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  • Le roi du Maroc en France. Réconciliation en vue?

    Le roi du Maroc en France. Réconciliation en vue?

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    L’information a été filtrée par un média français connu pour sa proximité avec les autorités marocaines. le roi Mohammed VI se trouve en France depuis mercredi dans le cadre d’une « visite privée ». « C’est la première fois que le monarque se rend dans un pays européen depuis la fin de la crise du Covid-19 », indique la même source. Mais aussi, la première visite après le scandale de l’espionnage, via Pegasus, de plusieurs journalistes et personnalités françaises dont le président français en personne. Depuis, les relations entre les deux pays traversent une période glaciale. Une période similaire à la brouille de 2014 générée par la décision de la justice française de convoquer Abdellatif El Hammouchi, le premier sécuritaire marocain.

    En vue de « sceller la réconciliation franco-marocaine », le souverain marocain s’est rendu dans son château de Betz pour être accueilli le 9 février 2015 par le président François Hollande. Selon certaines sources, le même scénario pourrait se reproduire avec l’arrivée en France du roi du Maroc dans une tentative d’apaiser les tensions originées par l’information relative au hameçonnage du téléphone portable du mandataire de l’Elysée.

    Selon plusieurs sources, le roi du Maroc se trouve en visite à Paris dans une tentative d’apaiser les tensions entre Paris et Rabat suite au scandale d’espionnage dont le président Emmanuel Macron était parmi les victimes ainsi que d’autres hauts responsables français via le logiciel espion israélien Pegasus.

    L’un des numéros du président de la République, qu’il utilise, selon nos informations, régulièrement depuis au moins 2017 et jusqu’à ces derniers jours, figure dans la liste des numéros sélectionnés par un service de sécurité de l’Etat marocain, utilisateur du logiciel espion Pegasus, pour un potentiel piratage, indique Le Monde dans un article paru en juillet dernier. « Des numéros de téléphone appartenant à Edouard Philippe, alors premier ministre, ainsi qu’à quatorze autres membres du gouvernement ont également été visés », ajoute-t-il.

    #Maroc #France #MohammedVI #Macron #Espionnage #Pegasus

  • Morocco: What the CIA thought of Crown Prince Sidi Mohamed

    Morocco: What the CIA thought of Crown Prince Sidi Mohamed

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    Under the title « Morocco: The Question of Succession », the CIA drew a detailed portrait of the life of the then Crown Prince and now King of Morocco Mohammed VI. The report was written in 1982 and declassified in 2008. Here are some excerpts on Prince Sidi Mohamed.

    We believe that Sidi Mohamed would follow his father’s moderate, pro-Western stance in the early years of his reign. At least, initially, loyalists of Hassan’s palace clique are likely to dominate Sidi Mohamed’s group pf advisers. Their subsequent jockeying for power, however, could weaken Sidi Mohamed’s control of the instruments of power.
    (…)

    A fundamentalist revolutionary regime is the least likely government to come to power after Hassan dies. Althoug the extremist religious groups would challenge the legitimacy of Sidi Mohamed, they lack a strong charismatic leader and are not sufficiently well organized to make a successful bid for power.
    (…)

    Sidi Mohamed has been rigourously groomed since childhood to be the heir to the Moroccan throne, according to US Embassy Reporting, He frequently appears in public with his father and sometimes performs ceremonial fonctions by himself. During the past two years, Sidi Mohamed has been eased slowly into more important official functions; the Crown Prince attended the Fez and OAU summits in 1981 and has been sent occasionally as special envoy in 1981 and has been sent occasionally as special envoy to deliver personnal messages from his father.

    Sidi Mohamed has been educated at the palace school, which provides a careful mix of royal children and selected commoners from proper families. The school appears to revolve primarily around the education of the Crown Prince, as a new grade level is added when Sidi Mohamed is promoted; According to US Embassy, the pupils work hard and are in class almost all day.

    The Regency Council members a year later formalized the succession arrangements and was intended to allay public concern regarding the transition. Hassan Priobably believed a broadly representativ » council including key interest groups would preserve popular support for the monarchy if the council ever exercised any power.

    Loyal service to the Alaouite throne is the shared hallmark of the council members. Most have been close confidants of Hassan for at least 20 years, and two are distant relatives; In our view, General Ahmed Dlimi; Hassan’ senior military and intelligence adviser, is the only member likely to be a strong, independent political figure; We believe that Hassan may hope that real power and control during a transition period would remain with Dlimi and his closest political adviser, Ahmed Reda Guedira, with the others acting as a rubberstamp to show broad support for the new monarch.

    #Morocco #HassanII #MohammedVI #CIA

  • Maroc: Ce que la CIA pensait du prince héritier Sidi Mohamed

    Maroc: Ce que la CIA pensait du prince héritier Sidi Mohamed

    Maroc, Hassan II, Prince Sidi Mohammed, Mohammed VI, CIA,

    Sous le titre de « Maroc : La question de la succession », la CIA dressait un portrait détaillé de la vie du prince héritier à l’époque aujourd’hui roi du Maroc Mohammed VI. Le rapport a été rédigé en 1982 et déclassifié en 2008. Voici quelques extraits sur le prince Sidi Mohamed.

    Nous pensons que Sidi Mohamed suivra la position modérée et pro-occidentale de son père pendant les premières années de son règne. Au moins, dans un premier temps, les loyalistes de la clique du palais de Hassan sont susceptibles de dominer le groupe de conseillers de Sidi Mohamed. Toutefois, leurs luttes ultérieures pour le pouvoir pourraient affaiblir le contrôle de Sidi Mohamed sur les instruments du pouvoir.

    (…)
    Un régime révolutionnaire fondamentaliste est le gouvernement le moins susceptible de prendre le pouvoir après la mort de Hassan II. Bien que les groupes religieux extrémistes remettent en question la légitimité de Sidi Mohamed, ils n’ont pas de leader charismatique fort et ne sont pas suffisamment bien organisés pour réussir à prendre le pouvoir.
    (…)

    Sidi Mohamed a été rigoureusement préparé depuis son enfance pour être l’héritier du trône marocain, selon les rapports de l’ambassade américaine. Il apparaît fréquemment en public avec son père et accomplit parfois seul les fonctions cérémonielles. Au cours des deux dernières années, Sidi Mohamed a été progressivement initié à des fonctions officielles plus importantes ; le prince héritier a assisté aux sommets de Fès et de l’OUA en 1981 et a été envoyé occasionnellement en tant qu’envoyé spécial en 1981 et a été envoyé occasionnellement en tant qu’envoyé spécial pour délivrer des messages personnels de son père.

    Sidi Mohamed a été éduqué à l’école du palais, qui fournit un mélange prudent d’enfants royaux et de roturiers sélectionnés issus de bonnes familles. L’école semble tourner principalement autour de l’éducation du prince héritier, car un nouveau niveau scolaire est ajouté lorsque Sidi Mohamed est promu. Selon l’ambassade des États-Unis, les élèves travaillent dur et sont en classe presque toute la journée.

    Les membres du Conseil de régence, un an plus tard, ont officialisé les dispositions relatives à la succession et visaient à apaiser les inquiétudes du public concernant la transition. Hassan probablement pensait qu’un conseil largement représentatif, incluant les principaux groupes d’intérêt, préserverait le soutien populaire à la monarchie si le conseil exerçait un jour un quelconque pouvoir.

    La loyauté envers le trône alaouite est la marque commune des membres du conseil. La plupart d’entre eux sont de proches confidents d’Hassan depuis au moins 20 ans, et deux sont des parents éloignés. Selon nous, le général Ahmed Dlimi, conseiller principal d’Hassan pour les questions militaires et de renseignement, est le seul membre susceptible d’être une figure politique forte et indépendante. Nous pensons qu’Hassan espère peut-être que le pouvoir et le contrôle réels pendant une période de transition resteront entre les mains de Dlimi et de son conseiller politique le plus proche, Ahmed Reda Guedira, les autres membres agissant comme des bouche-trous pour montrer un large soutien au nouveau monarque.

    #Maroc #HassanII #MohammedVI #AhmedDlimi

  • Maroc: Haschich, tourisme sexuel et sociétés offshores

    Maroc: Haschich, tourisme sexuel et sociétés offshores

    Maroc, Mohammed VI, trafic de drogues, cocaïne, haschich, cannabis, pédophilie, prostitution, sociétés offshore,

    Le Brésil devenait célèbre grâce à son football Samba et sa star Pelé, le Japon se fait connaître par son Samouraï, puis par son savoir technologique dans l’électronique, et le roitelet, commandeur des croyants réussira à hisser sa royauté pour devenir non seulement le premier pays producteur du Haschich au monde, mais aussi la capitale de la saga de la pédophilie. Explications

    Eldorado de la pédophilie

    Marrakech, au même titre que Agadir, sont devenues au fil des années, des terres saintes de la pédophilie et du tourisme sexuel, que même le Covid-19 n’a pas empêcher d’éteindre. La pauvreté, l’ignorance et la répression policière imposée au Peuple Marocain par une dynastie moyenâgeuse en a décidé ainsi.

    La royauté enregistre chaque année une hausse de touristes « sexuels ».. Les vols peu chers ont participé à rendre plus accessible cette destination et facilité l’accès aux pédophiles. Soi-disant touristes, businessmen, hommes politiques, ils viennent du Golfe pour beaucoup d’entre eux, pour d’autres d’Europe. Ils profitent de leur séjour ou se déplacent uniquement pour abuser de mineurs dans les villes les plus touristiques du pays.

    Dans la rue les victimes en majorité mineures sont racolées par des rabatteurs en échange d’argent. Ce miroir aux alouettes piège les enfants qui vivent dans une grande pauvreté. Ce sont souvent des jeunes qui vivent dans la rue et qui vont mendier, être approchés par les touristes, les abuseurs . Face à l’inexistence de chiffres officiels, il est important d’évoquer le câble diplomatique sur Wikileaks citant le ministère marocain de la Justice avançant 1 122 cas d’agressions sexuelles sur mineurs enregistrées en 2008. Il est difficile de dire si elles reflètent la réalité. Toujours selon le ministère, dix étrangers ont été poursuivis en 2009 pour homosexualité, incitation de mineur à la prostitution, participation à l’exploitation d’un mineur et viol violent de mineur.

    Le rapporteur spécial de l’ONU sur le trafic de personnes, Joy Ngozi Ezeilo, l’ONU affirmait le 25 juin 2013 que le « Maroc fait face à un défi considérable en tant que source, lieu de transit et destination de plus en plus importante pour le trafic de personnes ». Aujourd’hui, le Maroc n’est plus un pays de transit, mais un pays exportateur en matière de trafic de personnes.

    Lire aussi : Au Maroc, cette prostitution que vous ne saurez voir
    Lire aussi : Pédophilie au Maroc : les révélations choc d’un ex-amant de Bergé et Saint-Laurent

    Grosso modo, le Peuple Marocain est livré à lui-même, et ce n’est pas « les femmes-mulets » qui vont nous démentir, ou mêmes ces mineures « vendues » pour travailler dans les foyers dans les pays du Golfe.

    Premier pays producteur mondial de Haschich

    La production du Haschich ne cesse d’augmenter, atteignant des chiffres record, dont les revenus sont estimés à 15 milliards de dollars, selon des chiffres d’organisations internationales de lutte contre la drogue (200 millions de dollars par semaine). Les 15 milliards de dollars iront droit dans les comptes du roitelet et ses proches, et qui s’ajoutent aux 900 millions de dollars attribués par les multinationales, en contrepartie des facilités qui leurs sont accordées via l’exonération des taxes fiscales et parafiscales, l’attribution gratuite du foncier, en plus de la main d’œuvre bon marché, au nom de l’IDE profitable aux entités internationales au détriment du Peuple Marocain, via des opérations de transfert des devises. Pour en convaincre son Peuple, le roitelet avait lancé un projet de loi adopté par le parlement d’allégeance, autorisant le soi-disant-usage « médical, cosmétique et industriel » du cannabis.

    Le trafic de la cocaïne emprunte le chemin du Haschich

    Le trafic de cocaïne utilise des filières utilisées par les narcotrafiquants et les contrebandiers. Leurs réseaux, traditionnellement impliqués dans l’importation de cigarettes, puis de haschisch, se sont illustrés dans le transbordement au large de cargaisons de cocaïne chargées dans les Antilles sur des bateaux de pêche ou des porte-conteneurs.

    La drogue est transbordée sur les bateaux des trafiquants marocains au large des îles Canaries ou du Cap-Vert, centres de ravitaillement traditionnels pour les flottilles de pêche de l’Atlantique. Le débarquement a lieu sur les côtes portugaises ou andalouses, suivant les routes habituelles du haschisch. Plus sophistiquée est la pratique qui consiste à décharger la drogue au Maroc, dans un port quelconque de la côte atlantique, puis à la dissimuler dans un transport routier international (TIR) empruntant un ferry à destination du Portugal ou de la Galice. En outre, selon les autorités marocaines, tout bon trafiquant galicien se doit de disposer d’un correspondant dans un port marocain. Agadir, El-Jadida ou Casablanca abritent en permanence leurs bateaux, hors de portée des autorités espagnoles.

    Réseaux marocains, alliés du terrorisme au Sahel

    Les réseaux marocains du terrorisme international, en activité dans la région du Sahel, intouchables chez le commandeur des croyants, bénéficient de largesses offertes par le Makhzen pour blanchir l’argent de la drogue, de trafic d’armes et de la prise des otages, via les banques marocaines et sociétés-écrans. Sur ce plan, des organisations internationales avaient mis l’accent sur des liens de chefs de groupes terroristes en activité dans la région du Sahel avec des narcotrafiquants inféodés au Makhzen.

    49% des marocains souffrent de troubles mentaux

    C’est l’ancien ministre marocain de la Santé le Dr Abderrahman Maaroufi, qui avait annoncé que 49% des Marocains souffrent d’un trouble mental.

    Le ministre marocain confirme les statistiques officielles marocaines selon lesquelles 40% des Marocains âgés de 15 ans et plus souffrent d’un trouble mental : soit 26,5% de troubles dépressifs, 9% d’anxiété généralisée, 5,6% de troubles psychotiques. Les femmes sont plus touchées que la gent masculine (48,5% contre 34,3%) Au Maroc en estime 70.000 schizophrènes et plus de 3.000 malades dépressifs.

    Ceci résume l’état de santé de marocains dont un nombre important est accroc à la consommation de la drogue douce, dure et les psychotropes, ajoutée aux conditions de vie des plus catastrophiques, boostées par l’absence d’une prise en charge des problèmes du peuple marocain, par un régime à l’agonie, soucieux uniquement de sauver son trône de plus en plus menacé par le marasme des marocains qui ne digère plus de voir leur pays sous domination sioniste suite à la normalisation avec l’entité sioniste.

    Les sociétés offshores du commandeur des croyants

    Le roitelet Mohamed Vi ne s’est pas limité à empocher les revenus du Haschich, mais continue de piller les richesses du peuple sahraoui, et de l’argent du phosphate du peuple marocain, pour les blanchir dans des sociétés offshore. Panama Papers a déjà révélé que l’entourage du roi du Maroc gère, via plusieurs sociétés offshore, un luxueux voilier, un hôtel particulier à Paris, des participations dans une société cotée, en plus des sociétés basées en Afrique relevant de la Royale Holding..

    Lire aussi : Maroc : Mohammed VI aime les îles Vierges

    #Maroc #Cannabis #Haschich #Kif #Trafic #Cocaïne

  • Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

    Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

    Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, prince héritier, Pegasus, espionnage, Mohamed Mediouri,

    Fin 2017, la prince Lalla Salma, l’épouse du roi du Maroc, Mohammed VI, a subitement disparu de la vie publique. La mère du prince héritier, Moulay El Hassan, a cessé de participer aux événements caritatifs, activité dont elle est pourtant coutumière, elle qui dirige une fondation consacrée à la lutte contre le cancer. Du jour au lendemain, Salma Bennani, de son nom de jeune fille, s’est éclipsée de la scène publique. Près de 4 ans après, son nom apparaît dans les listes des victimes du programme d’espionnage Pegasus. La question est alors sur tous les lèvres: Mohammed VI a-t-il fait espionner son épouse? Nous savons que pour Mohammed VI la famille royale est une ligne rouge. Son beau-père, Mohamed Mediouri en sait quelque chose. Il a été agressé en plein cœur de la ville de Rabat pour avoir osé se rendre au Maroc. Mohammed VI n’a jamais avalé la pilule du mariage de sa mère avec le garde du corps de son père, Hassan II.

    Le 6 octobre 2019, le New Zealand Herald évoquait, dans un article détaillé, l’histoire de sa disparition dont voici le texte intégral:



    Une « princesse fantôme » : le mystère de l’épouse disparue du roi du Maroc

    C’est une princesse et une mère qui a défié le statu quo royal depuis qu’elle est tombée amoureuse d’un membre riche d’une famille royale. Avec son style caractéristique et son esprit indépendant, l’humanitaire déclarée a entrepris de moderniser le rôle des femmes à la cour royale.

    Vous pensez que je parle de Meghan, duchesse de Sussex ? Détrompez-vous. Rencontrez la princesse Lalla Salma, épouse du roi du Maroc et mère du prince héritier qui est aimé dans son pays.

    Cependant, le mystère l’entoure, ayant été surnommée la « princesse fantôme » après avoir disparu de la vue du public il y a près de deux ans, rapporte news.com.au.

    Il y a des photos Instagram floues, des rumeurs tourbillonnantes et des théories concurrentes. La question persistante est, où est la princesse « disparue » du Maroc ?

    Tradition bloquante

    C’est une histoire aussi ancienne que le temps : un garçon rencontre une fille, le garçon se révèle être le futur roi, le couple tombe amoureux et se marie avec le mariage massif requis. La Salma Bennani de l’époque a rencontré son futur mari, le roi Mohammed, en 1999 lors d’une fête. Elle était une étudiante en génie informatique qui avait été élevée par sa grand-mère. Il avait été couronné après avoir succédé à son père autocratique après un règne despotique de 38 ans.

    Après s’être mariés en 2002, la nouvelle princesse Lalla Salma et son mari ont rompu avec la tradition marocaine de longue date qui excluait les épouses royales de la vue du public. (Leurs photographies et même leurs noms n’avaient jamais été révélés publiquement auparavant.)

    Au lieu de cela, Lalla Salma a adopté une approche beaucoup plus moderne de la vie, œuvrant pour la prévention du VIH/sida en Afrique, fondant sa propre association caritative contre le cancer et devenant ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé. En 2016, lorsque Michelle Obama s’est rendue en Afrique, elle a rencontré Lalla Salma pour discuter de l’éducation des femmes.

    En cours de route, elle a également rempli le devoir d’épouse royale requis de fournir un héritier et un remplaçant, à savoir le fils du prince héritier Moulay et sa fille la princesse Lalla.

    Selon certaines informations, la famille de Mohammed n’a pas été impressionnée par son approche beaucoup plus libérale de la vie royale, notamment en portant des pantalons en public et en évitant le foulard dans le pays musulman.

    Palaces et 2 millions de dollars en nourriture pour animaux

    Bien que la famille royale marocaine ne reçoive pas le même niveau d’attention en Occident que, disons, ses homologues britanniques, elle profite d’une vie beaucoup plus luxueuse. Les estimations placent la valeur nette du roi Mohammed entre 5 milliards de dollars et 29 milliards de dollars, il suffit donc de dire qu’ils jouissent d’une existence décadente.

    En 2005, il a été révélé que le roi et sa famille coûtaient au peuple marocain la somme étonnante de 263 millions de dollars par an, dont 1,8 million de dollars dépensés en nourriture pour animaux de compagnie. Il possède 12 palais à travers le monde, tous perpétuellement maintenus à 17 degrés et entièrement dotés en personnel, et il en visite rarement beaucoup. On pense que sa propriété préférée est un immense château français, et son amour des voitures de luxe est bien connu. (Il a été rapporté qu’il a piloté une fois son Aston Martin de Rabat à Londres, et certains matins, il a une douzaine de ses véhicules les plus chers devant lui afin qu’il puisse choisir celui qu’il veut pour la journée.)

    La dame disparaît

    La princesse Lalla Salma était fréquemment présente sur la scène royale internationale, notamment en assistant au mariage du duc et de la duchesse de Cambridge en 2011. Bien qu’elle soit une figure très populaire dans son pays d’origine et qu’elle voyage régulièrement à l’étranger, la dernière fois qu’elle a été vue en public, c’était fin 2017.

    Et puis… plus rien.

    Pendant près de deux ans, la localisation et le statut de la princesse ont été vivement débattus. Avait-elle bouleversé le roi et était-elle cachée derrière les portes du palais ? Le couple avait-il divorcé ? Vivait-elle en exil aux États-Unis ?

    Même les diplomates étrangers auraient été laissés dans l’ignorance de la situation.

    Lorsque Harry et Meghan, le duc et la duchesse de Sussex, ont visité la nation nord-africaine en février de cette année, ils ont rencontré le roi Mohammed, aujourd’hui âgé de 56 ans, et le prince héritier Moulay. Il n’y avait aucun signe de Lalla Salma, aujourd’hui âgée de 41 ans.

    La belle-mère

    Si Mohammed avait été mécontent de sa femme et avait agi en l’enfermant, il y avait un précédent. Selon un rapport du Times, on pense que le roi a gardé sa mère dans un palais, bien que plus tard, il aurait cédé et lui aurait donné la permission de vivre en exil en France.

    Silence des médias

    Le black-out de la presse s’ajoute au mystère entourant la disparition de Lalla Salma. Contrairement au Royaume-Uni où la couverture du clan Windsor domine les tabloïds, la presse marocaine est impitoyablement réglementée. (Il se classe actuellement au 135e rang mondial pour la liberté de la presse.) Alors qu’il y a eu des murmures sur la disparition notable de Lalla Salma de la vie publique, le palais a refusé de commenter.

    Lorsqu’un site Web marocain a publié un article réprimandant Lalla Salma, l’accusant d’avoir une « attitude trompeuse » et un « ego démesuré », il a été largement admis qu’il l’avait fait avec l’approbation du roi.

    Observations européennes

    Au cours des mois et des années qui ont suivi, la princesse a été aperçue en dehors de son pays d’origine, y compris des informations selon lesquelles elle s’était rendue à Portofino avec sa fille en 2018 et avait navigué autour des îles grecques avec son fils en juillet de cette année dans un yacht qui coûte 1 million de dollars. -par semaine.

    Une théorie qui a fait l’objet de rumeurs est que le couple s’est séparé et se dispute la garde et qu’elle n’a pas été autorisée à voyager avec ses deux enfants, bien que cela ait été réfuté lorsqu’elle a été aperçue avec le jeune prince et la princesse à New York.

    En avril, une image floue prétendant être celle de Lalla Salma et de sa fille en train de dîner à Marrakech a fait surface, bien qu’il n’ait, encore une fois, jamais été confirmé qu’il s’agissait bien d’elle.

    Rumeurs de divorce

    Plus tôt cette année, le magazine espagnol Hola! a affirmé que Lalla Salma et le roi avaient divorcé discrètement, mais toute la situation reste entourée de mystère. Malgré des rapports similaires, sa page Wikipedia la répertorie toujours comme la « princesse consort du Maroc » et comme l’épouse du roi Mohammed.

    Le King est un utilisateur dévoué de Facebook. Bien que son flux soit parsemé de photos franches de lui en train de manger, de travailler et de ses enfants, Lalla Salma est introuvable. Pour une femme qui a résisté à la tradition et tracé sa propre voie, sa disparition dramatique de la vie publique est surprenante, et ce mystère est loin d’être résolu.

    #Maroc #LallaSalma #MohammedVI #Pegasus #Espionnage

  • Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage – Mohammed VI, Makhzen, prince héritier, Lalla Salma, Sahara Occidental,

    Le brouhaha diplomatique que connaît depuis des mois le régime marocain du Makhzen cache l’une des plus grandes menaces à la stabilité du trône dans le royaume alaouite, qui est le problème de la succession du roi Mohammed VI, qui souffre de nombreuses maladies et est devenu moins visible dans les scènes officielles et les forums.

    Les scènes qui ont été filmées récemment ont montré qu’il était dans un état de santé grave, car il semblait avoir un visage pâle, des mouvements lents et des signes de maladie plus visibles que jamais sur son visage.

    La présence du roi du Maroc dans les réunions et activités officielles de la période récente n’était pas par désir ou conformément aux protocoles royaux habituels, mais plutôt sous la pression qui lui était imposée par le biais des réseaux sociaux, qui n’ont cessé de divulguer des informations graves sur sa santé, ce qui l’a forcé à sortir pour démentir ces rumeurs.

    Cependant, sa sortie n’a pas éliminé ces rumeurs autant qu’elle les a renforcées en raison de la situation fragile dans laquelle il est apparu devant les caméras et les objectifs des caméras.
    Mohammed VI n’apparaissait pas sur la photo qui rassemblait les participants à ce dernier forum de Marrakech sur le terrorisme, tandis que des militants sur les réseaux sociaux rapportaient que le roi n’arrivait plus à respirer, ce qui confirme les scènes fragiles sur lesquelles il est récemment apparu, sachant que le Le roi du Maroc avait auparavant subi une chirurgie complexe au cœur, en raison d’une arythmie.

    Les sources ont évoqué le retour de la princesse Lalla Salma (Benani), l’ex-épouse du monarque marocain, et la mère du prince héritier Moulay El Hassan, au premier plan après sa disparition de la scène en 2018, suite à des fuites sur sa séparation du roi, avant d’être confirmée plus tard par l’avocat de la famille alaouite en France.
    Les sources liaient le retour de « Lalla Salma » sur le devant de la scène au conflit autour du trône, compte tenu de l’état de santé du roi malade du Makhzen.

    Lalla Salma pourrait bientôt devenir la mère du prochain roi du Maroc, selon les modalités de passation de pouvoir au sein de la famille royale, après que Mohammed VI a renversé son frère Moulay Rachid, qui était prince héritier dans un premier temps, lorsque Mohammed VI a succédé à son père décédé. , Hassan II, en 1999.

    Le régime marocain du Makhzen tente d’occulter l’état de doute qui domine les rouages ​​du trône à Rabat, en occupant l’attention de l’opinion publique marocaine avec des victoires fictives de la diplomatie makhzen dans certains dossiers comme celui du Sahara occidental récemment, et en organisant des manifestations internationales, comme cela s’est produit récemment dans la ville de Marrakech, auxquelles ont participé des ministres des affaires étrangères de pays connus pour leur proximité avec le système marocain du makhzen.

    Tout cela arrive à un moment où l’influence sioniste pénètre et envahit les leviers de décision chez le voisin occidental. Les sionistes ont pris le contrôle des dotations dans le secteur des affaires religieuses, censé être loin de tels comptes, selon des témoignages d’activistes marocains sur les réseaux sociaux.
    Parmi les traits les plus saillants de cette infiltration, le régime marocain du Makhzen a ignoré l’assassinat hideux de la journaliste palestinienne, Sherine Abu Aqleh, en Palestine par les balles de l’occupation sioniste, alors que Rabat n’a pas été en mesure de publier un communiqué condamnant ce lâche assassinat, alors que les symboles du Makhzen sortent de temps en temps, pour confirmer que le « Royaume des Normalisateurs » soutient la cause palestinienne et se tient aux côtés du peuple palestinien dans sa lutte pour l’indépendance, sachant que son représentant aux Nations Unies, Omar Hilale, avait avait auparavant fait obstruction à une liste condamnant la profanation des lieux saints de Jérusalem par des soldats sionistes.

    Plus dangereux que tout cela, c’est la récurrence des fuites sur la possibilité qu’Audrey Azoulay, l’actuelle patronne de l’UNESCO, et la fille du juif André Azoulay, conseiller au Palais Royal, prennent la tête du gouvernement marocain dans le prochain amendement, succédant à son président actuel, Aziz Akhannouch, une fuite devenue plus crédible à la lumière du contrôle rampant des Juifs sur le pays.

    Sofiane. A.

    Echouroukonline, 15 mai 2022

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    #Maroc #MohammedVI #Maladie #Makhzen #Prince_héritier #LallaSalma

  • Emmanuel Macron boude le Maroc

    Emmanuel Macron boude le Maroc

    Emmanuel Macron boude le Maroc – Espionnage, Pegasus, Mohammed VI, Espagne, Pedro Sanchez, Algérie,

    Après sa réélection, Emmanuel Macron s’entretient avec sept dirigeants étrangers de la Turquie, l’Egypte, l’Afrique du Sud, le Sénégal ou l’Algérie notamment – pour faire le point et relancer les relations après sa réélection tout comme les présidents sud-africain Cyril Ramaphosa, sénégalais Macky Sall, égyptien Abdel Fattah al-Sissi, algérien Abdelmadjid Tebboune, mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et comorien Azali Assoumani.

    Fait marquant : Le roi Mohammed VI ne figure pas dans la liste malgré le clin d’œil lancé par Maroc Hebdo sous le titre de « Le Maroc, socle de la politique française au Maghreb ».

    En effet, le président français boude le Maroc depuis le scandale d’espionnage avec le logiciel israélien Pegasus. Le téléphone portable du locataire de l’Elysée figurait parmi les cibles des services secrets de Sa Majesté.

    Un scandale dans les feux ont été rallumés par le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez. Depuis plusieurs jours, l’affaire fait la une des journaux ibériques. Selon The Guardian, en plus du téléphone de Sanchez, plus de 200 personnalités espagnoles ont été espionnés par le Maroc.

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    #Maroc #France #MohammedVI #Macron #Pegasus #Espionnage #Algérie

  • 14 chefs d’État ont été espionnés avec le logiciel Pegasus

    14 chefs d’État ont été espionnés avec le logiciel Pegasus

    14 chefs d’État ont été espionnés avec le logiciel Pegasus – Emmanuel Macron, Mohammed VI, Pedro Sanchez, Maroc, NSO Group, Israël, Saad-Eddine El Othmani, Jamal Khashoggi,

    Macron et Mohammed VI font partie des personnes qui ont été espionnées par un logiciel israélien créé par NSO Group.

    Les dirigeants indépendantistes n’ont pas été espionnés avec cet outil. Le Premier ministre, Pedro Sánchez, et la ministre de la Défense, Margarita Robles, ont été les seuls dirigeants espionnés avec Pegasus, l’outil controversé de la firme israélienne NSO Group.

    L’année dernière, avec l’enquête « Project Pegasus » – à laquelle des dizaines de journalistes ont participé avec le soutien d’Amnesty International – on a appris que la liste des personnes susceptibles d’être touchées par le programme d’espionnage comprenait environ 50 000 numéros de téléphone, dont ceux de quatorze chefs d’État, qui avaient été sélectionnés par des clients du groupe NSO comme des personnes d’intérêt. Les pays concernés sont l’Azerbaïdjan, le Bahreïn, le Kazakhstan, le Mexique, le Maroc, le Rwanda, l’Arabie saoudite, la Hongrie, l’Inde et les Émirats arabes unis.

    Au total, la liste contenait les numéros de téléphone de plus de 600 hauts fonctionnaires et hommes politiques de 34 pays. Parmi les dirigeants internationaux espionnés figurent le président français Emmanuel Macron – qui aurait été surveillé par le Maroc -, le président irakien Barham Salih, le président sud-africain Cyril Ramaphosa et l’ancien président marocain Saad-Eddine El Othmani.

    Le programme « Pegasus » a également espionné le roi du Maroc, Mohamed VI, les premiers ministres du Pakistan, Imran Khan, les anciens premiers ministres de l’Égypte, Mostafa Madbouly, du Liban, Saad Hariri, de l’Ouganda, Ruhakana Rugunda, et de la Belgique et président actuel du Conseil européen, Charles Michel. Il a également servi de chien de garde à l’ancien président du Parti du Congrès national indien, Rahul Gandhi.

    Le programme « Pegasus » a également espionné le roi du Maroc, Mohamed VI, les premiers ministres du Pakistan, Imran Khan, les anciens premiers ministres de l’Égypte, Mostafa Madbouly, du Liban, Saad Hariri, de l’Ouganda, Ruhakana Rugunda, et de la Belgique et actuel président du Conseil européen, Charles Michel. Il a également servi de chien de garde à l’ancien président du Parti du Congrès national indien, Rahul Gandhi.

    En outre, il est apparu cette année qu’un logiciel israélien a été utilisé pour espionner la résidence officielle du Premier ministre britannique Boris Johnson dans une attaque qui aurait été perpétrée par les Émirats arabes unis, selon l’enquête du Citizen Lab.

    Espionnage de la famille de Khashoggi

    Des logiciels espions ont également été utilisés pour cibler les téléphones des militants et des journalistes. Amnesty International a constaté que l’utilisation du programme « Pegasus » a « facilité la commission de violations des droits de l’homme à grande échelle dans le monde entier ».

    L’enquête journalistique a également révélé qu’avant et après le meurtre du Saoudien Jamal Khashoggi en octobre 2018 aux mains d’agents saoudiens, le logiciel espion a ciblé des membres de la famille du journaliste. Plus précisément, « Pegasus » avait été installé sur le téléphone de Hatice Cengiz, la fiancée de Khashoggi, quatre jours après son assassinat.

    Pegasus a également espionné le personnel diplomatique américain, ce qui a conduit l’administration Biden à mettre sur liste noire NSO Group, le fabricant du logiciel.

    En Israël, où l’outil a été créé, l’utilisation de « Pegasus » a également fait scandale, après qu’il est apparu, au début de l’année 2022, que la police avait suivi et écouté plusieurs personnalités publiques, dont le fils de l’ancien premier ministre et actuel chef de l’opposition, Binyamin Netanyahou, et des membres de son cercle proche. Ils ont également espionné des directeurs généraux de ministères, des maires, des responsables de manifestations, des activistes, des journalistes et même un témoin dans l’une des affaires de corruption contre Netanyahou.

    Córdoba, 02/05/2022

    #pegasus #maroc #macron #pedrosanchez #espionnage

  • EL Qods et la loyauté de certains « pays frères »

    EL Qods et la loyauté de certains « pays frères »

    EL Qods et la loyauté de certains « pays frères » – Palestine, Israël, Jérusalem, Maroc, Algérie, normalisation, Mohammed VI, Comité Al Qods,

    Les félonies répétitives, les retournements de veste périodiques, la duplicité mielleuse, la politique de l’autruche de nombreux pays arabes sont en grande partie à l’origine des malheurs de la Palestine et des violations actuelles commises par l’occupant sioniste sur et autour de la mosquée Al Aqsa à El Qods.

    L’attitude blâmable de certains pays de la ligue arabe, qui ont foulé au pied les préceptes de l’Islam et le droit international en normalisant leurs relations avec l’Etat hébreux alors que la question palestinienne n’est pas encore résolue, a permis aux sionistes de redoubler de férocité et de faire étalage en toute impunité de leur expansionnisme sanglant. C’est admis par tous, le repli effectué par certains pays arabes et musulmans par rapport à la cause palestinienne et leur soutien hypocrite à la résistance des Palestiniens a fortement encouragé les mesures d’oppression et de terrorisme sioniste et les visées du Premier ministre israélien Naftali Bennett à légitimer la division temporelle et spatiale de la mosquée Al-Aqsa.

    Les sionistes assurés de la neutralité sinon du soutien de certains pays arabes musulmans, se montrent ces jours-ci de plus en plus conquérants. Leurs incursions provocatrices sur l’esplanade de la moquée d’Al Aqsa, en ce mois sacré, prouvent qu’ils ont les coudées franches et que leur prétention à récupérer une partie ou la totalité de ce qu’ils appellent le Mont du Temple trouvera tôt ou tard écho chez les pays arabes et musulmans « normalisés ». Rien qu’à voir les réactions hypocrites de ces pays « normalisés » face aux agressions menées actuellement par les forces israéliennes d’occupation et les colons juifs à El Qods, on sait que des jours douloureux attendent les Palestiniens. La réaction du Makhzen marocain est un échantillon significatif de cette hypocrisie et de cet opportunisme puants de ces pays « normalisés ». Le Makhzen marocain, dont le roi Mohamed VI est pourtant le président du comité El-Qods, vient de montrer par une gymnastique diplomatique dont il a le secret, toute sa bassesse en affectant une position des plus incongrues.

    Tout en condamnant les dernières attaques israéliennes contre la mosquée d’Al-Aqsa et ses fidèles, il bloque une déclaration acceptée par l’ensemble des ambassadeurs arabes qui dénonce les graves violations par les forces d’occupation sionistes de la sacralité des lieux saints à El-Qods et la répression sauvage qui s’est abattue sur les fidèles innocents. Comme quoi, la cause palestinienne n’était en réalité pour certains pays, qu’un fonds de commerce pour réaliser des dividendes immérités.

    L’Express, 20/04/2022

    #Palestine #Alqods #Jérusalem #ComitéQlqods #Maroc #MohammedVI #Israël #Normalisation

  • Sanchez et Mohamed VI, de plus en plus impliqués au Sahara et en Ukraine

    Sanchez et Mohamed VI, de plus en plus impliqués au Sahara et en Ukraine

    Sanchez et Mohamed VI, de plus en plus impliqués au Sahara et en Ukraine – Sahara Occidental, Maroc, Espagne,

    Par Mehdi Messaoudi

    La crise ukrainienne a déjà dessiné les contours d’un nouvel ordre mondial qui se profile, et la région du Maghreb n’a pas échappé à l’impact du conflit qui se déroule aujourd’hui dans le vieux continent. Retour sur les derniers développements dans la région nord-africaine.

    Le plan américano-sioniste

    En septembre 2020, le président Algérien Abdelmadjid Tebboune brise le fait accompli et le statu-quo pré-établi, en annonçant la nécessité de réunifier les rangs arabes autour de la question centrale, celle de la cause palestinienne, en prévision de la tenue du Sommet arabe prévu à Alger. Cela n’avait rien de simple déclaration pour la concrétisation du plan américano-sioniste, à savoir la normalisation des pays arabes avec l’entité sioniste dans le cadre des accords d’Abraham et qui signifiaient la fin de la solution à deux Etats.

    La sortie salutaire de l’Algérie dans un contexte marqué par le diktat américain, sous l’ère de Donald Trump accéléra la mise en œuvre du plan, pour étouffer les velléités algériennes. La première action intervient le 13 novembre 2020 avec la violation du cessez-le feu au Sahara Occidental, en vigueur depuis 1991, par le régime du Makhzen, suivi un mois plus tard par l’annonce de la normalisation du Maroc avec l’entité sioniste et le tweet de Donald Trump accordant le droit de « la marocanité » des territoires du Sahara Occidental, quelques jours avant de quitter le bureau ovale de la Maison Blanche. Ensuite, il est important de mettre l’accent sur les actes d’hostilités et d’agressivité menées par le régime du Makhzen, qui accueillait successivement les ministres sionistes des affaires étrangères et de la défense et qui n’hésitait pas à déclarer la guerre à l’Algérie à partir du territoire marocain, en violation du Traité arabe de défense commune, adopté par la ligue arabe.

    Le régime du Makhzen ne s’arrêtera pas là puisqu’il offrira toutes les facilités aux deux organisations terroristes de Rachad et du MAK, pour déstabiliser le voisin de l’Est et concrétiser le plan sioniste de partition de l’Algérien, via le soutien de la partition de l’unité du pays des martyrs. Le soutien financier et logistique aux incendies volontaires opérés par leurs supplétifs du MAK dans plusieurs wilayas du pays, précédés par les déclarations hostiles du représentant du roitelet à l’ONU, Omar Hilale, s’inscrivait dans cette optique. Malheureusement pour eux, le peuple Algérien jaloux de sa souveraineté et du legs de ses martyrs, et derrière son armée nationale et populaire garante de l’Etat-Nation, colporta le projet sioniste, et fera des douloureux évènements, une image de solidarité nationale inégalée ayant bouleversé les quatre coins de la planète.

    L’Algérie n’a pas tardé à réagir à cette agression, en annonçant le 24 août 2021, la rupture de ses relations avec le Maroc, malgré la « tentative » de la « main tendue » du roitelet Mohamed VI annoncée le 13 août 2021, dans laquelle il avait « caressé » le sentiment de la fraternité entre les peuples Algérien et Marocain, tout en s’attaquant à l’Espagne qu’il qualifia de colonisateur des enclaves de Ceuta et Mellila. Cela n’a pas empêché Alger de répondre à l’hostilité et agression marocaines, en procédant au non-renouvèlement du contrat d’approvisionnement en gaz Algérien, via le GME .

    Pedro Sanchez piégé

    Jouant à merveille le soldat au service du plan sioniste, Mohamed VI ne tarda pas à envoyer des milliers d’immigrants clandestins dont des enfants envahir l’Espagne, en violation du Pacte de Marrakech, signé en décembre 2018, par Rabat, pour faire face au flux migratoire désireux de rejoindre l’autre rive de la Méditerranée , en contrepartie de soutien financier au royauté pour juguler sa crise socioéconomique. Sur ce registre, il convient de rappeler, que l’Algérie a refusé que son territoire devienne une zone d’accueil des réfugiés, prônant à l’opposé une stratégie fiable et efficace de développement socioéconomique des pays subsahariens pour juguler les flux migratoires.

    Pour le Maroc , les choses se présentent différemment, et le dossier des flux migratoires, est une carte de pression qu’il n’a pas tardé à brandir pour obliger l’Espagne et l’Union Européenne à épouser sa politique expansionniste à l’égard de ses voisins, en particulier le Sahara Occidental, dans le dossier de décolonisation est entre les mains de l’ONU.

    Le rôle de Blinken

    Le Secrétaire d’Etat Américain Anthony Blinken aurait joué un rôle important dans le revirement de la position du gouvernement espagnol dirigé par Pedro Sanchez à l’égard de la question sahraouie du 18 mars dernier. Une décision qui intervient avant la visite du chef de la diplomatie américaine à Madrid et qui aurait rassuré Sanchez sur l’engagement de Washington à garantir l’approvisionnement de la péninsule ibérique en GNL américain, après la fermeture du GME et le refus d’Alger d’accorder des quantités supplémentaires de GNL à des bas prix. Anthony Blinken a par ailleurs convaincu Pedro Sanchez de s’impliquer davantage dans le conflit ukrainienLes indicateurs d’un alignement de Sanchez à la position marocaine, étaient prévisibles à partir du début du mois de février, à l’occasion de son séjour aux Emirats Arabes Unis et ses déclarations au sujet de l’engagement de son pays à garantir la sécurité énergétique du Maroc.

    Les rencontres entre Blinken et les chefs de diplomaties arabes ayant normalisé avec l’entité sioniste à Néguev en Palestine Occupée, peu avant sa tournée au Maghreb, plus précisément à Rabat et Alger, scellant l’alignement de Sanchez au plan américano-sioniste, comme l’indiquent ses visites du mois en cours au Maroc puis à Kiev ou il avait annoncé l’envoi d’armes à l’armée ukrainienne pour faire face à l’opération militaire de Moscou dans le Dombass. Par ailleurs, il faut noter,que le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita avait déposé une gerbe de fleurs sur la tombe du génocidaire de Deir Yassine le criminel de guerre sioniste Ben Gourion ; lors de son séjour à Néguev en Palestine Occupée.

    Le Makhzen impliqué dans le conflit ukrainien

    Deux mois après le début des hostilités militaires en Ukraine, le régime marocain est de plus en plus impliqué, comme l’indique l’élimination de 137 combattants marocains à Marioupol, et la capture d’un étudiant marocain engagé dans les forces navales ukrainiennes, diffusée par les télévisions russes. . https://algerie54.dz/2022/04/22/crise-ukrainienne-72/

    Des sources d’informations avaient annoncé ces derniers jours, que 137 mercenaires marocains et leurs officiers envoyés par le makhzen marocain ont été liquidés par les Tchétchènes.

    L’implication du Maroc se fait à travers l’envoi de combattants marocains et de migrants clandestins via l’Espagne dont les autorités ferment les yeux et les médias ne parlent plus. Ces mêmes combattants seront tout vraisemblablement acheminés vers le Sahel après la fin des hostilités militaires en Ukraine.

    L’implication du Maroc a un prix, celui de l’engagement de Washington à accorder des aides financières au Commandeur des croyants pour résister à la contestation sociale du peuple Marocain, opposé également à toute normalisation avec l’entité sioniste au détriment de la cause palestinienne, pour sauver son trône.

    Entre-temps, il faut noter que le président ukrainien Volodymir Zelensky, était déçu de son ambassadrice à Rabat Oksana Vassilieva, dont l’action de recrutement de combattants et d’obtention d’armes étaient jugés insuffisants

    «Il y a ceux qui travaillent pour que l’Ukraine puisse se défendre et se battre pour son avenir et il y a ceux qui perdent leur temps en s’accrochant à leurs postes. J’ai signé un premier décret pour rappeler une telle personne, l’ambassadrice au Maroc» Oksana Vassilieva, a déclaré Zelensky dans un message vidéo mercredi 30 mars

    Lavrov en visite à Alger et Rabat

    Dans le même contexte, le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov est attendu dans les prochains jours à Rabat et Alger pour s’entretenir avec les dirigeants des deux pays. Au Maroc, Lavrov devra aborder avec son homologue marocain Nasser Bourita la question d’envoi de combattants marocains et africains vers l’Ukraine, une attitude que Moscou qualifie d’acte d’hostilité, synonyme de révision de position et de politique à l’égard de plusieurs dossiers d’intérêt commun.

    Par contre, le séjour de Lavrov à Alger sera plus serein, comme le confirme les relations historiques et stratégiques entre les deux pays datant de 60 ans. Le président Algérien Abdelmadjid Tebboune vient lancer un message, fort indicateur sur la solidité des relations stratégiques avec Moscou, et qui intervenait quelques jours après son entretien téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine et la visite du ministre Algérien des affaires étrangères Ramtane Lamamra à Moscou .

    Sur ce registre, il faut souligner que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, avait déclaré, samedi 23 avril, que « personne ne pourra imposer ses positions à l’Algérie ».

    Il a souligné que l’Algérie ne renoncerait jamais à la cause palestinienne et à la question du Sahara occidental.

    Algérie54, 25/04/2022

    #Algérie #Maroc #Espagne #SaharaOccidental #Ukraine #EtatsUnis