Étiquette : Mauritanie

  • Mauritanie : Investiture d’Ould Ghazwani : Des présidents, des chefs de gouvernement et des personnalités importantes sont attendus

    Selon Selon des informations de l’Agence Tawary d’Information, plus d’une douzaine de présidents ont confirmé leur présence à Nouakchott pour assister à la cérémonie d’investiture du président nouvellement élu, Mohamed Ould Ghazwani, dont la date est prévue le jeudi 1er Août prochain.

    Un bon nombre de gouvernements ont confirmé la présence de leur président à savoir, le Mali, le Sénégal, le Tchad, le Niger, le Burkina Faso, la Guinée Conakry, la Guinée-Bissau, la Gambie, la Guinée Équatoriale, le Gabon, le Nigéria et la RASD.

    Tandis que d’autres seront représentés par des chefs de gouvernement ou des ministres des affaires étrangères, tels que la France, le Maroc, l’Algérie, Les Émirats Arabes Unis (EAU), le Soudan, le Sultanat d’Oman, l’Arabie Saoudite, L’Égypte, la Tunisie, la Libye, la Jordanie, le Koweït, la Côte d’ivoire, le Yémen, les États Unis d’Amérique (USA), la chine, la Russie, le Japon, l’Espagne, le Royaume Uni et le Ghana.

    Il n’est pas exclu que d’autres pays invité par le gouvernement mauritanien soient représentés à l’événement, explique la source.

    Comme déjà, souligné dans l’information mise en ligne, les organisations régionales, sous-régionales et internationales seront représentées aussi au cours de cette cérémonie par d’importantes délégations.

    A cette cérémonie, il est prévu que plusieurs milliers d’invités dont les membres du gouvernement sortant, des ambassadeurs accrédités à Nouakchott, les représentants des institutions et organisations internationales, les présidents des institutions de l’Etat, le Chef de file de l’institution de l’Opposition démocratique, le président de l’Assemblée nationale, les présidents et secrétaires généraux d’associations et des syndicats, des directeurs des sociétés ,des chefs de départements, les présidents des partis politiques de la majorité et de l’opposition les élus,…..y participent, indique notre source.

    Source : Tawary, 29 jui 2019

    Tags : Mauritanie, investiture, Mohamed Ould El Ghazouani,

  • Mauritanie : Ould El Ghazouani investi

    Le Président de la République élu prête serment

    Le Président élu Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouania a prêté serment en vertu de la Constitution en sa qualité de Président de la République Islamique de Mauritanie pour un mandat de cinq ans.

    C’était au cours d’une séance extraordinaire du Conseil Constitutionnel présidée par M. Diallo Mamadou Bathia, président de cette auguste institution et en présence du bureau de l’Assemblée nationale présidé par M. Cheikh Ould Baya, président de cette chambre.

    Ould El Ghazouani a été accueilli à son arrivée par le Premier ministre, M. Mohamed Salem Ould Béchir et le président du Conseil constitutionnel et un détachement de la garde verte lui a rendu les honneurs.

    Le Président sortant, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz et le Président rentrant, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani ont, ensuite, pris place dans la salle devant les membres du Conseil Constitutionnel.

    Le Chef de l’Etat sortant a ensuite prononcé un discours dans lequel il a passé en revue les principales réalisations accomplies au cours de la dernière décennie et félicité le Président élu pour la confiance que le peuple mauritanien a placé en lui avant de relever certaines de ses qualités qui en font qu’il est apte à assumer cette lourde responsabilité.

    Le président du conseil constitutionnel a annoncé par la suite l’ouverture de la séance solennelle d’investiture du Président élu commençant par la lecture de la délibération du conseil relative à la tenue d’une séance à l’extérieur de son siège et de la délibération du même conseil portant sur les résultats de l’élection présidentielle du 22 juin 2019.

    Ensuite, le Président du Conseil a déclaré le Président élu investi dans ses nouvelles fonctions de Président de la République Islamique de Mauritanie.
    Selon l’agence Al Akhbar, onze chefs d’Etats Africains ont assisté à l’investiture du nouveau président mauritanien : le Sénégalais Macky Sall, le Burkinabé Roch Marc Christian Kaboré, l’Ivoirien Alassane Ouatera, le Gambien Adama Barro, le Bissau-Guinéen José Mario Vaz, le Guinéen (Conakry) Alpha Condé, le Congolais Denis Sassou Nguesso, le Malien Ibrahim Boubakar Keïta, le Nigérien Mahamadou Issoufou, le Sahraoui Brahim Ghali, et le Tchadien Idriss Déby Itno.

    Avec AMI

    Tags : Mauritanie, Mohamed Ould El Gghazouani, investiture,

  • Mauritanie : Abdallahi Ould Mohamedy voyage aux frais de la DGED marocaine

    La presse française s’est fait écho, dans les derniers jours, d’un fonctionnaire français recruté par les services secrets marocains. Il s’agit d’un agent de la police aux frontières (PAF) de l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) qui a été interpelé le 29 mai 2017 pour filtration de documents confidentiels sur des fichiers « S ». En échange, la DGED marocains lui offrait de l’argent liquide et des voyages au Maroc tous frais payés. Des avantages dont profite aussi le mauritanien Abdallah Mohamdy, le patron du groupe Sahara Media.

    Selon les documents révélés par le hacker Chris Coleman, la DGED était sollicitée par ses collaborateurs en vue d’obtenir des tickets d’avions pour se déplacer au Maroc et ailleurs aux frais des services de Yassine Mansouri.

    Le 18 juin 2011, Ould Mohamdy s’est fait offrir un billet Rabat-Paris-Madrid-Casablanca réservée par Mourad Rhoul en personne, le directeur du cabinet de Yassine Mansouri, le directeur général de la DGED.

    Le nom de Abdallah Ould Mohamdy figure dans toutes les listes des relais de la DGED chargés de diffuser la propagande du Makhzen, y compris les attaques visant à diaboliser le Front Polisario et l’accuser d’organisation terroriste.

    Il a été nommé administrateur de l’agence de presse APA en guise de couverture pour justifier les paiements qu’il reçoit de la DGED.

    Tags : Mauritanie, Maroc, DGED, Abdallahi ould Mohamedy, hacker chris coleman, marocleaks,

  • Abdallahi Ould Mohamedy voyage aux frais de la DGED marocaine

    La presse française s’est fait écho, dans les derniers jours, d’un fonctionnaire français recruté par les services secrets marocains. Il s’agit d’un agent de la police aux frontières (PAF) de l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) qui a été interpelé le 29 mai 2017 pour filtration de documents confidentiels sur des fichiers « S ». En échange, la DGED marocains lui offrait de l’argent liquide et des voyages au Maroc tous frais payés. Des avantages dont profite aussi le mauritanien Abdallah Mohamdy, le patron du groupe Sahara Media.

    Selon les documents révélés par le hacker Chris Coleman, la DGED était sollicitée par ses collaborateurs en vue d’obtenir des tickets d’avions pour se déplacer au Maroc et ailleurs aux frais des services de Yassine Mansouri.

    Le 18 juin 2011, Ould Mohamdy s’est fait offrir un billet Rabat-Paris-Madrid-Casablanca réservée par Mourad Rhoul en personne, le directeur du cabinet de Yassine Mansouri, le directeur général de la DGED.

    Le nom de Abdallah Ould Mohamdy figure dans toutes les listes des relais de la DGED chargés de diffuser la propagande du Makhzen, y compris les attaques visant à diaboliser le Front Polisario et l’accuser d’organisation terroriste.

    Il a été nommé administrateur de l’agence de presse APA en guise couverture pour justifier les allocations qu’il reçoit de la DGED.

    Tags : Mauritanie, Maroc, DGED, Abdallahi ould Mohamedy, hacker chris coleman, marocleaks,

  • Le Maroc, la grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf

    Au Maroc, le pouvoir, en vue d’imposer son autorité aux républicains et progressistes de la gauche, a tenté d’imiter la grenouille qui se veut aussi grande qu’un bœuf. Ainsi, le roi du Maroc se prend pour le dirigeant d’un grand empire semblable aux empires français et britannique. Alors, il rêve d’étendre, d’enfler, d’agrandir ses frontières en vue de donner cette impression de grandeur et pouvoir.

    Hassan II s’est regardé dans le miroir et s’est dit : « Je peux ». Il s’opposa à l’indépendance de la Mauritanie avant d’être rappelé à l’ordre par son maître français. Alors, il s’est tourné vers une Algérie indépendante depuis quelques mois, mais la petite grenouille marocaine a failli exploser en se heurtant à la détermination des algériens à défendre leur territoire.

    Jugeant que le soutien de la France et des Etats-Unis lui permettra d’annexer au moins l’ancienne colonie espagnole du Sahara Occidental et au même temps éloigner le fantôme des coups d’État militaires, le souverain et ses alliés ont vite découvert que leurs calculs étaient des faux basés sur la sous-estimation de la capacité de réplique de la population autochtone.

    Quarante-trois ans après, le Maroc se prend toujours pour la grenouille qui se croyait aussi grosse que le bœuf. En se prenant pour un pays aussi grand que les pays occidentaux qui le soutiennent, il tente de suivre leur ancienne stratégie de tension et d’action sous fausse bannière.

    La stratégie de la tension est la tactique mise en pratique par les gouvernements occidentaux, pendant la guerre froide et en particulier pendant les soi-disant «années de plomb» en Italie, afin de diviser, manipulent et contrôler l’opinion publique en utilisant des tactiques visant à instiller la peur, à diffuser de la propagande, à créer de la désinformation, à faire la guerre psychologique et à utiliser des agents provocateurs, lors d’opérations sous un faux drapeau terroriste pour atteindre leurs objectifs tactiques et stratégiques.

    Dans ses ambitieux plans de déstabilisation, le Maroc tente de porter atteinte aux relations de la Mauritanie avec ses voisins, l’Algérie et la République Arabe Sahraouie Démocratique. Pour Rabat, la position de Nouakchott par rapport au conflit du Sahara Occidental est décisive. Les marocains tentent par tous les moyens d’amener les mauritaniens à se positionner contre les sahraouis. La grenouille n’a pas perdu l’espoir au risque de se voir exploser.

    Tags : Maroc, Hassan II, Mohammed VI, expansionnisme, grand maroc, Algérie, Mauritanie,

  • Centrafrique : les soldats mauritaniens de la Minusca ne sont pas les bienvenus

    Centrafrique : nouvelle manifestation à Bambari contre les soldats mauritaniens de la Minusca.

    Dans la matinée du dimanche 2 juin 2019, les jeunes du quartier PK12 proche de l’aérodrome sont descendus massivement dans la rue pour bloquer une nouvelle fois l’installation des soldats mauritaniens de la Minusca dans le secteur.

    Alors que les soldats du contingent gabonais de la Minusca devraient rejoindre leur nouveau poste à Bocaranga dans l’Ouham-Péndé, une localité proche des lieux du massacre du 21 mai imputé aux rebelles de 3R dont plus de 54 personnes avaient été égorgées, les soldats du contingent mauritanien, qui devraient relever leurs collègues gabonais à Bambari, ne sont pas les bienvenus dans la ville.

    La semaine dernière, une première manifestation des jeunes des quartiers proches de l’évêché et du pont Nguéndet avait poussé la Minusca à annuler l’installation des soldats mauritaniens sur les différents checkpoints du secteur.

    Comme si cela ne suffisait pas, ce dimanche 2 juin 2019 dans la matinée, c’est le tour des habitants du PK12, un quartier situé à 12 kilomètres de Bambari, secteur aérodrome de barricader la route à l’arrivée des soldats mauritaniens de la Minusca qu’ils accusent d’être des complices des rebelles de l’UPC.

    Une équation difficile à résoudre pour la Minusca qui a besoin des plus d’hommes pour renforcer ses patrouilles dans l’Ouham-Péndé, lieu considéré prioritaire suite aux attaques des rebelles de 3R.

    Le directeur de l’école a Koundjili a partagé qu’il a vu par ces propres yeux un convoi de la MINUSCA qui passait prêt du village. Cela s’est produit au moment même quand le massacre se déroulait. Les « Casques blues » ont, malheureusement ignoré les assassinats en masse des habitants de la RCA. Le convoi est passé sans même s’arrêter.

    En décembre 2018 l’ONG « Aimons notre Afrique » a déjà demandé le départ du contingent mauritanien de la RCA à cause de leur manque d’expérience et à cause de soupçon de leur complicité avec les bandits. L’une des nombreuses accusations est lié à la tragédie d’Alindao qui a eu lieu fin novembre 2018, où 60 personnes sont tombés victimes de l’attaque sur le camp des déplacés. C’était le contingent mauritanien qui était en chargé de la sécurité des déplacés et ils n’ont rien fait.

    Tags : RCA, Reṕublique centrafricaine, mauritanie, casques bleus, MINUSCA,