrée de la phase de sécurité alimentaire (IPC) des agences pour le Yémen indique que des poches de conditions de famine – ou d’insécurité alimentaire de phase 5 – sont déjà revenues pour la première fois en deux ans. Ils préviennent que le nombre de personnes confrontées à ce degré d’insécurité alimentaire catastrophique pourrait presque tripler, passant de 16 500 actuellement à 47 000 personnes entre janvier et juin 2021. Dans le même temps, l’analyse d’aujourd’hui prévient que le nombre de personnes confrontées à l’insécurité alimentaire de phase 4 – c’est la phase d’urgence – devrait passer de 3,6 millions à 5 millions de personnes.

    ** Fonds des Nations Unies pour l’enfance – Appel de fonds d’urgence

    Nos amis d’en face de l’UNICEF ont lancé aujourd’hui le plus grand appel de fonds d’urgence jamais lancé. Ils recherchent 6,4 milliards de dollars pour atteindre 300 millions de personnes, dont plus de 190 millions d’enfants, avec un soutien et des services essentiels jusqu’à la fin de 2021. L’appel est une augmentation de 35% par rapport aux fonds demandés pour [cette] année. L’UNICEF affirme que cela reflète les besoins humanitaires croissants à l’échelle mondiale au milieu des crises prolongées dues à la pandémie.

    L’UNICEF note également que le nombre de catastrophes liées au climat a triplé au cours des 30 dernières années – menaçant la sécurité alimentaire, augmentant la pénurie d’eau, forçant les gens à quitter leur domicile et augmentant le risque de conflits et d’urgences de santé publique. On estime que 36 millions d’enfants, plus que jamais, sont déplacés en raison des conflits, de la violence et des catastrophes. La malnutrition chez les enfants est en augmentation dans les pays du monde entier. Et quelques mises à jour sur le maintien de la paix.

    **République centrafricaine

    Nous avons une mise à jour sur les prochaines élections en République centrafricaine. La Mission des Nations Unies dans ce pays (MINUSCA) est au courant de la décision rendue plus tôt dans la journée par la Cour constitutionnelle de la République centrafricaine concernant les candidatures à l’élection présidentielle prévue, comme vous le savez, pour la fin de cette année. La Mission des Nations Unies appelle toutes les parties prenantes à respecter la décision de la Cour et à travailler ensemble pour faire avancer le processus électoral. L’ONU continue d’apporter un appui multiforme à ce processus.

    **République Démocratique du Congo

    La Mission des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUSCO) rapporte que le Représentant spécial adjoint pour les opérations et la protection, David Gressly, s’est rendu dans les villes de Fataki et Bayoo – ou plutôt dans deux villages du territoire de Djugu en Ituri – dans le cadre de le soutien de la Mission aux communautés et autorités locales. Là, il a rencontré des femmes locales pour discuter de l’impact du conflit en cours dans la région et des moyens de rétablir la paix dans cette partie de l’Ituri.

    La Mission des Nations Unies continue de travailler en étroite collaboration avec les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à Djugu, notamment en matière de reconnaissance aérienne, de patrouilles motorisées et à pied de jour et de nuit, l’évacuation des soldats blessés lors des combats et des opérations militaires spéciales. . La Mission des Nations Unies a également déployé des bases militaires à Fataki et Bayoo pour empêcher les activités armées et protéger la population civile.

    **France

    Et on m’a demandé une réaction au décès de l’ancien Président de la France, et je peux vous dire que le Secrétaire général est attristé par le décès du Président Valéry Giscard d’Estaing. Il exprime ses sincères condoléances et sa profonde sympathie à la famille de M. Giscard d’Estaing et au peuple français. Dans le cadre de son héritage, M. Giscard d’Estaing restera dans les mémoires pour son engagement et sa contribution à l’intégration européenne, ainsi qu’à la coopération entre les principaux pays industrialisés.

    ** Journée internationale des personnes handicapées

    Aujourd’hui, c’est la Journée internationale des personnes handicapées. Dans son message pour la journée, le Secrétaire général a noté que lorsque des crises telles que le COVID-19 frappent les communautés, les personnes handicapées sont parmi les plus touchées. Il a déclaré que même dans des circonstances normales, le milliard de personnes handicapées dans le monde sont moins susceptibles d’avoir accès à l’éducation, aux soins de santé et aux moyens de subsistance ou de participer et d’être incluses dans la communauté. Il a souligné qu’à mesure que le monde se remet de la pandémie, nous devons nous assurer que les aspirations et les droits des personnes handicapées sont inclus et pris en compte dans un monde post-COVID inclusif, accessible et durable.

    ** Malawi – Handicap

    À ce propos, je tenais à signaler que notre équipe sur le terrain au Malawi, dirigée par la coordonnatrice résidente Maria Jose Torres, a appelé tout le monde – y compris le gouvernement, la société civile et le secteur privé – à faire plus pour garantir l’égalité participation des personnes handicapées et pour atteindre les ODD (Objectifs de développement durable). Mme Torres dit que plus de 10% des Malawites qui vivent avec au moins un type de handicap continuent de souffrir de difficultés disproportionnées pour accéder à l’éducation, aux services de santé et à des sources de revenus dignes.

    L’équipe de l’ONU a également fermement condamné les cas récents de meurtres et d’exhumations de restes de personnes atteintes d’albinisme. Il a appelé à mettre fin à ces attaques et à la profanation des tombes, ainsi qu’à la persistance de croyances néfastes qui engendrent la discrimination, l’exclusion et la violence contre les personnes atteintes d’albinisme. L’équipe a également noté les multiples défis auxquels sont confrontées les femmes et les filles handicapées, en particulier la menace de violence sexuelle, qui s’est également aggravée pendant la pandémie.

    ** Indice des prix des aliments

    Et voici notre mise à jour mensuelle sur l’indice des prix des denrées alimentaires de la FAO, qui indique que les prix mondiaux des produits alimentaires ont fortement augmenté en novembre pour atteindre leur plus haut niveau en près de six ans. L’indice FAO des prix des denrées alimentaires s’est établi en moyenne à 105,0 points au cours du mois, en hausse de 3,9% par rapport à octobre et de 6,5% de plus que sa valeur un an plus tôt.

    La FAO a également noté que l’impact de la pandémie du COVID-19, en particulier en termes de pertes de revenus, est un facteur important des niveaux d’insécurité alimentaire mondiale. La pandémie intensifie des conditions déjà fragiles causées par les conflits, les ravageurs et les chocs météorologiques, y compris les récents ouragans en Amérique centrale et les inondations en Afrique. Selon le rapport trimestriel sur les perspectives de récolte et la situation alimentaire, également publié aujourd’hui par la FAO, 45 pays continuent à avoir besoin d’une aide extérieure pour l’alimentation. Parmi ces pays, 34 se trouvent en Afrique.

    **Océans

    Je tenais à signaler qu’aujourd’hui était également le lancement du rapport du Groupe de haut niveau pour une économie océanique durable. Dans un message vidéo, le Secrétaire général a déclaré que les conclusions du rapport, qui sont le fruit de deux années de recherche d’experts, devaient être mises en œuvre. Il dit qu’avec de meilleures politiques et technologies, nous pouvons produire jusqu’à six fois plus de nourriture à partir de l’océan, générer 40 fois plus d’énergie renouvelable, sortir des millions de personnes de la pauvreté et contribuer à un cinquième des réductions de gaz à effet de serre.

    Le Secrétaire général a également félicité les 14 chefs d’État du Panel océanique qui ont convenu que, d’ici 2025, leurs pays géreront de manière durable toutes les zones océaniques sous leur juridiction nationale. Il a également salué le leadership des pays qui ont adhéré à la Global Ocean Alliance. Khalas. Betul, puis James.

    Source : United Nations, 3 déc 2020 (traduction non officielle)

    Tags : COVID-19, Conseil de sécurité, Ethiopie , Yémen, Fonds des Nations Unies pour l’enfance, République centrafricaine, République Démocratique du Congo, France, Journée internationale des personnes handicapées, Malawi, Handicap, Indice des prix des aliments, Océans,