Étiquette : Mohammed VI

  • A Rabat, Sanchez salue les liens « constructifs » avec le Maroc

    Etiquettes : Rabat, Pedro Sanchez, Maroc, Espagne, Mohammed VI, Sahara Occidental, Ceuta, Melilla, migration,

    Rabat, le 21 février (EFE). – Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a salué les relations bilatérales de son pays avec le Maroc lors d’une visite officielle dans le pays d’Afrique du Nord mercredi.

    Sanchez était accompagné lors du voyage par le ministre des Affaires étrangères Jose Manuel Albares. Ils ont été accueillis par le Premier ministre marocain Aziz Akhannouch et une garde d’honneur à l’aéroport de Rabat.

    Le Premier ministre espagnol devait également rencontrer le roi Mohamed VI du Maroc mercredi après-midi.

    Après sa rencontre avec Akhannouch, Sanchez a salué le « modèle de voisinage constructif » entre leurs deux pays, basé selon lui sur la confiance et le respect mutuel.

    Sanchez a déclaré que les relations avec le Maroc, qu’il a décrit comme un « ami et partenaire stratégique », sont au meilleur niveau depuis des décennies.

    Il s’agit de la première visite de Sanchez au Maroc depuis sa nomination pour un second mandat fin de l’année dernière, et de sa cinquième visite au total.

    Le voyage intervient dans un contexte de relations bilatérales améliorées après le sommet de haut niveau de l’année dernière et une rencontre avec le roi Mohamed VI en avril 2022.

    Cette réunion faisait suite à une année de relations tendues qui s’était conclue par l’envoi par Sanchez en mars 2022 d’une lettre à Mohamed VI, dans laquelle il déclarait qu’une proposition de 2007 du Maroc pour résoudre un conflit de longue date au Sahara occidental – un territoire contesté dans le nord-ouest de l’Afrique, à la frontière sud du Maroc – était la base « la plus sérieuse, crédible et réaliste » pour résoudre le différend.

    Le sommet de haut niveau en 2023 a contribué à réparer les relations après des années de tension.

    Madrid avait irrité Rabat en 2021 en accordant un traitement médical à Brahim Ghali, le leader du Front Polisario, qui réclame l’indépendance pour le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole.

    En mai 2021, un mois après l’admission de Ghali dans un hôpital espagnol, au moins 8 000 migrants ont franchi la frontière entre le Maroc et l’enclave espagnole de Ceuta en Afrique du Nord, après que des gardes-frontières marocains auraient abandonné leurs fonctions.

    En juin 2022, au moins 23 migrants ont été tués à la frontière entre le Maroc et Melilla – une autre enclave espagnole – après qu’une foule de centaines de personnes a tenté de franchir la frontière.

    Cette tragédie a mis en lumière la gestion par l’Espagne de la migration dans ses territoires nord-africains de Ceuta et Melilla, qui sont souvent le théâtre de franchissements massifs.

    Amnesty International estime qu’au moins 37 personnes ont été tuées lors de la tentative de passage de juin.

    Sanchez a remplacé l’ancienne ministre des Affaires étrangères Arancha González Laya par Albares sous la pression du Maroc comme condition pour la réconciliation. EFE

    #SaharaOccidental #Maroc #Epagne #PedroSanchez

  • Ah, qu’est-ce qu’il est fou notre ami le Roi !

    Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, Congrès Amazigh Mondial, Algérie, Hirak, Nasser Zefzafi, Gaza, Palestine,

    Le Maroc qui soutient le congrès Amazigh mondial et se pose, faussement et insidieusement comme le défenseur de l’amazighité et le porte étendard du combat pour identitaire. Quelle belle farce ! Quel doux leurre ! Que l’on ne s’y trompe pas.

    Le Maroc est un royaume de l’intrigue. Tout ce qu’il fait est très souvent sujet à caution. Difficile de croire un roi qui a pitoyablement rabaissé ses fidèles sujets au rang de vulgaire objets obéissants qui n’ont plus de voix au chapitre.

    Que ceux qui portent la cause amazighe dans leur cœur au Maroc comme ailleurs, se méfient des trompeuses professions de foi d’un roi bonimenteur qui brandit la carotte, pour cacher le bâton. Juste le temps de faire passer cette dernière pilule décidément bien grosse d’être un soutien du congrès mondial amazigh.

    Eh oui ! L’histoire du royaume des alaouites est là pour nous rappeler la longue série noire des répressions parfois inhumaines des militants de la culture et langue amazigh.

    L’oppression, la déportation, l’exil, l’assassinat et l’emprisonnement des symboles du combat amazigh au royaume de M6 s’hérite, à ce jour, de père en fils. La famille royale se transmet la haine de ces amazigh rebelles et allergiques à son régime moyenâgeux, depuis plus de cent ans.

    De Abdelkrim El Khattabi, fondateur de la république du RIF en 1921 à Nasser Ezzafzafi qui avait mené le Hirak du RIF, les militants de l’amazighité au Maroc ont connu les pires souffrances, sous les coups de boutoirs d’une monarchie sectaire, arrogante et surtout, sans pitié.

    Qui ne se souvient pas du bombardement de la région amazighophone du RIF en 1959 par le prince héritier Hassan II pour tuer dans l’œuf le soulèvement appelé à l’époque «la révolte du RIF » ?

    La série noire
    Pourtant, les rifains avaient seulement protesté contre la violence du makhzen, la pauvreté et la marginalisation. Mais la monarchie alaouite adore s’abreuver de sang. Le RIF fut l’épicentre d’une répression sauvage dans la mémoire collective garde le terrible souvenir du bain de sang commis à Beni Ourighel avec plusieurs milliers morts.

    Quelques années plus tard, l’icône du combat amazigh du RIF a dû se résigner à mourir dans son lointain exil au Caire plutôt que de revenir dans un Maroc privatisé par la famille royale et où il ne faisait plus bon vivre qui plus est.

    Depuis, les rifains sont quasiment soumis à un état de siège par le royaume du Hassan le terrible et aujourd’hui aussi par son fils Mohamed. Ils sont surveillés comme du lait sur le feu ! Pas de quartier pour ces révoltés du RIF empêcheurs de gouverner en rond au sein d’une monarchie qui veut absolument tout régenter.

    Appréciez donc cette menace sentencieuse et gorgée de haine de feu Hassan II prononcée en 1984 à l’endroit des rifains après une énième révolte : « Si ces Awbach (déchets de la société) ont oublié le personnage du roi Hassan II qu’il se rappellent celui du prince héritier Hassan de 1959 ! » Sans commentaires.

    Le Maroc qui réprime et massacre les rifains porte-flambeau de l’amazighité ne peut raisonnablement se prévaloir d’être un soutien au congrès mondial Amazigh ! La prétention frise le ridicule.

    A vrai le royaume de M6 désormais «sionisé» ne supporte pas que l’on ose ne serait-ce qu’une critique au régime du makhzen.

    La preuve ? Il y a quelques jours seulement un ancien médecin militaire déserteur chef des FAR (Forces armées royales), un certain Mourad Sghir a été retrouvé mort dans des circonstances bizarres à Tanger. Pour le journaliste opposant Ali Lamrabt, le crime porte une irréfutable signature : les services de Sa majesté.

    Ils sont des centaines d’opposants à finir comme ce malheureux Mourad Sghir au Maroc du baisemain et des présentations.

    Du Rif à Ghaza, même combat !

    Les sbires du makhzen sont vraiment culottés de prétendre soutenir l’amazighité et ses défenseurs. Notre «ami» le roi serait mieux inspiré de ne d’abord pas couper les vivres aux rifains Rifains et leur assurer des logements décents et de quoi survivre à la veille de l’hiver trois mois après un séisme dévastateur.

    La réalité est que la monarchie impose une double peine aux habitants du Rif comme ce fut le cas en 2004, lors du séisme qui avait frappé la région d’Al Hoceima qui avait fait des centaines de morts et de sans-abris notamment dans les villages d’Ait Kamra et d’Imzouren.

    Les malheureux habitants de ces localités Amazigh avaient été abandonnées à leur sort. Souvenons-nous que l’Algérie à travers la Sonelgaz assurait chaque semaine l’alimentation de cette région en bonbonne de gaz en ouvrant exceptionnellement la frontière de Ouajda !


    Le mensonge n’est pas une politique encore moins une bonne stratégie. Qui peut être un fieffé crédule pour croire le Maroc est sincère dans sa célébration « verbale » de l’amazighité et de son congrès ?

    La réalité est que ces galéjades royales s’apparentent au baiser de Judas. Ce sont des mystifications destinées à justifier à posteriori une répression ou un coup tordu à venir contre le RIF et son combat.

    Faut-il rappeler ici le martyre que subissent les palestiniens sous les bombardements de l’armée d’occupation sioniste ayant reçu la baraka du « Emir Al Mouaminin» (commandeur des croyants) via son label de «président du Comité Mondial El Qods» ? Incroyable !

    Ce royaume normalisateur et normalisé sert, ironie du sort, de chair à canon à l’entité sioniste à Ghaza et à laquelle elle ne peut rien refuser. Les soldats des FAR prêtent même main forte à l’armée génocidaire sioniste à Ghaza.

    Mais à bien y réfléchir, on s’aperçoit que le Maroc et Israël sont liés par un pacte génocidaire : l’un veut exterminer les Amazigh du RIF, et l’autre exterminer les Palestiniens.

    Question à un Dirham dévalué : A quoi bon glorifier l’amazighité quand on est à ce point allergique à ceux qui s’en réclament ? Faites vos jeux…d’échec au roi !

    Hakim Merabet

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  • Marruecos – Francia: La venganza de Mohammed VI

    Etiquetas: Francia, Marruecos, Mohammed VI, Emmanuel Macron, Pegaso, Sáhara Occidental,

    Se ha vertido mucha tinta sobre las tensiones que caracterizan actualmente las relaciones entre París y Rabat. A través de su prensa y artículos teledirigidos desde las oficinas de Yassine El Mansouri, Marruecos intenta convencer a su opinión interna de su versión de los hechos: no es Francia la que está enfadada con Marruecos, sino este último quien está enfadado con su antigua metrópoli. Que no es Macron el que está enfadado con Mohammed VI, sino todo lo contrario.

    En efecto, el Majzen intenta ocultar su aislamiento con una campaña mediática bien alimentada a la que ha dedicado enormes recursos para salvar la cara del Rey de Marruecos, que desde el escándalo de espionaje con el software israelí Pegasus ha perdido todo su prestigio ante su primer aliado, patrocinador y mentor en la Unión Europea y en el conflicto del Sáhara Occidental.

    A pesar de todo su amor por el reino alauita, el presidente francés no pudo tragarse esta serpiente cuando supo que los servicios secretos marroquíes estaban al tanto de cada uno de sus gestos públicos e íntimos. Con sus ministros, sus consejeros, sus amigos y… con su esposa. Motivo por el cual el enfado de Emmanuel Macron es extremo y quiso hacerlo saber. Decidió corregir a este niño mimado que juega con fuego hasta el punto de quemarse. Desde entonces, evita a Mohammed VI y sus palacios de las Mil y Una Noches.

    El asunto del teléfono móvil del presidente Macron espiado por la DGED estalló en julio de 2021. Desde aquel momento, el rey de Marruecos ha movilizado su enorme lobby con el fin de conseguir una reunión con el representante francés. Para ello, el lobby le exige que venga a Francia. Mohamed VI sigue sus instrucciones al pie de la letra. En vano. La última ocasión fue el 1 de septiembre. Para que su viaje a Francia no pase desapercibido en el Elíseo, lo da a conocer a través de la fiel revista del majzen y de la Françafrique, Jeune Afrique. La etiqueta “visita privada” se avanza cmo fachada para disipar cualquier sospecha sobre el verdadero objetivo de este desplazamiento.

    Siete días de espera para una recepción presidencial fueron interrumpidos por un terrible terremoto que sacudió la región de Marrakech, cuyas trágicas consecuencias obligaron al soberano marroquí a hacer las maletas y regresar a Marruecos. Su llegada casi 24 horas después del terremoto dió lugar a muchos comentarios en la prensa internacional, particularmente en Francia. Asombrados, los periodistas franceses descubrieron que llevaba una semana en París y se preguntaron por qué el rey de Marruecos no fue recibido por el presidente Macron. La prensa marroquí intentará encubrir el desaire galo afirmando que es Mohammed VI quien se niega a encontrarse con el presidente francés y, para demostrar que está enfadado con Macron, el rey ha prohibido aceptar cualquier ayuda proveniente de Francia. En este juego, Los marroquíes son expertos. Saben convertir la derrota en victoria y el fracaso en éxito. De esta manera, el Majzen habrá matado dos pájaros de un solo tiro: enviar un mensaje político a Francia y distraer la atención de los marroquíes de su mala gestión del país. Así, los nacionales marroquíes estarán orgullosos de su rey que rechaza doblegarse ante Francia con el pretexto de que ésta se niega a reconocer la pretendida soberanía marroquí sobre el territorio del Sáhara Occidental. Por lo tanto, se reduce drásticamente la ayuda destinada a las víctimas del terremoto para enviar un mensaje de ira al presidente francés. La venganza de Mohammed VI tras el desaire Macroniano.

    #Marruecos #MohammedVI #Francia #Macron #Pegasus #Sahara Occidental

  • Les survivants isolés du tremblement de terre au Maroc se sentent oubliés par l’État alors qu’ils attendent de l’aide

    Etiquettes : Maroc, séisme, tremblement de terre, Mohammed VI,

    -Le bilan du séisme approche les 3.000 morts
    -Certains villages isolés ne reçoivent aucune aide officielle
    -Les survivants amazighs disent se sentir marginalisés
    -Les réunions du FMI et de la Banque mondiale auront lieu à Marrakech

    AZERMOUN, Maroc, 14 septembre (Reuters) – Les villageois de certaines des zones les plus isolées touchées par le séisme au Maroc vivaient toujours dans des tentes de fortune et comptaient sur des ânes pour transporter des fournitures vitales jeudi alors qu’ils attendaient que l’aide de l’État leur parvienne pendant près d’une semaine. après la catastrophe.

    Le séisme de magnitude 6,8 qui a frappé le Haut Atlas le 8 septembre a fait 2.946 morts et 5.674 blessés, selon les derniers chiffres officiels, ce qui en fait le plus meurtrier depuis 1960 et le plus puissant depuis au moins 1900.

    Alors que des camps ordonnés constitués de grandes tentes fournies par le gouvernement et d’hôpitaux militaires de campagne ont vu le jour dans certaines des plus grandes villes, certaines parties de la région accidentée survivent encore grâce aux dons laissés par les citoyens au bord des routes.

    Les journalistes de Reuters voyageant le long d’une route isolée reliant les villages amazighs, ou berbères, ont vu des survivants camper dans de petites tentes ou sous des bâches en plastique, craignant que les répliques ne détruisent leurs maisons endommagées.

    « Nous, les Amazighs, nous sentons comme des étrangers dans notre pays. Nous nous sentons isolés. Les gens ici sont dans le besoin. Ils se sentent seuls », a déclaré Radouen Oubella, 20 ans, dans son village d’Azermoun.

    Il faisait écho aux griefs de longue date concernant la marginalisation des Amazighs dans la nation à majorité arabe.

    Le gouvernement a déclaré qu’il faisait tout son possible pour aider toutes les victimes du tremblement de terre.

    Le palais royal a déclaré jeudi dans un communiqué que 50.000 maisons auraient été endommagées par le tremblement de terre et qu’il fournirait un abri et 30 000 dirhams (3 000 dollars) aux ménages touchés.

    Il s’est également engagé à offrir une aide à la reconstruction de 140 000 dirhams pour les maisons effondrées et de 80 000 dirhams pour celles endommagées.

    La ville de Marrakech, située à environ 72 km de l’épicentre et qui a subi quelques dégâts, accueillera les réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international comme prévu du 9 au 15 octobre, a déclaré le gouverneur de la banque centrale du Maroc. jeudi.

    Mais dans les villages amazighs, il y avait peu de signes d’une aide des autorités ou d’un retour à la normale dans un avenir proche.

    TOUJOURS EN ATTENTE
    Sur une colline d’Azermoun, des hommes se partageaient et chargeaient des provisions de nourriture et d’eau sur des ânes et des mulets pour les transporter à Aoufour, à environ 15 km de là, dans un convoi lent de personnes et d’animaux.

    « Les gens souffrent de ce tremblement de terre. Ils n’ont rien. Nous vivons uniquement d’air. Nous avons besoin de tentes et de couvertures », a déclaré Mohamed Zidane, 55 ans, d’Aoufour.

    Lorsque le convoi fut prêt, Zidane monta sur l’un des animaux et partit pour le long voyage de retour. Il faudrait encore deux ou trois jours pour organiser le prochain convoi.

    Dans une vallée en contrebas d’une pente raide du village d’Anzelfi, qui a subi de graves dégâts, les habitants avaient installé un camp avec des tentes ainsi que des couvertures, des tapis et d’autres objets récupérés.

    « Nous attendons toujours que le gouvernement nous aide », a déclaré Mohamed Oufkir, 30 ans. « Nous sommes ici parce que nous sommes sans abri ».

    « Nous sommes en danger car lorsqu’il pleut, la vallée peut être inondée », a-t-il déclaré. La nuit, il faisait un froid glacial, a-t-il ajouté.

    Dans le village de Tagsdirt, la maison d’Ibrahim Meghashi était toujours debout mais il y avait d’énormes trous et de larges fissures dans les murs.

    Trop craintif pour rester à l’intérieur, lui, sa femme et ses trois filles âgées de six, dix et quinze ans vivaient dans une tente improvisée. Ils avaient recouvert le sol de terre battue de carton et d’un tapis et avaient empilé des matelas les uns sur les autres.

    « Nous avons très peur. La vie ici devient de plus en plus difficile. Il fait froid. Nous n’avons plus de maison et nous craignons qu’il y ait un autre tremblement de terre », a déclaré Meghashi, 39 ans.

    « Le gouvernement ne se soucie pas de nous. Nous nous sentons marginalisés. Nous sommes en colère. »

    Reuters, 14/09/2023


    #Maroc #Séisme #Tremblement #Terre #MohammedVI

  • « C’est une trahison »: un Marocain qui a perdu ses parents lors du séisme est en colère contre la réponse du gouvernement

    Etiquettes : Maroc, gouvernement, Mohammed VI, séisme, tremblement de terre,

    TALAT N’YAAQOUB, Maroc, 12 septembre (Reuters) – Un homme qui a perdu ses deux parents lors du tremblement de terre au Maroc a déclaré qu’il s’est senti trahi par la réponse du gouvernement après qu’il ait fallu quatre jours aux machines de creusement pour atteindre la ville isolée où sa mère et son père ont été enterrés. sous leur maison effondrée de quatre étages.

    Espérant qu’ils seraient encore en vie, Jamal Rbaki fouillait désespérément les décombres à mains nues aux côtés de son frère, de son oncle et de ses voisins tandis que des hélicoptères militaires survolaient Talat N’Yaaqoub, dans les montagnes du Haut Atlas.

    « Nous attendions de l’aide », a-t-il déclaré à Reuters sur place. « Des gens étaient morts sous les décombres, mais il n’y avait aucune aide. »

    Rbaki a déclaré qu’il ne comprenait pas pourquoi il avait fallu si longtemps pour que les secours du gouvernement arrivent dans la ville ou pourquoi certaines offres d’aide étrangère n’avaient pas encore été acceptées alors que tant de personnes dans la zone du séisme souffraient.

    « C’est une trahison. Une pure trahison », a-t-il déclaré, ajoutant que des personnes étaient toujours coincées sous des bâtiments en crêpe dans certaines zones.

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    Le bilan des morts du séisme de magnitude 6,8 qui a frappé le Haut Atlas vendredi soir s’est élevé à 2 901 mardi, et le nombre de blessés a plus que doublé pour atteindre 5 530, a rapporté la télévision d’État. Les villageois des zones montagneuses dévastées ont souvent exprimé leur frustration de n’avoir reçu aucune aide de l’État.

    L’armée marocaine est à la tête des efforts de sauvetage et le personnel militaire et les secouristes sont présents à Talat N’Yaaqoub depuis plusieurs jours.

    L’armée a déclaré qu’elle renforçait les équipes de recherche et de sauvetage, fournissant de l’eau potable et distribuant de la nourriture, des tentes et des couvertures, tandis que le gouvernement a déclaré que tous les efforts étaient déployés sur le terrain.

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    Mais la zone sinistrée est vaste, accidentée et isolée. Certaines routes ont été bloquées par des glissements de terrain, laissant certaines des zones les plus durement touchées accessibles uniquement par hélicoptère.

    Les habitants des villages voisins ont partagé des histoires similaires à celles de Rbaki. Ils ont recherché eux-mêmes leurs proches, ont retiré les survivants et enterré leurs morts sans aucune aide gouvernementale.

    La plupart des habitants de Talat N’Yaaqoub ont eu l’impression que les autorités les rejetaient, a-t-il déclaré. « C’est un coup de poignard dans le cœur. Nous aimons le Maroc. C’est notre pays. C’est notre terre. »

    Lorsque le tremblement de terre s’est produit, M. Rbaki se trouvait à Marrakech, la ville historique située à 72 km de l’épicentre de la secousse. Il lui a fallu 12 heures pour parcourir une centaine de kilomètres jusqu’à Talat N’Yaaqoub.

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    Il a indiqué que ses efforts désespérés et répétés pour contacter ses parents par téléphone sont restés sans réponse alors qu’il attendait que la route du Tizi n’Test, qui relie sa ville natale à Marrakech, soit déblayée de ses débris.

    #Maroc #Séisme #Tremblement #Terre

  • La estancia del rey de Marruecos en Francia podría ser abreviada por el terremoto

    Etiquetas: Marruecos, Francia, Mohammed VI, Emmanuel Macron, Ali Bongo, Gabón, Pegasus, espionaje,

    Marruecos fue sacudido el viernes por la noche por un fuerte terremoto cuyas consecuencias fueron fatales: más de 820 muertos y 672 heridos, según un balance provisional.

    En esa ocasión, la reacción del presidente Joe Biden fue rápida. Me entristecen profundamente la pérdida de vidas humanas y la devastación causada por el terremoto de Marruecos. Nuestros pensamientos y oraciones están con todos los afectados por esta terrible prueba. Mi administración está en contacto con los responsables marroquíes. Estamos trabajando rápidamente para garantizar la seguridad de los ciudadanos estadounidenses en Marruecos y estamos dispuestos a prestar toda la asistencia necesaria al pueblo marroquí. Estados Unidos apoya a Marruecos y a mi amigo el rey Mohammed VI en este momento difícil», escribe el presidente Joe Biden en una declaración de la Casa Blanca.

    Este desafortunado acontecimiento ocurre mientras el rey de Marruecos se encuentra en Francia, oficialmente, en el marco de una visita privada. Mohammed VI podría verse obligado a acortar su estancia en Francia con el fin de investigar in situ los acontecimientos de esta tragedia.

    Mucho se ha dicho sobre la estancia del soberano marroquí. Según medios de comunicación cercanos al poder marroquí, el rey Mohammed VI está preparando la reconciliación con el presidente Emmanuel Macron. Las relaciones entre Marruecos y Francia son frías desde el escándalo de espionaje de Pegasus, el nombre del programa espía israelí utilizado para robar el teléfono del presidente francés y de numerosos ministros, periodistas y personalidades francesas.

    Según algunas fuentes, el Elíseo estaría dispuesto a pasar página si Marruecos acepta acoger a Ali Bongo, el presidente gabonés depuesto.

    #Marruecos #MohammedVI #France #Pegasus #Gabón #AliBongo #Macron

  • Israel condecora a un asesor de Mohamed VI

    Etiquetas : Marruecos, Israël, André Azoulay, Mohammed VI, normalización, Accuerdos de Abraham,

    Una medalla por servicios prestados. André Azoulay, asesor del rey de Marruecos Mohamed VI y arquitecto de la normalización, acaba de recibir una de las más altas distinciones de Israel.

    André Azoulay fue condecorado con la « medalla de honor presidencial » por el presidente israelí Isaac Herzog, durante una ceremonia que tuvo lugar el miércoles 6 de septiembre.

    Nacido en Marruecos en 1941 en una familia judía bereber, Azoulay tuvo una larga carrera en finanzas antes de convertirse en consejero del rey Hassan II en 1991 y luego de su hijo y sucesor, Mohamed VI, a partir de 1999.

    Siendo de nacionalidad francesa, el consejero real es el padre de Audrey Azoulay, la exministra de Cultura de Francia (2016-2017) y directora general de la UNESCO desde 2017.

    Muy activo en Marruecos, el Medio Oriente y Europa, André Azoulay ha construido una amplia red de contactos al ser miembro de numerosas organizaciones de diálogo entre religiones y culturas. Es en virtud de esto, además de su influencia cercana al rey Mohamed VI, que desempeñó un papel clave en el acercamiento entre Marruecos e Israel, que comenzó hace varias décadas.

    Israel muestra una gran gratitud hacia André Azoulay

    Este acercamiento llevó a la normalización formal de las relaciones entre ambos países en diciembre de 2020, en el marco de los Acuerdos de Abraham, que también vieron a Israel normalizar sus relaciones con otros tres países árabes el mismo año: los Emiratos Árabes Unidos, Bahréin y Sudán.

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    Hasta ahora, ambos países han dado varios pasos en su acercamiento, incluyendo un aumento en su cooperación militar y de seguridad.

    La distinción de André Azoulay coincide con la visita a Israel del presidente del Senado marroquí, Enaam Mayara. Este último estaba previsto que visitara la Knesset israelí este jueves. El presidente de la Knesset calificó la visita del parlamentario marroquí como « una de las visitas más importantes de un político musulmán extranjero a la Knesset ».

    En Israel, parecen estar muy agradecidos por todo lo que este hombre ha hecho para promover el acercamiento con Marruecos.

    Se organizó una gran ceremonia en el palacio presidencial para condecorar a Azoulay con la más alta distinción civil del país, que en el pasado se otorgó a varios políticos y jefes de Estado extranjeros como Barack Obama, Henry Kissinger, Bill Clinton o Angela Merkel.

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    Varios cientos de invitados asistieron, incluido Abderrahim Bayoud, jefe de la oficina de enlace marroquí en Tel Aviv. La designación de embajadores respectivos es el próximo paso esperado en el proceso de normalización entre Marruecos e Israel.

    #Marruecos #Israël #Normalización #André #Azoulay

  • Au Gabon, le roi du Maroc a perdu sa villégiature africaine

    Etiquettes : Gabon, Ali Bongo, putsch, copu d’Etat, Maroc, Mohammed VI,

    Coup militaire au Gabon contre le président Ali Bongo, ami d’enfance de Mohamed VI. Un groupe d’officiers de l’armée gabonaise est apparu à la télévision annonçant le renversement du président Ali Bongo, un allié proche du Maroc en Afrique.

    Mohamed VI pourrait perdre le paradis du Gabon où il passe de longues périodes chaque année, en alternance avec son palais à Paris. Son hôte, le président du pays jusqu’à présent, Ali Bongo, ami d’enfance du monarque alaouite, a été destitué ce mercredi par un groupe d’officiers de l’armée à la suite d’élections présidentielles marquées par des accusations de fraude. La famille Bongo était au pouvoir depuis 56 ans dans ce pays limitrophe de la Guinée équatoriale, du Cameroun et de la République du Congo.

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    Un groupe de militaires de l’armée gabonaise est apparu à la télévision d’État tôt mercredi matin, quelques minutes après que l’autorité électorale du pays ait rendu publics les résultats du scrutin présidentiel du samedi précédent, donnant la victoire à Bongo, au pouvoir depuis 2009, avec 64,27 % des voix contre 30,77 % pour Albert Ondo Ossa, le principal candidat de l’opposition. La France, ancienne puissance coloniale, a demandé que les résultats soient respectés. Le pays compte 370 soldats déployés en permanence dans le pays.

    Bongo, en résidence surveillée

    Selon les premières informations, Bongo est en résidence surveillée, « entouré de sa famille et de médecins ». Un de ses fils a été arrêté sous l’accusation de « trahison ». La garde du palais présidentiel aurait pris le contrôle du complexe. Dans une vidéo enregistrée depuis sa résidence, Bongo a appelé « ses amis du monde entier à faire du bruit ».

    « Au nom du peuple gabonais… nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime actuel », ont déclaré les officiers dans un communiqué lu par l’un des militaires tandis que le reste des uniformes, une dizaine, apparaissait devant les caméras. Les meneurs du coup d’État se sont autoproclamés membres du « Comité de transition et de restauration des institutions » et ont affirmé que les élections n’avaient pas été transparentes, crédibles ni inclusives. Ils ont également accusé Bongo de gouverner de manière « irresponsable et imprévisible », ce qui a détérioré la « cohésion sociale ».

    Fermeture des frontières et dissolution des institutions

    Les insurgés, qui prétendent représenter l’ensemble des militaires du pays, ont ordonné la dissolution du gouvernement, du Sénat, de l’Assemblée nationale, de la Cour constitutionnelle et de l’organe chargé de l’organisation des élections. Ils ont également décrété la fermeture de toutes les frontières jusqu’à nouvel ordre. Selon Reuters, des coups de feu ont été entendus dans la capitale, Libreville, après la proclamation de la « manu militari ». Les premières images montrent des centaines de citoyens célébrant dans les rues la chute de Bongo.

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    Une amitié héritée

    Ali Bongo, âgé de 64 ans, cherchait à obtenir un troisième mandat après 14 ans au palais. Il a hérité de son père Omar Bongo, le deuxième président du pays qui a « régné » sur le pays africain pendant 42 ans, jusqu’à son décès en 2009, à peine sept ans après l’indépendance du Gabon vis-à-vis de la France. Son père, très proche du défunt Hassan II, lui a également légué des liens étroits avec la cour alaouite. Il y a six ans, Ali s’est vanté publiquement de son amitié prolongée avec Mohamed VI en partageant une photo des deux adolescents. « La vraie amitié est celle qui n’a pas de secrets », a-t-il écrit.

    Au milieu du débat public concernant ses absences de plus en plus prolongées et controversées du pays, Mohamed VI a choisi le Gabon comme destination loin des intrigues du palais au Maroc. Le président gabonais renversé était également un habitué du Maroc. Il a visité le pays périodiquement avec d’autres membres de sa famille lors de voyages officiels et privés, et il a été photographié en public. Le Gabon a été l’un des principaux alliés politiques et économiques sur un continent où l’Algérie et la République arabe sahraouie démocratique bénéficient de soutiens importants.

    Un pays riche en pétrole et plongé dans la pauvreté

    L’opposition gabonaise a rappelé cette amitié en dénonçant le week-end dernier l’assaut par la police marocaine de la représentation diplomatique du pays à Rabat pendant le décompte des votes pour les résidents gabonais dans le pays. Les citoyens qui souhaitaient assister au décompte ont été expulsés par les agents et des affrontements violents ont été enregistrés.

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    La tension au Gabon, un pays riche en pétrole et en cacao de 2,3 millions d’habitants mais frappé par la pauvreté, a augmenté depuis les élections présidentielles, législatives et locales du samedi précédent. Après la fermeture des écoles, les autorités ont décrété un couvre-feu et coupé Internet. De plus, les élections se sont déroulées sans la présence d’observateurs internationaux et ont été précédées par la suspension des médias étrangers.

    Si elle réussit finalement, cette tentative de coup d’État serait la huitième enregistrée en Afrique francophone depuis 2020. Le récent coup d’État au Niger s’est ajouté à ceux du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso et du Tchad. Précisément lundi, le président français Emmanuel Macron a dénoncé « l’épidémie » de coups d’État au cours des dernières années dans une zone de l’Afrique où la France maintient une présence militaire.

    #Gabon #Maroc #MohammedVI #AliBongo #LaPointeDenis #Villégiature

  • Maroc : Des soucis sur la santé du roi Mohammed VI

    Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, santé, maladie,

    Les médias français affirment que le roi souffre d’une maladie du système immunitaire difficile à guérir alors que Rabat reste silencieuse.

      Le roi du Maroc, Mohamed VI, 59 ans, est très malade comme en témoignent les dernières photographies diffusées par les médias. La présence du monarque alaouite lors d’une récente cérémonie de remise d’un véhicule cent pour cent marocain l’a déjà mis en évidence. Une image ultérieure a ratifié ce que la presse -espagnole et africaine- annonçait depuis un certain temps.

      Mohamed VI, extrêmement maigre et méconnaissable, semble souffrir de sarcoïdose, une maladie du système immunitaire qui affecte particulièrement les poumons et les ganglions lymphatiques, provoquant des douleurs respiratoires, une perte de poids et de la fatigue. Selon le journal régional français La Depeche, qui a consulté des sources médicales, seulement la moitié des patients ont un remède s’ils parviennent à le contrôler en trois ans. La sarcoïdose de Mohammed VI a fait la une des journaux il y a cinq ans.

      La santé du roi marocain est un secret d’État, ainsi que ses absences prolongées et sa grossièreté dans les actes officiels, depuis son accession au trône de Rabat à la mort de son père Hassan II en 1999. Dans un premier temps, et compte tenu du secret officiel et de la réputation festive du roi – propriétaire de douze palais avec plus d’un millier de serviteurs et des centaines de voitures de luxe – le départ a été attribué au caprice de Mohamed VI. Dans les années 2010, l’attention du public a plutôt commencé à se concentrer sur la santé du leader à la suite d’une prise de poids frappante et de brefs rapports selon lesquels il avait subi deux opérations cardiaques.

      Dans les commérages du palais, les luttes internes pour la succession ont également commencé à transcender. Sur le papier, la voie est claire : l’héritier de Mohammed VI sera son fils, le prince Mulay Hassan, qui vient d’avoir 20 ans. Cependant, il est souvent mentionné que le frère du monarque, Mulay Rachid, tente de faire valoir ses droits compte tenu de la jeunesse et de l’inexpérience de son neveu.

      Politique intérieure

      La succession au Maroc n’est pas, pour l’instant, une question qui inquiète les observateurs des équilibres politiques dans la région, qui pointent l’existence d’une structure et d’un corps de hauts fonctionnaires compétents qui veillent avec un zèle exquis aux intérêts du pays, au-delà des compétences du roi. On comprend donc pourquoi, pendant plus de deux décennies de mandat de Mohamed VI, la politique étrangère a maintenu un cap nationaliste strict. Cela a été démontré par la crise des îles Perejil, les tensions également avec l’Espagne autour de Ceuta et Melilla, et la lutte intransigeante – menée avec succès – autour du territoire du Sahara occidental, que Hassan II a transformé en une province du Maroc.

      En politique intérieure, le règne de Mohamed VI a pu libérer le lest islamiste avec l’octroi de droits aux femmes et des mesures de grâce envers les dissidents. Cette attitude a sauvé Rabat de l’inclémence du soi-disant « printemps arabe », qui a fait des ravages dans le reste des régimes en Afrique du Nord.

      #Maroc #MohammedVI

    • Maroc : Le roi encourage les pèlerins à servir en tant qu’ »ambassadeurs » de leur pays

      Etiquettes : Maroc, Mohammed VI, pèlerinage, Hajj,

      Le roi Mohammed VI a exhorté les pèlerins marocains à agir en tant qu’ »ambassadeurs de leur pays, de sa culture ancienne et de son identité, fondée sur l’ouverture et la tolérance », les encourageant à éviter « les disputes, les arguments et les causes de désaccord ».

      Dans un message adressé aux pèlerins marocains avant le départ du premier groupe vers les Lieux Saints pour la saison du Hajj de 1444 AH le vendredi, le roi a déclaré : « Sachez que dans cette position importante, vous représentez votre foi lors d’une grande saison qui incarne la fraternité islamique, la modération dans la croyance et le comportement, le renoncement à toutes les formes d’extrémisme et d’excès, et tout ce qui mène à la division et à l’agression ».

      Il a souligné la nécessité de se munir de piété, qui est la meilleure provision pour ce voyage béni. Sa Majesté a ajouté que les musulmans devraient être soucieux de deux choses essentielles : « D’abord, leur unification dans la dévotion au Dieu Unique, et ensuite, l’incarnation de leur unité et de leur attachement à Son solide lien ».

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      Le roi a également noté que l’islam a établi le pilier du Hajj sur la base de l’incarnation de l’égalité entre les croyants, car ils se tiennent sur le même plan dans la Sainte Kaaba, à Mina et à Arafat. Il a ajouté qu’ils sont tous dans un état de consécration rituelle où il n’y a aucune distinction entre eux par une quelconque considération, ni aucune différence de rangs et de statuts.

      Dans le message lu par le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, avant le départ de la délégation marocaine de l’aéroport de Rabat-Salé, le roi marocain a rappelé aux pèlerins du pays ce que ce statut exige en termes d’exécution des rituels avec une discipline et un engagement complets, et une réponse sincère à la compréhension du Hajj avec ses piliers, ses devoirs et sa Sunna.

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      Le premier groupe de pèlerins marocains est parti pour les Lieux Saints vendredi après-midi pour accomplir les rituels du Hajj. Selon le même ministre, le nombre de pèlerins marocains cette année a atteint 35 000, dont 22 800 sont supervisés par le ministère des Habous et des Affaires islamiques, tandis que les agences touristiques gèrent 12 200 pèlerins.

      #Maroc #MohammedVI #Pèlerinage